TRIBUNES LIBRES !
Trump avait raison : tout ce que touche Macron devient de la merde
En juin 2020, six mois avant de se faire voler sa victoire électorale par les démocrates, avec la complicité de tous les médias américains et des réseaux sociaux, Donald Trump avait eu cette formule choc dont il a le secret :
“Tout ce que touche Macron devient de la merde”.
Remarquons d’abord que Macron n’a pas eu un mot pour paraître regretter que l’attentat visant l’ancien Président des États-Unis, et probable vainqueur dans quelques mois – sauf fraude massive ou assassinat réussi – ait échoué.
C’est que l’assassinat de Donald Trump aurait été une aubaine pour le camp mondialiste et sa volonté de faire la guerre à la Russie par tous les moyens.
Chacun sait, n’en déplaise à Macron et à l’Union européenne, que dès qu’il sera élu, le candidat républicain mettra fin à cette guerre que seule la volonté des démocrates américains a alimentée.
Comment ne pas penser à la formule de Donald Trump quand on a assisté à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, ce vendredi soir.
Tout a été écrit par les contributeurs de Riposte Laïque, avec de gros succès de taux de lecture.
Macron n’a fait que faire mettre en application la même décadence que la fête de la Musique à l’Élysée, en 2018.
En nommant le pseudo-historien Patrick Boucheron et le LGBT Thomas Jolly, il savait qu’il allierait le décolonial et le wokisme, et que la cérémonie constituerait un crachat contre la France, la mise en avant de la fausse transgression, du laid, de la décadence, de l’humiliation de la France aux yeux du monde et d’un message porteur de la mort de nos valeurs et de notre histoire.
Devant l’ampleur mondiale du scandale, où Macron est directement impliqué, ils essaient de rétro-pédaler, en expliquant que ce n’était pas la Cène, mais des dieux grecs avec Dionysos.
Sauf que le mensonge est un peu gros pour que cette fois, cela passe !
Comment ne pas penser à la formule de Donald Trump quand on voit ce que Macron fait de nos libertés publiques, et notamment le rôle qu’il donne à l’Arcom – dont le nom ressemble curieusement à celui du Président de la République.
Il a transformé le CSA, qui, à l’origine, n’en devait que réguler les fréquences, en une véritable police politique du paysage audiovisuel français, avec une mission spécifique : mettre à bas par tous les moyens les médias tenus par Vincent Bolloré, même si, comme C8 et son animateur vedette Cyril Hanouna, mais aussi comme CNews, ils obtiennent des résultats d’audience exceptionnels.
Ces succès rendent hystériques la gauche et la clique de Macron, qui voient leur dictature de la pensée unique et leur propagande remises en cause par des chaînes vraiment pluralistes, animées par des journalistes talentueux.
Et il est à craindre que l’éviction de C8 ne soit qu’un début, et que les réseaux sociaux, Elon Musk en tête, ne subissent une censure toujours plus féroce, que Macron impulsera en France pour donner l’exemple aux tyrans mondialistes du monde entier.
Hier pays symbolisant la liberté, la France, sous Macron, est devenue le pays occidental le plus liberticide.
Comment ne pas penser à la formule de Donald Trump quand on voit les magouilles de Macron, après les élections européennes et la dissolution surprise, annoncée le soir même de la sévère défaite de la gauche et du camp macronien.
Trahissant l’esprit des institutions, toujours avec la complicité du Nouveau Front Populaire, Macron a mis en place l’union des perdants du premier tour, faisant désister ses candidats pour faire élire des Insoumis antisémites et putschistes, quand les imposteurs de gauche retiraient leurs candidats pour faire élire Darmanin, Borne, et tous ceux qu’ils insultaient quelques jours avant.
Une magouille gagnante à court terme, mais qui se retournera contre les tricheurs, et qui n’arrange pas par ailleurs la situation d’un pays moins gouvernable que jamais.
En attendant, grâce à Macron, la France sera, historiquement, le seul pays à accueillir des Jeux olympiques sans avoir de gouvernement !
La seule porte de sortie, comme le disaient des constitutionnalistes réputés, serait la démission de celui qui, depuis 7 ans, montre son mépris et sa haine pour la France et les Français, que cela soit lors de l’épisode des Gilets jaunes ou du Covid – personne n’oubliera son “J’ai très envie d’emmerder les non vaccinés” – par la désindustrialisation qu’il a organisée, par l’accroissement de la dette qu’il a provoquée, par la guerre avec la Russie qu’il a souhaitée et aggravée, par l’imposture climatique qu’il a imposée, par les scandaleuses augmentations du prix de l’énergie qu’il a organisées, par la multitude de dissolutions et de remises en cause de la liberté d’expression qu’il a mises en place avec son valet Darmanin, par le fiasco de la politique africaine où il a réussi à nous faire virer de partout, et par tous les dossiers qu’il a touchés, et transformés en merde.
