samedi 26 avril 2025

ÉCOLES ET MEURTRE À NANTES (44 ) BIENVENUE DANS LA DYSTOPIE ORWELIENNE ...........

 Revue de Presse  !

,

 

Nantes : une lycéenne tuée et trois lycéens blessés par un jeune de 15 ans
 
Il aurait envoyé un courriel à tous les élèves et professeurs de l’établissement. Intitulé « Action immunitaire ».
Brève 1

Un lycéen de 15 ans a poignardé quatre élèves, ce jeudi 24 avril, à 12 heures 30, dans l'établissement scolaire Notre-Dame-de-Toutes-Aides à Nantes, qui accueille 2.000 élèves, de la maternelle au lycée. 

Il a agi dans deux salles de l’école avant d’être maîtrisé et interpellé.

 Un témoignage rapporte qu’il aurait demandé aux forces de l’ordre de le tuer, sans confirmation pour l’instant. 

Un couteau de cuisine et un autre de chasse auraient été trouvés sur lui. 

Trois élèves sont blessés, dont un qui est en urgence absolue.

 La quatrième victime, une jeune fille, a succombé à ses blessures.

À 12 heures 15, il aurait envoyé un message par courriel à l’ensemble des élèves et professeurs de l’établissement. 

 Intitulé « Action immunitaire » et sous-titré « La révolte est déjà la plus grande victoire que nous puissions attendre », le document comporte trois chapitres portant respectivement sur l'écocide, la violence institutionnelle et le système de colonisation de l'inconscient.

Le ministre de l'Éducation nationale Élisabeth Borne et le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau ont annoncé qu'ils se rendraient dans le lycée dans l’après-midi.


Picture of Boulevard Voltaire
Boulevard Voltaire 
 

 ET AUSSI

Portiques de sécurité dans les écoles après le meurtre de Nantes : la fuite en avant d’un pouvoir hystérique et impuissant

 [L’Agora]



Une adolescente assassinée dans un collège privé de Nantes

 Un drame odieux, qui soulève l’émotion et la colère. 

Que proposent aussitôt nos gouvernants, ces éminences aussi lâches qu’hystériques ? 

 Non pas de s’attaquer aux racines du mal, non pas de mener la guerre nécessaire contre les causes réelles de la violence dans nos écoles.

 Non : ils parlent d’installer des portiques de sécurité, de transformer nos lycées en aéroports ou en prisons.

 Bienvenue dans la dystopie orwellienne au nom du « vivre ensemble ».

 

À chaque fois, le même scénario pathétique se répète :

Les agressions sexuelles explosent dans les transports en commun ? 

Surtout pas d’amalgame : on placarde quelques affiches roses, on élargit les trottoirs, on explique aux femmes qu’elles ont autant de chance de tomber sur un agresseur sexuel à la pointe du Raz qu’à Meaux et on vous explique que « le respect, c’est important ».

Les attentats islamistes ravagent notre pays ? 

Pas d’amalgame toujours : on entoure les marchés de Noël de blocs de béton et de barbelés, comme du bétail apeuré.

 On ne se pose pas la question des auteurs de ces attentats et de leurs spécificités ( « Ils ont français, comme vous et moi »).

Les attaques au couteau se multiplient ? Interdisons les couteaux ! 

Comme si ce n’était pas la main, et l’esprit qui la guide, qu’il fallait juger. Il faudra d’ailleurs interdire la voiture aussi, pour éviter les « voitures folles ».

La délinquance flambe dans les cités ? Installons des caméras partout dans les villes, pour filmer l’effondrement au ralenti (et puis faisons en plus en sorte que la Justice ne puisse pas s’en servir lorsque c’est utile).

 Surveillons les mouvements de chaque citoyen, pour prévenir des méfaits d’une petite minorité.

Le trafic de drogue gangrène les villes et les campagnes ? 

Surtout ne posons pas la question des communautés qui contrôlent le trafic ni même de l’effondrement moral  et sociétal qui poussent des millions de gens à consommer toujours plus.

Nos autorités réagissent toujours de la même manière : dans l’émotion, dans la panique, comme des femmes hystériques, incapables de gérer leurs émotions, de la moindre analyse froide, de la moindre décision radicale. 

Toujours plus de lois, toujours plus de contraintes, jamais la moindre remise en cause de leur lâcheté chronique.

Au lieu de soigner la gangrène, ils changent les pansements.

Nous y voilà donc : pour « protéger » nos enfants, les lycées se couvriront de tourniquets, de badges, de portiques à 40 millions d’euros (c’est vous qui payez !). 

