Bayrou coupable de populicide… comme tous les autres politicards
La période se prête aux formules parlantes.
Les féministes dégénérées avaient inventé le mot « féminicide » pour qualifier le meurtre d’une femme par un homme… surtout quand l’homme est blanc et français.
En réponse, Éric Zemmour avait évoqué les francocides, pour parler, lui, des crimes quotidiens de Français assassinés par des étrangers sur notre sol.
Philippe de Villiers avait parlé, lui, de mémoricide, pour parler de la destruction de l’histoire de notre pays et de sa mémoire, par ceux qui haïssent notre roman national.
Le fondateur du Puy du Fou, qui avait déjà affirmé que tous les hommes politiques qui sont au pouvoir ont sur les mains le sang de tous les Français tués à cause de l’immigration, va plus loin et annonce un prochain livre qui s’intitulera Populicide.
La mort d’un peuple, voulue et décidée par les mondialistes, et appliquée par les politicards qui se succèdent en France depuis les années 1980.
Parmi ceux-ci, comment ne pas penser à François Bayrou, dont c’est sans doute la dernière journée en tant que Premier ministre, et qui incarne à lui tout seul toutes les trahisons commises contre la France et son peuple depuis qu’il fait de la politique.
Certes, ce centriste de compétition n’est pas le seul, et on pourrait ajouter sans la moindre hésitation aux centristes les socialistes, les communistes, les écologistes, les gauchistes, les macronistes et les faux gaullistes qui se disent de droite.
Cela fait beaucoup de monde, mais sur quelques questions, la responsabilité et la culpabilité de Bayrou sont accablantes.
À cause de qui la France est-elle envahie par des immigrés, majoritairement musulmans, venus d’Afrique ? La faute à l’immigrationniste Bayrou et à tous ses complices !
À cause de qui la France républicaine, de racine chrétienne, est-elle menacée aujourd’hui par l’islamisation de plus en plus importante de quartiers entiers ? La faute à l’islamo-collabo Bayrou et à tous ses complices !
À cause de qui la France a-t-elle perdu sa souveraineté et est-elle soumise à la dictature de l’UE ? La faute à l’européiste Bayrou et à tous ses complices !
À cause de qui la France est-elle menacée d’un conflit avec la Russie, dans une guerre qui ne la concerne pas ? La faute au russophobe Bayrou et à tous ses complices !
À cause de qui la France est-elle menacée de banqueroute ? La faute au macroniste mondialiste Bayrou et à tous ses complices !
À cause de qui la France subit-elle la dictature du réchauffement climatique qui serait dû à l’homme, et toutes les remises en cause de nos libertés les plus fondamentales ? La faute au climatiste Bayrou et à tous ses complices !
À cause de qui la France va-t-telle se soumettre à la rue arabe et reconnaître un État de Palestine peuplé d’antisémites qui rêvent de détruire Israël et de tuer tous les Juifs ? La faute au capitulard Bayrou et à tous ses complices !
À cause de qui les Français, quelques années après le Covid et ses décisions liberticides, sont-ils en permanence sous la menace brandie par les valets de Big Pharma ? La faute au covidiste Bayrou et à tous ses complices !
Nous pourrions ajouter des dizaines d’autres questions qui confirmeraient que sur tous ces sujets évoqués, tous les politicards, de Wauquiez à Mélenchon en passant par Bayrou, caricature du macronisme, sont complices du drame de populicide qui menace de mort le peuple français.
Seuls le RN et Reconquête ne sont pas comptables de cette situation qui devrait valoir des tribunaux d’exception à tous les coupables, Bayrou en tête.
ET AUSSI
Bayrou éjecté. Et maintenant ?
François Bayrou vient de subir la gifle qu’il redoutait et que tout le monde attendait.
Sa demande de confiance n’a récolté qu’un mépris unanime.
Il faut dire que l’homme, incarnation du centrisme flasque, de l’eau tiède politique, n’avait aucune légitimité à gouverner.
Son maintien à Matignon tenait déjà du miracle.
Et ce miracle avait une cause aussi paradoxale qu’indigne : le soutien
implicite du Rassemblement national, qui, par calcul ou par naïveté, a
prolongé l’agonie d’un gouvernement sans majorité.
Mais le rideau est tombé.
Bayrou n’était pas un Premier ministre : c’était un fantôme, un administrateur sans vision, une caricature du Système.
Il a végété, encaissé, tergiversé.
Il n’a jamais tranché.
Son départ, ou plutôt son éjection, est logique, inévitable, presque libératrice.
Reste désormais Emmanuel Macron, président désavoué, plus
impopulaire que jamais et confronté à trois options, toutes plus
désastreuses les unes que les autres.
La première : nommer un remplaçant.
Mais qui accepterait de jouer les fusibles pour un mandat à durée si limitée ?
Seuls quelques seconds couteaux avides d’exposition se prêteraient au jeu.
Deuxième option : dissoudre l’Assemblée nationale. Mais avec quel résultat ?
Une recomposition encore plus chaotique et l’aveu éclatant que le macronisme est mort.
Enfin, la troisième : la démission.
Scénario idéal pour le pays mais invraisemblable pour un homme qui se croit indispensable.
Macron n’a pas l’étoffe des grands qui savent s’effacer.
Quoi qu’il choisisse, le constat est implacable : ce régime est à bout
de souffle.
Les Français n’y croient plus. L’État n’agit plus. Le pouvoir ne gouverne plus.
La chute n’est pas une hypothèse, c’est une certitude.
Et plus tôt ce château de cartes s’effondrera, plus vite la
France pourra engager le redressement national qu’elle attend, qu’elle
espère et dont elle a un besoin vital.
Thomas Joly -
Président du Parti de la France
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