TRIBUNES LIBRES

Donald
Trump sait toujours avoir les réactions à la hauteur des événements.
Quand il a appris la mort de la jeune Ukrainienne Irina, tuée par un
barbare noir, il a immédiatement pris la pause, avec dans sa main la
photo de la victime et celle de son assassin.
Ce que n’aurait jamais
fait Macron, ni le moindre journaliste de gauche, pour qui ces crimes
racistes ne sont que des faits divers.
Quand
il a appris que Charlie Kirk avait été assassiné, probablement par un
gauchiste, il a immédiatement décidé de faire mettre les drapeaux
américains en berne, comprenant les enjeux de cette mort qui a frappé un
jeune homme de 31 ans, héros de la parole libre et de défense de
l’identité de son pays.
Puis il a accusé sans tourner autour du pot la
gauche radicale d’avoir encouragé ce meurtre, par ses violences verbales
et physiques.
Il est intéressant de réécouter ce que disait Charlie Kirk sur la France.
https://www.instagram.com/reel/DOdc2pkDAoB/?igsh=dWo2ZTh3c3c5dm8z
Pendant
qu’il se faisait tuer, pendant que des milliers de gauchistes rêvent
qu’en France on assassine des journalistes, des hommes politiques ou des
influenceurs de droite, voilà ce qui se passait vraiment dans notre
pays.
À Lyon, un chrétien irakien,
handicapé, en chaise roulante, connu pour ses critiques contre l’islam,
se faisait égorger (donc on connait la religion de l’assassin) au bas de
son immeuble.
Des « Français » de
Monaco, Florian Adam Faudel Zeghdar, résident monégasque de nationalité
mauricienne, Yassine Oulhint, né à Monaco, de nationalité française, et
Zinedine Calderone, de nationalité française, tous trois âgés de 20 ans,
tabassaient jusqu’à le laisser pour mort un handicapé en fauteuil de 21
ans à San Remo, en Italie.
À
Fontenay-sous-Bois, une jeune femme de 20 ans était kidnappée en plein
jour, jetée dans un coffre de voiture et violée à plusieurs reprises par
un migrant marocain.
À Poitiers, une
musulmane voilée de 25 ans, membre d’une association d’aide aux
migrants, était assassinée à coups de couteau par son ancien petit ami,
un réfugié afghan en fuite.
À Antibes, un ancien élève d’origine turque blessait à coups de couteau, dans un lycée, une enseignante et un élève.
Dans
la Vienne, une malheureuse joggeuse a été retrouvée morte, et le
suspect a 59 ans, il était en liberté, bien que condamné à 30 ans de
prison pour meurtre en 2003.
A Tourcoing, un policier est
sauvagement tabassé dans la rue par des voyous, pendant que les
passants, complices, filment la scène sans réagir.
Et
ce n’est qu’une petite partie des conséquences de l’ensauvagement de la
France, causé par une immigration majoritairement africaine imposée par
les politiciens au peuple français depuis quarante ans.
Et
pendant ce temps-là, sous le matraquage des médias, de la gauche et des
macronistes, des dizaines de milliers de manifestants, mais aussi des
jeunes étudiants manifestent dans les rues de France contre un péril
fasciste qui n’existe que dans la propagande, et détournent les yeux sur
les conséquences d’une immigration majoritairement musulmane qui
détruit le pays.
Comment
ne pas penser à l’ancien espion russe, Youri Bezmenov, qui, dans une
vidéo célèbre, expliquait, dans les années 1985, les principes de la
subversion idéologique qui doit saper l’édifice d’un pays ?
C’est
ce qu’avait compris Charlie Kirk ; il a pendant quinze ans utilisé son
génie pour s’adresser de manière efficace à la jeunesse américaine et
retourner la tendance.