Des fouilles de sacs seront organisées sous le regard indifférent de vigiles (avec ou sans papier ?) débordés.

 Et tout cela pour quoi ? Empêcher un nouveau drame ? 

Non : pour donner l’illusion grotesque qu’ils font quelque chose, pour cacher qu’ils ont abandonné l’école, la nation, et la civilisation aux mains de barbares.

Et demain ? Demain, sachez que ce sera pire. 

Car cette logique de fuite en avant sécuritaire nous conduit droit dans l’enfer d’un totalitarisme « doux » : 

Vous serez contrôlés à chaque carrefour. 

On vous fera la morale (et pourquoi pas une amende ?) par caméra interposée parce que vous n’avez pas traversé la route au bon endroit. 

Vous serez filmés dans chaque couloir.  Vous serez fichés, pistés, catalogués. 

Vos enfants seront traités comme des délinquants tous les jours en rentrant à l’école, au même titre que vous acceptez d’être traités comme du bétail par des « agents de sûreté » à chaque fois que vous prenez l’avion.

Tout cela « pour votre sécurité », pour votre « protection », pour éviter surtout d’avoir à nommer les responsables du chaos.

 

Il ne faut pas des portiques, il faut des murs extérieurs. 

Il ne faut pas fouiller les cartables, il faut rétablir l’ordre, l’éducation et les frontières. 

Il ne faut pas traquer les couteaux, il faut expulser ceux qui haïssent notre peuple et enfermer ceux qui, en son sein, nuisent à la société dans son ensemble.

Mais cette vérité-là est trop brutale pour les molles cervelles de nos dirigeants. 

Ils préfèrent asservir les honnêtes gens plutôt que combattre les vrais coupables.

Assez de lâcheté !   Refusons de devenir les esclaves volontaires d’un système qui préfère nous enchaîner plutôt que se battre. 

Si nous ne voulons pas demain vivre sous un régime de surveillance généralisée, dans un pays transformé en gigantesque camp de rétention, il est temps de ne plus se comporter en pleutre droitard, qui jubile à chaque mesure sécuritaire qui pourtant l’enchaine lui aussi, et de refuser ces mesures absurdes, contre cette politique de l’évitement et de la soumission.

 

Nous devons réclamer la vraie sécurité : celle qui passe par le rétablissement de l’ordre naturel, par le droit à l’auto défense, par la reconquête identitaire, par la restauration de notre autorité collective perdue.

 Pas par des portiques !

Sinon, demain, vous ne serez plus que des numéros, des bip électroniques dans les couloirs de votre propre asile, des code-barres, et au final, de la chair à canon.

Vous avez accepté les fouilles dans les aéroports, les masques en pleine campagne et à l’école sur le visage de vos enfants, les points en moins sur votre permis de conduire et les gendarmes arrogants pour 10km/h de trop. 

Vous avez toléré qu’on vous enlève petit à petit vos libertés « pour votre sécurité », « Pour votre santé »…

Si il vous reste néanmoins un peu de dignité et de respect de vous mêmes, réveillez-vous enfin, pas pour vous, mais au moins pour vos enfants !

Par Julien Dir

Illustration : DR
[cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine


  • TWITTER 


    @ThomasJoly732
     
    Le drame avec Justin Polat, c’est qu’après avoir tué une gamine en la poignardant à 57 reprises, la justice sera incapable - quand bien même elle le voudrait… - d’apporter la réponse pénale nécessaire à ce crime. 
     
    Il sortira de taule avant d’avoir mon âge (33 ans) alors qu’il mérite la mort.
     
     Premier problème : l’ordonnance pénale des mineurs du 2 février 1945, d’inspiration communiste. 
     
    Le criminel est perçu comme une victime et sa peine encourue est Ipso facto divisée par deux au seul motif qu’il n’est pas majeur. 
     
     S’il est impossible de se prémunir de ce genre de crimes, nous ne sommes pas condamnés à appliquer une justice de dégénérés.
     
     Il faut juger les mineurs et les majeurs à la même enseigne, supprimer l’ordonnance des mineurs de 1945 - en réformant complétement le Code de la justice pénale des mineurs (CJPM), entré en vigueur le 30 septembre 2020 - et rétablir la peine capitale. 
     
     Cette position claire est juridiquement structurable : elle nécessiterait une refonte constitutionnelle, une rupture avec les engagements internationaux, et un retour assumé à une justice pénale fondée sur la sanction et la proportionnalité du châtiment au crime.
     
     C’est le projet du Parti de la France.  
     
    Pierre-Nicolas Nups - Secrétaire général du Parti de la France
     

     
    Image

    Aucun commentaire:

    Enregistrer un commentaire