MERCI DE SIGNER CETTE PETITION LE PLUS RAPIDEMENT POSSIBLE. LE TEMPS PRESSE POUR INTERESSER LES MEDIAS.
MISE A JOUR : 15 357 SIGNATURES.
----
Cher(e) défenseur(e) de la Justice,
Vous l’avez probablement vu : ce samedi, des black blocs ont pillé et ravagé la ville de La Rochelle.
Protégés
par la presse d’extrême gauche, ménagé par la justice, ces black blocs
se sentent totalement libres de leurs mouvements.
En termes d'impunité, nous atteignons même des sommets : un député fiché S vient même d'être !
Alors, j'ai besoin de vous : signez la pétition pour mettre fin à leur impunité... avant qu’ils ne volent la démocratie...
(Oui, c'est ce qui nous pend au nez)
Ouverte le mois dernier, cette supérette est pillée.
Le 12 juin dernier, Cathy et son mari vivaient un grand moment. Ils se lancent enfin dans LEUR projet.
Ce projet ? L’ouverture d’une petite supérette coopérative.
Certes, cela signifie beaucoup de responsabilités, un travail très prenant, chronophage, etc.
Et
c’est aussi un long processus : des entretiens avec les représentants
de la coopérative, des travaux, des demandes de permis… Des années de
patience.
Mais, c’est surtout de quoi être indépendants et mieux assurer leurs vieux jours…
Et puis, il y aussi un coût : près de 200 000€, empruntés auprès d’une banque. Un prêt qu’il faudra évidemment rembourser…
Mais
ce 12 juin, ils sont optimistes. Le magasin est flambant neuf et ils
comptent bien en faire une référence pour leurs clients.
Ils vident "l'alcool et la caisse"…
Sauf que ce samedi, Cathy et son mari sont passés du rêve au cauchemar.
Toute la journée, des manifestants écologistes se faisaient bruyants dans les rues de La Rochelle.
Devant
les échauffourées, des policiers rendent visite à Cathy le matin et lui
conseillent de fermer boutique. Mais elle n’a pas de volets !
Elle raconte au journal Le Parisien : “la police est venue nous dire de fermer, ce que nous avons fait. Mais (...) nous n’avons pas de volets”...
A
peine quelques minutes plus tard, alors qu’une maman et sa fille de 8
ans sont toujours dans le magasin, les vandales débarquent et forcent
les portes : “Une quarantaine de casseurs sont entrés, ils ont pété la vitrine, pris de l’alcool, piqué ce qu’il y avait dans les caisses.”
Pire, ces voyous menacent physiquement Cathy et son mari !! “On a essayé de les dissuader, ils nous ont dit de quitter les lieux pour ne pas avoir à nous faire du mal.”
In extremis, Cathy parvient à exfiltrer les 2 clientes dans le bureau à l’étage.
Mais après le départ des black blocs, le choc est très rude pour Cathy et son mari.
La vitrine est cassée, le façade recouverte de tags rouges, et les caisses ont été vidées…
Quelques secondes pour ruiner des années de travail.
Lorsqu’elle témoigne au Parisien, Cathy Ribot est en pleurs : « On y avait mis toutes nos économies, on a tout perdu », leur confie-t-elle…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire