REVUE DE PRESSE !
RN 37,05 % des suffrages, 17,52 % des députés : une élection volée ?
Alors que le RN, il y a une semaine, semblait en passe d’avoir au moins une majorité relative de députés à l’Assemblée nationale, il est, ce lundi matin, la troisième force politique de cette dernière avec seulement 142 sièges au lieu des 240-250 espérés.
Comment une telle évolution a-t-elle été possible en une semaine ?
Si l’on regarde le nombre de voix obtenues lors de ce second tour, l’on constate que le Rassemblement National obtient avec ses alliés des Républicains 10,1 millions de voix, alors que le « Front Populaire » en obtient seulement 7 millions, les macronistes 6,2 millions et les Républicains restés isolés 1,5 millions.
Référence ministère Intérieur : France entière – Elections Législatives 2024 – Publication des résultats des élections en France (interieur.gouv.fr)
Le Rassemblement National, comme au 1er tour, est largement en tête.
Il obtient donc 37,05 % des suffrages exprimés, le « Front Populaire » 25,68 %, les macronistes 22,63 %, les républicains isolés 5,41 %.
Ce qui signifie que l’ensemble de la Droite recueille 42,46 % des suffrages et que si elle avait été unie, elle aurait remporté l’élection.
Comment, dans ce cas, se retrouve-t-il en troisième position avec seulement 142 sièges (dont 88 au second tour) contre 187 (dont 146 au second tour) pour le « Front Populaire », 159 (dont 148 au second tour) pour les macronistes et 39 (dont 38 au second tour) pour les républicains isolés ?
Grace à une alliance digne de la IVe République : les désistements systématiques mis en place sous l’étiquette d’un Front soi-disant « républicain » ont permis encore une fois d’isoler ce qui est devenu la première force électorale du pays.
Passer de 306 triangulaires possibles à seulement 89 grâce à des accords de désistements entre adversaires a complètement bouleversé le jeu démocratique et faussé l’élection.
Alors qu’au premier tour le RN obtient déjà 38 sièges et le Front Populaire 32 sièges, les macronistes n’en avaient obtenu qu’un seul, de même que les républicains isolés.
Les 75 sièges (sur 577) répartis au premier tour le sont donc surtout au RN et au Front Populaire, ce sont donc ces partis qui devraient voir leur nombre de voix diminuer, et c’est bien le cas pour le Front Populaire qui passe de 8,995 millions de voix au 1er tour à 7,005 millions au second.
Le RN, au contraire, ne diminue que peu, ce qui prouve qu’il a eu encore une réserve de voix dans les circonscriptions où il était encore présent, puisqu’il passe de 9,379 millions à 8,745 millions de voix.
1 électeur de Gauche = 2 électeurs de Droite : Législatives 2 voix RN = 1 voix Front Populaire (youtube.com)
En conclusion, ce qui ressort de cette législative n’est certainement pas la volonté du peuple français.
Cette élection a été fortement biaisée par les désistements réciproques visant à isoler le mouvement représentant désormais la plus grande partie des Français.
L’Assemblée nationale qui en résulte ne pourra guère déboucher sur un gouvernement stable et il est probable que nous nous dirigions vers une nouvelle législative anticipée d’ici un an !
Par Christophe Bugeau
ET AUSSI
Macron a le choix entre Jean-Luc Mohamed Mélenchon et François Nutella Hollande !
Au lendemain des résultats du second tour des élections législatives, c’est l’emmêlement politique en France, le bordel, quoi !
Et à cette heure, on ignore encore qui sera le futur Premier ministre, la démission d’Attal ayant été refusée lundi midi par Manu, qui lui a dit sans rire que c’était pour : « assurer la stabilité du pays »…
Un peu comme si un djihadiste, après son attentat, allait porter secours aux survivants !
En attendant, Manu n’aura pas beaucoup de choix lors de la prochaine et inévitable nomination d’un nouveau Premier sinistre.
On exclura la Tondelier, immaculée de bêtise et dont le sourire me rappelle le Monsieur Jack de Tim Burton !
On oubliera aussi Fabien Roussel, joliment battu dès le premier tour.
De toute façon, Sandrine Rousseau ne supporterait pas de voir à Matignon un mangeur assumé de viande rouge !
Sandrine, justement, on pourrait y songer, mais là tout le monde se foutrait tellement de sa poire qu’elle finirait par fermenter !
Olivier Faure, dont le charisme égale celui de Dany Boon postulant pour le rôle de James bond, serait évidemment une erreur de casting.
Un poulain ou une pouliche de Macron, c’est aussi exclu, sauf à se moquer des urnes.
Enfin, un représentant du Rassemblement national est inenvisageable, à moins de vouloir transformer le pays en feu ultra-gauchiste de la Saint-Jean.
Ah oui, j’allais oublier Raphaël Glucksmann.
Dommage car il est d’origine juive ashkénaze et se verra renvoyé dans les cordes par ses amis pro-Hamas de la LFI !
C’est con de lutter contre l’extrême droite, qui ne vous veut aucun mal, et de soutenir les ogres islamiques qui, eux, ont envie de vous dévorer tout cru, hein Rapha !
Il reste deux possibilités.
La première serait de faire entrer la bête islamique – un peu immonde celle-là aussi ! – en la personne de Mélenchon, par ailleurs admirateur transi de tous les exterminateurs rouges et à présent de la lumière d’Allah, ce qui pourrait l’inspirer en substituant par exemple le Croissant au drapeau national.
Heureusement, son ardeur anti-France serait tempérée au moins par la Constitution.
Mais, avec son talent oratoire manifeste – et néfaste –, Mélenchon pourrait exciter les cités diversitaires, servilement secondées par les pustules antifas, dont l’une des idoles est désormais élue : Raphaël Arnault, le fiché S.
Dire que certains grinçaient des dents lorsque, jadis, Gaston Defferre – copain du milieu marseillais – avait été nommé ministre de l’Intérieur dans le gouvernement de Pierre Mauroy !
Et puis il y a la seconde et très mitterrandienne option : François Hollande.
Option qui avilirait encore un peu plus l’intéressé puisque Macron s’en donnerait à cœur joie, comme, précisément, Mitterrand avec Chirac lors de la cohabitation de 1986.
Hollande souffrirait alors moult quolibets et vexations dont est friand le teckel hargneux de chez Rothschild.
Notons que cette option faciliterait le travail de Riposte laïque, puisqu’il n’y aurait plus qu’à se baisser pour ramasser l’inspiration, un peu comme du temps de l’inoubliable porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye ou des grandes heures de Sandrine coquine Rousseau, qui a un peu perdu de sa superbe, je trouve ! Toutefois, Hollande, avide de pouvoir comme il l’est, n’hésiterait pas l’ombre d’un instant.
Napoléon avait bien raison en disant que : « Le mot “vertu politique” est un non-sens. »
Le marécage politique malodorant qu’on nous prépare le prouvera sûrement…
Par Charles Demassieux
ET AUSSI
TRIBUNE LIBRE !
Le RN ne sera jamais au pouvoir, il n’a pas le mental pour gagner !
Le RN ne sera jamais au pouvoir, il n’a pas le mental pour gagner, c’est ma conviction.
Et dans une France devenue multiculturelle, sans scrupule, et sans enfants blancs, c’est perdu d’avance.
La diabolisation, voulue et mise en place par Mitterrand, a relégué le RN à la marge en permanence.
Depuis quelques années, il frôle le pouvoir, sans jamais l’atteindre.
Bien sûr il y a le mode de scrutin (avec la proportionnelle il serait au pouvoir depuis belle lurette), bien sûr il y a les campagnes de désinformation et de mise en accusation permanente de la gauche mais, selon moi, il y a surtout un grave handicap mental de la patronne, que Marine Le Pen ne parvient pas à guérir car elle n’a pas compris qu’il s’agissait d’un handicap.
Au contraire, elle pense bien faire !
Je m’explique : Marine Le Pen a un mental de soumission.
Elle se soumet, depuis le premier jour de ses responsabilités à la tête du Front, aux critères d’évaluation et de sélection de la gauche.
C’est plus fort qu’elle, ce n’est donc pas elle qui est forte, c’est la partie adverse, et elle passe son temps à donner des signes d’allégeance à cette gauche qui l’a bien compris et en rajoute.
Et quand elle en rajoute, Marine se soumet encore plus bas.
C’est ainsi qu’elle a viré du Front puis du RN tous les gens de son parti que lui désignait la gauche, celui-ci pour antisémitisme invoqué, celui-là pour anti-féminisme sous-entendu, celle-là encore pour homophobie supposée…
Or pour avoir le pouvoir, il faut être fort et Marine ne l’est pas, ne pas se laisser impressionner et rester ferme sur ses positions, quitte à choquer sur le moment.
De plus, les Français, qui à titre individuel ne sont plus courageux depuis que la République les a terrorisés semble-t-il à jamais, en aiment d’autant plus les fortes têtes et ceux qui s’affranchissent de bien des règles de savoir-être (ils avaient notamment plébiscité Tapie qui n’était pas un modèle de moralité en affaires…).
Regardez Mélenchon, il ne recule devant rien, il a fait élire députés de la France un fiché S et toutes sortes de gens qui ont clamé haut et fort qu’Israël devait disparaître ! (on est loin du « détail de l’histoire » de Jean-Marie Le Pen qui avait pourtant achevé de le tuer politiquement)… et les Français n’ont pas pipé… tandis qu’ils s’émeuvent sur les réseaux sociaux et dans les urnes des « dangers » que représenterait le Rassemblement national (lesquels ?
Pouvez-vous approfondir votre pensée ?… visages interloqués « mais comment !!? vous ne voyez pas à quoi je fais allusion ??… ce sont des antisémites et des fachos ! »).
