TRIBUNES LIBRES !
L’établissement français, entre terreur et schizophrénie
« Être nationaliste et vouloir la démocratie, c’est vouloir à la fois gaspiller la force française et l’économiser, ce qui est, je crois, l’impossible. »
Maurras
Quand une falsification historique remontant à plus de 200 ans aboutit à une sélection négative des élites, les gouvernants deviennent nuisibles non seulement pour l’oligarchie elle-même, mais aussi pour les débris du pays qu’ils essaient péniblement de gérer.
Tel est le cas de cette République « française » née dans le sang de ses souverains et, surtout, dans le génocide de ses peuples : holocauste des Vendéens et des Bretons, liquidation de la plupart des authentiques aristocrates français, soit tous ces massacres que les apôtres d’une certaine modernité avaient tenté de présenter comme le summum de la civilisation.
Je me suis à maintes reprises penché sur le sujet de ce terrorisme intrinsèquement lié à la République « française » qui a engendré une classe dirigeante composée de véritables pathocrates sombrant dans une dégénérescence frénétique
[1].
La dernière sortie de Darmanin, ministre de la Justice, sur la Russie comme génératrice d’un terrorisme islamiste qu’elle enverrait en France via ses Tchétchènes en est une parfaite illustration.[2]
Elle m’intéresse d’autant plus que le pathocrate susmentionné fait référence à la décapitation de Samuel Paty par un Tchétchène en 2020 — épiphénomène que j’avais également analysé il y a cinq ans dans un autre de mes textes[3].
Cette ânerie de Darmanin s’inscrit en écho direct avec mon article, comme si l’oligarque macronien s’efforçait de confirmer mes thèses sur la sélection négative de ces élites désormais psychiquement incapables de suivre un dossier sur plusieurs années et pour cela, entraînant inéluctablement la perte non seulement d’eux-mêmes mais aussi de la France et des peuples de la communauté dite européenne.
Peut-être avais-je pressenti la folie furieuse du ministre controversé incarnant la pauvre Thémis sur la poitrine flétrie de Marianne numéro 5 ?
En effet, toute la famille du Tchétchène fanatique n’avait pu décrocher l’asile politique en France que grâce à la russophobie des juges français qui ont pondu une décision idéologique, s’associant dès lors aux terroristes de l’islam radical tuant les soldats russes en Russie.
Il faut se souvenir que ce n’est que quand le clan du futur assassin de Paty avait démontré devant la justice de la République « française » qu’elle dissimulait les moudjahidine en Tchétchénie, à l’époque recherchés par des détachements de l’armée russe, qu’elle a obtenu l’asile politique en France.
Comble du ridicule : cette décision est intervenue alors que la dernière guerre russe en Tchétchénie était terminée depuis longtemps : « Considérant qu’il résulte de l’instruction que M. A. Anzorov, de nationalité russe, a, à la demande d’un cousin, hébergé à son domicile de juillet à septembre 2004 plusieurs personnes engagées dans la guérilla tchétchène […].
Considérant qu’il craint donc avec raison, au sens des stipulations précitées de la convention de Genève, du fait du soutien qu’il a apporté à la résistance tchétchène, d’être persécuté en cas de retour dans son pays ; que, dès lors, M. A. Anzorov est fondé à se prévaloir de la qualité de réfugié […]. »[4]
D’ailleurs, à cette époque, il suffisait d’être un Tchétchène russophobe pour obtenir automatiquement l’asile politique en France.[5]
Je me souviens encore que, analysant ce fait en 2020, je m’étais fait une réflexion sur la russophobie institutionnelle française d’il y a 5 ans : plus la Russie devient stable à l’intérieur de ses frontières en chassant les terroristes ou en les matant sur son territoire, plus la prospérité gagne la Russie et plus l’obsession doctrinale terroriste des juges de la République « française » est flagrante, laquelle les pousse à suivre leurs confrères terroristes étrangers (d’où qu’ils viennent, mais surtout s’ils viennent de Russie).
Je terminais par une observation qui est devenue l’une des bases de mon livre russe sur le racisme systémique anti-Blancs paru en 2022[6] sur les oligarques de la République « française » qui voient dans les élites du pouvoir russe le reflet de leurs propres ancêtres — ces mâles blancs hétérosexuels, majoritairement chrétiens, patriarcaux, protégeant leur nation et ses frontières, éduquant leur descendance dans la tradition de leurs aïeuls (en somme, ceux que les pathocrates de la République « française » ont exterminés jusque dans leur mémoire).
La russophobie française et occidentale gît donc dans le Selbsthass.
La crise de l’expertise en France
À l’époque de la rédaction du présent article (mi-mars 2025), nous avançons à grands pas vers un affrontement avec la Russie sous l’impulsion de nos pathocrates qui arrivent à grande allure à l’acmé — nous l’espérons — de leur folie furieuse qu’est le racisme systémique anti-Blancs.
Il s’agit pour eux de parfaire l’effacement progressif, mais accéléré, des peuples de l’Europe.
Ce phénomène, je l’avais également prédit il y a quelques années en analysant les vœux de Macron le 31 décembre 2023 : cet écolier borné passait son oral devant ses maîtres cosmopolites, leur promettant l’armement de la République sous diverses sauces mais à huit reprises.[7]
Il y a 15 mois, il pointait déjà la Russie comme adversaire.
Je me rappelle que, passant le même type d’examen un an plus tard (le 31 décembre 2024), Macron, cette créature incapable d’engendrer, avait déclaré vouloir prendre soin de « nos enfants »[8].
Dans une publication à ce propos, j’ai tout de suite appelé les Français ayant une descendance à prendre autant que possible leurs distances avec les terroristes de l’Élysée.[9]
Les seules promesses que tient Macron, dans les pas de son maître dans la perversité démagogique Sarkozy et ses engagements de métisser la République prononcés à l’École polytechnique de Palaiseau en décembre 2008, sont exclusivement celles qu’il fait à ses examinateurs — en échange d’un séjour doré hors de cette Europe qu’il mettra à feu et à sang.[10]
Je ne puis que regretter que mes prévisions ne soient lues que par si peu de francophones, car, si elles étaient diffusées plus largement, j’aurais pu sauver des millions d’enfants français dont Macron a sans hésiter sacrifié le destin.
Pourquoi est-ce que l’on a réduit ainsi
au silence mes propos ?
Je suis entré en guerre non seulement avec le ministère de l’Enseignement supérieur géré actuellement par la championne macroniste du 49.3 Élisabeth Borne, mais aussi avec l’ensemble de l’Université française via son Conseil national des universités (CNU) qui a activement participé au plagiat de ma thèse de doctorat en recourant pour ce faire à tous les outils institutionnels possibles.[11]
Et effectivement, elle a réussi à voler les découvertes de ma thèse de doctorat sur Nietzsche et Nabokov.[12]
On se demande pourquoi la communauté « scientifique » (professeurs de droit ou prétendus spécialistes de la Russie) ne conteste pas haut et fort tant les divagations de Darmanin sur l’origine de la régularisation sur le sol français du terroriste tchétchène ayant décapité Paty que la russophobie exacerbée qui sert à justifier, dans la bouche de Macron, l’accusation hystérique de non-respect par la Russie des accords de Minsk (tandis que Merkel et Hollande s’étaient ouvertement vantés de ne pas honorer ces accords signés pour tromper la Russie et permettre à l’Ukraine de s’armer[13]).
Nous pourrions poursuivre ces griefs à l’infini, mais l’unique racine de cette crise de l’expertise dans l’Occident francophone réside dans la sélection négative des élites françaises telle que pratiquée depuis plusieurs générations par les pathocrates de l’Université qui choisissent leurs semblables non seulement pour les postes académiques mais aussi pour les positions clés à Matignon ou au Palais Bourbon.
Cette oligarchie française composée de détraqués malfaisants est incurable et tient en otage ses citoyens sur lesquels elle exerce sans vergogne une terreur héritée des colonnes infernales.
