jeudi 14 novembre 2024

MAUVAIS HORAIRE POUR UN CAMBRIOLAGE ! L' INSTITUT POUR LA JUSTICE !



REVUE DE PRESSE !

Mauvais horaire pour un cambriolage


Chère Madame, cher Monsieur, 

 

Le 9 novembre dernier dans le Gard, un agriculteur a ouvert le feu sur un homme qui s’était introduit chez lui… 

 

Armé et cagoulé, un voleur a tenté de cambrioler sa maison aux alentours de 20 h, alors qu’il était à table avec sa femme. 

 

L’agriculteur a rapidement saisi une arme et tiré sur le malfrat qui est aujourd’hui encore hospitalisé.

 Ce malfrat est déjà bien connu de la Justice

 

L’enquête est allée très vite, la procureure de Nîmes a retenu “les conditions de la légitime défense telles que prévues par le Code pénal”. 

 

Un soulagement pour l’agriculteur qui a d’abord fait l’objet d’une enquête pour violences avec arme ayant entraîné des blessures graves.


Mais enfin, comment en arrive-t-on vraiment à une telle extrémité ?

 Les cambrioleurs ne redoutent même plus la présence des propriétaires chez eux aux heures où les gens dînent en famille !

 

Ne nous habituons surtout pas à ce climat d’insécurité. C’est tout à fait anormal

 

Pourtant, depuis quelques années, nous avons tous adapté nos façons de vivre pour éviter des situations dans lesquelles nous pourrions devenir des proies ou des cibles. 

Sans nous en rendre compte, nous avons pris des réflexes, changé nos habitudes.

 

Ne plus emprunter une rue sombre, ne pas avoir de sac à main, ne pas tenir son téléphone dans sa main lorsque l’on marche en ville, ne pas porter de jupe, ne pas se garer dans certains quartiers… 

 

Les exemples ne manquent pas.

Le Far West dans nos rues

 

Rien que ces derniers jours, des fusillades ont éclaté à Nantes, Marseille ou Grenoble. 

A côté de Rennes, un enfant de 5 ans a été touché de deux balles à la tête.

 En Martinique, un adolescent et deux enfants de 4 ans et neuf mois ont été blessés par arme à feu.

 A Poitiers, un adolescent est mort.

 

Pendant longtemps, l’ensauvagement de la société était un sujet tabou

 

Et vous n’aviez pas le droit de le dénoncer, sous peine d’être qualifié d'extrémiste. 

 

L’Institut pour la Justice en sait quelque chose…


Mais aujourd’hui, la grande majorité des Français éprouve l’insécurité au quotidien. La réalité serait-elle extrémiste ? 

 

Oui, pour de nombreux idéologues. 

 

Heureusement, nous n’avons pas tous des fusillades en bas de chez nous. Mais faites le test autour de vous

. Vous verrez, n’importe qui peut vous raconter le cambriolage ou l’agression qu’il a subi. 

 

Et tout le monde est concerné par ce fléau. 

 Une député en a fait les frais la semaine dernière en pleine journée.

 Un homme sous OQTF a été arrêté en flagrant délit de cambriolage dans la voiture de Laure Lavalette, élue du Var. Il venait de commettre des vols dans une dizaine de voitures, et la police avait été appelée par des témoins qui n’en revenaient pas... 

 

Lorsque la brigade anti-criminalité est intervenue, il était dans la voiture de Laure Lavalette. 

 

Je ne cesse de le répéter. 

 

Tant que les policiers arrêteront pour rien les délinquants, rien ne pourra s’arranger. 

 

Augmenter sans cesse le nombre de policiers n'y changera rien.

 

Il faut surtout que la Justice donne des condamnations fermes et certaines aux personnes arrêtées.

 

Que les juges cessent de remettre en liberté, avec des garanties de pacotille, des profils connus et reconnus au casier judiciaire long comme le bras.


La justice doit faire son travail.

 

Toutes les villes qui s’engluent dans la délinquance sont les victimes d'une Justice malade incapable de punir, de protéger et de faire respecter le fameux « ordre républicain » qui plaît tant à nos dirigeants politiques.


Qu'ils prennent, eux, leurs responsabilités et qu'ils réforment la Justice.

 

Tant qu'elle ne changera pas, nous sommes condamnés à compter les morts et les blessés. 

 

Notre ministre de la Justice devrait être du côté des gens honnêtes. 

 

Personne ne veut que ses parents ou ses enfants aient peur de sortir de chez eux.

 

La responsabilité de l'État est énorme. Que nos dirigeants nous prouvent que nous ne sommes pas uniquement des contribuables à leurs yeux, mais également des Français dont la vie compte.


Il m’est impossible, seule, de changer le système judiciaire. 

Mon équipe se démène et accomplit un travail remarquable auprès des élus et de la Justice, mais ce n’est pas assez. Votre soutien est le nerf de la guerre. Nous avons besoin de vous.

 

Si vous ne nous aidez pas encore, faites un don mensuel à l’Institut pour la Justice en cliquant ici, puis en sélectionnant "je fais un don tous les mois". Pour le prix d'un café par mois, vous pouvez changer l'avenir de la Justice !

 

La seule chose qui compte, c’est que vous fassiez partie des Français qui s’engagent pour la Justice.

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Avec tout mon dévouement,

 

Axelle Theillier

Présidente de l'Institut pour la Justice


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