TRIBUNE LIBRE !
“Memory Tour” festif pour immigrationnistes fous
Voilà, j’ai le projet de monter une agence de tourisme spécialisée.
J’ai trouvé un filon en or : les monuments aux morts français.
Je suis tombé par hasard ce matin sur un site de l’Université de Lille qui recensait ceux-ci.
https://monumentsmorts.univ-lille.fr/
J’ai aussitôt trouvé mon village de naissance en Mayenne.
Les ressources, apparemment exhaustives, s’étendent à la Belgique.
Cherchez le vôtre, l’outil est exceptionnel, il y a les noms des braves des trois guerres du XXe siècle, 1914-1918, 1939-1945, Indochine 1946-1954.
Et là, aussitôt, une idée a jailli dans mon cerveau !
Quel est le cœur de cible de mon projet touristique ?
L’immigrationniste fou de gauche.
Quelle est la nature de ce projet touristique ?
Je me suis dit que, vu la volonté inextinguible de nos médias et élus de gauche d’imposer des migrations indésirables à la France et aux Français, le tout en dehors de la volonté de ces derniers, il serait d’une opportunité géniale de proposer à ces immigrationnistes fous de venir faire un tour dans leur village ou ville d’origine, leur proposer ainsi une séance de crachats et autres paint ball d’excréments sur les monuments aux morts.
Une séance de dégueulis sur son nom et son drapeau en quelque sorte !
Une séance nihiliste et jouissive de haine de soi ! Observez la Nue Peste, les écolos, les Insoumis, ces progressistes autoproclamés adorent taguer les monuments français, adorent détruire les symboles du capitalisme et de la réussite française, adorent cracher sur notre pays et notre peuple « notablement arriéré » selon eux…
Leurs héros sont les ennemis de la France.
Leurs sempiternels objectifs wokistes sont de dessouder toutes les statues françaises de nos Grands Hommes et héros magnifiques.
Une séance de jubilation excrémentielle serait pour eux d’une jouissance inouïe, non ?
Rendez-vous compte du plaisir décuplé : venir ainsi en groupe, syndicats, partis, médias et associations immigrationnistes de gauche, vomir sur leurs ancêtres, ces poilus crétins qui ont donné leur vie pour défendre le territoire français et sa civilisation !
On pourrait en faire des destinations pour motivation de groupe, ce qu’on appelle aujourd’hui le team building !
Quel pied pour la gauche.
Deux générations plus tard, après ce sacrifice à millions de morts, ces descendants de crétins poilus, évidemment beaucoup plus intelligents et ouverts que leurs ancêtres question « ouverture (du fondement) à l’autre poilu (exotique) », proposent à tous les indigents du monde la destination France, cette catin dévergondée pour qu’on lui passe et pisse dessus, qu’on ponctionne à mort ses ressources sociales afin d’entretenir à grands frais ce nouvel électorat d’importation qui ânonne à peine la langue de céans, pour qu’on la piétine, batte, viole et sodomise, pour qu’on brûle ses monuments, églises et bibliothèques infâmes, pour qu’on assassine ses enfants, et pour finir qu’on voile Marianne au nom des grands principes humanistes et universalistes…
Pour ces immigrationnistes fous, parmi eux le célèbre timbré de la Vallée de la Roya et les clowns pathétiques situés à la gauche de l’Assemblée nationale, « éloge des frontières » est une locution surannée pour bas du front restés coincés dans une IIIe République fantasmée et nauséabonde !
Oui, c’est ce que proposent sans aucun complexe les immigrationnistes fous et leurs protégés : la tabula rasa par envahissement islamique.
Et comme l’islam est le spécialiste mondial incontesté de ratiboisement des civilisations antérieures, les immigrationnistes fous en appellent à ce rouleau compresseur pour remettre à nu la terre de France, Gaïa oblige, par le brûlis et par l’épée comme l’islam le fit partout sur la terre.
Technique guerrière par ailleurs fort efficace, convaincante.
Je proposais donc que, forts de leur convictions, on donne à ces êtres évidemment supérieurs en immigrationnisme l’occasion festive de venir commettre un petit jet d’urine ou de dépôt excrémentiel du matin sur le nom de leur ancêtre gravé sur ces monuments aux morts, ce poilu crétin qui a cru bon et intelligent de sacrifier son âme et son corps pour défendre sa chair patrie, ses frontières face à l’envahisseur.
Car c’est ce que font symboliquement ces descendants de poilus à l’Assemblée nationale, à la télévision, dans la presse et sur toutes les antennes, dans les ONG immigrationnistes, non ?
J’ai bon espoir que, le succès de mon entreprise aidant, je m’étendrai aux pays voisins pour exporter mon business model : car le potentiel de cette clientèle abjecte semble extraordinairement prometteur en Europe.
Un peu sur le modèle de chasse à l’homme et autres paint ball, où l’on organise des chasses à l’indigène symbolique (non fictives aux USA) pour préparer les esprits au réel.
