REVUE DE PRESSE
Certaines victimes françaises de l’immigration ont choisi librement leur destin…
Les médias ont beau essayer de le cacher, les statistiques ethniques ont beau être interdites, la gauche a beau jouer les négationnistes, les faits et les chiffres parlent, hélas.
Même si les autorités hésitent à donner le nom de la victime quand elle est française, et l’identité de l’assassin quand il est étranger, tous nos compatriotes ont compris qu’ils sont à présent en danger à cause d’une présence trop massive d’une population hostile à notre pays et à ses habitants.
Naturellement, pour ne pas faire condamner une nouvelle fois Riposte Laïque par la 17e chambre, je précise évidemment que tous les Africains musulmans ne sont pas des criminels, qu’heureusement nombre d’entre eux travaillent et ne posent aucun problème à leurs voisins.
Malgré tout, tous les jours, des Français sont agressés, volés, violés, parfois assassinés.
Et nos compatriotes ont appris à lire et à traduire ce qu’on ne leur dit pas.
Quand on évoque une agression commise par un groupe de jeunes, ils savent que ce sont des racailles, souvent musulmanes, qui ont massacré un jeune Français, en meute.
Les Français savent à présent que le sort subi par Lola, Thomas, Philippine, Kylian, Nicolas, mais aussi par des personnes âgées sans défense, par une femme rentrant de son travail, par des malades agressés sexuellement à l’hôpital ou dans les Ehpad, par un homme seul placé au mauvais endroit au mauvais moment, peut arriver à n’importe lequel d’entre nous, à n’importe quel enfant, petit-enfant, compagnon, compagne, voisin, etc.
Quand l’agressé, la victime n’est pour rien dans le sort qui lui a été réservé, ce qui est le cas la plupart du temps, la souffrance mais aussi la colère sont très vives.
Des jeunes identitaires organisent des rassemblements en la mémoire de la victime, ce qui leur vaut les insultes d’une gauche qui les qualifie de « charognards ».
Les familles, souvent dévastées, organisent des marches blanches, sur les conseils des autorités, pour canaliser la colère.
Mais il arrive que la victime ait un profil différent. Ainsi, quand le drame touche un militant immigrationniste, victime de ses engagements et de ses idées, il est plus difficile d’être compassionnel.
Quand ce sont des militants politiques de gauche ou des électeurs « antiracistes » qui sont agressés, quand ce sont des LGBT pro-migrants qui sont massacrés parce qu’homosexuels, quand ce sont des juifs de gauche hostiles à Éric Zemmour, nombre des nôtres ne peuvent s’empêcher de se dire qu’il vaut mieux que cela arrive à de telles personnes, qui subissent les conséquences de leurs engagements, plutôt qu’à d’autres qui n’y sont pour rien.
Les moins indulgents disent même que c’est un juste retour des choses.
Par exemple, il est difficile de comprendre comment un homosexuel peut faire des propositions à un immigré musulman, sans connaître les risques qu’il encourt.
Il ne peut ignorer que des civilisations ont un rapport difficile avec les pratiques sexuelles différentes de la norme.
On a encore plus de mal à comprendre comment une femme de 30 ans peut se mettre en couple avec un clandestin africain et peu de temps après choisir d’avoir un enfant avec lui… et la plaindre quand elle subit les conséquences de ses actes.
On pourrait à la rigueur être tenté par l’indulgence en disant que ses parents ne l’ont pas informée des risques qu’elle prenait, mais à plus de trente ans, elle devrait avoir eu le temps d’apprendre les réalités de la vie.
Les homosexuels à migrants, les femmes à clandos, ce sont souvent des gens comme cela qui traitent de racistes, voire de fascistes, les personnes comme nous qui voulons arrêter l’immigration, refusons l’islamisation de notre pays et exigeons la remigration de ceux qui n’ont rien à faire sur notre territoire.
Ils nous traitent d’égoïstes parce que nous refusons d’accueillir toute la misère du monde, et de racistes parce que nous disons que l’islam n’est pas compatible avec notre pays et son mode de vie.
Ce sont des gens comme eux qui nous mettent en danger, ce sont des personnes comme elles qui sont responsables, au même titre que tous les immigrationnistes, de la mort de Lola, de Thomas, de Philippine, de Kylian, de Nicolas et de tant d’autres qui ne demandaient qu’à vivre.
Il est donc des victimes qui attirent moins la compassion que d’autres.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire