mardi 19 décembre 2023

ENSAUVAGEMENT EN BRETAGNE ! QUE DES " CHANCES POUR LA FRANCE " ! LE GOUVERNEMENT NOUS EN IMPOSE UN PEU PLUS !

 

« Je vais tous vous planter. 

Je vais revenir avec un couteau pour vous planter » : un migrant pakistanais condamné après avoir enrichi culturellement l’office HLM de Lorient (56)

Brest

Un migrant pakistanais de 24 ans a été condamné, ce vendredi 15 décembre, par le tribunal de Lorient, à sept mois de prison ferme pour menace de mort. 

Ce dernier s’était présenté au siège de Lorient Habitat, d’où il était blacklisté, pour une demande de logement social (à laquelle bien souvent des Bretons ne peuvent même pas prétendre).

« Je vais tous vous planter. Je vais revenir avec un couteau pour vous planter » déclarera-t-il alors qu’un vigile lui bloquait le passage.

Le tribunal a décidé de le condamner à huit mois d’emprisonnement dont quatre avec sursis probatoire de deux ans, de révoquer de trois mois son précédent sursis et de demander son incarcération immédiate.

 Le coupable passera donc sept mois en prison. 

Il a, par ailleurs, l’interdiction de se rendre à Lorient habitat. 

Par contre, il n’a pas gagné son aller simple direction le Pakistan. 

Arrivé en 2017, sans la moindre situation stable ici, avec un casier judiciaire, la magistrature chargée de rendre la justice par et pour le peuple a donc décidé qu’il pourrait continuer à « enrichir » culturellement le pays à sa sortie de prison.

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine


Ensauvagement en Bretagne. 

Des Moldaves suspectés d’avoir volé pour plus de 300 000 € de vélos

Moldaves

Au menu de l’actualité judiciaire bretonne de ces derniers jours, l’interpellation de plusieurs équipes de voleurs. 

Commençons ce tour d’horizon par l’arrestation de trois ressortissants moldaves le 12 décembre dernier en région parisienne dans le cadre d’une opération judiciaire « menée par la section de recherches de Rennes, appuyée par des unités territoriales de la gendarmerie », selon les explications fournies dans un communiqué par le procureur de la République de Rennes.

Quant aux faits, il faut remonter au mois d’août 2022, époque où fut ouverte une enquête préliminaire par le parquet de Saint-Malo après qu’un magasin de vélos situé Plancoët (Côtes d’Armor) ait subi un cambriolage d’un préjudice évalué à 37 000 €.

Quelques temps plus tard, les investigations conduisent la section de recherche de la gendarmerie de Rennes sur la piste d’une « équipe de ressortissants moldaves basés en région parisienne, spécialisés dans ce type de cambriolages, sévissant sur une large partie du territoire national », a précisé le procureur de la République de Rennes.

 

Un butin estimé à plus de 300 000 €

Par ailleurs, le groupe de voleurs a sévi dans bien d’autres départements, de l’Ille-et-Vilaine à la Sarthe en passant par la Saône-et-Loire, le Jura, les Landes, la Haute-Vienne ou encore la Charente-Maritime et l’Hérault. 

Au total, c’est un butin de plus de 300 000 € de vélos volés qui est attribué aux malfaiteurs. 

Ces derniers revendaient une partie de ces vélos par l’intermédiaire d’un site de vente en ligne hébergé en Russie.

C’est ainsi qu’au mois de juin 2023, compte tenu de l’ampleur prise par ces vols et par l’étendue des territoires touchés, le parquet de la Juridiction Interrégionale Spécialisée (JIRS) de Rennes s’est saisi du dossier.

Les perquisitions réalisées en ce mois de décembre 2023 ont notamment donné lieu à la saisie de 37 vélos provenant en grande partie d’un récent cambriolage commis dans l’Hérault au mois de novembre dernier. 

Le tout pour une valeur marchande estimée à plus de 150 000 €. 

Des cycles qui ont ensuite été restitués au commerçant victimes des vols.

 

Les Moldaves placés sous contrôle judiciaire

C’est ainsi que le trio de ressortissants moldaves âgés de 26 à 41 ans a été placé en garde à vue puis déféré au parquet de la Juridiction Interrégionale Spécialisée de Rennes.

Le tribunal correctionnel de la capitale de l’Ille-et-Vilaine se penchera sur leur cas le 15 avril prochain tandis que les trois prévenus devront répondre des faits de vols en bande organisée, recel en bande organisée de vols commis en bande organisée et association de malfaiteurs.

Pour autant, bien qu’ils encourent jusqu’à 10 ans de prison, les trois Moldaves n’ont pas été placés en détention provisoire mais simplement sous contrôle judiciaire dans l’attente de leur jugement…

 

Une équipe de cambrioleurs interpellée dans le Morbihan

Dans le Morbihan, la gendarmerie a communiqué le 18 décembre sur l’interpellation d’un groupe de quatre individus suite à des investigations menées par les brigades de recherche de gendarmerie de Pontivy et de Lorient sous la direction du parquet de Lorient.

Selon les forces de l’ordre, « plusieurs dizaines de faits, commis entre janvier et novembre 2023 dans le Morbihan et les départements limitrophes, peuvent ainsi être rattachés, grâce aux investigations menées », aux quatre individus interpellés le 12 décembre dernier tandis que le département a été, depuis le début de cette année 2023, « fortement impacté par des cambriolages de commerces et de garages automobiles ».

Quant au mode opératoire, les voleurs, « agissant de nuit », avaient pour habitude de cibler principalement des outillages ainsi que du matériel de motoculture. 

Mais pas seulement puisque les enquêteurs ont également découvert que les voyous en question avaient aussi commis des vols de câbles téléphoniques et de véhicules.

Des éléments confirmés par les diverses perquisitions réalisées par la suite qui ont donné lieu à la saisie de nombreux biens et objets volés. 

Mais aussi à la découverte d’armes et de munitions. 

La justice devait traiter de leur sort le 15 décembre.

Les auteurs des faits ont été présentés devant la justice le 15 décembre 2023.

 

ET AUSSI

 

 

 


Loperhet (29. 

Une pétition contre l’accueil de migrants « mineurs non accompagnés »

Il devient impossible de se loger dans le Finistère, ou d’espérer louer quelque chose.

 Mais le Département lui, a d’autres priorités. 

Ainsi, à Loperhet,  ville de 4000 habitants, un centre d’accueil pour « mineurs non accompagnés » (principalement des migrants entrés illégalement en France en provenance d’Afrique ou d’Asie)

Ainsi vient d’être actée la vente du site de Gorre Menez par le vote de la Communauté d’agglomération du Pays de Landerneau-Daoulas. 

 Le Département, nouveau propriétaire, va déléguer la future gestion du site à une structure spécialisée dans l’action sociale. 

Un appel à projets a été publié sur son site et des négociations sont en cours pour une ouverture au 1er mars 2024, comme l’a confirmé le président du département Maël de Calan.

Mais déjà, des habitants de la commune se mobilisent pour empêcher le projet, un de plus en Bretagne.  

 

Une pétition est en ligne.

Rénové en 2017 par la communauté de communes du pays de Landerneau-Daoulas (devenu, depuis, communauté d’agglomération), le centre de Gorre-Menez vient de passer sous propriété du conseil départemental

Le département va l’adapter en foyer de mineurs non accompagnés, avec une ouverture au 1er mars 2024.

Cette structure permettra l’accueil de 50 à 80 migrants mineurs non accompagnés en plein cœur d’un quartier calme de Loperhet.

Aujourd’hui les habitants de ce quartier ont été mis devant le fait accompli car ni la mairie ni le conseil départemental n’ont pris la peine de consulter la population

Cette même population se retrouve face à une mairie qui ne veut pas défendre les habitants de sa commune et un conseil départemental qui espère éloigner des migrants des centres urbains et le tout sans encadrement.

A tous les habitants de Loperhet, signer cette pétition pour montrer à madame le maire que sa démarche va à l’encontre de la volonté de ces administrés, montrons au conseil départemental que les habitants de Loperhet ne veulent pas de ce centre dans leur commune.

Pour le moment, on arrive bientôt aux 2 000 signataires, et une mobilisation pourrait rapidement s’organiser, à l’initiative des locaux s’opposant à cette immigration imposée et validée par un conseil département qui se prétend « de droite »

Au printemps 2020, la Cour des comptes publiait un rapport chiffrant le coût de l’immigration à 6,6 milliards d’euros en 2019 en France.

 Quelques jours plus tard, interviewé par Breizh-Info, Jean-Paul Gourévitch (l’un des meilleurs spécialistes de la question du coût de l’immigration) faisait remarquer que ce rapport n’avait pas tenu compte « notamment du coût important des mineurs non accompagnés ».

Or, la facture imputée à la prise en charge de ces migrants, dont la minorité supposée a fait l’objet de nombreuses remises en question, est loin d’être négligeable !

 En 2021, Agnès Verdier Mollinier, à la tête de l’IFRAP (Fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques), évaluait le coût de l’accueil des mineurs non accompagnés…à 2 milliards d’euros par an.

 

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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