LU, VU ET ENTENDU !
Le 11 novembre dernier, Claire était victime du laxisme de la France, elle a été violée et tabassée dans son hall d’immeuble par un clandestin sous OQTF.
Claire a eu le cran de médiatiser ce sujet tabou en fustigeant le deux poids deux mesures des écoféminino-soumises qui ont silencié l’affaire du fait de la situation « précaire » du violeur.
Donc nous en sommes là ?
Dénoncer un viol ne doit pas stigmatiser le prédateur. C’est ça leur féminisme ?
« Ma parole ne compte pas pour grand monde » avait déclaré Claire.
Elle avait raison : la réponse des pseudo-féministes de gauche est soit le silence soit de qualifier ces viols de faits divers (n’est-ce pas Ersilia Soudais).
Ce phénomène des viols de rue ou prédations de rue loin de simples faits divers représente une tendance.
Rien que pour Paris, c’est une centaine de viols de rue par an, l’équivalent de 2 viols/semaine.
Ces chiffres sont alarmants. Pourquoi un tel mépris des victimes ?
Les sources policières déclarent que si les viols intrafamiliaux touchent toutes les classes sociales, les viols de prédations concernent historiquement les « marginaux ».
La réalité est qu’à Paris, les hommes étrangers, sans papiers, issus d’une immigration récente sont surreprésentés dans les faits de viols de rue (sources policières).
C’est un fait.
Et on s’en fout que ça heurte le fantasme humanitaire de certaines dindes gauchistes.
Combien de drames seraient évités si la réponse pénale était dissuasive et immédiate, si les OQTF étaient exécutées, ou si nous contrôlions notre immigration ?
Quand un étranger bénéficie de l’hospitalité de la France, la moindre des choses est d’en respecter les lois et surtout notre conception du corps des femmes sinon c’est dehors.
Car la réalité est que nous accueillons de plus en plus d’individus dont la conception des femmes est moyenâgeuse mais ça la gauche ne le dénoncera jamais.
Ça préfère briser la vie d’autres femmes plutôt que de stigmatiser leur violeur.
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