TRIBUNE LIBRE !
Le palestinien Sami Kab : pourquoi je déverse ma colère sur l’islam
Sami Kab est un véritable connaisseur de la culture musulmane, puisqu’il appartient sociologiquement à la civilisation islamique.
Mais il manifeste avec fierté son apostasie ainsi que sa conviction laïque, agnostique et areligieuse.
A l’instar de nombreux écrivains et
journalistes qui se révoltent dans le monde arabo-musulman contre
l’islam, cet écrivain palestinien est écœuré par les crimes sauvages qui
sont commis par les musulmans.
Plus de 46.000 attentats islamistes sont recensés depuis le 11 septembre 2001 jusqu’à nos jours.
Pour cette raison, Sami Kab ne craint plus de s’interroger sur la croyance de l’islam ni de condamner ses enseignements qui favorisent les actes barbares qui ensanglantent le monde.
Dans ses articles publiés sur
les réseaux sociaux depuis 2010 et sur le site Ahewar.org depuis 2015,
il condamne fermement l’islam, ses ravages et la barbarie de ses
enseignements.
Sa révolte s’intensifie de jour en jour contre le traitement que prescrit cette croyance à l’encontre de l’être humain.
Dans un article publié sur son blog : facebook.com/religionsaremanmade/videos/479013294405, il qualifie la secte de l’islam de matrice d’hypocrisie et de stupidité, d’école de terrorisme génératrice d’une décadence morale, sociale et humaine.
Puis dans un autre article publié le 2.4.2018, il ajoute que « l’islam est une maladie et un fléau ». C’est ainsi qu’il justifie les raisons de la colère qu’il déverse sur l’islam. En voici quelques extraits :
S’adressant directement aux musulmans, Sami Kab leur dit clairement :
« Ô
disciples du prophète des foules et de la canaille ! Ô hyènes du
désert ! Ô adeptes de la religion de l’islam, celle des bandes de
voleurs, de meurtriers, de destructeurs, d’incendiaires, de terroristes,
de coupeurs de routes, d’ignares et de stupides.
Notre
époque est celle de la laïcité, de la justice et de la liberté… C’est
une époque de science, de droit et de dignité humaine.
L’heure de compte est venue, celui de l’existence, tant pour nous que pour vous.
Nous,
les laïcs, nous sommes les gagnants, parce que nous sommes les tenants
de la vérité, de la civilisation, du savoir et du pouvoir.
Nous sommes humains. Nous n’aurons pas pitié de vous, parce que vous avez fermé toutes les portes de la miséricorde de vos propres mains.
En revanche, nous ne cherchons pas à vous massacrer, ni à vous brûler, ni à vous réduire en esclavage, ni à captiver vos femmes, ni à usurper vos biens et votre honneur, comme vous l’avez fait et comme vous le faites toujours à tout être humain qui s’oppose à vous et n’adhère pas à votre troupeau.
Nous les laïcs, nous n’acceptons plus que ceux
qui appartiennent à notre civilisation et aiment vivre parmi nous dans
l’amour, la paix, la justice et la dignité.
Quiconque
diffère de notre espèce, qu’il aille vivre avec son espèce ailleurs
comme il le désire. Ce n’est pas du racisme, mais plutôt la loi de la
nature et la règle de la science et de la réalité.
Quand
je respecte mon esprit, mon corps, mon âme et ma personnalité, je serai
alors un être humain conscient, libre et indépendant qui mérite la vie.
Rien ne vous empêche de m’imiter, et par conséquent, de vous libérer ! »
La nation arabo-musulmane
A propos de la nation des arabo-musulmans, Sami Kab décrit la conduite et le comportement de ses adeptes :
« Ces gens vous laissent tomber, vous trahissent, vous mentent, vous
volent et vous privent de vos biens. Puis ils vous tiennent pour
responsable de leur comportement, comme si c’était vous qui les forciez à
agir ainsi.
Ils vous font croire que vous avez tort, et que leur
comportement n’est rien d’autre que la punition que vous méritez.
Ils vous sourient et vous traitent avec douceur et gentillesse jusqu’au
moment où ils parviennent à vous dominer.
