TRIBUNE LIBRE !
Nouvelle victoire de la science islamique, les talibans sont les bienvenus au GIEC
Coucou les revoilou !
Puisqu’on ne peut plus compter sur Donald, des chefs talibans remplaceront les Ricains au sommet mondial sur le climat (COP29) qui débute cette semaine en Azerbaïdjan, a annoncé dimanche Sidi Salahuddin Rabbani, le sinistre afghan des Affaires étrangères.
Il en bavotait de bonheur dans sa barbe fleurie à l’idée que son peuple quelque peu ostracisé par des mécréants en raison de ses mauvaises manières allait enfin retrouver la place qui lui est due dans le concert des Nations.
Avec un rôle éminent pour leurs brillants scientifiques.
Quel dommage de s’être privés des lumières (pas à tous les étages) de ces grands savants en sciences coraniques !
Certes ils ne sont pas très tendres avec leurs femmes, mais après tout, si elles aiment être battues, il ne faut pas les en priver.
Et cela n’obère en rien les immenses mérites et la sapience universelle de leurs seigneurs et maîtres, inspirés par le lascar Allakbar.
Ils sont les héritiers de la prestigieuse civilisation arabo-musulmane qui a créé des avions avant les frères Wright.
Ces maudits koufars ont dépossédé de son invention Abbas ibn Firnas un Andalou qui a volé (on ne dit pas qui) en l’an 852 selon le décompte des Roumis.
Dommage que Fripounette ait oublié d’en parler avec le roi.
Il y aurait gagné une boîte de loukoums. Jean-Brichelle en raffole.
Huit siècles plus tard, un autre savant islamique le grand mufti Mohamed Ahmed Al-Maqqari expliquait que si son coreligionnaire s’était cassé la gueule à l’atterrissage, c’est « parce qu’il avait oublié que les oiseaux atterrissent sur la queue et avait négligé de s’en équiper d’une » (sic). Les pilotes appellent ça l’arrondi.
Et selon un dicton d’aviateur, il faut toujours avoir le nez en l’air et la queue basse pour bien se poser.
Avec une hôtesse de l’air bandante, c’est le crash assuré.
Pour les obsédés textuels, je rappelle que les rectrices étaient les plumes de la queue des oiseaux avant qu’on affuble de ce nom ridicule des hautes fonctionnaires de l’inéducation antinationale.
En toute hypothèse, Ibn Firnas aurait inventé aussi les verres correcteurs, le microscope, le télescope, le périscope, l’endoscope et aussi un ordinateur mécanique simulant les mouvements des étoiles et des planètes.
L’usage du cristal de quartz poli à des fins optiques était connu des pharaons comme loupe.
Et la machine d’anticythère, capable de réaliser des calculs astronomiques, miraculeusement préservée par les sédiments au fond de la mer Égée, date de 21 siècles.
Des artefacts retrouvés. À la différence des inventions islamiques.
Aussi crédibles que le tapis volant d’Aladin et les voyages autour du monde de Sinbad.
Je vous épargne les stylos à plumes, à poils et à billes, la poudre à canon, les fusées et autres inventions que des propagandistes de la foi coranique prétendent que nous aurions volées à leurs ancêtres.
Un bon milliard d’illettrés et d’analphabètes croient à ces sornettes régulièrement débitées lors des prêches du vendredi.
Renforçant les ressentiments d’injustice et le potentiel de haine qu’ils nourrissent à notre encontre.
Or les « savants » arabo-musulmans représentatifs de la brillante civilisation andalouse qui fascine tant Fripounette, n’avaient rien inventé, pas même l’eau tiède.
Dans le meilleur des cas, ils avaient déniché par hasard, colporté et essayé de comprendre les bases de la science des anciens.
Mais ils s’avérèrent incapables de la faire évoluer.
Auguste Comte a démontré que l’esprit positif ou cartésien qui sous-tend la pensée scientifique est incompatible avec l’obscurantisme théologique ou métaphysique.
Parmi leurs nombreux emprunts (ou larcins ?), précédant de 1500 ans et plus la mythique Andalousie, on peut citer le jeu d’échecs perse, l’alambic chinois, la vaccination indienne.
Et bien avant notre ère, l’astronomie, le système décimal avec le zéro et l’algèbre des Sanskrits.
Mais aussi les algorithmes à variables aléatoires des Indo-Aryens, primo occupants du Penjab, du Pakistan et du Sud-Est de l’Iran actuels.
Sur l’océan Pacifique, les navigateurs austronésiens d’il y a 3000 ans utilisaient la géométrie dans l’espace et des algorithmes en calcul mental pour savoir leur position au large.
Ils reportaient en 3D les îles, les vents et les courants, grâce à des croisillons sur lesquels coulissaient des perles d’huîtres et de corail.
Avec une précision qui stupéfia et irrita Cook et les officiers de l’Amirauté britannique.
Ces sauvages faisaient des point astro plus fins que les leurs, malgré leurs sextants, compas, éphémérides et tables de logarithmes !
Et faute de chronomètres de précision, mes ancêtres jonglaient avec les itérations de l’équation du temps, les 1461 jours au terme desquels les positions solaires et stellaires observées se répliquent.
De leur côté, les Arabes d’Espagne disposaient de bons bateaux, capables de descendre avec les alizés et de remonter au vent au retour.
Ils auraient pu découvrir les Amériques avant Colomb et les Vikings.
Si le coran ne leur avait pas dit qu’au bout de la terre plate la mer s’arrêtait brusquement, et qu’ils allaient tomber dans les gouffres de l’enfer.
L’ONU est devenue une annexe de la Ligue islamique
Pour la première fois depuis leur retour au pouvoir en Afghanistan en août 2021, des représentants de l’État islamique taliban assisteront à un événement international top niveau. L’Afghanistan est considéré comme un des pays les plus affectés par le prétendu réchauffement climatique.
Des crues soudaines (rapportées par un chroniqueur d’Alexandre le Grand et connues des Han empruntant le corridor de Wâkhân) ont fait cette année des centaines de morts, et le pays a connu une des pires sécheresses du XXIe siècle. C’est la logique du GIEC.
Plus il fait froid, plus il fait chaud. Et plus il pleut, plus c’est sec.
Dans ce pays médiéval dépendant grandement de l’agriculture, les caprices de la météo ont entraîné des famines.
Plus d’opium ni de shit, plus de flouse.
Le porte-parole du ministère afghan des Affaires étrangères, Sidi Mohammed Abdoul Kahar Balkhi, a déclaré que les responsables de leur agence nationale de la protection de l’environnement étaient arrivés en avion en Azerbaïdjan pour assister à la COP29.
Je croyais que l’aéroplane était haram.
Puisque leur prophète n’en a jamais parlé. Mais bon, c’est plus confortable que de voyager à dos de chameau.
Comme le gouvernement afghan n’est pas reconnu par tous les États membres de l’ONU, les Nations désunies dansent le cul entre deux chaises.
Elles n’ont pas encore autorisé les talibans à réoccuper le siège de leur pays lors des Assemblées générales.
Mais on leur a rendu leurs bureaux et on les a laissés essaimer un peu partout, en particulier dans les organisation dites « spécialisées ».
Dans la récolte de subventions.
Subsistent encore des restrictions à cause du traitement infligé aux femmes qui ne réclament rien, puisqu’elles n’ont pas le droit de parler.
Les organisations islamiques afghanes ont eu du mal à être invitées aux papotages sur le climat, ces dernières années.
Le bureau onusien sur le soi-disant réchauffement climatique reporte depuis trois ans la demande d’une présence permanente de l’Afghanistan aux sommets mondiaux sur le climat.
Plusieurs pays occidentaux ont prévenu qu’ils ne viendraient pas à la COP29, ou enverraient des délégations de second niveau (sous-fifres en langage diplomatique).
Et qu’ils ne reconnaîtraient pas les talibans tant que ces arriérés ne changeront pas de politique à l’égard des femmes, et ne rouvriront pas les écoles, lycées et universités aux filles.
Les Afghans disent ne pas comprendre ce qu’on leur reproche. La méchanceté des mécréants est sans limites !
Puisque ces pieux musulmans ne font qu’appliquer dans leur pays « la loi de Dieu » et respectent leur « État de droit » conformément à l’interprétation qu’en donnent leurs savants et experts islamiques.
Ceux qui ont connu Kaboul avant 1973, sous le règne de Zahir Shah, se souviennent avec nostalgie d’un monarque libéral qui avait modernisé son pays, avec des élections libres et l’égalité des droits pour les femmes.
Certes les campagnes accusaient 1000 ans de retard, mais dans la capitale où les décideurs parlaient couramment français, on côtoyait de jeunes Afghanes minijupées ou serrées dans des jeans moulants et des corsages suggestifs qui discutaient facilement avec les garçons, et échangeaient entre elles des plaisanteries sur la bêtise des religieux.
C’était il y a un demi-siècle.
Ça vous donne une idée de ce que sera la France en 2074.
Ou avant si vous baissez les bras.
Par Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/
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