TRIBUNE LIBRE !
Face aux communistes, à l’extrême gauche, à LFI, il est temps que la peur change de camp
[L’Agora]
Ce 9 avril 2025, au cœur même de ce qui fut autrefois le sanctuaire du débat démocratique, trois journalistes du média Frontières ont été pris à partie, insultés, poussés, chassés comme des chiens galeux par des élus et collaborateurs de la nébuleuse islamo-gauchiste de La France Insoumise.
Leur crime ? Avoir fait leur métier.
Avoir enquêté. Avoir nommé les choses. Avoir osé briser le silence complice sur la radicalisation de certains collaborateurs LFI, entre apologie du Hamas, soutien aux Black Blocs, et réseaux islamistes.
Ils ont été agressés au Palais Bourbon, sous l’œil torve de députés aussi prompts à dégainer le poing levé que le code pénal quand cela les arrange, pendant que la présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet, pourtant jadis « Charlie », publiait un communiqué digne d’un mauvais sketch, en condamnant non pas les agresseurs, mais les « provocations » des journalistes.
Madame Braun-Pivet, votre République est une vieille soumise : elle baisse les yeux quand les nervis rouges cognent.
Mais où étaient les députés dits de droite pendant ce lynchage en cravate ? `
Où était cette « droite nationale » qui prétend défendre la liberté, la France, l’honneur ?
Où étaient-ils dans la mêlée ? Où étaient les boucliers ?
Quand l’extrême gauche moleste, quand les rouges veulent faire taire, il ne suffit pas de tweeter ou de se prendre en photo avec un journal.
Il faut défendre, physiquement s’il le faut. Une réaction pour un coup de pression.
Une riposte franche pour chaque tentative d’intimidation.
Ce n’est pas une Assemblée nationale que LFI veut. C’est un soviet.
Un territoire conquis, où le débat n’existe plus, remplacé par la terreur idéologique, la police de la pensée, le lynchage médiatique, les commissions d’enquête, le cirque, et, désormais, l’agression physique.
Les Panot, les Bilongo, les Boyard, les Arnault : ce ne sont pas des élus, ce sont les gardes rouges d’un projet totalitaire qui ne dit pas son nom.
LFI, c’est la CGT avec une carte d’électeur.
C’est Cuba avec un téléphone portable.
C’est la Corée du Nord qui twitte.
Et le pire, c’est que ça marche.
Qui osera encore enquêter sur les collabos rouges après ça ?
Qui prendra le risque de se retrouver la cible de toute une meute politico-syndicale survoltée ?
Qui, sinon des fous, des résistants ou des suicidaires ?
Et pendant ce temps, les collabos islamoïdes de LFI twittent « justice sociale », « liberté », « égalité », pendant que leurs affidés interdisent à des journalistes d’exister, comme en 1936 à Moscou, comme en 1968 à Nanterre.
Il est temps d’inverser la logique de peur.
Que chaque soutien à LFI devienne un acte honteux. `
Que chaque tweet de solidarité avec les Raphaël Arnault et compagnie soit reçu comme une compromission, une infamie.
Il faut briser la peur par la détermination, la mollesse par la force, la reddition par la reconquête.
LFI veut une guerre idéologique ? Qu’elle l’ait. Mais qu’elle la trouve en face. Vraiment.
Assez de la droite des communiqués de presse et des plateaux TV. Assez des indignations molles et des déclarations à la virgule près.
Il faut oser.
Il faut tenir.
Il faut frapper, verbalement, judiciairement, médiatiquement.
Et quand les mots ne suffisent plus, il ne faut pas avoir peur d’être debout.
Les journalistes de Frontières ne devaient pas être seuls.
Ils auraient dû être protégés, entourés, défendus.
Parce qu’un journaliste de droite qu’on frappe à l’Assemblée, c’est toute la dissidence qu’on gifle.
Il est temps que la peur change de camp.
Que ceux qui frappent sachent qu’ils peuvent être frappés en retour.
Que les Insoumis soient enfin soumis à la loi, à la justice, et à une opposition digne de ce nom.
Parce qu’en politique comme dans la rue, quand on recule, on se fait piétiner.
Par Julien Dir
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