samedi 26 avril 2025

LA GUERCHE-DE-BRETAGNE : VAGUE DE " SUBMERSION " EN BRETAGNE CONTRE SON GRÈ ! FRANCE 2 CONFIRME !

 

Au Conseil de Paris, les subventions délirantes d’Anne Hidalgo


Par Yves-Marie Sévillia


Le Conseil de Paris, qui s’ouvre ce 8 avril et qui doit s’étaler sur quatre jours, va se prononcer sur la répartition de 30 millions de subventions.

 L’occasion de constater qu’avec l’argent du contribuable, et avec l’aide de la mairie de Paris, l’empire immigrationniste et woke tisse sa toile, en France.

Chaque année, plusieurs dizaines de millions servent à financer, à travers l’action militante d’associations, l’implantation des migrants sur le sol parisien. 

En effet, l’association Transparence citoyenne s’est penchée sur le détail des subventions votées par la majorité municipale de Paris. 

Cette association « s’engage avec détermination dans la lutte contre la corruption et la gabegie de l’argent public ». 

Contacté par BV, son président, Guillaume Leroy, va plus loin et précise vouloir « promouvoir l’éthique en politique ». 

On découvre les sommes astronomiques accordées par Anne Hidalgo et sa majorité à des projets militants identifiés.

Sur les 30 millions de subventions à distribuer, environ 10 millions sont destinés à des initiatives pro-migrants, pro-LGBT.

 Or, il y a environ dix Conseils par an qui présentent, à chaque fois, environ 500 projets de délibération. 

Pour ce Conseil d’avril, on compte, par exemple, quasiment 8 millions d’euros qui sont distribués aux associations d’hébergement d’urgence et jeunes migrants. 

100.000 euros sont versés à l’association militante SOS Méditerranée, dont l’objet est de venir au secours des migrants.

 Une subvention qui n’est même plus débattue, tant elle est devenue automatique, nous raconte Guillaume Leroy. 

« L’opposition ne prend même plus la peine de contester », déplore-t-il.

D’autant que ces chiffres fous ne semblent contrôlés par personne. 

Avant de recevoir une subvention supérieure à 23.000 euros, les comptes d’une association qui souhaite cette subvention doivent être intégrés au dossier de candidature. 

Et lorsqu’une association reçoit plus de 75.000 euros, une association doit publier ses comptes en ligne. 

Vérification faite par Transparence citoyenne, le résultat est éloquent : plus de la moitié des associations ne le font pas et se rendent donc coupables « d’une infraction pénale », souligne Guillaume Leroy qui constate, atterré, qu’« on continue pourtant, d’année en année, de subventionner ces associations ».

 Il dresse cet amer constat : « Il n’y a aucune vérification en aval. »


À ce sujet — Les subventions militantes d’Anne Hidalgo

 

On retrouve d’autres subventions allouées à « l’insertion professionnelle et aux études supérieures des réfugiées » pour un montant de 115.000 euros, dont 30.000 euros pour l’association Kodiko, ou 15.000 pour La Fabrique nomade, qui souhaite favoriser l’insertion professionnelle des artisans d’art migrants et réfugiés en France.

 Elle recevait aussi 50.000 euros, en 2022.

 Ou encore 30.000 euros pour l’association Food Sweet Food, qui se présente comme « une initiative ambitieuse visant à former les réfugiés et primo-arrivants à la cuisine en restauration collective ».

 Le florilège donne le vertige.

 L’association « J’accueille » reçoit 30.000 euros ; le président de son conseil d’administration n’est autre que Benoît Hamon, ancien cacique du PS.

L’association Pierrot de la nuit reçoit 90.000 euros, alors que son président, Emmanuel Coblence, est un membre écologiste de la majorité d’Hidalgo.

 Transparence citoyenne dénonce un « potentiel conflit d’intérêts ».

Autres chiffres rocambolesques : 170.000 euros versés à l’Association de médiation interculturelle (AMI), qui favorise l’accès aux droits que peuvent percevoir les migrants. 

L’association Coup de soleil perçoit 13.000 euros pour l’organisation d’un événement intitulé « Maghreb des livres » qui doit se tenir à l’hôtel de ville en juin, à Paris. 

Ou encore 50.000 euros pour le centre d’archives LGBTQI+ qui veut rendre « visibles l’histoire, les récits et les cultures des personnes LGBTQI+ et participe ainsi à la lutte contre les discriminations ».

Il y a quelques mois, une mission d’information et d’enquête (MIE) devait être mise en place à la demande de l’opposition afin de surveiller le fonctionnement d’attribution des subventions aux associations. 

Transparence citoyenne devait y participer. 

Pour la première fois, nous explique Guillaume Leroy, « une MIE a été refusée par le maire de Paris ». 

Est-ce parce que, comme l’a révélé L’Humanité, Transparence citoyenne est subventionnée par Périclès, la branche politique des initiatives soutenues par le millionnaire Pierre-Édouard Stérin ? 

 

À gauche, comme d’habitude, il y a les bonnes et les mauvaises subventions. 

