REVUE DE PRESSE !
Peut-on empêcher la gauche de saboter la contestation sociale ?

Faire un don à POLÉMIA
L’automne risque d’être chaud, nous dit le ronron médiatique.
La météo sociale et politique est effectivement très dégradée dans notre pays.
Pour autant, le moment de la révolte populaire est-il venu ?
La France reste marquée par l’intensité spontanée du mouvement des Gilets jaunes et le feu de paille qu’il a finalement été.
Fragilisé par un manque de pensées directrices et de structures
organisationnelles, le mouvement a été vite écrasé par les forces
combinées du pouvoir.
Il a cependant laissé dans les esprits comme un désir de deuxième acte qui peine à trouver sa voie.
Les facteurs qui ont conduit les événements il y a sept ans sont-ils
toujours à l’œuvre aujourd’hui ?
De fait, les observateurs ont la plus grande peine à identifier la nature du mouvement du 10 septembre et l’engagement de ses animateurs, avec des avis qui balancent entre « extrême droite » et extrême gauche.
Pas de guillemets pour extrême gauche, dans la mesure où cette dernière a clairement fait connaître son intention de prendre le train en marche de la révolte sociale, LFI en tête, sans oublier les écolos qui se proposent de « verdir » le mouvement.
La gauche contre le peuple
Sans chercher très loin des analyses plus complexes et variées, ce seul engagement de la gauche radicale devrait suffire, en soi, à torpiller le mouvement social, de la même manière que la gauche a largement participé à la dénaturation, puis à l’extinction du soulèvement des Gilets jaunes.
Elle a étouffé la dimension identitaire du mouvement, la révolte des petits blancs des territoires périphériques, au profit d’une pseudo-lutte « anticapitaliste » qui substituait le drapeau rouge au drapeau bleu-blanc-rouge, sur fond de violences de groupuscules radicaux, largement manipulés par le pouvoir en place.
De quoi faire peur à la France du marais !
Si, comme nous l’écrivons depuis des années dans ces colonnes, la gauche
est épuisée idéologiquement, très diminuée politiquement (moins de 30 %
du pays), elle garde encore un grand pouvoir de nuisance grâce à la
multiplicité de ses réseaux d’influence au sein des lieux de pouvoir,
notamment dans les médias.
Son alliance objective avec le capitalisme consumériste qui, depuis des décennies, a épousé le progressisme sociétal dont se réclame la multiplicité des familles de gauche, a construit une alliance de fer au centre de la vie politique des pays occidentaux qui empêche tout changement de l’ordre politique et social dominant.
Les dirigeants des partis de gauche ne peuvent ignorer ce rôle de
soutien du système capitaliste mondialisé – qu’ils dénoncent par
ailleurs dans leur vulgate quotidienne – puisqu’à chaque échéance
électorale ils renouvellent le pacte de fer avec les partis « bourgeois
».
Un pacte qui exclut les courants « populistes », c’est-à-dire ceux qui récoltent le plus grand pourcentage de voix populaires de l’arc dit « républicain ».
La question de fond, l’enjeu essentiel, est donc simple : comment
peut-on, dans notre pays, mener un mouvement de révolte populaire qui ne
soit pas récupéré et torpillé par la gauche, c’est-à-dire le système,
afin d’empêcher l’émergence de la question migratoire et d’avoir une
chance de faire bouger enfin les lignes politiques ?
Grande-Bretagne : une révolte identitaire
Si l’on regarde les événements des dernières années, la réponse paraît évidente : elle s’exprime aujourd’hui chez nos voisins britanniques avec une surprenante acuité.
Largement sous-évalué par les médias mainstream, le mouvement « Raise the Colors » (lever les drapeaux) rythme depuis des mois la vie politique anglaise.
Un mouvement essentiellement tourné vers le rejet de l’immigration musulmane, suite à des affaires sordides de viols de jeunes filles anglaises.
Le mouvement consiste à saturer l’espace public et les manifestations populaires, nombreuses sur tout le territoire, de drapeaux britanniques et anglais (croix de Saint-Georges).
La gauche unanimement s’est dressée contre ces manifestations qu’elle dénonce comme racistes et fascistes, soutenant activement la répression policière brutale de ces défilés identitaires, décidée par le gouvernement de Sa Majesté.
La France, contrairement aux pays anglo-saxons, a rejeté dans ses
principes philosophiques l’institutionnalisation du communautarisme.
Ce dernier s’impose dans la réalité sociale et culturelle nationale, en dépit et contre les principes républicains officiels.
Tout mouvement de révolte en France aura une dimension sociale dominante, même si celle-ci repose sur un socle identitaire plus ou moins conscient.