À ce stade, nous ne pourrons éviter ni la spoliation des Français ni leur massacre en masse sur le front de l’Est — dont la fameuse « résistance ukrainienne » n’est qu’une répétition.
Nous ne pouvons donc compter que sur le hasard pour que les Blancs de l’Occident puissent, dans un nombre suffisant, s’échapper afin de se reproduire et surtout de juger publiquement — peine capitale non exclue — les pathocrates terroristes qui, en ricanant, préparent l’extermination des Aryens enchaînés.
Par Anatoly Livry, Altdorf, Suisse
[1] Dr Anatoly Livry, « La matrice des lois liberticides ou l’Université vue de l’intérieur », Le Harfang, été 2024, Drummondville (Québec), p. 24-33.
[2] « La menace russe et la menace terroriste, c’est parfois la même chose », affirme Gérald Darmanin, le 12 mars 2025, Europe 1.
[3] Др. Анатолий Ливри, «Франция: террор антибелого расизма», Геополитика, Москва, 9 ноября 2020, https://www.geopolitika.ru/article/franciya-terror-antibelogo-rasizma.
[4] Délibéré après l’audience du 25 mars 2011 de la Cour nationale du droit d’asile, n° 10026346, p. 2, http://www.a-droite-fierement.fr/documents/cnda-tchetchene.pdf.
[5] « Les Tchétchènes étaient opposants. […] Souvent les services russes nous mettaient en garde. Je me rappelle un ministre les accueillant tous sans vérifier. », Sylvie Bermann (ancien ambassadeur de France en Russie), LCI.
[6] Dr Anatoly Livry, Le Racisme systémique anti-Blancs ou l’Holocauste des peuples blancs (Системный антибелый расизм или массовая ликвидация белых народов), Notre Lendemain, Moscou, 2022, 288 pages, avec une préface du Professeur Anatole Klyosov, ISBN : 978-5-907585-15-7.
[7] Dr Anatoly Livry, « “Français, préparez-vous à être massacrés par les Russes !” ou le véritable message des vœux 2024 de Macron », Strategika, Paris, le 27 février 2024, https://strategika.fr/2024/02/27/francais-preparez-vous-a-etre-massacres-par-les-russes-ou-le-veritable-message-des-voeux-2024-de-macron.
[8] « Nous aurons des choix à faire pour notre économie, notre démocratie, notre sécurité, nos enfants. » : Macron, le 31 décembre 2024, https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2024/12/31/voeux-aux-francais.
[9] Др. Анатолий Ливри, «Президент Франции: русофобия и селекция извращенцев», 7 февраля 2025, Геополитика, Москва, https://www.geopolitika.ru/article/prezident-francii-rusofobiya-i-selekciya-izvrashchencev.
[10] Interview de Dr Anatoly Livry à Piero San Giorgio, « Les Européens sont des petits caniches dans une boîte en carton », le 17 septembre 2024, https://www.youtube.com/watch?v=kKy-u1p7swA.
[11] Dr Anatoly Livry, « Mes prophéties accomplies » in Proceedings of the Academy of DNA Genealogy, Boston-Moscou-Tsukuba, ISSN 1942-7484, volume 18, n°1, janvier 2025, p. 109-114.
[12] Dr Anatoly Livry, « Racisme systémique anti-Blancs et guerre nucléaire », Le Harfang, hiver 2025, Drummondville (Québec), p. 12-14.
[13] « Minsker Abkommen von 2014 sei der Versuch gewesen, der Ukraine Zeit zu geben. » : M. Thumann, « Hassnachricht aus Moskau », Zeit Online, 22.12.2022.
ET AUSSI
Dimanche à Paris, Macron et les gauchistes se sont alliés comme aux législatives
Des pactes honteux anti-France viennent d’être passés entre la frange dépenaillée la plus active des gauchistes et les conseillers du prince en costard-cravate.
Un objectif commun les unit : saboter la manif du RN prévue pour permettre aux Français muselés tous les jours d’exprimer leur indignation contre une condamnation politique de Marine et de huit eurodéputés, sur ordres de l’Eurocrature, relayés par Macronescu.
Modus operandi : Infiltration. Provocation. Désorganisation. Violences.
Des contre-manifs « légales » puisque le pouvoir comme les merdias considèrent que la gauche a le monopole de la rue.
Pour des affrontement provoqués par les islamo-écolo-gauchistes.
Les flics seront trop occupés à séparer les agresseurs des protestataires.
Et quand les flics se livrent à cette « pacification », les black blocs prennent le relais.
Cassent tout sur leur passage.
Et leur vandalisme sera imputé aux manifestants pacifiques.
Les médias aux ordres ont déjà préparé leurs titres.
Comment le sait-on ? D’abord parce que c’est un grand classique.
Ensuite, c’est nouveau, parce que certains flics ont prévenu des organisateurs de la manif des endroits où les traquenards sont prévus.
Les barbouzes, anciens RG qui ont encore changé de nom, devenus DCRI ventilés en SDIG et DCSP (quand ils s’ennuient, les fonctionnaires inventent des sigles) commencent à réagir comme certains flics patriotes sous la précédente occupation.
D’autres, opportunistes, placent un pied dans chaque camp. En prévision du jour où le pouvoir basculera.
Si la plupart des poulets sont des bœufs, certains étouffent mal leur colère contre un dictateur qui les utilise, avec les juges, pour bâillonner les Français et persécuter les dirigeants d’opposition nationale.
Bien entendu ces réfractaires ne peuvent pas se dévoiler.
Il n’y a pas d’indemnités de chômage pour les flics virés.
Encore heureux quand les litiges entre barbouzes ne se règlent pas à l’ancienne. Dans une cave.
Dans le temps, des journaux comme « Minute » recevaient des photocopies dévoilant les forfaitures du pouvoir.
Des agents du ministère de l’Intérieur et des « petites mains» de Matignon n’étaient pas les derniers à participer à cette œuvre de salubrité publique.
Mais cinquante ans de socialo-écolo-gauchisme ont ruiné, un à un, tous les supports médiatiques de contestation.
Aujourd’hui, les sites de réinformation ont pris le relais.
Béni soit Internet !
Pour affaiblir la manif, les sbires du pouvoir s’appliquent dans toutes les provinces, encadrés par des préfets Papon, à empêcher les patriotes de se regrouper et de se déplacer.
Pour réussir un mouvement national de protestation, qu’on a dû préparer en quelques jours, il a fallu s’organiser.
Malheureusement, on ne peut pas agir en silence pour « mobiliser » comme disent Macronescu et les écolo-gauchistes, en guerre ouverte contre le peuple de France.
Il y a eu des rencontres, des coups de téléphone, des e-mails, des posts sur les réseaux sociaux.
Espionnage. Dénonciations. Trahisons. Renforcement du flicage politique.
Ils entrent dans votre ordi ou votre téléphone comme dans un moulin.
Sans commission rogatoire. Il en faudrait trop.
En principe, c’est interdit. Mais les sbires du pouvoir ont tous les droits.
Dans le monde réel, les cadres politiques connaissent l’identité de la plupart de ceux qui ont noyauté les structures des mouvements nationalistes et souverainistes.
Flics ou anciens flics, militaires à la retraite.
Des grands courageux qui déploient moins de zèle pour infiltrer les réseaux des narcos et les djihadistes…
Les patriotes ont aussi leurs sources de renseignements dans les ministères et les préfectures.
Et il n’est pas si difficile d’espionner les espions et d’enfumer leurs maîtres à travers eux.
Avec un peu d’entraînement, on reconnaît les mouchards à leurs regards fuyants, leurs bouches crispées, leur nervosisme et leurs pieds plats.
Mais le militant de base ou le sympathisant ne sont pas habitués à se méfier, à observer et analyser les comportements.
Ils parlent trop.
En confiance.
Sans connaître leur interlocuteur.
Et leur enthousiasme peut les perdre.
Ils n’imaginent pas la perfidie des crapules au pouvoir, prêts à toutes les vilenies pour conserver leurs privilèges.
