lundi 15 juillet 2024

USA : LE CANDIDAT RÉPUBLICAIN DONALD TRUMP VICTIME D' UN ATTENTAT .......

 


 TRIBUNE LIBRE !

L’Etat profond – “The Deep State” – a-t-il essayé de tuer Donald Trump lors de l’attentat d’hier soir ?

dans Etats-Unis / International

  par 14 juillet 2024

Le candidat à la Maison-Blanche a été la cible d’un coup de feu alors qu’il venait de commencer son discours. 

Il a été touché à l’oreille. 

Le visage en sang, il s’est relevé et a levé le poing sous les acclamations de ses partisans. 

Trump venait de commencer son discours de campagne à Butler, dans l’ouest de la Pennsylvanie lorsque plusieurs coups de feu ont retenti vers 18h15. 

L’ancien président, coiffé d’une casquette rouge MAGA porte soudain la main à son oreille droite, l’air surpris, alors que les agents du Service Secret se ruent sur scène. 

 D’autres coups de feu résonnent, alors que Trump est au sol, entouré de ses gardes du corps.

La foule, après un moment de stupéfaction, chante USA ! USA !

 Trump est emmené alors que l’assistance est évacuée. 

Un spectateur a été tué, et deux autres gravement blessés.

 

L’identité du tireur n’était encore pas connue.

Des vidéos ont montré son corps inanimé sur le toit d’un bâtiment à côté du terrain de la foire agricole de Butler, la petite ville où se déroulait le rassemblement.

Selon la police, un fusil semi-automatique de type AR-15 a été retrouvé à côté du tireur, décrit comme « un homme blanc ».

Le FBI chargé de l’enquête a déjà commencé à rechercher l’arme dans les bases de données qui accompagnent la vente de ce type d’arme, très répandue aux États-Unis.

« Je tiens à remercier le Service secret des États-Unis et l’ensemble des forces de l’ordre pour leur réaction rapide à la fusillade qui vient d’avoir lieu à Butler, en Pennsylvanie » a écrit Trump quelques heures plus tard dans un communiqué.

 « J’ai reçu une balle qui a transpercé la partie supérieure de mon oreille droite. 

J’ai tout de suite su que quelque chose n’allait pas, car j’ai entendu un sifflement, des coups de feu, et j’ai immédiatement senti la balle déchirer la peau.

 J’ai saigné abondamment et j’ai alors compris ce qui se passait ».

Cette tentative d’assassinat, qui a été à deux doigts de coûter la vie à l’ancien président, intervient dans un climat politique déjà particulièrement tendu.

 

Les coups de feu tirés contre Trump n’ont pas fini de résonner.

Des responsables républicains ont déjà accusé Biden et les démocrates d’être indirectement responsables de cet attentat contre Trump par leurs discours le dénonçant comme un apprenti dictateur.

Peut-on se poser la question d’une intervention de l’Etat profond – le Deep State – qui n’accepte toujours pas ce candidat pour le moins atypique qui a décidé de nettoyer les écuries d’Augias, entendez par là de se débarrasser du pouvoir occulte qui gère le pays ?

Les médias Mains Stream ont commencé leur travail de sape en émettant des doutes sur la véracité, et l’origine, de cet attentat dont ils sont, par leur haine anti-Trump, coresponsables.

Par Paul DEROGIS  


Source :  https://www.medias-presse.info

 

ET AUSSI

 

[L’œil américain] 

Ce que l’on sait de la tentative d’assassinat de Donald Trump

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L’ancien président américain et actuel candidat républicain a été légèrement blessé samedi par un tir d’arme à feu lors d’un meeting à Butler, une commune rurale de Pennsylvanie. 

Un spectateur a été tué et deux autres grièvement blessés. 

Le tireur présumé a été abattu par les forces de l’ordre.

Après son évacuation, Donald Trump a déclaré sur les réseaux sociaux qu'il avait reçu une balle dans l'oreille droite. « J'ai immédiatement su que quelque chose n'allait pas, j'ai entendu un sifflement, des coups de feu, et j'ai immédiatement senti la balle déchirer la peau », a-t-il indiqué.

 « Il y a eu beaucoup de saignement, alors j'ai compris ce qui se passait. »

 L’ancien président a présenté ses condoléances à la famille de la personne tuée par le tireur.

D’après les analyses du New York Times, huit coups de feu auraient été tirés par un individu allongé sur le toit d’un bâtiment situé à proximité de la scène où se trouvait Donald Trump.

 Un témoin a déclaré à la BBC avoir tenté de prévenir les forces de l’ordre après avoir aperçu, quelques minutes avant les tirs, un homme armé. 

« Il avait un fusil, nous pouvions clairement voir un fusil. 

Nous le montrions du doigt, la police était là … nous disions : "Hé, il y a un type sur le toit avec un fusil"... et la police ne savait pas ce qui se passait. »

 

Le témoin a indiqué qu’il pensait que les policiers ne pouvaient probablement pas voir le tireur en raison de l’inclinaison du toit.

 « Je me disais : ‘Pourquoi Trump parle-t-il encore, pourquoi ne l’ont-ils pas retiré de la scène’… et tout d’un coup, cinq coups de feu retentissent », a-t-il ajouté.

 

L’auteur présumé des tirs serait Thomas Matthew Crooks, un jeune homme de 20 ans qui habitait en Pennsylvanie, à une heure de route du lieu de la fusillade.

 Le FBI a déclaré qu'il travaillait à déterminer le mobile de l'attaque.

 D’après les registres des électeurs de l’Etat, Crooks était identifié comme républicain.

 L’agence de presse Reuters rapporte cependant qu’à 17 ans Crooks a fait un don de 15 dollars à ActBlue, un comité d'action politique qui collecte des fonds pour les politiciens de gauche et démocrates, selon un dossier de la Commission électorale fédérale de 2021.

Si le mobile du tireur n’est pas encore connu, les soutiens de Donald Trump ont très vite pointé du doigt la rhétorique utilisée par Joe Biden et les Démocrates pour présenter le candidat républicain comme une menace pour la démocratie et le pays. 

« Aujourd’hui, il ne s’agit pas d’un incident isolé » a déclaré sur X James David Vance, sénateur républicain l’Ohio et candidat potentiel à la vice-présidence de Trump. 

« Le postulat central de la campagne de Biden est que le président Donald Trump est un fasciste autoritaire qui doit être arrêté à tout prix, a-t-il ajouté. 

Cette rhétorique a conduit directement à la tentative d’assassinat du président Trump ».

 

Un journaliste du Wall Street Journal qui était présent au rassemblement de Butler a rapporté avoir entendu un homme crier à l’adresse des médias « C’est de votre faute ! » au moment où la foule commençait à évacuer le site après la neutralisation du tireur.

 D’autres partisans de l’ancien président ont eux aussi invectivé les journalistes.

La tentative d’assassinat de Donald Trump constitue une escalade gravissime.

 Elle s’inscrit dans un contexte politique américain profondément dégradé et pourrait déclencher un cycle de violence entre des partisans des deux camps qui ont depuis longtemps pris l’habitude de se percevoir non pas comme des adversaires mais comme des ennemis irréconciliables.

Quel que soit le mobile du tireur, cet évènement devrait inciter médias et politiques de tout bord à s’interroger.

 La criminalisation systématique de son opposant, la transformation des débats en réquisitoires et de la campagne présidentielle en procès, sont autant de dérives qui minent la démocratie américaine et pourraient bien finir par la détruire.

 

Frédéric Martin-Lassez
 
Frédéric Martin-Lassez
Chroniqueur à BV, juriste 
 
 
ET AUSSI
 

[EDITO] 

À 78 ans, Donald Trump a bluffé l’Amérique… et le monde entier

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Il est des photos qui entrent dans l’Histoire : celle qui fait aujourd’hui la une du Time en fait sans nul doute partie.

 Evan Vucci, le photographe de Washington, Evan Vucci, qui l’a prise - déjà lauréat par le passé du prix Pulitzer - raconte avoir tout de suite compris que le hasard l’avait mis au bon endroit au bon moment, et qu’il fallait immortaliser ce moment qui serait historique. 

Comme l’ont été les attentats contre Kennedy, Reagan ou encore Jean-Paul II.

« Le candidat républicain à la présidentielle, l’ancien président Donald Trump, lève le poing alors qu’il est précipité hors de la scène après une tentative d’assassinat lors d’un rassemblement électoral à Butler, Pennsylvanie », c’est ainsi que le photographe commente la photo qu’il poste sur les réseaux sociaux. 

Rajoutez à cela, décor inespéré, un drapeau américain qui flotte sur fond de ciel bleu radieux, le sang qui balafre le visage du candidat républicain, coulant de son oreille blessée jusqu’à sa bouche, enfin la composition, pyramidale, comme si tous les personnages de la scène concouraient à hisser le drapeau, qui ressemble au légendaire « Raising the Flag in Iowa Jima » pris le 23 février 1945 par Joe Rosenthal. 

Avec Donald Trump dans le rôle du GI au centre.

 

Un cliché sur le vif qui dit tout de Trump... 

Dans cette photo, l’économiste et président de l’institut Sapiens Oliver Babeau voit, lui, « un tableau de descente de la croix du Caravage, étrangement mixée avec une résurrection ».

 De fait Donald Trump y fait figure de Phénix. 

À 78 ans, il se relève, écarte ceux autour de lui qui veulent le protéger pour montrer qu’il est toujours debout, et brandit sa main serrée en criant « fight ! » à la foule.

 La version américaine de la devise de Charette : « Combattu souvent, battu parfois abattu jamais ! ».

 Ce samedi en Pennsylvanie, comme depuis sa dernière défaite électorale. 

Il apparaît aux yeux de beaucoup, dans une Amérique très religieuse, comme protégé par la Providence. 

Le sénateur républicain de Floride Marco Rubio relaie cette photo avec la légende : « Got protected President Trump ».

 La propre fille de Donald Trump, Ivanka, sur X, dit croire que feue sa mère, l’ex-femme de l’ancien président l’a protégé. 

De quoi alimenter l’imaginaire mystique de ses concitoyens, qui voient dans ce brusque mouvement de la tête, juste avant l’impact, qui lui a sauvé la vie, le signe qu’il est béni de Dieu - les protestants croient à la prédestination - et qu’il a la Baraka.

 Il fait donc figure de victime, mais contrairement à Lincoln ou Kennedy, de victime chanceuse. 

Un double bonus.

 Il est Roosevelt lisant son discours en dépit de la balle qui vient de l'atteindre.

 Bref, si feu le meurtrier espérait lui nuire c’est donc doublement raté.

... mais aussi sur la violence politique en Occident.

 

Diaboliser tue. Car il y eu une victime collatérale.

 L'assassin a abattu - avant d’être lui-même éliminé - un pompier quinquagénaire, père de famille, qui protégeant sa femme et sa fille de son corps, a pris la balle à leur place, selon le témoignage de celles-ci. 

Et comment pourrait-il en être autrement ?

 Si Trump - ou chez nous Le Pen - est Hitler, tout le monde veut être Stauffenberg. 

Si ce sont des « bêtes immondes », il faut faire des battues pour les éradiquer - n’est-ce pas le mot qu’a utilisé Clémentine Autain ? - comme celle du Gévaudan. 

Comment, à force d’être rabâchées, s’étonner que ces anathèmes soient prises au premier degré ? 

Quand Rima Hassan cite, sur X, Fanon - « Pour le colonisé, la vie ne peut surgir  que du cadavre en décomposition du Colon » - , le message est reçu cinq sur cinq par certains, comment pourrait-il en être autrement ?