Nous ne commenterons pas davantage ses rapports très ambigus avec la jeunesse africaine masculine, qui en fait la risée du monde entier, ni son arrogance et sa façon de donner des leçons aux monde entier, qui le ridiculise en permanence, mais éclabousse notre pays…
Pour toutes ces raisons, la démission de Macron serait une aubaine pour la France, et il va falloir la réclamer de plus en plus intensément…
En attendant, malgré une cérémonie honteuse, malgré une organisation des JO transformant Paris en ville en état de siège, bonne chance à nos athlètes, puisque dans la France de Macron, le sport demeure la dernière activité où on a le droit de préférer son pays, et de souhaiter que “les nôtres soient avant les autres”, pour reprendre un célèbre slogan identitaire, sans se faire traiter de raciste et de fasciste.
Par Cyrano
ET AUSSI
Cérémonie de la décadence : Macron avait donné l’exemple il y a 6 ans
Macron est responsable à 100 % de la mascarade de la cérémonie d’ouverture.
Cela ressemblait fort à la fête de la Musique de l’Élysée, en 2018.
Il y a un lien évident et voulu entre la décadence de l’empire romain. Honte à la bourgeoisie française qui déglingue ainsi le pays, honte à son pléonasme, la Gauche dont Libé, journal anti-raciste peuplé quasi-exclusivement de Blancs, s’auto-désigne comme ordonnateur triomphant et crotté jusqu’à l’os, des funérailles.
https://www.bvoltaire.fr/jo-en
Occupons-nous aussi des deux flétrissures Boucheron et Jolly, faces visibles de toute la décadence des historiens et des artistes wokistes.
Ces deux nantis du système ont la gueule méprisante des petits bobos bien planqués qui méprisent les Français et jouissent à l’idée de leur cracher à la gueule, protégés et choyés qu’ils sont par le système.
Excellent résumé de la cérémonie de la belle Sarah Knafo, qui imite ce
qu’aurait dit le grand Philippe Muray.
https://x.com/knafo_sarah/stat
Les
chamallows-évêques appellent à voter pour Macron le wokiste, et
pleurnichent parce que les déconstructeurs se sont foutus des cathos. Qu’attendaient-ils d’autre ? https://www.bvoltaire.fr/ouver
Le gag du jour : c’était bien la peine que Oudéa-Castera et la Dingo fassent leur cinoche dans la Seine. 1,4 milliard pour cela. Autre gag, le village olympique. Rien à bouffer, pas de climatisation et plumards pourris. https://www.lequipe.fr/Jo-2024
France 2 dans ses œuvres, la prestation insultante d’un “humoriste” payé par nos impôts : https://www.fdesouche.com/
Espérons que Marion va attaquer en justice !
Cela étant dit, il convient de signaler qu’Antoine Dupont s’est certes laissé entraîner à tort dans un mouvement de foule en faveur du “petit ange disparu trop tôt”, mais qu’il est décidément le meilleur joueur de rugby du monde.
Quant à la cérémonie joyeuse, potache, émouvante, de la victoire des Bleus, elle a effacé en grande partie le désastre Macron-woke de la veille.
IN MEMORIAM
EUROPE PUTRIDE
AUTRES FRONTS
Toujours aussi nuancés, les Russes appellent à détruire Paris et insultent tous les Français, jugés complices de Macron. Pas nous, SVP ! https://rusreinfo.ru/fr/2024/0
Cette cérémonie, c’est la Nouvelle France créolisée appelée par Mélenchon ! La considérable Ersilia Soudais se félicite de la cérémonie, et rappelle que Thomas Jolly a appelé à voter Mélenchon. Éric Coquerel, autre collabo Insoumis, exulte : il n’y avait pas de délégation russe, ce qui ne paraît pas le déranger, mais une délégation d’un pays qui n’existe pas, la Palestine.
Dieudonné et Musk particulièrement pertinents :
C’est
curieux, à chaque fois que les flics font une descente dans les milieux
classés à l’ultra-droite, même avec des dossiers vides, cela fait la
une de l’actualité pendant 48 heures. Mais quand la piste
gauche est privilégiée, comme pour le sabotage de la SNCF et les 7
gauchos chopés à Vincennes en train de grimper dans les arbres, c’est
silence radio ! https://www.fdesouche.com/2024
Netanyahou au Congrès américain. Ovationné par les Républicains, insulté par les démocrates. https://lemediaen442.fr/netany
Comme d’habitude ces dhimmis humiliés acceptent tout… mais le pire n’est pas encore programmé… patience ! (Allah, qui se frotte les mains.)
Par Danielle Moulins et Jean Sobieski
ET AUSSI
[Chronique] Parade olympique : à l’image de Macron
La France « macronienne » a offert au monde une parade son et lumière qui ne dit rien de la France mais tout d’un certain parisianisme indigent et woke où l’exposition au public des fantasmes sexuels de certains est supposé être le fin du fin de l’indépendance d’esprit et de la transgression créatrice.
En réalité, le summum de la pauvreté intellectuelle.