Rejeter le totalitarisme de Macronescu et l’acharnement de ses sbires et de ses juges, en manifestant et en exprimant sa colère là où c’est encore possible, ce n’est pas donner un blanc seing à Marine !
Je n’ai pas été le dernier à la critiquer.
Pour sa mollesse, ses volte-face et parfois ses petites trahisons.
Sa soumission à la doxa des dhimmis afin de complaire aux médias mainstream.
Je lui reproche la dilapidation de l’héritage du père sans avoir réinvesti dans une doctrine forte et cohérente.
Purger le mouvement des antisémites était nécessaire mais pas suffisant.
Dans la conjoncture actuelle, il me revient une phrase des « Antimémoires » de Malraux, que je cite à l’arraché, évoquant la Résistance quand il se faisait appeler colonel Bergé.
« Mon premier travail au maquis fut de faire comprendre que nous devions nous unir contre un ennemi commun.
Le libre penseur avec le curé, le syndicaliste avec le patron, le royaliste avec le républicain, le bourgeois avec l’anarchiste, le braconnier avec le garde chasse.
Leurs querelles, ils les reprendraient plus tard, après la victoire sur les nazis. »
Dimanche est un rendez-vous à ne pas manquer quelles que soient les difficultés logistiques et les bassesses des charognards qui nous gouvernent.
Le délai est très court, pour que les relais locaux du RN s’organisent.
Déjà il faut disposer de moyens de transport collectif pour faire « monter à Paris » des dizaines de milliers de provinciaux.
Or des préfets Papon ont réquisitionné tous les bus, là où c’était possible.
Par génération spontanée, des « classes vertes » ainsi que des « voyages touristiques pour le troisième âge », inopinés, et des banquets franc maçons imprévus se sont matérialisés.
Avec des tarifs défiant toute concurrence.
Encouragés par une administration scélérate.
L’alibi des beaux jours a été servi aux neuneus.
Et pour les patrons de compagnies de bus, la carotte et le bâton.
La promesse d’une multiplication de contrats juteux s’ils obéissaient en disant aux patriotes que leur planning est complet.
Et la menace de contrôles techniques ou fiscaux, et de harcèlements par les différentes polices routières, s’ils transportaient des « fachos ».
Autant d’arguments très convaincants.
Quelques bus et mini bus ont quand même pu être affrétés là où c’était encore possible, et les familiers du covoiturage ont réussi à enrayer une hémorragie mortelle chez les volontaires…
Ailleurs, des petits transporteurs de notre bord ont offert le voyage gratuit à condition d’être défalqués de leurs frais de carburant.
Les conditions économiques et politiques locales ont influencé les modalités des déplacements.
De même que les infrastructures ferroviaires.
Beaucoup de petites villes et de grosses bourgades ne sont plus desservies.
Ou alors un seul train ou un car, mais pas ce week-end.
Et inutile de compter sur la compréhension de la SNCF gangrenée par des islamo-gauchistes qui ont fait interdire dans les gares une affiche pour le bouquin de Bardella.
Dans des départements où la distribution démographique ne favorise pas les points de regroupement, de nombreuses personnes, faute d’avoir pu affréter des bus, utiliseront leur véhicule personnel.
Si le dictateur Macronescu n’imite pas son inspirateur Erdogan qui a fait fermer et interdire, par des barrages de police renforcés de ses milices, toutes les routes et tous les ponts menant à Istanbul.
Tout cela ne relève pas de l’anecdote comme le prétendent les désinformateurs professionnels.
Qui ne voient pas (tant mieux !) que ces comportements anti-démocratiques amènent de nouveaux sympathisants et adhérents au RN.
Des dizaines de milliers de nouvelles cartes dans les jours qui ont suivi l’injuste verdict.
Avec un impact en 2027 ? Quel que soit le candidat. Ou la candidate.
Sauf bien sûr, si les Boches de Bruxelles décident de tout annuler.
Ce ne serait pas la première fois.
Par Christian Navis
https://fascismedefrance.blogspot.com/
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