REVUE DE PRESSE !
Jeux Olympiques : Paris en cage, Paris en état de siège !
CHOUPINET A INSTALLÉ SES GRILLAGES
Bienvenue au Louvre, phare de la France
Donc, Choupinet nous demande de soutenir les JO du wokisme et de l’anti-France, du totalitarisme et du QR Code, et demande l’union sacrée derrière cet événement.
Le fiasco s’annonce pourtant inévitable. https://www.bvoltaire.fr/macro
https://lemediaen442.fr/les-jo
LES JEUX OLYMPIQUES ONT COMMENCE AVANT LA CEREMONIE
Chose étonnante, les JO ont commencé avant la cérémonie d’ouverture. Le rugby à 7 et le football sont déjà en action. Et pour le football, avec le match Argentine-Maroc, cela commence fort !
INGRATITUDES CORANIFORMES
Islamiques en phase invasive. On les laisse rentrer comme ils veulent en France et ils nous remercient en préparant des attentats. https://www.leparisien.fr/jo-paris-2024/soupconne-dun-projet-daction-violente-pendant-les-jo-un-jeune-homme-interpelle-en-gironde-par-la-dgsi-23-07-2024-TVL4IBI5BBBLRD5ANRNX736PCY.php
La Blanche éméchée, proie idéale pour les violeurs africains qui sévissent dans Paris. Ne vous gênez pas, camarades d’Aymeric Caron, elles arrivent en France par charters entiers. https://www.lejdd.fr/societe/paris-une-touriste-australienne-violee-par-cinq-individus-147789
Ambiance djihad à Créteil :
🔴 “Fuck 17”, “Free Palestine”, “On va bientôt mettre vos têtes à prix” : insultes et menaces visant la police suite à sa sécurisation de Créteil après la rixe entre bandes qui a fait un mort et plusieurs blessés ce week end. @Valeurs #fdo #valdemarne #bac #haineantiflics pic.twitter.com/p9WPcjCrJk
— Amaury Brelet (@AmauryBrelet) July 23, 2024
10 ans seulement ? https://www.lindependant.fr/
Enrichissement congolais : https://www.lefigaro.fr/faits-
13 ans seulement ! On imagine son avenir glorieux entre les Baumettes et Fleury-Mérogis : https://www.leparisien.fr/aube-10/un-adolescent-de-13-ans-ecroue-a-troyes-pour-tentative-de-meurtre-sur-sa-petite-amie-quil-avait-roue-de-coups-et-asperge-dessence-24-07-2024-PZESDCHG7ZGPTPWH7H5ZVMA6PU.php
Et avec ceci en prime grâce au dévouement d’Utopia 56 :
On notera qu’il n’y a pas écrit “travail” sur le carton à Mamadou…
Choupinet explique pourquoi il ne veut pas de la dernière trouvaille de la gauche pour Matignon, d’autre part la Bruno Le Maire de la Dingo.
Dommage, on aurait bien rigolé, puisque LFI aurait proposé une loi pour abroger la retraite à 64 ans, le RN votant pour.
Mais faudra attendre le 15 août, et donc en
attendant, Attal le démissionnaire est toujours Premier ministre, Moussa
nous protège, le Yéti est toujours le chef des juges et Bulot surveille
les comptes publics.
https://www.bvoltaire.fr/lfi-p
LES POTES D’OCCASE À CHOUPI NE PRENNENT PAS DE VACANCES
La dernière trouvaille de la gôche, Lucie Castets https://www.bfmtv.com/politique/parlement/nouveau-front-populaire-lucie-castets-designee-candidate-par-les-partis-de-gauche-pour-matignon_AN-202407230601.html
AUTRES FRONTS
La bizarre qui dirigeait les services secrets américains virée après le raté Trump. https://lemediaen442.fr/kimber
Elon Musk témoigne sur la dérive de son fils avec la théorie du genre vantée aux enfants. https://lemediaen442.fr/elon-m
“Putain, les mecs, les JO, waohuou ! On va s’en taper un max, et sans capotes !” (Allah)
Par Danielle Moulins et Jean Sobieski
ET AUSSI
Lucie Castets, la femme invisible, prête à tout
Lucie Castets ? Cékiça ?
Sûrement pas une adepte de la transparence en politique.
On se croirait revenu au temps du politburo de l’ex-URSS et des démocraties impopulaires d’Europe de l’Est.
Des parangons de sociétés idéales pour le stalinien Merluchon.
C’était le bon temps.