Il est assez troublant de constater que le député LFI Sébastien Delogu n’a pas trouvé d’autre commentaire - comme s’il s’agissait d’une blague un peu loufoque - que « dinguerie » (sic), pour commenter, toujours sur X, l’attentat contre Donald Trump.

Quant à Sandrine Rousseau, qui, en députée de la nation plus responsable, a condamné les faits, pensé aux victimes, et souhaité un prompt rétablissement à Donald Trump elle s’est attirée pour ce message de convenance des commentaires furieux du côté de l’extrême-gauche. Qui s’apitoierait sur le sort du diable ?

L’Amérique est violente, cela n’arriverait pas en France ? C’est déjà arrivé.

 Quand en 1976, Jean-Marie Le Pen, et sa famille ont été visés par un attentat à la bombe villa Poirier - « l’une des plus grandes explosions à Paris depuis la Seconde Guerre mondiale », peut-on lire sur Wikipedia -, la fillette Marine Le Pen, en chemise de nuit dans les décombres, comprend par « cette nuit d’horreur », « à l’âge des poupées » que son père, et les siens, n’étaient pas « traités à l’égal des autres » : « cela deviendra , dira-t-elle, un élément majeur de [sa] propre construction ».

En attendant, le Menhir américain de 2024 - convenons que beaucoup de similitudes de caractère pourraient être relevées - pèse infiniment plus lourd sur tous les plans que le menhir breton de 1976. 

Et cette photo, comme une allégorie de sa résilience et de celle de l’Amérique, abattue mais pas battue qu’il entend faire renaître, pourrait devenir le tremplin de sa prochaine victoire.

Gabrielle Cluzel
 
Par Gabrielle Cluzel
Directrice de la rédaction de BV, éditorialiste      https://www.bvoltaire.fr/edito

 
 
 
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L'homme des services secrets qui a neutralisé Thomas Matthew Crooks, l'assassin de #Trump avait le meurtier en ligne de mire depuis des minutes... 
 
Il a notamment déclaré : Mon nom est Jonathan Wills, je suis l'officier sur la célèbre photo des deux snipers sur le toit lors du rassemblement de Trump. 
 
Je suis venu ici pour informer le public que j'avais l'assassin dans ma ligne de mire pendant au moins 3 minutes, mais le chef des services secrets a refusé de donner l'ordre d'abattre le suspect. 
 
C'est 100% la haute direction qui m'a empêché de tuer l'assassin avant qu'il ne tire sur le président Trump. 
 Je n'ai pas suivi les ordres, dès que le tireur a ouvert le feu sur Trump, j'ai riposté malgré les ordres stricts de ne pas engager.
 J'avais les yeux sur le tireur pendant trois minutes, le regardant tripoter son fusil et ajuster la lunette, il était évident qu'il était un tireur, mais je n'étais pas autorisé à engager.
 
 Après avoir tué le tireur, j'ai été arrêté, interrogé par le FBI, et juste relâché il y a une heure. 
 
J'ai déjà perdu mon travail pour ne pas avoir suivi les ordres, mais je suis content d'avoir quand même tiré. »
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Le Jarl
@le_jarl
 
MAJ (pour ceux qui s’arrêtent à « il a été Republicain !!! ») : il semble évident qu’a payé une affiliation récente au parti républicain spécifiquement pour avoir accès au dernier meeting de Trump.
 Ensuite il a bien été manifestant Antifa en au moins trois occasions depuis 2021 selon les médias américains. 
Il a également été affilié à trois chapitres Antifa : New York, Los Angeles et Seattle.
 
 
Le FBI a identifié le tireur. Thomas Matthew Crooks, 20 ans, de Bethel Park, Pennsylvanie. 
 
Il serait un membre actif de l’ultra gauche. 
Partout dans le monde, Ils haïssent la démocratie. 
Les fachos, c’est eux. 
Il a voulu tuer Trump, il vient de le rendre vivant comme jamais dans le monde entier
 
Image

 


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