jeudi 4 juillet 2024

LE PRÉSIDENT MACRON CAMÉLÉON DE LA RÉPUBLIQUE ! ( VINCENT TRÉMOLET DE VILLERS )

 REVUE DE PRESSE !

Vincent Trémolet de Villers : Emmanuel Macron, caméléon de la République

 

Par Vincent Trémolet de Villers.

« Les combines emportent tout.

 Les enjeux sont abyssaux, les jeux tactiques, minuscules. »

On pensait avoir épuisé la plasticité du macronisme. 

Avant-hier c’était balle au centre, hier c’était à droite toute, aujourd’hui c’est cap à gauche…

De Jupiter à Jospin. 

Du dépassement au retour de la gauche plurielle avec, comme en 1997, Jean-Luc Mélenchon sur le motif. 

On pensait avoir épuisé la plasticité du macronisme, on découvre que ce caméléon peut prendre toutes les couleurs du Rubik’s Cube ? 

Avant-hier, c’était balle au centre, hier c’était à droite toute, aujourd’hui c’est cap à gauche. 

Cela fait longtemps que ces projets de coalition échouent sur les rives de l’Assemblée, mais cette fois, puisque le RN est en face, l’Élysée rêve d’une forme nouvelle du Conseil national de la Résistance. 

Un CNR sans guerre, sans occupation, sans nazis, c’est quand même plus confortable…

On s’étonnera d’un président qui a voulu, selon son pouvoir discrétionnaire, redonner la parole au peuple juste après qu’il a parlé, et qui ensuite manœuvre de toutes ses forces pour que cette parole n’ait aucun écho. 

Devant une pensée aussi complexe, l’esprit commun ne peut que rendre les armes.

 Il lui reste pourtant un peu de lucidité pour s’étonner de l’absence sidérante depuis trois semaines de la moindre remise en question, de la plus simple réflexion de fond. 

On a compris que le RN était le pivot de toute nouvelle initiative politique, qu’il fallait le combattre, l’endiguer, le réduire. 

Pour cela, on a entendu « nouvelle majorité », « ni-ni », « front républicain », alliance contre « l’extrême droite », mais personne ne semble se poser la question toute bête : pourquoi un parti que l’on présente comme repoussant et dangereux exerce une telle attraction ?

La réponse est simple : il est le réceptacle des inquiétudes que nourrissent l’immigration, l’insécurité, le déclassement économique. 

On aurait pu croire que, dans cette campagne, le président, ses ministres, les prétendants pour 2027 concentreraient toute leur énergie sur ces questions décisives. 

Qu’ils répondraient à cette insurrection civique par un discours de vérité non pas sur la meilleure façon de « faire barrage », mais sur les frontières, l’autorité, l’école, l’islam politique, l’inflation, la dette.

Las ! Les combines emportent tout. 

Les enjeux sont abyssaux, les jeux tactiques, minuscules. 

Ce n’est pourtant pas le RN qui doit obséder les esprits, guider les projets, mais la France.  

 

 

 ET AUSSI

Non ! Macron fait le pari de la magouille, du déni, du mépris et de l’anti-France. 

Mais gare à la colère des Français qui finiront – y compris ceux dont il cherche l’alliance – par le balayer un jour ou l’autre, lui et les siens !


C’est la Une du Figaro de ce matin. 

Notre titre reflète une colère, un mépris, qu’éprouvent aujourd’hui de très nombreux Français au spectacle des manœuvres indignes d’Emmanuel Macron qui suscitent un sentiment de honte spontané. 

Dans cette même édition du Figaro, Vincent Trémolet de Villers sauve en quelque sorte la mise au grand quotidien du matin, en écrivant un éditorial digne et vigoureux que nous reprenons dans ces mêmes colonnes. 

La gloire d’Emmanuel Macron, s’il en eut une, en tout cas d’essence illusoire, a, nous semble-t-il, vécu. Elle n’a guère de chances de renaître.

 La France ne le pleurera pas s’il s’en va. 

 

Source et Publications :  https://www.jesuisfrancais.blog/2024/07/04/

 

 ET AUSSI

Emmanuel Macron : son “état psychologique” problématique ? Propos choc de Pascal Praud

Sur CNews, Pascal Praud s'est fendu du cas d'Emmanuel Macron. 

Pour lui et un journaliste, le président de la République se trouverait dans un état psychologique très inquiétant.

La fille du parolier de Claude François a fait part de sa colère

Le 9 juin dernier, à la suite du score catastrophique du parti présidentiel aux élections Européennes, Emmanuel Macron a déclenché la dissolution. 

Une décision radicale, très critiquée, jugée dangereuse, voire catastrophique par beaucoup de commentateurs. 

Quelques jours plus tard, une source porche rapportait pourtant qu’Emmanuel Macron était fier de « cette grenade dégoupillée » balancée dans les jambes des français.

Le week-end du premier tour des élections législatives, des badauds filmaient le chef de l’État accompagné de son épouse au Touquet. 

Blouson de cuir, casquette, lunettes de soleil aviateur et sourire carnassier, l'image apparaît "en total décalage avec le cataclysme qui frappe la famille politique du chef de l’Etat", selon Le Parisien.

 Face à toutes ces attitudes lunaires, une question se pose : Emmanuel Macron a-t-il perdu la tête

« Ses assistants parlementaires sont effrayés  
Sur CNews, Pascal Praud est revenu sur l’état psychologique du président de la République. 
« Il y a des gens de droite, ou qui viennent de la droite, qui étaient effrayés de l’état psychologique du président de la République et qui disent que pour lui, ce qui est arrivé dimanche [le résultat défavorable des élections législatives, NDLR] n’existe pas. » Selon le présentateur, Emmanuel Macron se trouvait dans un état de déni très intense.  Selon Joseph Macé, même ceux du camp présidentiel seraient très préoccupés par l’état psychologique du fondateur de Renaissance. « Ses assistants parlementaires (…) sont effrayés. (…) Ils se disent ‘Il va tout tenter, tout faire, l’article 16, un référendum sur la Constitution… Tellement ils sont effrayés de l’état psychologique du président de la République 
Que pense Jean-Michel Macron, le père du président de la République, de la situation
Si le chef de l'État semble à la dérive, son acte de dissolution n’a pour autant rien d’un coup de sang.« Il m’en avait parlé deux mois plus tôt. Il estimait en effet que l’Assemblée nationale était devenue ingouvernable », a dévoilé Jean-Michel Macron, son père, aux Dernières nouvelles d’Alsace, il y a quelques jours Dans la même interview, ce dernier estimait par ailleurs que son fils n’avait pas commis « grosses erreurs »
Seulement, pour lui, « peut-être des maladresses dans la façon d’annoncer les choses SOURCE ET 
 UBLICATION :   https://www.closermag.fr/politique/emmanuel-macron

 

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