Quand toute promotion, régression ou exécution d’un satrape était accompagnée de la réécriture de sa biographie. Pour chanter ses louanges.
Ou le rouler dans la fange. Avant de l’escamoter des photos de famille.
Ou de le placer au premier rang.
Du grand art sans « Photoshop ».
Sitôt le nom de Lucie in the sky prononcé pour le job de Première sinistre, presque tout ce qui la concernait a été effacé du web. Subito presto.
Chez Wikimerdia comme chez les autres dispensateurs de vérités officielles… avant de revenir à la vitesse de la lumière dans un festival de panégyriques dictés par le parti, à leurs lèche-bottes, cire-pompes et thuriféraires habituels.
Une célérité et une docilité qui présupposent une sacrée dose de pouvoir chez cette dame, entre complicité et complaisance des uns, et menaces de représailles contre les autres, si on la critique.
Ou si on révèle des trucs qu’elle préfère garder secrets. Ça fout la trouille pour la suite, si cette mélanchonnette arrivait au pouvoir.
Pourrait-elle être notre meilleure ennemie ?
Curieux de nature, j’ai quand même récupéré le peu qui traînait.
Et faute d’y trouver des munitions pour remplir les soutes d’un petit bombardier, j’y ai ramassé des flèches de sarbacane.
C’est mieux que rien.
Évidemment, ses partisans vont tout faire pour éviter qu’on parle de sa gestion calamiteuse des finances de la mairie de Paris.
Tout d’abord, quitte à scandaliser les frustrées confites en féminisme agressif par dépit, Lucie Castets, 37 ans, bien qu’énarque, bien que fonctionnaire aux Finances, bien que militante d’extrême gauche, n’est ni grosse ni moche ni conne comme nombre de ses consœurs.
À moins que ses rares clichés ne soient arrangés comme ceux du champion de boxe Maxu Macronescu.
La Tondelière, dans sa belle tenue caca d’oie, est entrée en transes.
« Ça y est, ça y est, on a une Première ministre ! » glapissait-elle dans les couloirs de l’Assemblée, esquissant des pas de candombé, une danse brésilienne hypnotique qui accompagne les cérémonies vaudou.
Lesquelles se terminent généralement en orgies monstrueuses.
Mais, comme les portes étaient fermées, on n’a pas vu la suite…
En tout cas, ce fut un sacré vaudou pour se mettre d’accord sur un nom, entre les zombies socialauds, les momies communistes, les écologistes fraîchement déterrés, et les mélanchonards morts-vivants islamiques.
Habemus papamolette !
L’attente a été longue. Très longue. On se serait cru dans les jardins du Vatican.
Quand, pour tuer l’ennui et croyant qu’on ne les voit pas, les bons pères de l’Église attirent dans l’obscurité glauque des chapelles de jeunes nonnes encore naïves, défoncées aux fumées d’encens.
Il fallut 16 jours et 16 nuits de négociations, de palabres, d’engueulades, et de portes qui claquent, témoignant de la belle unité de la gauche.
Unie pour détruire l’unité nationale.
Unie pour truander les résultats d’une élection par des alliances antithétiques.
Unie pour bannir ses adversaires crédités de 11 millions de suffrages contre 7.
Mais totalement désunie pour désigner un leader et un programme.
Qui, de toute façon, se prendraient une motion de censure dès qu’ils mettraient le nez dehors.
Le choix des candidats potentiels était tellement curieux, varié et avarié, qu’on pouvait se demander s’ils n’étaient pas tirés au sort dans un chapeau pointu.
Car même sur d’illustres inconnus, même avec des gens sans envergure, n’ayant pas les épaules pour le job, les haines recuites des options idéologiques semblaient irréductibles.
Ils ont fini par adouber Lucie Castets.
Mais Macronescu n’en veut pas.
Les bolchos ont essayé de jouer à la révolution d’octobre.
Niet ! « Il fallait mettre Macron au pied du mur pour qu’il reconnaisse le vote des Français », a dégobillé le coco Picquet, membre du NFP.
Sur le fond, je ne lui donne pas tort.
Mais le parti majoritaire en voix comme en sièges c’est le Rassemblement National !
Pas une alliance de bric et de broc, bricolée entre des résidus du bolchevisme et des fumeurs de joints.
Un flou para-artistique pour enfumer les Français
La disparition sur Internet de presque tous les articles concernant la nominée s’accompagne d’une présentation édulcorée par les médias main stream.
L’énarque autoritaire devient une simple « animatrice de luttes associatives pour la défense et la promotion des services publics, engagée dans les combats d’idées.»
D’autres militants médiatiques se font plus précis en mettant en avant « sa lutte contre la fraude fiscale et la criminalité financière » alors qu’en fait, elle est directrice des finances à la mairie de Paris.
Où elle ne se montre guère sourcilleuse quand l’Hidalgogole dilapide le budget municipal dans des projets farfelus, arrose ses féaux, et s’offre des vacances aux antipodes aux frais des contribuables.
Les hagiographes de la Castets la présentent comme une fine connaisseuse des paradis fiscaux et de l’évasion fiscale.
La Eliot Ness de TRACFIN. Pas si futée que ça.
Elle a raté Macronescu quand il a planqué le pognon empoché chez Rothschild hors d’atteinte du fisc.
Les journalistes Jean-Baptiste Rivoire et Gauthier Mesnier ont rendu publique, sur « Off Investigation » leur enquête sur le patrimoine de Macron.
Un vrai Mozart de la finance.
Vu qu’en 2022, il avait estimé son capital à 500 000 euros lors de sa déclaration de patrimoine à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique.
Alors qu’il avait déclaré en 2013 un avoir de 3 millions qui semble s’être volatilisé depuis.
Avec une danseuse peut-être ?
Depuis, Lucie conseille l’Hidalgogole, et comme elle n’a pas trop de travail, elle occupe ses loisirs en faisant de la politique
Embauchée à la mairie de Paris sur recommandation d’Emmanuel Grégoire, député socialaud et prof à Sciences Pots de chambre (chez ces gens-là on se coopte) elle prend en charge les finances de la ville.
Une sinécure. Le boulot au quotidien est accompli par une flopée de larbins bien dressés.
La députée ultra-gauchiste LFI Sarah Legrain ne tarit pas d’éloges sur la Castets.
Mais elle parle moins de sa traque des méchants capitalistes de gôche qui planquent leur pognon off shore.
Elle insiste sur sa « sensibilité écologique » (c’est quoi ça ?
Elle a un géranium sur son balcon ?)
Et surtout sur ses engagement dans des « collectifs » de défense des services publics.
Des comités Théodule où l’on défend les carrières et les salaires des fonctionnaires.
Pas le bonheur des administrés. Le contraire se saurait.
À gauche, « le moi est haïssable » comme disait Blaise Pascal.
C’était de la prudence plus que de la modestie.
Pascal était un surdoué qui ne supportait pas la contradiction. Mais il mettait la pédale douce pour éviter la Bastille.
Aujourd’hui, c’est plus pratique de se retrancher derrière des collectifs où les responsabilités se dissolvent et où personne ne décide de rien.
Ni responsables ni coupables.
On brasse beaucoup de vent. Et on convient de se revoir dans trois mois pour se faire une bouffe.
Dans les administrations, ça s’appelle « la réunionite ».
Depuis plusieurs années, la Castets impulse au sein des réseaux militants de gauche et d’extrême gauche des petits soviets des services publics.
Reconnaissons-lui un mérite. Elle ne manque pas de culot.
En novembre 2022 sur France 5, elle avait agressé le ministre de la Fonction publique, Stanislas Guerini, à propos des dérives de l’affaire McKinsey et des recours abusifs aux cabinets de conseil.
À présent, dans un entretien à l’AFP, elle indique accepter « en toute humilité mais avec beaucoup de conviction » un rôle que personne ne lui a proposé !
Puis, toujours avec autant de modestie, elle exige du Paltoquet qu’il la nomme à Matignon.
Elle estime être la meilleure. Sonnez les trompettes de la renommée !
Interrogé sur France 2 au soir du 23 juillet, le Freluquet a contourné la question avec un truisme : « Le sujet n’est pas un nom donné par une formation politique.
La question, c’est quelle majorité peut se dégager à l’Assemblée pour qu’un gouvernement puisse passer un budget et faire avancer le pays. »
Continue comme ça, Macrounette.
Si tu réussis à empapaouter les bolchos, je voterai peut-être pour ton troisième mandat en 2027 !
Par Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/
ET AUSSI
Macron pris aux pièges à la rentrée
Le piège des élections législatives
Les changements de tempo sont les signes d’un Président qui a perdu la main et l’initiative.
Il a cru gagner en précipitant les Français dans des élections législatives express. Le pari était le suivant : les partis de gauche ne pourront pas se coaliser.