Pourtant, pour les unes, l’argent est public, pour les autres, il est privé.

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ET AUSSI 

 



REVUE DE PRESSE  !

 

Vague de « submersion » en Bretagne : contre son gré, France 2 confirme



        

Vague de « submersion » en Bretagne : contre son gré, France 2 confirme

Le jeudi 17 avril, France 2 diffusait un nouvel épisode de son émission Envoyé spécial.

 Au programme, divers reportages, dont un sur la submersion migratoire intitulé Vague de « submersion » chez les Bretons

 Pour lancer le sujet, Élise Lucet, la présentatrice de l’émission, indique que son équipe s’est rendue dans la ville de La Guerche-de-Bretagne car, « selon une étude controversée [publiée par Marianne, NDLR], le nombre d’étrangers y aurait augmenté de 725 %, entre 2006 et 2021 ».

 Le reportage doit faire la lumière sur l’étude. Pas n’importe quelle lumière…

Il a vocation à prouver qu’elle est fausse.

 Les premiers instants de la séquence le démontrent. 

Une habitante de la commune donne le ton en affirmant ne pas s’être rendue compte que la part de la population immigrée de sa ville avait fortement augmenté.

 Le journaliste qui interroge la passante boit du petit-lait. La voix off poursuit : « L’hebdomadaire Marianne s’appuie sur une étude réalisée par l’Observatoire de l’immigration et de la démographie

C’est un groupe de réflexion pas franchement pro-immigration. » 

Le commentaire est savoureux et un brin orienté. 

Il est aussi quelque peu moqueur vis-à-vis de « la France des églises et du biniou »« menacée par un sentiment de submersion migratoire ».

Une submersion migratoire que le journaliste de France Télévisions va pourtant mettre lui-même en avant. 

Dans les rues de La Guerche-de-Bretagne, il croise successivement un Angolais, un Marocain, des Bulgares et des Roumains mais pas le moindre Français.

 Il met cela sur le compte du hasard et non sur celui du nombre : « Apparemment, les étrangers de La Guerche sont les seuls à se promener, cet après-midi. »

Le reportage continue avec un focus sur un Roumain arrivé en France en 2010.

 Il a été recruté par une agence d’intérim dans son pays pour travailler dans un abattoir local.

 Cinq ans plus tard, « il a pu faire venir sa compagne ».

 Les deux tourtereaux se sont mariés et ont eu deux enfants.

La famille est intégrée, elle n’en demeure pas moins étrangère. 

Le journaliste semble perdre de vue le sujet de son reportage en faisant l’éloge de l’immigration sans jamais parler de nombre, alors même que ce foyer roumain est passé d’une à quatre personnes en l’espace de dix ans.

À ce sujet — La submersion migratoire, c’est ça !

 

Après les Roumains, les Roms.

 Les images montrent que cette communauté est très importante, à La Guerche-de-Bretagne.

 Les locaux interrogés le confirment et racontent que cette population n’est ni avenante ni civilisée. 

Une jeune femme relate : « Ils ont arraché le parquet d’un appartement en location à La Guerche. Ils n’avaient pas de chauffage, ils ont fait un feu avec le parquet. » 

Un élu local abonde : « On a une population un peu plus compliquée qui ne veut pas rentrer dans les clous. » 

 L’occasion, une nouvelle fois, pour le journaliste, de dévier du sujet et de parler de « sentiment d’insécurité » plutôt que de submersion migratoire.

France 2 continue le reportage dans le cabinet du maire de la ville, Élisabeth Guiheneux, en précisant que « l’élue ne conteste pas les chiffres de l’étude mais ce qu’ils suggèrent ».

 Les chiffres, pointés du doigt au départ, sont finalement jugés corrects.

 Le journaliste précisera par la suite que la population de La Guerche continue d’augmenter légèrement, « +4 % en six ans, alors que d’autres villages ruraux perdent des habitants »

Cela, grâce à l’immigration.

Enfin, la séquence se termine dans la salle d’un centre social où une quinzaine de « nouveaux arrivants » reçoivent des cours de français car ils doivent parler la langue pour obtenir des papiers. 

Parmi eux, un Angolais qui « est arrivé illégalement en France », avec sa femme (enceinte) et sa fille, « est hébergé par l’État » et « touche 400 euros par mois pour vivre »

Un clandestin qui, d’après France 2« se mettra tout le monde dans la poche » s’il trouve un travail.

Encore une fois, la question n’est pas là ! L’étude publiée par Marianne ne s’intéresse pas à la capacité des étrangers à s’intégrer ou aux bienfaits de l’immigration, mais à ses chiffres.

 

 Des chiffres que les images diffusées sur la chaîne du service public ne parviennent pas à contredire. Tout au long du reportage, la présence massive d’étrangers dans la commune d’Ille-et-Vilaine est mise en évidence. 

Dans les rues, dans les entreprises, dans les centres sociaux, partout, les immigrés sont présents en nombre.

 Preuve que la submersion migratoire n’est peut-être pas qu’un sentiment…

Par Sarah-Louise Guille

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