jeudi 14 novembre 2024

DÉDIABOLISATION PIÈGE À CON ! LE RASSEMBLEMENT NATIONAL L' APPREND À SES DÉPENDS......

 

 


 

 TRIBUNES LIBRES !

5 ans de prison contre Marine : Louise Neyton et Nicolas Barret seront un jour jugés

 

Un mois et demi de procès grotesque, qui n’avait qu’un seul but : faire tomber la candidate du RN pour 2027, et l’empêcher de pouvoir postuler à la présidentielle. 

L’alibi : l’utilisation des attachés parlementaires pour d’autres tâches que celles du seul Parlement européen, ce qui serait, selon les avocats de l’UE et les procureurs de la République, un détournement de fonds. 

L’avocat de Bruxelles était le nommé Maisonneuve, celui qui avait défendu Esteban en première instance, où le jeune homme, auteur d’un seul coup de poing contre Clément Méric, avait été condamné à 11 ans de prison.

 Pas brillant comme résultat !

Pour atteindre les objectifs fixés, il faut d’abord des procureurs de la République (défense de rire), qui sont censés agir au service du peuple (défense à nouveau de rire) et qui sont les hommes des basses œuvres du régime. 

Des commissaires politiques comme cela, tous les régimes totalitaires en ont besoin. 

Ils envoyaient à la mort des dissidents russes, chinois, cambodgiens et autres pays staliniens. Nous voyons leurs homologues français à l’œuvre depuis que nos amis sont harcelés par les tribunaux. 

Nous les observons, ces petits nervis d’une justice pourrie par le gauchisme, quand ils réclament, et avec quelle haine, des peines de prison contre Eric Zemmour, contre Jean-Marie Le Pen, contre Renaud Camus, contre Christine Tasin, contre Pierre Cassen, contre Hervé Ryssen, contre Damien Rieu, contre Thaïs d’Escufon, contre tous les patriotes qui ont le tort de mal penser, d’être des lanceurs d’alertes, voire des dissidents. 

Nous les écoutons réclamer contre eux, sans vergogne, des amendes exorbitantes, qui n’ont qu’un seul objectif : briser économiquement ceux qui dérangent un régime dont ils sont les fidèles larbins. 

Qu’ils soient hommes ou femmes, nous les observons se comporter en roquets haineux, mais nous les voyons aussi baisser la tête quand, à la fin de l’audience, certains accusés, usant du droit qui leur est fait de reprendre la parole, leur disent leurs quatre vérités, en veillant à ne pas tomber dans le délit d’outrage à magistrat.

Cette fois, les procureurs des basses œuvres de la République se nomment Louise Neyton (nommée par Dupond-Moretti) et Nicolas Barret. Ils ont fait durer leurs réquisitions de 9 h 40 du matin à 20 heures ! 

Ce sont ces deux personnages d’une partialité révoltante qui ont osé insulté les prévenus pendant un mois et demi, profitant lâchement de leur titre, et qui ont osé requérir contre Marine Le Pen la peine de 5 ans de prison, dont 3 avec sursis. 

Comme si cela ne suffisait pas, ils ont demandé l’inéligibilité immédiate, et 300.000 euros d’amende, sans doute pour aider Barnier à combler le déficit. Les autres peines demandées sont tout autant ridicules que grotesques et partisanes. 

Ces deux Fouquier-Tinville de pacotille osent demander que Louis Aliot rende immédiatement son mandat de maire, que Julien Odoul ou Dominique Bilde démissionnent immédiatement de leur mandat. 

Rappelons juste, quand on voit les sommes demandées, qu’il n’y a eu aucun enrichissement personnel, ce qui est loin d’être le cas de nombre d’élus de chez Macron pris les mains dans le pot à confitures…

Des Louise Neyton et des Nicolas Barret, comme l’ensemble des procureurs des basses œuvres de la République, qui ont sévi contre le pays, depuis des années, en persécutant les meilleurs militants de la mouvance patriote, rendront des comptes un jour au peuple, comme les magistrats qui auront rendu des verdicts partisans, en service commandé.

Ils nous font penser à ces magistrats qui, en 1940, faisaient fusiller des résistants, et qui, 5 ans plus tard, condamnaient les collabos, souvent dans des simulacres de justice d’ailleurs, comme l’a montré le procès grotesque de Pierre Laval, quoi qu’on pense de l’Homme. 

Ils nous font penser à ces juges qui, en 1958, condamnaient à mort les porteurs de valises, et qui, 4 ans plus tard, envoyaient les militants de l’OAS au poteau d’exécution. 

Tous ces magistrats, historiquement, se sont comportés comme les pourris qu’ils étaient, et ce ne sont pas les juges, majoritairement de gauche, qui vont relever le niveau.

Il reste à espérer que parmi les magistrats honnêtes qui font du droit, et non de la politique de prétoire, figureront ceux qui rendront le verdict, dans le premier trimestre de 2025, suite aux réquisitions outrancières des duettistes Louise Neyton et Nicolas Barret.

Les Français ne seront pas dupes de la grossièreté de la manœuvre politicienne, et auront compris que les deux procureurs des basses œuvres de la République, militants politiques déguisés en magistrats, sont à la Justice ce que Macron est à l’amour de la France.

Un traitement particulier pour Louise Neyton, qui officiait lors du procès de François Bayrou. Elle s’est contentée de demander 30 mois de prison avec sursis (sans inéligibilité immédiate) et 70.000 euros d’amende. 

 Sans doute au nom de l’égalité de tous devant la justice.

