vendredi 19 septembre 2025

MANIFESTATIONS : LES RÉSISTANTS ANGLAIS DU 13 SEPTEMBRE ET LES COLLABOS FRANÇAIS DU 18 SEPTEMBRE ......

 TRIBUNES LIBRES !

Manifs : les résistants anglais du 13 septembre et les collabos français du 18…

Il est curieux de faire le parallèle entre des manifestations de pays voisins, la Grande-Bretagne et la France, à quelques jours d’intervalle.

À Londres, derrière Tommy Robinson, les médias ont annoncé 110.000 manifestants, alors que nous avons assisté à la plus grande manifestation anglaise de tous les temps et que le chiffre de 1 million, donné par les organisateurs, ne paraît absolument pas exagéré. 

Et cela dans une seule ville, suite à une montée nationale.

Cinq jours plus tard, à Paris, on annonçait 50.000 manifestants, et 500.000 dans toute la France, même si la CGT, comme d’habitude, gonflait les chiffres, annonçant de son côté 1 million.

À Londres, ils savaient pourquoi ils manifestaient.

 Parce qu’ils ne veulent pas mourir, et qu’ils ont compris qu’ils allaient mourir si les choses continuaient ainsi. 

Il n’y avait aucune revendication sociale, comme si le pays était déjà occupé, comme si on était dans la France des années 1940. 

Les mots d’ordre étaient fort clairs : « Send them back ! » (Renvoyez-les chez eux) et « Give our country back » (Rendez-nous notre pays !).

 

En France, on a du mal à comprendre ce que voulaient les 500.000 manifestants, dans un pays où il n’y a plus de gouvernement. 

Des sous, et partir en retraite plus tôt.

 Ils s’en foutent des dépenses nuisibles et inutiles, ils en profitent pour beaucoup.

 Ils s’en foutent que les paysans crèvent, parce qu’on gave les banlieues islamisées. 

Ils ne veulent pas réduire les déficits, ils disent vouloir seulement faire payer les riches, non pas pour aider les pauvres, mais pour continuer à payer nombre de fonctionnaires militants inutiles et leurs associations parasitaires. 

Ils s’en foutent de l’invasion migratoire, de l’avenir de leurs enfants, leurs seules revendications, c’est plus de moyens pour l’école, plus de moyens pour la Santé, plus de moyens pour l’audiovisuel public, etc. !

 Ils s’en foutent de la France Orange Mécanique, des Lola, Philippine, Thomas, des handicapés agressés, des vieilles dames violées, des Français massacrés à dix contre un, de l’invasion du voile et des kamis.

 La seule chose qui les intéresse, c’est la Palestine et de se dire antifascistes.

Non seulement ces manifestants n’ont pas signé l’appel de Villiers sur l’immigration, mais ils descendraient dans la rue si Philippe organisait la manifestation parisienne que nous appelons de nos vœux, non pas pour manifester avec lui, mais pour contre-manifester avec les immigrationnistes. 

Ce sont des moutons, incapables de rompre avec leurs chefs collabos et vendus.

90 % d’entre eux ont voté Macron en 2017, en 2022 et en 2024. 

Aucun mot d’ordre, hier, n’a demandé le départ du président de la République, de qui ils sont complices.

 

En Bretagne, nous avons vu des milliers de syndicalistes et de gauchistes jouer les révolutionnaires de salon à Nantes et à Rennes, mais nous ne les verrons pas dimanche pour défendre les libertés publiques et célébrer une Fête du Cochon que leurs copains Insoumis ont fait annuler.

 Si nous les voyons, ce sera pour essayer de nous agresser, parce que nous osons défendre nos meilleures traditions et ne pas nous incliner devant celles des envahisseurs.

Les manifestants anglais du 13 septembre et les manifestants français du 18 septembre sont deux mondes que tout oppose. 

On peut sans le moindre doute qualifier les Anglais, souvent issus des classes populaires, de résistants.

 Ils sont lourdement condamnés par le gouvernement Starmer, certains prennent même des années de prison, et sans la moindre remise de peine.

 Par contre, il est difficile de ne pas qualifier les 500.000 manifestants français de cet après-midi de collabos, qui n’en ont rien à foutre de la mort de leur pays et de la disparition annoncée de la France, mais ne pensent qu’à leur gueule et à empêcher une alternative patriote de se mettre en place.

Il est d’ailleurs curieux de voir la mansuétude dont les plus radicaux d’entre eux bénéficient quand ils cassent et agressent pour comprendre de qui ils font le jeu.

 

Bien évidemment, bien que chauvins et parfois un peu anglophobes, notre préférence va aux manifestants anglais, et nous n’avons pas grand-chose en commun avec les troupes syndicales françaises qui ne sont même plus capables de sortir un drapeau bleu blanc rouge, et préfèrent celui des assassins du Hamas et des dégénérés LGBT.