Les Gilets jaunes n’ont pas su maîtriser cette interaction complexe entre social et identitaire.
La solution, pourtant, est simple : la seule évocation de la question
migratoire, même à la marge, mettrait en France la gauche hors-jeu.
À l’heure où plus de 70 % des Français se disent opposés à l’augmentation de l’immigration (*), il est facile de simplement évoquer la dimension sociale et démocratique de l’enjeu migratoire dans notre pays pour que toutes les forces de gauche s’unissent, syndicats ouvriers en tête, contre une révolte populaire et volent au secours d’un système économique et social à bout de souffle, miné par la dette et l’effondrement industriel et éducatif.
La gauche, jusqu’au bout, jouera son rôle de supplétif du système en
place ; on voit aujourd’hui le PS moribond venir au secours de la
macronie épuisée afin de former un nouveau gouvernement.
Le paradoxe est à relever : alors que l’affrontement droite/gauche, qui rythme le combat idéologique traditionnel, est de moins en moins signifiant, la gauche peau de chagrin s’est taillée une place de choix au centre de la vie politique, une place qui lui permet de neutraliser l’élan identitaire des contestations sociales populaires…
Jusqu’à quand ?
Par Didier Beauregard
09/09/2025
(*) Sondage CSA/JDD/CNEWS, septembre 2025
ET AUSSI
Il a fallu 80 000 policiers pour empêcher 200 000 dégénérés de bloquer la France
On les connaît par coeur.
Ils ne nous surprennent plus.
Leurs mots d’ordre sont sans toujours les mêmes.
Leurs méthodes aussi.
Ils avaient annoncé un mouvement de type « Gilets jaunes » et on a eu dans trop d’endroits en France des initiatives de type « Nuit Debout ».
Des jeunes crétins, souvent fils de famille, qui ne connaissent rien de la vie, tapent dans les mains en se disant antifascistes, mais agressent physiquement et verbalement ceux qui ne pensent pas comme eux.
Les journalistes de Frontières sont obligés d’avoir recours à un service de sécurité pour pouvoir faire leur travail sans finir à l’hôpital, comme on peut le constater sur quelques scènes filmées à l’occasion du lancement de la nouvelle radio de la chaîne.
Des militants professionnels proches des LFI essaient de récupérer le mouvement, et surfent sur le rejet de plus en plus profond de Macron – qu’ils ont contribué à faire élire – pour s’autoproclamer porte-parole du peuple.
La plupart de ces branleurs sont des permanents syndicaux, associatifs ou politiques, des assistés sociaux ou des fonctionnaires.
Ils ne vivent que par le travail d’une France qu’ils méprisent, les agriculteurs, les travailleurs indépendants et les salariés du privé.
Ils ne parlent que de la Palestine, et laissent éclater leur haine des Juifs, masquée derrière l’antisionisme, alors qu’ils ne connaissent rien à l’histoire de cette région.
Ils se disent démocrates, mais agressent les femmes de Némésis et les journalistes de Frontières et CNews.
Ils qualifient de fachos tous ceux qui ne pensent pas comme eux et qui osent afficher un drapeau français.
Leurs punks à chiens ressemblent au lumpen-prolétariat que Marx qualifiait de lie de la société, demandant aux ouvriers de les combattre sans concession.
Il a fallu mobiliser 80.000 policiers pour empêcher ces dégénérés de bloquer la France.
Ces abrutis sont l’armée de réserve des mondialistes qui veulent détruire les Nations pour imposer un Nouvel Ordre Mondial au service des prétendues élites.
Ils défendent l’immigration et l’islamisation de la France, sans comprendre qu’ils seront les prochains égorgés et les prochaines violées prostituées dans des bordels à migrants.
Ils n’étaient ce jour que 200 000, mais ce sont 200 000 de trop, qui menacent notre pays, notre démocratie et nos libertés les plus fondamentales.
Nous ne pouvons que féliciter les forces de l’ordre qui leur ont fait face, en remarquant qu’il n’y a aucun blessé chez les fouteurs de merde, seulement 500 arrestations dans toute la France, alors que les Gilets jaunes avaient eu droit à un autre traitement, avec des éborgnés et des mains arrachées.
Deux France vont se faire face, celle de la rue et du bordel, et celle du travail et de l’ordre.
La première tient la rue, avec l’appui de la racaille musulmane, la seconde vaincra par les urnes.
De la capacité d’imposer la victoire des urnes dépendra l’avenir de notre pays et celui des Français.
Source : https://ripostelaique.com
jmlb
COMBIEN DE TEMPS ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire