TRIBUNES LIBRES !
Manifs : les résistants anglais du 13 septembre et les collabos français du 18…
Il est curieux de faire le parallèle entre des manifestations de pays voisins, la Grande-Bretagne et la France, à quelques jours d’intervalle.
À Londres, derrière Tommy Robinson, les médias ont annoncé 110.000 manifestants, alors que nous avons assisté à la plus grande manifestation anglaise de tous les temps et que le chiffre de 1 million, donné par les organisateurs, ne paraît absolument pas exagéré.
Et cela dans une seule ville, suite à une montée nationale.
Cinq jours plus tard, à Paris, on annonçait 50.000 manifestants, et 500.000 dans toute la France, même si la CGT, comme d’habitude, gonflait les chiffres, annonçant de son côté 1 million.
À Londres, ils savaient pourquoi ils manifestaient.
Parce qu’ils ne veulent pas mourir, et qu’ils ont compris qu’ils allaient mourir si les choses continuaient ainsi.
Il n’y avait aucune revendication sociale, comme si le pays était déjà occupé, comme si on était dans la France des années 1940.
Les mots d’ordre étaient fort clairs : « Send them back ! » (Renvoyez-les chez eux) et « Give our country back » (Rendez-nous notre pays !).
En France, on a du mal à comprendre ce que voulaient les 500.000 manifestants, dans un pays où il n’y a plus de gouvernement.
Des sous, et partir en retraite plus tôt.
Ils s’en foutent des dépenses nuisibles et inutiles, ils en profitent pour beaucoup.
Ils s’en foutent que les paysans crèvent, parce qu’on gave les banlieues islamisées.
Ils ne veulent pas réduire les déficits, ils disent vouloir seulement faire payer les riches, non pas pour aider les pauvres, mais pour continuer à payer nombre de fonctionnaires militants inutiles et leurs associations parasitaires.
Ils s’en foutent de l’invasion migratoire, de l’avenir de leurs enfants, leurs seules revendications, c’est plus de moyens pour l’école, plus de moyens pour la Santé, plus de moyens pour l’audiovisuel public, etc. !
Ils s’en foutent de la France Orange Mécanique, des Lola, Philippine, Thomas, des handicapés agressés, des vieilles dames violées, des Français massacrés à dix contre un, de l’invasion du voile et des kamis.
La seule chose qui les intéresse, c’est la Palestine et de se dire antifascistes.
Non seulement ces manifestants n’ont pas signé l’appel de Villiers sur l’immigration, mais ils descendraient dans la rue si Philippe organisait la manifestation parisienne que nous appelons de nos vœux, non pas pour manifester avec lui, mais pour contre-manifester avec les immigrationnistes.
Ce sont des moutons, incapables de rompre avec leurs chefs collabos et vendus.
90 % d’entre eux ont voté Macron en 2017, en 2022 et en 2024.
Aucun mot d’ordre, hier, n’a demandé le départ du président de la République, de qui ils sont complices.
En Bretagne, nous avons vu des milliers de syndicalistes et de gauchistes jouer les révolutionnaires de salon à Nantes et à Rennes, mais nous ne les verrons pas dimanche pour défendre les libertés publiques et célébrer une Fête du Cochon que leurs copains Insoumis ont fait annuler.
Si nous les voyons, ce sera pour essayer de nous agresser, parce que nous osons défendre nos meilleures traditions et ne pas nous incliner devant celles des envahisseurs.
Les manifestants anglais du 13 septembre et les manifestants français du 18 septembre sont deux mondes que tout oppose.
On peut sans le moindre doute qualifier les Anglais, souvent issus des classes populaires, de résistants.
Ils sont lourdement condamnés par le gouvernement Starmer, certains prennent même des années de prison, et sans la moindre remise de peine.
Par contre, il est difficile de ne pas qualifier les 500.000 manifestants français de cet après-midi de collabos, qui n’en ont rien à foutre de la mort de leur pays et de la disparition annoncée de la France, mais ne pensent qu’à leur gueule et à empêcher une alternative patriote de se mettre en place.
Il est d’ailleurs curieux de voir la mansuétude dont les plus radicaux d’entre eux bénéficient quand ils cassent et agressent pour comprendre de qui ils font le jeu.
Bien évidemment, bien que chauvins et parfois un peu anglophobes, notre préférence va aux manifestants anglais, et nous n’avons pas grand-chose en commun avec les troupes syndicales françaises qui ne sont même plus capables de sortir un drapeau bleu blanc rouge, et préfèrent celui des assassins du Hamas et des dégénérés LGBT.
ET AUSSI
C' EST EN BRETAGNE !
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