C’est ce qu’ont compris en France les jeunes
patriotes qui militent au RN, à Reconquête ou à Identités et Libertés,
qui sont journalistes à Frontières ou à CNews, et qui luttent tous les
jours, au péril de leur sécurité physique, sous les menaces de mort,
pour sauver leur pays, comme le faisait Charlie Kirk.
ET AUSSI
Dans
un monde où le dialogue est devenu un champ de bataille, j’entends
souvent ces mots : « Je ne fais pas de politique » ou « La politique ne
me concerne pas ».
Mais comment peut-on rester indifférent face aux
événements qui se déroulent autour de nous ?
Il est devenu impossible
d’accepter l’idée que l’ensauvagement s’installe dans notre société,
orchestré par une minorité qui souhaite nous faire mordre la poussière.
La montée de la violence, comme une ombre qui plane sur nos vies, doit
être arrêtée.
Peu
importe notre foi ou nos croyances, au nom de la moralité, du respect
et de la bienséance, on ne peut pas maltraiter son prochain.
Récemment,
j’ai été particulièrement touchée par l’histoire tragique d’un homme
qui, armé de la bonne parole, a disparu prématurément.
Charlie Kirk,
militant conservateur américain, était connu pour ses débats ouverts sur
les campus universitaires, défiant l’extrême gauche avec une audace
remarquable.
Par son sens aiguisé de la rhétorique, sa culture et son
humour, il a mis à mal les spectateurs de l’idéologie woke, invitant à
la réflexion plutôt qu’à la confrontation.
Son
célèbre appel à défendre des idées avec ferme conviction – « Prove me
wrong » – était un véritable cri de ralliement.
Kirk ne voulait pas
seulement convaincre, il voulait initier un dialogue, représentatif des
voix de centaines de milliers de jeunes à travers le pays.
Mais ces
derniers jours, alors qu’il prenait la parole contre un crime raciste
ignoble commis à Charlotte, il sombrait dans l’horreur.
Aujourd’hui,
nous pleurons la mort de Charlie Kirk, abattu au cours d’un débat dans
l’Utah. Le tireur, toujours en fuite, incarne les motivations
destructrices qui traversent notre société.
La gauche radicale, à
l’affût, souhaite alimenter un chaos permanent.
Nous avons vu ces
violences, y compris contre des militantes courageuses comme celles du Collectif Némésis.
Que ce soit ici ou en Amérique, la guerre civile semble être une option pour ceux qui croient détenir la vérité ultime.
Il
est crucial de rappeler que ce refus du débat, cette intolérance à la
contradiction sont ancrés dans l’ADN même de cette idéologie.
Les
adversaires ne se voient pas seulement comme des opposants, mais comme
des ennemis à éradiquer. Les exemples historiques sont nombreux, et il
est de notre devoir de ne pas les oublier.
Liberté,
où es-tu, quand des voix comme celle de Charlie Kirk s’éteignent,
lorsqu’une partie de notre société choisit le silence plutôt que la
confrontation intellectuelle ?
Ne laissons pas cette tendance se
généraliser : engageons-nous, débattons, et surtout, n’acceptons pas
l’idée que la politique ne nous concerne pas.
Car à la fin, nous sommes
tous responsables des choix que nous faisons et des valeurs que nous
défendons.
Par Mireille Bleivas
Source : https://ripostelaique.com/charlie-kirk-
ET AUSSI
"E. Macron veut continuer à submerger la France avec des vagues migratoires massives". Les mots chocs d'un visionnaire
Charlie Kirk, ce jeune conservateur de
31 ans tué par un sniper - toujours recherché alors que nous publions -,
le 10 septembre 2025, lors d’une conférence, laisse derrière lui un
legs d'idées incisives et d'une rhétorique sans compromis.
Fondateur de «
Turning Point USA », une organisation de droite conservatrice à
l'origine dédiée aux étudiants, il défendait avec passion les valeurs
traditionnelles, la liberté économique et une Amérique patriote, loin du
progressisme, qu'il considérait comme destructeur.
Ses citations,
souvent prononcées lors de discours enflammés, de podcasts ou sur les
réseaux, incarnaient son combat pour une jeunesse responsable et une
nation unie autour de principes judéo-chrétiens.
Pour nous, Français,
habitués à des débats plus policés, ces mots rappellent la vigueur d'un
conservatisme américain qui n'édulcore pas ses idées, critiquant
vertement la gauche et ses excès.
Pour ses lecteurs, BV a compilé ses meilleures citations illustrant ce parcours singulier : de l'activisme étudiant à l'allié clef de Donald Trump.
« Le conservatisme n'est pas de la nostalgie »
Développant au fur et à mesure sa carrière d’influenceur politique, Charlie Kirk a de nombreuses fois abordé les notions de liberté et d’individu - chères aux conservateurs américains.
Convaincu que « la gauche croit au pouvoir de l’État, les conservateurs croient au pouvoir de l’individu », l’activiste estimait aussi que « la liberté ne consiste pas à faire ce qui nous semble bien mais à faire ce qui est juste ».
Militant conservateur passé par le libertarianisme depuis
l’adolescence, ce proche de Donald Trump avait une définition singulière
du conservatisme : « Le conservatisme ne consiste pas à maintenir
le statu quo ; il s’agit de revenir aux principes qui ont résisté à
l’épreuve du temps.
» Il pensait aussi que « le conservatisme n'est pas de la nostalgie ; c'est une feuille de route vers un avenir meilleur ».
Homme de débat convaincu et passionné, Charlie Kirk aimait se mettre
en scène face à des militants du bord opposé.
Souvent tendus, ses
échanges reflétaient la profonde fracture générationnelle entre deux
Amérique qui semblent de plus en plus irréconciliables, ce qui lui faisait dire : « Quand le débat prend fin, la violence commence » ou « Ne laissez personne vous faire taire, même si cela vous rend impopulaire.
» Kirk ajoutait : « Défendez vos idées, pas vos personnes » ou encore « Les obstacles sont la preuve que vous avancez ».
Opposé à l’immigration incontrôlée, ce brillant entrepreneur a multiplié les phrases chocs contre les partisans d’un monde sans frontières : «
Ouvrir nos frontières à tous ceux qui veulent entrer est impraticable
et pourrait causer un grave préjudice à notre nation et au peuple
américain », disait-il. « Une nation sans frontières n’est pas une nation.
L’immigration doit servir l’Amérique, pas l’inverse. »
La tragédie de la fin de la France
Disciple de Huntington et partisan du Choc des civilisations, Charlie Kirk était principalement préoccupé par la chute de la civilisation occidentale : «
Une bataille spirituelle arrive en Occident, et les ennemis sont le
marxisme ou le wokisme combinés à l’islamisme pour attaquer ce que nous
appelons le mode de vie américain. »
Observateur de la politique française, l’activiste MAGA s'est plusieurs fois exprimé sur les crises successives que traverse notre pays : «
En France, certains essaient d'éradiquer l'identité française par le
biais d'une immigration multiculturelle et multiraciale.
Emmanuel
Macron, pour une raison qui m'échappe, veut continuer de submerger le
pays avec des vagues migratoires massives.
Si rien n'est fait pour
enrayer ce processus, cela sonnera la fin de la France.
C'est une
tragédie, j'espère que votre pays se réveillera.
J'adore la culture
française, vous avez une Histoire, une culture et une langue
incroyables.
Vous devez en être fiers. »
Quelques heures avant son assassinat, l'homme qui pensait que « l'avenir appartient à ceux qui refusent de se taire » avait réagi à la photo de la jeune Iryna, réfugiée ukrainienne assassinée gratuitement dans un tramway, en Caroline du Nord. Sur X, dans un post vu plus de 56 millions de fois, le conservateur écrivait : L’Amérique ne sera plus jamais la même. » Son décès n’est pas près de le faire mentir…
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