Pourquoi tous les collabos haïssent-ils autant Donald Trump ?
Dans quelques heures nous saurons. Nous ne doutons pas que Donald Trump, comme en 2020, va gagner cette élection.
La seule question n’est pas celle-ci.
Le seul suspense qui existe est d’un autre niveau.
La fraude démocrate réussira-t-elle, comme en 2020, à priver de victoire le candidat républicain ?
Curieusement, tout le monde semble avoir oublié cet immense hold-up électoral, au soir du 5 novembre 2020, qui vit le processus électoral s’interrompre dans six États tenus par les démocrates, alors que les premiers résultats montraient de manière indiscutable que le président sortant avait gagné.
Dès le 8 novembre, notre contributeur Maxime Lépante évoquera la plus énorme fraude électorale d’une histoire qui pourtant n’en manque pas.
https://ripostelaique.com/etats-unis-la-plus-enorme-fraude-electorale-de-lhistoire.html
Plus personne ne parle du coup d’État qui a consisté, au lendemain de l’élection, à ce que des journalistes coupent le discours de celui qui était encore président du pays le plus puissant au monde, parce qu’il osait dire qu’on lui avait volé la victoire, et le démontrer.
Plus personne n’évoque le blocage de son compte Twitter, qui comptait 80 millions d’abonnés.
Alors que Donald Trump multipliait les recours, les différents chefs d’État des pays européens et occidentaux félicitaient le voleur Biden.
Et la gauche française, qui avait fait du président américain son ennemi, exultait de la défaite annoncée de Trump.
Pourtant, l’homme avait un bilan exceptionnel.
Il avait mené une politique protectionniste qui avait assuré le plein emploi aux États-Unis.
Il avait allégé les charges des entreprises, pour permettre à ceux qui avaient émigré de revenir aux USA en évitant les taxes douanières, sans que cela ne remette en cause leur viabilité.
Il avait arrêté de jouer les gendarmes du monde, et pour la première fois, les Américains n’étaient plus impliqué dans aucun conflit sur la planète.
Il n’avait pas d’attitude belliqueuse avec la Russie, alors qu’Hillary Clinton rêvait d’en découdre, ce que fit Biden.
Il soutenait Israël sans la moindre réserve, contrairement aux démocrates.
Son mot d’ordre était « America first », ce qui signifie qu’il consacrait les forces vives du pays au développement des États-Unis, et rien d’autre.
Durant quatre années, il a été agressé, harcelé, insulté par 98 % des médias américains, soutenus par les démocrates et l’État profond. `
On l’a suspecté de connivence avec la Russie, de multitudes de viols, de fraudes fiscales.
Il a été traqué par des juges partisans.
On lui a collé toutes les provocations possibles, dont notamment la mise en place du « Black Lives Matter » et des émeutes qui ont suivi.
Tout a été fait pour le détruire. Et pourtant, en 2020, en pleine période de Covid, ses meetings faisaient le plein, quand Biden était terré dans les sous-sols de Washington.
Il avait réussi à avoir 10 millions de voix en plus qu’en 2016.
Et pourtant, il a été déclaré battu.
Plus personne ne donnait cher de son avenir lors de l’intronisation de Biden.
Il paraissait un homme fini, et on envisageait, même chez les Républicains, l’après-Trump.
Mais rien ne paraît pouvoir détruire cet homme hors du commun. Il a été traité de fasciste pendant quatre ans, et toute la campagne a été ordurière à son encontre.
Ils ont même essayé de l’assassiner à deux reprises mais, tel le Canard de Robert Lamoureux, il est toujours vivant.
On a vu le type d’homme qu’il est, quand il criait à ses supporters, quelques secondes après la tentative d’assassinat à son encontre, le poing levé « Fight » !
Durant toute cette campagne, il a rendu, comme toujours, coup pour coup, ridiculisant fréquemment la médiocre Kamala Harris.
Il est intéressant de chercher à comprendre pourquoi tous les collabos de la planète, c’est-à-dire essentiellement les démocraties occidentales et les forces de gauche, sont aussi hostiles à Donald Trump.
Il incarne tout simplement la fierté de son pays, le refus de l’invasion migratoire, de l’islamisation des USA, de la dictature wokiste et de l’imposture climatique.
Même si le fédéralisme américain fait que le président de ce pays a bien moins de pouvoir que le président français, sa victoire signifierait simplement un coup d’arrêt à la politique guerrière menée en Ukraine contre la Russie, à la mainmise du wokisme dans de nombreux secteurs de la société américaine, dont les universités, et surtout la fin de l’immigration sauvage, et de la volonté des démocrates de régulariser 14 millions de clandestins pour changer définitivement le corps électoral américain.
Bien évidemment, avec la victoire de Donald, Netanyahou recevrait un soutien autrement plus efficace que celui des démocrates, très ambigus avec les terroristes du Hamas et du Hezbollah.
Avec Trump, l’Amérique retrouverait le bon sens populaire que les démocrates ont abandonné depuis longtemps.
Les collabos occidentaux, Union européenne en tête, et la gauche américaine rêvent d’une victoire de Kamala Harris pour accélérer la politique de destruction des États-nations, de l’identité des peuples et de leur souveraineté.