Et voilà, le tour est joué et Marine Le Pen redoublera d’exclusions injustes et de châtiments stupides envers ceux de chez elle qui lui seront désignés par la gauche.
Stratégie suicidaire car, ce faisant, elle s’accuse à chaque fois.
Eh oui ! En psychologie, elle devrait le savoir, s’excuser, c’est s’accuser.
Marine Le Pen passe son temps à s’excuser donc à s’accuser d’être un parti de « brebis galeuses » et cela commence à faire beaucoup d’auto-accusations pour la même personne.
Comment voulez-vous qu’elle gagne le pouvoir avec ça !?
Ce n’est pas rassurant quelqu’un qui s’excuse et s’accuse tout le temps.
Alors, l’adversaire en profite et il le harcèle.
C’est en effet le même processus que celui du harcèlement scolaire et des têtes de turc de toujours : “Ah ! Tu accuses le coup ? Tu baisses la tête ? Tu demandes pardon ?
Eh bien, tu vas voir, tu vas en prendre plein la gueule et tu vas faire tout ce qu’on te dit !”
Nous en sommes là.
Si Marine Le Pen avait assumé ses « condamnés par la gauche », les Fournas, Gannat, Blein, etc., si elle les avait défendus en essayant d’abord de savoir la vérité au lieu de s’en remettre à l’adversaire (car ils étaient tous défendables quand les Arnault et Boyard, eux, ne le sont pas), elle aurait montré qu’elle en avait et qu’il ne fallait pas utiliser ces méthodes avec elle.
Et aux yeux des Français ce serait passé crème car, au fond d’eux-mêmes, ils auraient été rassurés ; « cette femme est forte, elle ne craint personne, c’est elle qu’il nous faut ! ».
Ses adversaires l’auraient respectée et les Français aussi.
Mais le mal est si profond au RN que tous sont atteints.
Patrice R., l’homme que j’ai moi-même mis en place pour me remplacer et diriger la 4e circo des Côtes-d’Armor, avec qui j’ai collé et tracté pour Reconquête et qui m’avait demandé d’aller tracter avec lui pour le RN au deuxième tour sur le marché de Guingamp, m’a délaissée sans même me prévenir et au dernier moment, sur ordre du candidat RN, car je fais partie des « condamnés par la gauche » pour « radicalité », condamnation actée et tamponnée, cela va sans dire, par Marine Le Pen, le doigt sur la couture de sa jupe droite.
Je n’ai donc pas tracté, ne voulant pas prendre le risque d’une altercation sur place qui aurait fait mauvais effet, d’autant que tout le monde me connaît.
Patrice s’est conduit de façon lâche et inamicale et n’est certes pas le « chevalier » qu’il croit être.
Il a eu le réflexe marinesque de soumission, lequel innerve malheureusement toutes les strates du Rassemblement.
Cela n’a fait que renforcer ma conviction qu’un parti qui se laisse harceler et dicter son comportement n’a aucune chance d’accéder au pouvoir.
Nous sommes dorénavant, les urnes ont parlé, dans un pays profondément multiculturel et la politique de gauche qui va forcément être menée ne va qu’accentuer le phénomène.
Les centaines de milliers d’étrangers maghrébins et africains supplémentaires qui vont s’installer dès demain matin chez nous et procréer chez nous, acquérant notre nationalité donnée à tous, ne vont que renforcer au moment du vote les rangs des promoteurs de la « créolisation » comme Mélenchon et sa clique.
Si nous voulions avoir une chance qu’un ou une patriote bien de chez nous accède au pouvoir en 2050, il faudrait que, de nous-mêmes, nous mettions en oeuvre une politique nataliste de survie qui renverse tout sur son passage.
Avec 5, 6 ou 7 enfants par famille franco-française, décision prise dès demain matin à rebrousse-poil de toute politique de gauche, nous aurions une chance d’accéder au pouvoir dans 25 ans quand cette nouvelle jeunesse serait en âge de voter et aurait souffert de la situation de notre pays.
Voilà ce qui serait un acte de Résistance imparable, au nez et à la barbe des créolisateurs !
Sans quoi, c’est foutu.
La France est aujourd’hui multiculturelle, elle sera dans dix ans, par le fait même de la démographie, islamoculturelle.
Il aurait fallu que le RN prenne le pouvoir aujourd’hui, ou même mieux en 2022, car chaque année compte, mais il nous aurait fallu pour cela un chef, un guerrier, un caïd sûr de lui et insensible aux injonctions, pas une éleveuse de chats aux ordres des forts en gueule !
Chaque fois que Marine a cru « dédiaboliser », elle a montré sa faiblesse, elle a multiplié les mea-culpa et tendu chaque fois d’un cran la machine à tuer de son adversaire.
Elle aurait mieux fait de s’inspirer du « never explain, never complain » (ne rien expliquer, ne jamais se plaindre) des Anglais qui savent vivre ou du « bien faire et laisser dire » de nos grands-mères.
Par Catherine BLEIN
Grand mère
Source et Publications : https://ripostelaique.com
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