Et le 2e tour permettra de les enfermer de nouveau dans le piège qui fonctionna lors de l’élection présidentielle, c’est-à-dire le chantage au danger de l’extrême droite. L’erreur a été de sous-estimer la capacité de ces partis à se liguer.
Une fois fait, le parti présidentiel était pris au piège du scénario du 2e tour, afin d’éviter le désastre électoral d’un parti à moins de 100 députés, voire 50, ce qui était alors probable.
Le piège de l’Assemblée sans majorité
Le bilan de l’opération n’est donc pas conforme au projet présidentiel, d’où le changement de tempo soudain qui ne trompe personne.
Il est urgent d’attendre.
En effet, comment trouver l’introuvable Premier ministre qui ne suscitera pas la colère des électeurs et
d’une majorité de partis dont les députés suffiront à censurer ce Premier ministre pris dans leurs griffes ? Le piège s’est donc déjà refermé sur le Président qui s’expose à des censures successives de Premiers ministres qu’il nommerait une fois, deux fois, trois fois, jusqu’à épuiser sa crédibilité et subir la pression médiatique d’un appel à la démission.
Le piège d’une abrogation probable de la réforme des retraites
Mais dès la rentrée, le Président risque ne pas échapper à un désaveu de sa politique engagée depuis 2017. Sans juger sur le fond cette réforme des retraites, il est acquis que le Nouveau Front Populaire proposera l’abrogation de la réforme des retraites
. Le RN ayant déjà acté qu’il voterait cette abrogation promise aux électeurs, rien ne pourra s’y opposer, cet ensemble pesant environ 330 députés, soit une large majorité absolue.
Ce piège-là mettrait Macron dans cette position invraisemblable d’un en même temps où il resterait le Président spectateur de l’abrogation d’une des lois emblématiques de sa présidence.
Comment pourrait-il rester le Président, en même temps que l’Assemblée nationale détruit ses propres choix politiques ?
Il y a fort à parier que un ou deux autres thèmes pourraient faire l’objet du même procédé. Le piège se referme donc dès la rentrée parlementaire d’automne sur Macron.
Le piège d’une obstruction délétère et suicidaire
Il lui resterait, en la circonstance, une guerre de tranchée autour des arguties techniques et administratives de cette réforme votée dans le cadre de la PLFSS (Projet de loi de financement de la Sécurité sociale), pour faire obstruction à ce détricotage en règle de cette réforme.
Il y a fort à parier que les LR, le MoDem et d’autres députés Renaissance, conscients du piège électoral à quelques encablures d’une nouvelle présidentielle, ne soutiendraient que très mollement les extrémistes du centre, hostiles à la majorité législative.
Le piège est donc bien là.
Et puis, resterait la rue et le pouvoir de manifestation que la gauche saura activer dès la rentrée pour que cette large majorité favorable à l’abrogation puisse triompher, l’obstruction devenant électoralement suicidaire.
Le piège d’une infantilisation historique depuis 2017
Tout cela démontre qu’un piège se referme sur toute notre oligarchie qui ne joue plus le jeu de la démocratie depuis bien longtemps.
À force de mépriser le dialogue démocratique, à force de tromper et de manipuler, à force d’infantiliser et de déresponsabiliser, l’oligarchie française va récolter le chaos politique et économique, parce que personne dans ce pays ne veut affronter la réalité triviale de la création de richesse par le travail et celle de la juste redistribution dans les limites des Français et de leurs ayant-droits.
Cette oligarchie qui veut l’immigration pour des raisons économiques et idéologiques, cette oligarchie qui renonce à l’éducation et à l’autorité par mépris pour les populations, cette oligarchie qui ouvre les frontières jusqu’à ruiner l’économie locale, cette oligarchie qui refuse de dialoguer et de partager des choix raisonnables prend graduellement le risque d’un grand renversement et non d’un Grand
Remplacement, parce que le peuple est désinformé, trompé, manipulé comme cette élection législative l’a magistralement montré.
Le piège se referme sur ses auteurs.
Mais le piège à loup peut faire mal.
Il est temps de rétablir le dialogue avec le peuple et de l’informer de bonne foi.
L’Ukraine ou Israël sont deux exemples tragiques d’une caste politique procédant à une désinformation systématique qui prive les populations d’une prise de conscience des enjeux et d’une réflexion sur les choix.
Il en est ainsi sur tous les sujets.
Pierre-Antoine Pontoizeau
Source et Publications : https://ripostelaique.com
Censure !
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