Les Français en ont marre du gouvernement des juges. Ils n’ont pas oublié que nous subissons Macron depuis 2017, suite à un coup d’état judiciaire, soutenu par la presse, pour éliminer François Fillon. Ils ne sont pas dupes sur ces réquisitions, qui poursuivent le même objectif, avec cette fois Marine.

Ce sont ces mêmes juges qui s’acharnent sur Tommy Robinson en Angleterre, les mêmes qui ont tout fait pour harceler Donald Trump depuis 2016, les mêmes qui essaient d’envoyer Matteo Salvini en prison, les mêmes qui persécutent les dirigeants de l’AfD en Allemagne, les mêmes qui, aux Pays-Bas, ont essayé d’envoyer Geert Wilders en prison quand il avait le courage de dénoncer l’islam et ses méfaits dans son pays. L’indépendance de la justice, c’est bien sûr du pipeau, dans nos prétendues démocraties, ces juges ne sont que le bras armé de régimes eux-mêmes vendus aux mondialistes.

Louise Neyton et Nicolas Barret seront forcément jugés un jour. Ils le seront d’abord par l’Histoire, au même titre que la juge Éliane Houlette, patronne du Parquet National Financier (PNF) comme ceux qui, après avoir éliminé François Fillon en 2017, auront tout fait pour éliminer, en service commandé, la favorite de la présidentielle de 2027.

Mais que les magistrats, et notamment les procureurs des basses œuvres de la République, n’oublient pas, malgré tout, que dans certaines périodes historiques parfois un peu animées, ceux qui étaient du côté du manche, et qui ont abusé de leur pouvoir, peuvent parfois se retrouver au mieux pour eux devant un tribunal…

Par Joël Locin        https://ripostelaique.com


ET AUSSI

Dédiabolisalisation, piège à c…Le Rassemblement National et Marine Le Pen piégés par leur propre aveuglement face à la justice rouge 

[L’Agora]

Cinq ans de prison, dont deux fermes, et cinq ans d’inéligibilité : voilà les réquisitions délirantes du parquet contre Marine Le Pen, accusée dans l’affaire des assistants parlementaires du Rassemblement National. 

Une peine d’une sévérité qui s’apparente à une sanction politique. 

Pour Marine Le Pen et ses partisans, il ne fait aucun doute que cette affaire révèle la réalité d’une justice orientée, utilisée comme un instrument de répression par le pouvoir en place.

 Cette réquisition résonne comme l’expression d’une « justice politique » aux ordres, qui s’acharne à museler toute opposition sérieuse.

Mais aujourd’hui, Marine Le Pen et le RN s’insurgent contre cette machine judiciaire qui les frappe alors qu’ils se sont détournés, depuis des années, des dissidents politiques en France et en Europe. 

Où étaient-ils lorsque des figures polémiques comme Dieudonné, Éric Zemmour, ou encore Alain Soral ont été traînées en justice, censurées, voire emprisonnées pour leurs idées ?

 Où était le RN quand ces personnalités étaient condamnées pour leurs écrits et leurs prises de parole, au nom d’une prétendue lutte contre la haine ? 

Plutôt que de défendre la liberté d’expression et de résister à la répression, Marine Le Pen et son parti ont préféré éviter les sujets délicats, se ranger dans une respectabilité à tout prix, croyant échapper ainsi à la cible du système.

 

En cherchant à se « dédiaboliser », le RN a en réalité abandonné ceux qui ont osé braver l’ordre établi.  

Quand les Identitaires ont été persécutés pour leurs actions symboliques contre l’immigration massive, quand les jeunes de l’Alvarium se sont retrouvés poursuivis pour s’être défendus contre des agressions, où était la voix du RN pour défendre ces militants ? 

 Absentes, par peur de salir une image qu’il voulait rendre fréquentable aux yeux d’un système hostile. 

Pourtant, en se conformant ainsi, le RN n’a fait que s’affaiblir, laissant la dissidence la plus active se débattre seule face aux assauts répétés de la justice et des médias.

 

Marine Le Pen et son parti découvrent aujourd’hui l’intransigeance de ce système. 

 Le RN est devenu la cible qu’il a ignorée pendant tant d’années. 

La dédiabolisation ne leur a valu que des attaques plus féroces, la répression politique s’étendant maintenant jusqu’à leurs propres rangs. 

 Aujourd’hui, les juges rouges, ces mêmes procureurs qui poursuivent les voix dissidentes depuis des décennies, menacent directement l’avenir politique du Rassemblement National.

Il est temps pour le RN de faire un choix. 

S’il souhaite réellement représenter le peuple, s’il espère pouvoir compter sur un soutien populaire face aux persécutions judiciaires, alors il doit se montrer solidaire envers tous ceux qui, au quotidien, prennent des risques pour réveiller les consciences.

 Elon Musk a récemment soutenu le dissident Tommy Robinson

 Il n’avait aucun intérêt politique à le faire pourtant, mais c’est un homme libre. 

Et Jordan Bardella ? 

La dédiabolisation est un piège. L’obsession de la respectabilité ne conduit qu’à l’auto-sabotage. 

Si le RN continue de rester sourd aux cris de ceux qui subissent la répression d’une justice idéologique, alors il continuera de se vider de sa substance et de se dénaturer, jusqu’à devenir un simple pantin, un pion docile dans un échiquier contrôlé par ses adversaires.

 

Marine Le Pen et le RN, piégés par leur propre complaisance, ont encore une chance de se rattraper. 

Mais pour cela, ils devront prendre parti, soutenir activement les dissidents, et oser dénoncer cette justice politique qu’ils découvrent aujourd’hui. 

Sinon, personne ne viendra pleurer sur leur sort, demain, lorsqu’ils seront condamnés.

Par Julien Dir

Crédit photo : DR
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