Rien de plus facile, en effet, que de tomber dans l’exhibitionnisme, mais prendre cela pour de la création artistique relève de l’imposture.
Et c’est une bien étrange habitude contemporaine d’exposer en public ses goûts en matière de sexualité, comme s’il s’agissait d’un acte politique ou de courage.
Il ne s’agit que de puérilité et d’impudeur et, en réalité, tout le monde se fout des pulsions de tel ou tel supposé artiste.
Lorsque Sud-Ouest titre « La cérémonie d’ouverture prend des accents LGBT », nous sommes en droit de nous interroger sur ce choix qui ravit peut-être une minorité de Français mais ne représente pas la France dans sa totalité.
Offenser les chrétiens n’est pas bien courageux
Mais, bien entendu, il fallait ajouter à tout ce déballage l’inévitable provocation antichrétienne.
Rien de plus facile, de la part de tristes sires, d’offenser de paisibles croyants qui se manifestent surtout dans la société par d’innombrables œuvres de charité, du Secours catholique à l’Armée du salut en passant par les visiteurs de prison ou d’hôpitaux et aux religieux qui aident, soignent, soulagent et prient dans la paix et le don de soi.
En ridiculisant la Cène, c'est-à-dire l’institution de l’Eucharistie, qui est la pointe même de la foi chrétienne et le renouvellement du sacrifice du Christ et de sa résurrection, c’est bien le cœur de la foi chrétienne que l’on voulait offenser.
Et Thomas Jolly n’a même pas le courage d’assumer ses provocations, lorsqu’il affirme à BFM TV : « Vous ne trouverez jamais chez moi ou dans mon travail une quelconque volonté de moquerie ou de dénigrer qui ce soit. J’ai voulu faire une cérémonie qui répare, qui réconcilie… »
Comment ne pas penser à George Orwell : « Le discours politique est destiné à donner aux mensonges l’accent de la vérité, à rendre le meurtre respectable et à donner l’apparence de la solidarité à un simple courant d’air. »
Ajoutons qu’offenser les chrétiens n’est pas bien courageux car, contrairement à d’autres, ils n’ont pas le couteau ou la kalachnikov facile
. Et si l’on se prend parfois à rêver d’un peu de vigueur médiévale, la meilleure réponse reste celle du Christ en croix : « Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font. »
Mais comme tout cela ne suffisait pas, il fallait ajouter une touche de mauvais goût « gore » avec la représentation de Marie-Antoinette décapitée, tenant sa tête entre les mains en chantant Ça ira.
Tout cela dans la capitale qui, il y a peu, célébrait en grande pompe Robert Badinter, qui avait aboli la peine de mort ; outre le fait que le procès de Marie-Antoinette fut un exemple parfait de procès aussi inique qu’immonde.
Monsieur Jolly a beaucoup souligné qu’il voulait réaffirmer « les valeurs de notre République ».
Quelles valeurs et quelle République ?
Celles des bains de sang de la Terreur, celle des crimes contre l’humanité en Vendée, celles des noyades de Nantes, celles de la suppression de toutes les libertés, celles des persécutions religieuses, celles de la guerre répandue dans toute l’Europe ?
Tout cela appartient en effet à la République et, semble-t-il, à ses valeurs.
Il est dommage que ces tableaux en ont fait oublier d’autres qui étaient, eux, réussis.
Comme le rideau d’eau tricolore sur le pont d’Austerlitz, l’interprétation de la Marseillaise par Axelle Saint-Cirel, la performance de Jakub Józef Orliński, la cavalière devant la perspective du Trocadéro ou encore l’embrasement de la flamme olympique sur fond d’Hymne à l’amour interprété par Céline Dion.
En fin de compte, tout cela est à l’image de Macron.
Lui qui n’aime guère les Français et pour qui la France n’est que le marchepied de ses ambitions n’a su donner de notre nation qu’une image déformée par l’idéologie woke, par une étrange obsession, le désir de choquer, de tourner en dérision la foi qui fut le fondement de notre civilisation, de célébrer certaines des pages les moins glorieuses de la Révolution.
Et « en même temps » quelques moments d’émotion, comme s’il fallait « faire passer la pilule » de l’entreprise de démolition décadente offerte en mondovision.
Curieuses, aussi, l’exaltation et l’attitude un peu hallucinée du président de la République alors qu’il félicitait les concepteurs et réalisateurs du spectacle d’ouverture des JO.
L’homme qui a réussi à créer un indescriptible chaos politique, à amener une gauche extrémiste aux portes du pouvoir dans un pays majoritairement de droite et du centre, à ruiner les finances publiques, à effondrer notre influence internationale, à hystériser les débats politiques, à abîmer l’image de la France, est décidemment inquiétant.
À l’image de cette parade déstructurée, pleine de bruit et de fureur, et de bizarres obsessions. Il évoque ces étranges empereurs de la décadence romaine, qui finirent mal et entraînèrent Rome dans leur chute.
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