Autrefois, les élites de gauche colonialistes n’étaient-elles pas férues des safaris en Afrique ?
Où les cibles proposées n’étaient pas les animaux sauvages de la savane, non non non ! mais bien les « sauvages » du cru.
Les générations précédentes humanistes s’étaient d’ailleurs fait la main lors du Triangle Atlantique régulé par le Code Noir.
En fait, l’immigrationniste fou descend lui aussi de l’esclavage, mais « côté maîtres »…
Je vous passe les détails mais chacun peut les imaginer sans difficultés.
Un peu comme quand, à Kho Lanta (clubs, entreprises, familles), on apprend à sacrifier froidement un innocent pour le bien et la survie du groupe (Le Bouc Émissaire de René Girard)…
Un peu comme quand, lors de l’Aïd el Kebir, on apprend à l’adolescent à couper la jugulaire du mouton pour s’entraîner avant de répéter froidement le même geste sur le mécréant.
Et l’on coupe aussi dans cette tradition esclavagiste les bourses viriles pour éviter que les générations futures puissent exister : magnifique livre que Le Génocide Voilé de Tidiane N’Diaye, 2008.
Un peu comme quand, dans certaines familles bourgeoises, on emploie aujourd’hui la petite immigrée tel qu’on employait autrefois la soubrette régionale, pour servir au gîte et au couvert, et autres menus services annexes comme le « troussage de domestique », 15 heures par jour et par nuit…
Tu obéis si tu veux obtenir des papiers !
Grâce à mon cœur de cible, l’immigrationniste fou de gauche, mon agence touristique va faire fortune.
C’est écrit.
Un petit malin me rétorque : « Vous ne croyez pas que la honte va les submerger et que votre business model va en pâtir, ils n’oseront pas ! »
Ma réponse est simple.
Ces idéologues tabularasistes sont les disciples de Mao, de Goebbels, de Pol Pot, de Staline, de Ceausescu.
Ratiboiser un village et éliminer ses populations est dans leurs cordes, est inclus dans leurs projets progressistes.
Marx et Engels les avaient théorisés en 1848 dans The Listener.
Leur auteur emblématique George-Bernard Shaw avait même proposé qu’on créa un « gaz humanitaire » pour éliminer les populations indigentes d’Europe incompatibles avec le projet du Nouvel Homme (dont l’immigré afro-musulman est le nouveau candidat), « car le gaz endort avant de tuer » disait-il.
Ce projet ne leur tirera donc aucune larme alors que c’est pour le bien de la cause : « la sauvegarde de Gaïa par l’élimination des surnuméraires ».
Pire, la jouissance écologiste de ramener un territoire donné à sa forme originelle serait largement supérieure à la honte d’éliminer des populations primitives qui y habitaient auparavant (les basses du front régionales situées au-delà du périphérique parisien qui ne regardent pas Canal+ et qui vont au bal se bourrer au saucisson, aux poulardes, au gros rouge et à la bière après la chasse).
N’étaient-ils pas tous d’ailleurs en accord, ces immigrationnistes fous, avec la proposition d’obligation vaccinale ARNm, dont il commence à poindre par diverses enquêtes internationales que le malthusianisme et l’eugénisme d’un futur Gouvernement mondial à la sauce Attali (surnommé Attila par de très mauvaises langues) n’étaient pas étranger à ce programme de vaccination mondiale, alors que leurs idéologues en chef Yves Cochet, Klaus Schwab, Greta Thunberg et Bill Gates avaient auparavant en tête un étiage maximal d’un milliard d’individus sur la terre « pour protéger Gaïa » (réf. La Bombe P de Paul R. Ehrlich, 1968).
Alors, croyez-moi, mon business model d’aller « cracher sur les tombes et les monuments aux morts » possède un potentiel commercial extrêmement puissant.
Le cœur de cible des immigrationnistes fous pullule dans les chaînes de radio et de télévision publiques et privées, à l’Assemblée nationale, dans leurs ONG subventionnées par nos impôts. La presse écrite, n’en parlons pas.
Bien sûr il va falloir préparer un petit comité d’accueil : boissons et mets à volonté, hôtels avec spa, sauna et hammam, autres masseuses exotiques, mignons et geishas d’importation, techno parade en tutus et agapes de haut niveau avec fourniture de shit et de blanche…
Mais le clou du programme sera la scatologie.
N’est-on pas arrivé à l’étape eschatologique où il faut profiter de tout avant l’implosion ?
J’ai mon idée et mes réseaux. Je suis certain du succès de mon entreprise.
Je garde le meilleur pour la fin, le dernier détail, l’accroche publicitaire : J’irai cracher sur vos tombes de Boris Vian sera offert dans toutes les chambres d’hôtel, accompagné d’une boite de chocolats au Fentanyl et d’un Veau d’Or en pendentif pour les conjoint(es).
Dans un monde de décadence, à Wall Street comme ailleurs, le vendeur de fruits pourris fait fortune.
Par François Servenière https://ripostelaique.com/
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