Alors l’équation change à 180 degrés.
Leur humanité se transforme en animalité, leur bienveillance en crime et leur fraternité en vengeance. Voici ce que sont les adeptes de la nation arabo-musulmane. »
L’État de l’islam est mort-né
Sami Kab définit l’islam comme un État de civilisation mort-né.
« C’est un concept, écrit-il, qui est dépourvu d’éléments d’existence
et de pérennité.
L’islam est loin d’être une religion puisqu’il ne favorise pas une spiritualité susceptible de renouveler l’énergie vitale.
C’est plutôt une croyance spécifique aux habitants du désert, il
y a déjà 14 siècles, et à ceux qui adoptent leur propre style de vie.
Le but de leur croyance est le pouvoir et la richesse.
Pour y parvenir,
ils s’appuient sur la tyrannie, l’agressivité, le déni d’autrui et
l’abolition du partenariat de vie avec toute personne étrangère à leur
troupeau.
Le concept d’État en islam est basé sur la non-citoyenneté et la non-appartenance à l’humanité ou à toute société civile qui pense de manière socialement civilisée dans l’intérêt du développement, du changement, de la modernisation et de la construction.
L’État
islamique repose sur les concepts de consommation, d’exploitation,
d’esclavagisme, de tyrannie et d’agression envers l’autre qui se trouve
en dehors du troupeau.
L’islam est une idéologie tribale propre à un
lieu particulier qui est le désert, et à une époque de courte période
ou de quelques décennies.
Son origine a été l’émergence de l’islam il y a 14 siècles aux mains de Mahomet, le fils du désert d’Arabie, le prophète des Bédouins.
L’Islam est une maladie et un fléau
Enfin, Sami Qab révèle les raisons qui l’éloignent de l’islam et le qualifie de maladie et de fléau :
« L’islam, écrit-il, ne laisse pas la possibilité aux humanistes pour
exprimer leur humanité. Il les empêche de manifester la générosité, la
loyauté, l’amour, la tolérance, la participation et le sacrifice pour le
bien des faibles, des malades, des nécessiteux, des handicapés, des
pauvres, ou de ceux qui ne disposent pas de moyens pour vivre dans la
dignité.
L’islam sème la haine, l’aversion, la déception et la peur
dans les âmes. Il rend l’homme étranger à son prochain et lui fait
ressentir de la peur, de la suspicion, de l’aliénation et de la méfiance
à son égard.
L’islam détruit la culture humaine, la morale, les valeurs et la civilisation. Il déforme même l’histoire.
L’islam est une maladie et un fléau… Il tue la vie et l’humanité et détruit tout repère civilisationnel et existentiel.
L’islam est un trou noir qui engloutit tout être vivant et l’entraîne vers le néant…
C’est l’antithèse de la loi de la matière, du langage de
l’existence et de la programmation de l’univers.
Quiconque témoigne qu’il n’y a pas de divinité autre qu’Allah, que Mahomet est son messager et qui croit à la religion de l’islam, est un malade mental et psychique.
Il est touché par un virus mortel qu’est l’islam.
Ce virus représente un réel danger d’abord pour sa vie, mais aussi pour celle de tous les êtres humains et de toutes les créatures sur la planète terre. »
Françaises ! Français ! Permettez-moi de vous rappeler que
pour comprendre les réalités occultées et dangereuses de l’islam, il n’y
a rien de mieux que de lire, d’écouter et de débattre avec ceux qui ont
réussi à s’en libérer ou à échapper à ses griffes.
Voilà l’islam totalement mis à nu par ce musulman palestinien devenu apostat, n’en déplaise aux islamophiles et aux islamo-gauchistes !
Voir d’autres articles de Sami Kab :
Sami Kab considère « l’être animal musulman comme son véritable ennemi ».
http://ripostelaique.com/le-palestinien-sam-kab-mon-veritable-ennemi-cest-letre-animal-musulman.html
Puis, il qualifie « la culture de l’islam de désastreuse ».
http://ripostelaique.com/un-musulman-palestinien-chantre-de-la-laicite-stigmatise-la-culture-desastreuse-de-la-mosquee.html
Par Maurice Saliba
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