Ils veulent continuer à terroriser les habitants de la planète avec les bobards climatiques et les mensonges sanitaires, et restreindre toujours davantage la liberté d’expression.
Le courage physique et moral de Donald Trump et sa capacité de résistance à un système qui veut le détruire renvoie tous les collabos à leur lâcheté et à leur soumission.
Son intégrité les renvoie à leur corruption.
Il n’a pas eu besoin de la politique pour bien vivre, il s’est engagé pour défendre un pays qu’il aime.
La plupart des collabos de la politique française et occidentale ne savent rien faire d’autres que des magouilles politiciennes pour rester en place.
Ils n’arrivent pas à la cheville de Donald Trump et le savent. Il est leur mauvaise conscience.
La victoire de Donald Trump serait celle d’un peuple américain qui ne veut pas mourir et serait ressentie par tous les peuples du monde comme un formidable encouragement à lutter contre les traîtres qui dirigent leur pays.
C’est pourquoi, en France, tous les médias de propagande, tous les macronistes, toute la gauche collabo sont vent debout pour salir un homme qui a le tort, à leurs yeux, de tenir un discours proche de celui du Rassemblement national, et encore davantage de celui de Reconquête, avec une audace qui manque parfois aux dirigeants patriotes de notre pays.
La victoire de Trump serait aussi celle de la liberté d’expression, avec le soutien d’Elon Musk, qui, depuis qu’il a pris la direction de Twitter, a ouvert un espace de liberté, comme Pavel Durov sur Telegram, que les maîtres-censeurs mondialistes contestent.
La victoire de Donald Trump est vitale pour les patriotes de tous les pays européens, et plus largement pour la liberté, la paix dans le monde, l’identité et la souveraineté des peuples menacées par les projets criminels et totalitaires des mondialistes et de leurs complices.
Fight !
Source : https://ripostelaique.com/
ET AUSSI
Pourquoi le Parti de la France soutient Donald Trump
Un communiqué du Parti de la France
À quelques jours de l’élection présidentielle américaine du 5 novembre, le Parti de la France réaffirme son soutien à Donald Trump.
Dans une période marquée par des tensions géopolitiques exacerbées et un véritable défi civilisationnel pour le monde Blanc, Donald Trump incarne la souveraineté nationale, la préservation de la paix et la défense des libertés fondamentales.
Une politique étrangère non interventionniste
L’une des raisons principales pour lesquelles le Parti de la France soutient Donald Trump est son approche non interventionniste en politique étrangère.
Contrairement à la candidate démocrate favorable à des politiques d’ingérence militaire, Donald Trump a exprimé la volonté de réduire l’implication militaire des États-Unis à l’étranger.
Dans des régions déchirées par les conflits, comme l’Ukraine et le Moyen-Orient, Trump s’engage à rechercher des solutions diplomatiques pour parvenir à une paix rapide et durable.
Le Parti de la France voit dans cette approche l’opportunité de mettre fin aux conflits qui affectent non seulement les populations locales, mais qui contribuent également à déstabiliser le monde entier.
La priorité de Trump à la paix résonne avec notre conviction qu’une politique étrangère doit avant tout viser à protéger les intérêts nationaux et éviter des engagements militaires hasardeux et coûteux.
Un ardent défenseur de la liberté d’expression
La liberté d’expression constitue un pilier fondamental pour toute société démocratique, et c’est un principe que Donald Trump défend avec force.
Malgré des médias totalement hostiles, Trump est soutenu par des figures majeures de la liberté d’expression, telles qu’Elon Musk, qui partagent sa vision d’un espace public où les citoyens peuvent débattre sans crainte de censure politique.
Le Parti de la France estime qu’une telle défense de la liberté d’expression est essentielle dans un contexte international (et surtout européen) où la liberté de parole est de plus en plus menacée par des mesures restrictives.
Trump et ses partisans promeuvent une vision de la liberté d’expression qui permet à tous, sans distinction, d’exprimer leurs idées, en particulier sur les grandes plateformes numériques.
Cette posture courageuse pour défendre le droit de parole fait de Donald Trump un modèle de résistance face aux menaces croissantes contre la liberté d’expression.
Un engagement contre l’immigration massive
Enfin, le Parti de la France rejoint Donald Trump dans son opposition à l’immigration massive, perçue comme une menace pour la cohésion sociale et la sécurité des nations occidentales.
Aux États-Unis, Trump souhaite mettre en place des politiques fermes pour contrôler l’immigration et garantir la sécurité des frontières.
Il applique cette vision non seulement à son propre pays mais entend également inspirer une prise de conscience similaire dans d’autres nations.
Le Parti de la France partage cette analyse et considère que les pays occidentaux doivent reprendre le contrôle de leurs frontières afin de sauvegarder leur civilisation et leur identité culturelle ; tout en mettant en place les conditions pour la remigration des extra-Européens non assimilés.
Le Parti de la France affirme ainsi que le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche représenterait un renouveau de la défense des libertés individuelles, de la sauvegarde de la civilisation occidentale et d’une vision apaisée des relations internationales.
Par Thomas Joly
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