 

ET AUSSI 

 

C' EST EN BRETAGNE   !


 


Après l’annulation sous menace à Treffendel, une Fête du cochon aura bien lieu en Bretagne

Prévue ce dimanche à Treffendel (Ille-et-Vilaine) sur un site privé, une « Fête du cochon » a été déprogrammée à la suite de pressions et de menaces communistes visant les propriétaires des lieux. 

Dans un communiqué diffusé ce 18 septembre, Riposte Laïque et Résistance républicaine annoncent reprendre le flambeau et organiser malgré toutle même week-end en Bretagne, une rencontre mêlant « Fête du cochon » et « apéro saucisson-pinard » dans un lieu communiqué au dernier moment aux inscrits.

 

Ce que disent les organisateurs

Selon le texte signé par Pierre Cassen (Riposte Laïque) et Christine Tasin (Résistance républicaine), l’annulation à Treffendel serait intervenue « à la demande » de la députée d’extrême gauche Mathilde Hignet (LFI) et après des « menaces graves » visant les hôtes de l’événement. 

Les deux organisations affirment vouloir « garantir la tenue d’une fête populaire sur un lieu privé » et annoncent un format simple, fondé sur le principe de l’auberge espagnole : chacun apporte charcuterie et bouteille, l’objectif affiché étant de « maintenir une tradition » et de « refuser l’intimidation ».

Les organisateurs revendiquent un héritage militant – ils rappellent l’« apéro saucisson-pinard » du 18 juin 2010 à Paris, ainsi que leur présence à des mobilisations locales – et assument un positionnement de défi vis-à-vis des opposants.

 Le communiqué précise que la date et l’heure exactes seront adressées « dans les deux prochains jours » aux personnes inscrites, pour des raisons qu’ils disent liées à la sécurité.

 

LFI mise en cause, toujours les mêmes méthodes de la gauche

Au cœur de la polémique : Mathilde Hignet, députée LFI d’Ille-et-Vilaine, accusée par Riposte Laïque d’avoir réclamé l’interdiction de la manifestation et d’avoir ainsi « couvert » des pressions exercées contre les propriétaires.

 

Pourtant :

  • Sur terrain privé, une fête déclarée et encadrée peut se tenir sans autorisation préalable si elle ne trouble pas l’ordre public (bruit, stationnement, sécurité, capacité d’accueil).
  •  
  • En cas de risque avéré de troubles, le préfet peut restreindre ou interdire (article L.211-4 du code de la sécurité intérieure) après appréciation circonstanciée.
  •  
  • Les menaces relayées par les propriétaires (si elles sont avérées) relèvent du pénal et justifient une plainte et une protection.

 

Dans les faits, nombre d’événements sensibles passent par des changements de lieu et une communication tardive pour réduire l’exposition.

 C’est le choix assumé ici.

Les pressions des communistes sur toute fête ou rassemblement à caractère patriotique sont légion en Ille- et-Vilaine. 

La collègue de Mathilde Hignet,  Marie Mesmeur, actuellement en séjour touristique dans la Méditerranée alors qu’elle est rémunérée par les contribuables pour s’occuper des lois ici, avait récemment défendu des antifas coupables d’agressions sur des étudiants de droite.

La « Fête du cochon » n’est pas une invention récente à Treffendel. 

Elle a déjà eu lieu maintes et maintes fois sans pression de l’extrême gauche, donc sans incident (car la notion de « trouble à l’ordre public » est souvent utilisée par la gauche, via les menaces, pour permettre l’interdiction d’un événement.

Derrière l’épisode, une ligne de fracture : liberté d’initiative et ancrage local d’un côté ; veto politique et culture de la terreur de l’autre.

 Une partie de la gauche radicale politise tout symbole qu’elle estime exclusif ou stigmatisant, et tente de peser par campagnes ciblées

Le bras de fer se rejoue à intervalles réguliers : projection de films, conférences, fêtes thématiques, stands associatifs… et désormais fêtes porcines.

Toutefois, sauf rebondissement, une « Fête du cochon » aura bien lieu en Bretagne ce week-end, dans un lieu tenu secret 

. L’épisode, au-delà du folklore, met une nouvelle fois en lumière la fragilité des libertés locales face aux pressions militantes et la nécessité – pour tous – de revenir au droit : garantir la sécurité, préserver la liberté de réunion, et responsabiliser celles et ceux qui franchissent la ligne de la menace.

Par Yann Vallerie

Crédit photo : Image générée par l’IA
[cc] Article relu et corrigé par ChatGPT. Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

 


 

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