Macron et le Mercosur, la fin de l’agriculture européenne et une longue trahison !
Le Mercosur ? Macron n’a pas encore signé, il fait mine de ne pas être pour sans s’engager contre… Le roi du « en même temps », du Macron tout craché.
On le connaît bien assez, au bout de 7 ans (qui a brisé le miroir qui nous a apporté 7 ans de malheur ?) pour savoir que le traître incompétent passe son temps à rassurer d’une main et à entuber de l’autre, voulant le beurre et l’argent du beurre, les remerciements des mondialistes et donc des pays du Mercosur tout en évitant de trahir trop visiblement les Français qui l’ont déjà mauvaise de l’avoir comme représentant (je n’ose pas dire dirigeant, il y a beau temps qu’il ne dirige plus, si tant est qu’il ait jamais dirigé autre chose que ses pas guidés par le montreur de marionnette der Leyen…).
Le Mercosur, c’est simple à comprendre, même le plus attardé des Français voit d’emblée que la France se fait avoir en beauté.
Nous lui avons déjà consacré quelques articles que nous vous invitons à consulter dans la foulée :
Ils nous avaient vendu l’UE comme espace collectif où l’on serait plus forts, plus armés pour résister à la « concurrence libre et non faussée », même celle du reste du monde ; et à présent qu’on est dans ce bloc, ils mettent en concurrence l’UE et le marché sud-américain du Mercosur (Argentine, Bolivie, Brésil, Paraguay, Uruguay) au très grand dam, on s’en doute, de nos agriculteurs, entre autres.
Avec un cadeau inestimable, la suppression de 90 % des droits de douane entre les 2 zones… autant dire la ruine la plus totale pour les nôtres.
Macron n’a pas signé, depuis 2019, il fait mine d’être préoccupé, il prétend même y être opposé quand les agriculteurs sont dans la rue mais en fait il gagne du temps pour avoir l’air déçu et surpris quand les traîtres de l’UE vont lui annoncer avoir signé. Ils en ont le droit…
Quand on vous dit que sans Frexit rien ne peut se faire !!!
Der Leyen a décidé que l’accord serait signé au plus tard en fin d’année et il est même possible qu’il le soit dans une semaine lors du G20 à Rio de Janeiro.
Cela fait partie des attributions de la Commission européenne qui n’a pas besoin de la signature de Macron mais aimerait ne pas avoir son opposition, ça ferait désordre.
Macron essaye régulièrement quelques déclarations, énonçant quelques conditions nécessaires à ses yeux (qui ne changent absolument rien à l’horreur de l’accord), du genre « faut faire attention à la déforestation », « faut respecter l’accord de Paris ».
Tu parles, Charles, que la Bolivie va se soucier des accords de Paris !
Pourtant, quand on veut, on peut… Tout ce petit monde a avalé de travers en 2022, quand le patriote brésilien Bolsonaro a été élu au Brésil, cela a gelé le projet.
Hélas, depuis le mondialiste gauchiste Lula a été élu et c’est reparti pour le Mercosur…
Bref, un Bolsonaro est capable, lui, d’arrêter les mauvais accords, mais pas un Macron… c’est dire à quel point la France n’est plus la France depuis qu’elle est entre les mains de Macron.
Bien sûr, agriculteurs et patriotes de grogner et pas qu’en France, alors nos menteurs patentés de faire semblant de discuter, de négocier, pour faire tomber les critiques…
Hier lundi 11 novembre l’exécutif européen devait faire le point sur l’état des négociations…
Sur le papier encore, la France, si Macron voulait, pourrait s’opposer au texte de l’accord puisqu’il faut en théorie la fameuse unanimité des États membres qui fait cauchemarder der Leyen.
Mais les traîtres ont prévu la situation, il suffirait de distinguer le volet commercial des autres sujets comme l’immigration ou la recherche pour que cela passe, dans ce cas on aurait juste besoin d’une majorité qualifiée, soit 55 % des États membres représentant au moins 65 % de la population de l’UE.
Ah l’arnaque du fonctionnement de l’UE. Démocratique qu’ils disent… Enfumage, manipulation…
Néanmoins, si Macron voulait, il pourrait. Il y a encore la possibilité de constituer une minorité de blocage avec au moins 4 États membres du Conseil représentant plus de 35 % de la population de l’UE. Pologne, Pays-Bas et Autriche seraient partants… il suffirait que Macron aille les voir pour que la contre-attaque soit efficace.
Mais le bougre n’y songe même pas, on se demande pourquoi !
Sera-ce vraiment foutu alors ? Restera la Cour de justice de l’UE… peu de chance.
À moins que l’élection de Trump ne donne l’exemple aux pays européens, les encourageant à défendre les leurs avant les autres ?
Par Christine Tasin
https://resistancerepublicaine.com/
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