Remigration : une action continentale concertée pour le retour des clandestins dans leur pays d’origine
La remigration des étrangers était, il y a encore quelques années de cela, reléguée au rang de fantasme d’extrême droite.
Mais dans tous les pays qui subissent de plein fouet une immigration massive et incontrôlée, le thème est de plus en plus populaire.
Le 7 avril, une action commune a eu lieu dans plusieurs villes d’Europe.
Le mouvement italien Casapound a lancé dès le début de l’année une campagne nationale – REmigrazione – rapatriement total et sans compromis de tous les immigrés irréguliers -.
Elle prévoit, entre autres, des manifestations, des défilés et la collectes de signatures.
Le 30 mars, une grande banderole avec l’inscription « REMIGRATION » était déployée sur le Colisée, le monument le plus visité de la péninsule.
Le 7 avril, en Allemagne, en Italie, au Portugal, en Hongrie et en Espagne, des communautés militantes ont mené des actions coordonnées pour populariser le concept de remigration, à savoir le retour de tous les clandestins présents en Europe dans leur terre d’origine, et l’incitation au retour volontaire des descendants d’immigrés nés en Europe.
Copyright : Casapound Italia
Le comportement hyper-agressif des migrants au sein des pays d’accueil, leurs difficultés à trouver un emploi et une situation stable, leur rejet de notre culture, tout cela rend de plus en plus manifeste que l’El Dorado européen est un mirage et que la société multiculturelle heureuse n’est qu’un mythe.
Les politiques pour freiner l’immigration – débattre des ports de débarquement, des relocalisations de migrants au sein de l’Union européenne ou du déplacement temporaire des traitements des dossiers dans quelques pays aux portes de l’Union (comme le projet Italie-Albanie) – ne sont que des leurres, pour endormir les populations et sont vouées à l’échec.
Loin d’être une utopie, la remigration, établie par le développement d’instruments de collaboration diplomatique et économique et de partenariats stratégiques avec les pays d’origine, pour que ces derniers acceptent de reprendre leurs ressortissants et pour fixer les populations sur place, est la seule alternative politique possible pour que nos nations retrouvent un semblant de paix sociale.
Cela devant, bien entendu, s’accompagner de la fermeture des frontières et de la fin du business si lucratif de l’accueil.
L’inversion des flux migratoires est une mesure politique réaliste, faisable et conforme aux intérêts des populations… qui vont devoir se mobiliser.
Il en va de l’avenir des peuples blancs qui ont le droit, comme les autres, à vouloir perdurer et vivre en sécurité sur leurs terres.
Par Audrey D’Aguanno
Crédit photo : DR
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