jeudi 10 avril 2025

LE JOURNALISME ET SES DANGERS ! MISE SOUS PRESSION PAR L' EXTRÊME GAUCHE !

 


Tentative de censure de la presse et terreur rouge à l’Assemblée nationale : quand l’extrême gauche panique, elle exige l’interdiction

À mesure que les masques tombent, la nervosité de La France insoumise se transforme en une inquiétante frénésie de censure

Ce mardi, le groupe parlementaire mené par Mathilde Panot a franchi une nouvelle étape dans l’escalade liberticide en réclamant – ni plus ni moins – l’interdiction d’accès des journalistes du magazine Frontières à l’Assemblée nationale, ainsi que le retrait de ce même titre des kiosques du Palais Bourbon. 

 Une demande balayée, fort heureusement, par la présidente Yaël Braun-Pivet au nom du respect de la liberté de la presse.

Mais le mal est fait : l’extrême gauche française vient de signer un nouvel aveu de faiblesse, et surtout de paranoïa autoritaire. 

Redoutant la sortie d’un numéro spécial de 160 pages du magazine Frontières, consacré aux dérives communautaristes, idéologiques et stratégiques de La France insoumise, les Insoumis n’ont pas hésité à réclamer la mise au ban d’un média indépendant, coupable de… faire son travail d’enquête.

 

La terreur rouge version 2025 : la censure avant tout

Plutôt que de répondre aux faits et aux analyses pointées dans cette enquête – notamment les accointances idéologiques d’une partie de LFI avec des causes étrangères, des logiques clientélistes ou des mouvements racialistes, le groupe de Jean-Luc Mélenchon choisit de se réfugier dans la stratégie bien rodée du “choc offensé”, celle du parti qui se dit persécuté dès qu’il est critiqué.

Une mécanique parfaitement huilée : victimisation immédiate, accusations de “mise en danger”, demandes de sanctions, appels à la protection institutionnelle.

 Mais ne vous y trompez pas : c’est le totalitarisme rampant du camp de l’extrême gauche qui s’exprime ici, celui qui entend redéfinir à sa guise ce qu’est un journaliste légitime, un sujet autorisé, ou un citoyen respectable.

Car ce n’est pas Frontières qui menace l’ordre. 

Ce sont ceux qui, au sein même du Parlement, veulent interdire l’accès à un média critique, au motif qu’il dévoilerait des réalités dérangeantes sur le fonctionnement d’un parti devenu machine de guerre idéologique au service de causes extra-nationales.

 

Collaborateurs parlementaires ou militants politiques ?

Ce qui hérisse LFI, c’est surtout le contenu explosif de l’enquête à paraître : un recensement rigoureux de l’écosystème militant qui gravite autour du parti, de ses collaborateurs parlementaires à ses relais numériques, en passant par ses votes, ses discours, ses alliances. 

Une radiographie d’un appareil politique qui a délibérément rompu avec les intérêts des Français modestes pour se tourner vers des clientèles communautaires, dans une logique de confrontation sociale permanente.

La réaction de la CGT CP,  syndicat des collaborateurs parlementaires, ne fait que renforcer cette stratégie de l’écran de fumée : accusations de mise en danger, amalgames avec de prétendus “groupuscules néonazis”, dramatisation outrancière, tout y passe pour détourner l’attention du fond.

Mais qui menace qui ? 

Depuis des années, l’extrême gauche politique couvre, soutient et parfois justifie des formes de violences militantes, des intimidations à la censure pure et simple.

 Aujourd’hui, elle se dit “mise en danger” parce qu’un journal ose publier des noms – publics pour la plupart – de collaborateurs politiques assumés. Ironie dramatique.

 

Le titre du dossier de Frontières – « LFI, le parti de l’étranger » vise juste : la question de l’allégeance de certains courants politiques à des intérêts communautaires ou idéologiques non européens est légitime, surtout lorsqu’ils prétendent incarner “le peuple”.

L’enquête dérange, car elle met à nu une vérité que les Français commencent à percevoir : derrière les slogans de solidarité et de lutte sociale se cache souvent un projet de subversion civilisationnelle, une volonté de dissolution du cadre national au profit de luttes importées, déconnectées du réel vécu des Français.

En refusant d’affronter la critique, LFI confirme qu’elle ne tolère qu’une seule presse : celle qui la sert.

Mais que les Insoumis le sachent : la presse libre ne s’efface pas devant les cris.

 Et la vérité, aussi brutale soit-elle, finit toujours par sortir.

 
[cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Violences contre Frontières à l’Assemblée : quand LFI et les communistes veulent décider qui peut être journaliste


Une scène digne d’une république bananière s’est jouée mercredi au cœur de l’Assemblée nationale. 

Trois journalistes du média Frontières, accrédités et présents dans l’enceinte pour couvrir un rassemblement de collaborateurs de La France insoumise (LFI), ont été pris à partie, intimidés et finalement exfiltrés manu militari. Leur faute ? 

Avoir osé enquêter sur les liens sulfureux entre certains collaborateurs parlementaires de LFI et des sphères islamistes, pro-Hamas ou encore pro-Black Blocs. 

Le tout dans un dossier titré sans ambages : « LFI, le parti de l’étranger ».

La riposte ne s’est pas fait attendre : bras d’honneur politique, cris hostiles, invectives, tentatives d’obstruction physique par des députés — communistes, socialistes et insoumis confondus. 

