mardi 9 juillet 2024

CE RACISME ANTI-BLANCS QUI N' EXISTE PAS ? DÉMONSTRATION ......

 REVUE DE PRESSE !

Rokhaya Diallo en pleine démonstration de racisme anti-blanc

Capture d’écran © BFMTV
Capture d’écran © BFMTV

Sur BFMTV, la militante décoloniale Rokhaya Diallo a interrogé Manuel Bompard sur le sort des « populations des quartiers populaires » (comprenez les immigrés ou issus de l’immigration) dont la gauche se sert pour se faire élire mais auxquelles elle accorde peu de places de candidats. 

Sur la photo de famille du Nouveau Front populaire, « on ne peut pas dire que les personnes issues de quartiers populaires soient très très visibles », constate Rokhaya Diallo, ajoutant aussitôt : « Elle m’a un peu éblouie. » 

 Comprenez : tous ces Blancs, c’est aveuglant !

 Aussitôt Bompard, docile et complaisant, lui donne raison tandis que Charles Consigny relève le racialisme, pour ne pas dire le racisme, d’une telle vision où l’on dénombre les Noirs (jamais assez) et les Blancs (toujours trop).


Imaginons l’inverse

L’arithmomanie est un trouble névrotique caractérisé par un besoin compulsif de compter. 

Que Rokhaya Diallo en soit atteinte est une évidence. 

« À Assas ou dans mon école de commerce, on n’était que deux Noirs dans la classe », expliquait-elle déjà en 2012.

 Elle n’est pas la seule dans son cas. 

« À chaque fois que je me retrouve comme ça, dans une grande réunion du métier, je ne peux pas m’empêcher de compter le nombre de Noirs dans la salle », avait déclaré l’actrice Aïssa Maïga lors de la soirée des Césars en février 2020.

Cette arithmomanie n’est acceptée qu’à sens unique. 

Si ce sont des Blancs qui comptent, ce n’est plus un trouble, c’est du racisme.

En 2022, Zemmour avait choqué en dénombrant huit ou neuf joueurs « d’origine africaine de couleur noire dans l’équipe… » 

 En octobre dernier, l’entraîneur de l’Olympique Lyon Sud, Mamadou Doumbia (noir) démissionnait en accusant ses dirigeants (blancs) de « compter le nombre de Noirs. »

 

« Les larmes des Blancs », motif de dérision

Répondant au reproche de racisme que lui fait Charles Consigny, Rokhaya Diallo se moque de lui, et pas de n’importe quelle façon.

 « Pauvre petit chou. Je suis sûre que votre vie est absolument torturée par le racisme anti-blanc […] Pauvre petit Charles Consigny qui pleure du racisme anti-blanc… » 

Militant antiraciste universaliste (c’est ainsi qu’il se présente), Laurent de Béchade y voit une claire transcription des « white tears » (larmes blanches).

 Dans les luttes féministes américaines, on juge de la sorte irrecevables les plaintes des femmes blanches, par rapport aux souffrances réelles des femmes noires.

 L’équivalent du « babtou fragile » - le Blanc faible.

 Le racisme, comme l’oppression colonial, ne peut être que blanc, donc le racisme anti-blanc n’existe pas, et donc les plaintes des Blancs sont nulles et non avenues - justes risibles. CQFD.

« Pauvre petit Charles Consigny », oui, qui s’inquiétait de la montée de « l’extrême-droite » et appelait à voter contre le RN !

 Face à Rokhaya Diallo, s’est-il senti idiot utile, tout comme Bompard ? 

Tout comme Garrido, grand-remplacée par Aly Diouara qui vient d’être élu député NFP ? 

Un arithmomane, lui aussi. 

Devant une photo d’un rassemblement de la NUPES, il commentait:  « Salut les blancs, Dites…on vous dérange pas trop dans votre remake de la conférence de Berlin ? » 

 Cette conférence de 1884-1885 étant le Yalta de la colonisation, on retrouve ce mix typique de la mouvance : racisme et décolonialisme.

Rokhaya Diallo a déjà un long CV en la matière, de ses accusations contre Charlie Hebdo lorsque les locaux du journal furent incendiés en 2011 à ses camps en non-mixité. 

 Est-elle raciste ?

 Déteste-t-elle les Blancs en tant que peuple et civilisation ?

 Allez savoir.

 Reste cette certitude : elle compte en fonction de la couleur de peau, tient des propos racistes et se moque des victimes qui osent protester. 

N’importe quel chroniqueur de droite ferait l’équivalent, il ne serait plus réinvité sur aucun plateau.

Samuel Martin
Par Samuel Martin
Journaliste   
 
 
 
ET AUSSI
 
 

Ces députés RN victimes du racisme et de l’homophobie de la gauche

Capture d'écran Europe 1
Capture d'écran Europe 1

C’est l’une des rares bonnes surprises du deuxième tour des élections législatives.

 À 23 ans à peine, Hanane Mansouri a été élue nouvelle députée de la 8e circonscription de l'Isère. 

Elle a obtenu 54,10 % des voix face à sa rivale d’extrême gauche Cécile Michel.

Incarnation de l'alliance entre Eric Ciotti et le Rassemblement national, l’étudiante raconte que son engagement politique est né au lycée : « J'ai eu envie de m'engager lorsque j'ai entendu la propagande de gauche de mes professeurs, notamment de Sciences économiques et sociales, a-t-elle confié à nos confrères de France 3

J'en ai eu marre que l'on m'explique qu'en tant que deuxième génération d'immigrés, je ne m'en sortirai pas »

 Car, comme elle le dit, la jeune femme est d’origine maghrébine.

 Un détail pour ses électeurs - présentés pourtant comme des racistes par la presse de caniveau - mais un vrai problème pour certains militants de gauche.

 « C'est ironique quand on me dit que je suis dans un parti de racistes, alors qu'ici personne ne m'a jamais ramenée à ma condition, contrairement à la gauche », relève-t-elle.

 

Des attaquées racistes venant du flan gauche

« Arabe de service », « beurette », « sale serpillère »… 

Le camp du Bien s’est en effet montré très généreux en insultes envers la jeune femme dont le seul tort est d’avoir refusé toute assignation identitaire ou communautaire.

 De quoi se demander de quel côté du champ politique se situe réellement l’intolérance… « Pendant que la gauche m’insulte sur mes origines, je préfère me battre aux côtés des vrais universalistes patriotes », affirme la députée.

 

L’homophobie de militants LGBT

Il semblerait que, comme le racisme, l’homophobie ait aussi changé de côté ces dernières années.

 Depuis son élection aux législatives, Bruno Clavet en fait l’amère expérience.

 Le jeune député RN est ainsi devenu la cible d'insultes à caractère homophobes… venant de membres de la communauté LGBT ! « Depuis mon élection, une véritable chasse aux sorcières est menée par une partie de la communauté LGBT à l’encontre des autres personnes LGBT qui me suivent sur les réseaux sociaux ou aiment mes publications, a-t-il écrit sur ses réseaux.  

Je tiens à dénoncer ces grands inquisiteurs qui tentent de trouver une raison d’exister à travers leur combat contre le monstre qu’ils supposent que je suis. 

`Aujourd’hui ces personnes poussent à la délation et se rendent coupables de discrimination envers les leurs, ce qui je le rappelle est punie par la loi. »

 

 

Là encore, les électeurs du RN ont déjoué les pronostics.

 Ils ont fait mentir leur réputation et élu, dès le premier tour, un jeune homme ne cachant rien de son orientation sexuelle.

Pendant ce temps, l’extrême gauche continue de se faire passer pour une force « progressiste », favorable à toutes les minorités, alors qu’elle héberge des antisémites, milite pour l’asservissement des femmes, classe les gens en fonction de leur couleur de peau, justifie l’homophobie au nom de l’islam et défend des milices génocidaires.

 À quand la fin de cette sinistre supercherie ?

Jean Kast
Jean Kast
Journaliste indépendant, culture et société 
 
 
  
Source et Publication :     https://www.bvoltaire.fr
 
 
ET AUSSI 

Le pogrom anti-Français blancs est en marche

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Désormais les Françaises et les Français, s’ils sont blancs, seront la cible de merdeux. 

Ils pourront les faire descendre de trottoir comme ce fut le cas à Oran en 1934. 

C’était la population de confession juive qui était visée.

 Un citoyen juif devait s’effacer devant un musulman.


Dernièrement, la mère d’une amie a été bousculée par un loucheur des cités, dans l’escalier d’un bureau de Poste.

 Elle a réagi. 

L’autre lui a fait un doigt d’honneur et lui a lancé « Tu fermes ta gueule. Maintenant, c’est moi qui commande.   La France est à nous ».

L’appel à la violence contre les Blancs pullule sur les réseaux.

 

 Voici un florilège.
« Un français sur trois est raciste donc maintenant quand on croise un groupe de 3 blancs on en tabasse un sur trois au hasard.
« Je vais mettre en sang tous les blancs suspects (!) que je vois dans la rue c’est la règle maintenant. »
« Maintenant je vais commencer à bousculer les vieux dans la rue »

 

Voici le texte d’une influenceuse qui est suivie par trente-sept mille personnes.

 Elle se réclame ouvertement électrice du Nouveau Front populaire.
« j’gifle les bébés du FN. Je fais des balayettes — petits balais — aux enfants. Je mets un coup de pied dans les burnes des adolescents du FN. 

Les grands-pères et les grands-mères, je les pousse dans la piscine pour qu’ils s’y noient. »

 

Un cavaieux — le mot, je l’ai inventé — pourra vous obliger à baisser les yeux ; sinon c’est la gifle.

 Est-il besoin d’ajouter que les adolescentes devront se laisser tripoter ? À quelle autorité pourront-elles se plaindre ?

 Puisque le Syndicat de la magistrature défend les agresseurs.


Je pourrai ajouter des scènes à d’autres scènes.

 Les jours sombres arrivent.

 Les Français seront insultés parce qu’ils ont accueilli les grands-parents ou les parents des morveux loucheurs.

J’ai mal aux tripes.  Mais je ne céderai pas.   Nous ne céderons pas.

Par Raphaël Delpard      https://ripostelaique.com

 
 
 

 
  

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