La CGT, appelant à manifester, n’a pas hésité à qualifier la présence de journalistes d’“inacceptable”, comme si, dans la France de 2025, les syndicats se chargeaient désormais d’attribuer les cartes de presse.

 

Une présidente de l’Assemblée qui penche

Mais plus glaçant encore fut le communiqué de la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, pourtant prompte à se réclamer de l’esprit de Charlie

Au lieu de défendre, comme on aurait pu l’attendre, la liberté de la presse et le droit d’enquêter, la présidente s’est inquiétée de “provocations” possibles, avertissant le média Frontières de potentielles sanctions.

Qu’aurait-elle dit si des élus du Rassemblement national avaient bousculé les reporters de Libération ou de StreetPress ?

 Probablement qu’un danger fasciste rôdait dans les travées du Palais Bourbon.

 Mais quand ce sont les troupes de Mathilde Panot et leurs alliés qui vocifèrent, s’en prennent à des journalistes et réclament leur expulsion, le perchoir fait dans la nuance tiède, renvoyant dos à dos victimes et agresseurs.

 

Un deux poids, deux mesures insupportable

Dans une démocratie digne de ce nom, un média peut enquêter sur n’importe quel groupe politique.

 Frontières s’est attaqué à une nébuleuse bien réelle, dont les ramifications vont de la complaisance islamiste aux justifications implicites des massacres du 7 octobre en Israël, en passant par des appels à la violence contre les policiers et les “Français de souche”. 

Si ces faits sont faux, qu’on les démente. 

S’ils sont vrais, qu’on les assume

. Mais empêcher physiquement des journalistes d’exercer leur métier, dans l’enceinte même de la représentation nationale, voilà qui relève d’une dérive inquiétante.

Une dérive d’autant plus glaçante qu’elle s’appuie sur une rhétorique inversée : ce ne sont plus les factieux qui menacent la République, mais ceux qui en révèlent les failles.

 Ce n’est plus la presse qui veille, mais la presse qu’on surveille.

 

Qui décide désormais qui est journaliste ?

Derrière cette affaire, une question plus large se pose : l’extrême gauche, aujourd’hui en position de force à l’Assemblée, peut-elle décider qui a droit de cité dans l’arène médiatique ?

 Veut-on une chambre basse où Mediapart est encensé et Frontières traqué ?

 Où une carte de presse ne protège plus, mais expose ?

En s’en prenant à des journalistes en raison du contenu de leurs enquêtes, les députés LFI et leurs alliés franchissent une ligne rouge.

 Et en ne condamnant pas clairement cette agression, Yaël Braun-Pivet entérine l’idée dangereuse selon laquelle certains médias sont plus légitimes que d’autres.

Il ne s’agit pas ici de partager les analyses de Frontières, mais de défendre un principe fondamental : celui de la liberté de la presse, y compris quand elle dérange, et surtout lorsqu’elle cible ceux qui prétendent incarner le bien.

En 2025, dans la République française, des députés peuvent menacer des journalistes dans l’enceinte de l’Assemblée, et recevoir en retour… un courrier de rappel au règlement.

 De là à penser que les Robespierre de la Nupes ne rêvent que d’un bâillon sur mesure, il n’y a qu’un pas. 

La présidente de l’Assemblée nationale a-t-elle encore toute sa tête ?


[cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine


Le silence époustouflant de la Présidente de l' Assemblée Nationale Madame  Yaêl Braun- Pivert pose des questions  !!!



Conversation


@ThomasJoly732
 
Mercredi, des journalistes ont été pris à partie, bousculés, intimidés dans l’enceinte même de l’Assemblée nationale. 
Leur crime ? Avoir enquêté sur les zones d’ombre de La France Insoumise. 
 
Leur tort ? Être des journalistes de droite et non les habituels chiens de garde du progressisme. 
 
 Imaginez une seconde que ces violences aient été commises par des députés de droite contre des journalistes de gauche.
 La machine médiatique se serait emballée en un instant.
 
 Tous les éditorialistes, les chaînes d’info, les syndicats de journalistes auraient hurlé au fascisme rampant, à l’heure sombre qui plane sur notre République.
 
 Les tribunes se seraient multipliées. Les marches blanches aussi.
 
 Et bien sûr, Yaël Braun-Pivet aurait organisé une conférence de presse, la larme à l’œil, pour défendre la liberté de la presse... Mais là, silence.
 
 Pire : le communiqué de la présidente de l’Assemblée menace les journalistes, pas leurs agresseurs.
 
 Elle ose parler de « mise en scène » et de « provocations » — comme si filmer l’intimidation de députés d’extrême gauche devenait une provocation. 
 
Où est la neutralité des institutions ? Où est le respect de la démocratie ? 
 
 La réalité est simple : la Macronie est complice. 
 
Complice par calcul politique, complice par lâcheté, complice parce que ses élus préfèrent les voyous d’extrême gauche aux journalistes qui les dérangent.
 
 Soutien total à la rédaction de Frontières. 
 
Soutien à cette presse de droite qu’on voudrait faire taire. 
 
Honte à ceux qui, au sommet de l’État, courbent l’échine face aux nervis de LFI.
 
 Il est temps de rétablir l’ordre, la vérité et le respect dans les murs mêmes de nos institutions
 
. Thomas Joly - Président du Parti de la France
 
Image


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire