TRIBUNE LIBRE !
Cacher ce prénom évocateur
En Macronie, il faut que le bon peuple ne soit que désinformé et dorme tranquillement à l’abattoir en attendant d’être liquidé..
Par Alexandre Goldfarb
Cacher ce prénom évocateur
Avez-vous remarqué comment depuis quelques temps déjà, les médias et le Ministre de l’Intérieur en France soit ne donnent pas le prénom des racailles soit le transforment, dans ce cas, en fin de citation, vous avez une étoile * prénom modifié…
Effectivement, le but est simple :
Que le bon peuple reste dans l’ignorance et ne fasse surtout pas d’amalgame avec des étrangers auteurs d’actes criminels.
C’est
qu’en France, le nombre d’étrangers a quadruplé tandis qu’en même temps
le nombre de prénoms français donnés à ces étrangers a été divisé par
quatre !
Et, encore, ces chiffres sont en deçà de la vérité.
Quant
aux nombre d’étrangers arrêtés et emprisonnés, il a été multiplié par 5
pour la même période et représente en moyenne 40% tous crimes
confondus, et là encore ce chiffre doit être en dessous de la réalité.
Plus de 80% des étrangers en France, contrairement à certaines affirmations, ne sont pas nés en France (Source INSEE)…
Autre statistique évitée : En 2022, 48,2 % des immigrés vivant en France sont nés en Afrique. 32,3 % sont nés en Europe.
Les pays de naissance les plus fréquents des immigrés sont l’Algérie (12,5 %), le Maroc (11,9 %), le Portugal (8,2 %), la Tunisie (4,7 %), l’Italie (4,0 %), l’Espagne (3,5 %) et la Turquie (3,3 %).
Mais la statistique la plus parlante est celle-ci: entre 2020 et 2022, il y a eu DEUX MILLIONS de plus d’étrangers arrivés en France !
(Source toujours officielle INSEE)
Autre chose, toujours officielle, le
nombre d’étranger n’avait pas beaucoup augmenté entre 1968 et 2020 avec
de nombreuses naturalisations pendant cette période.
Le but de tout cet enfumage est simple, cacher ce prénom évocateur qui mettrait le point sur les I et les barres au T.
Un autre point inquiétant, que l’on fait mine de découvrir aujourd’hui :
la montée de la contestation de l’enseignement par des étrangers, les mêmes dont on ne donne plus les prénoms.
Or, le rapport OBIN*** qui date de juin 2004 expliquait déjà ces phénomènes de violence et de refus de l’enseignement.
Il y a donc presque 20 ans !
On prend vraiment les Français pour des ignares et des imbéciles.
La
dialectique de la gauche existe depuis toujours mais avec le problème
grave posé par l’islamisme, elle s’est amplifiée pour tenter de le
soustraire dans les informations.
Ce n’est pas acceptable et c’est indigne.
Une
autre imposture consiste à systématiquement dire qu’un criminel venant
de cette religion est troublé psychiatriquement, comme pour excuser son
crime.
À la longue, c’est pitoyable.
Toujours prendre les Français pour des couillons est abject.
La propagande du bien vivre ensemble a clairement échoué.
La solution existe !
Mais la caste politico-médiatique bornée, qui désinforme, la refuse !
Il
faut maintenant rétablir les frontières, ne plus accorder aucune entrée
sur le territoire pendant au moins dix ans, renvoyer les étrangers qui
commettent des crimes ou tentent de les commettre et si pour ce faire,
et il le faut, sortir de l’Europe, qui a échoué lamentablement et
n’assure plus la sécurité des pays membres
La politique au pouvoir, depuis tant d’années, s’est enlisée lamentablement dans le déni, il est plus que temps d’en changer radicalement ! Sans aucun état d’âme.
En Macronie, il faut que le bon peuple ne soit que désinformé et dorme tranquillement à l’abattoir en attendant d’être liquidé..
Pour enfumer tout un peuple, il faut
Cacher ce prénom évocateur
Président-fondateur Observatoire du MENSONGE
Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Alexandre Goldfarb pour Observatoire du MENSONGE
ET AUSSI
Quand l’insécurité n’est pas un simple « sentiment »
La chronique de Philippe Randa
La nature a horreur du vide, c’est bien connu… et quand les défaillances de l’État deviennent trop visibles, trop dramatiques, des solutions sont trouvées.
Le niveau scolaire s’effondre ? On n’apprend plus à lire, à écrire et encore moins à compter en usant ses fonds de culotte sur les bancs de cette école qu’un sacré Charlemagne avait eu « l’idée folle » d’inventer ? Qu’à cela ne tienne, des sociétés type Acadomia fleurissent pour offrir « aide aux devoirs, soutien ou perfectionnement dans une matière spécifique, préparation aux concours, maîtrise de l’anglais scolaire et professionnel, etc., etc. »
Des conflits extérieurs nécessitent des interventions modérément officielles, des moyens peu conventionnels et des solutions moyennement inspirées des Droits de l’Homme ? Qu’à cela ne tienne, le mercenariat répond à tous besoins que la raison d’État exige dans la plus grande discrétion (enfin, pas toujours !).
Et la pauvreté ? Qu’à cela ne tienne, rappelez-vous, quand elle a explosé en notre doulce France, Coluche, humoriste condamné à un travail d’intérêt collectif pour avoir insulté un représentant des forces de l’ordre, lança les Restos du cœur en guise d’accomplissement de peine… et 37 ans plus tard, cette « institution » soulage toujours de façon non négligeable la bourse de l’État qui ne s’en trouve pas plus humilié que cela.
Dernier exemple en date ? La sécurité !
Le ministre de la justice, Éric Dupond-Moretti refuse d’utiliser le terme « ensauvagement » au motif que celui-ci entretiendrait « le sentiment d’insécurité »… Le « sentiment d’insécurité » stupidement ressenti par de stupides citoyens stupidement sensibles aux discours de l’ultra-droite faschistoïde est un fantasme, il n’empêche que la situation se dégrade fâcheusement dans nombre de territoires désormais qualifiés de « non-droits », de « zones interdites » ou de « territoires perdus de la République » (sauf par l’ultra-gauche et le Ministre de l’Intérieur, cela va s’en dire) ; aussi, qu’à cela ne tienne encore une fois, quoi de mieux que d’en appeler aux services de vigiles de sociétés privées pour remédier à ce souci… et combattre, de fait, le « sentiment d’insécurité », si insupportable à l’actuel ministre de la Justice ?
Ainsi, « pour éloigner les dealers des résidences, des vigiles de sociétés privées patrouillent dans les quartiers sensibles de Toulouse (Haute-Garonne). Les membres du Groupement interquartiers de tranquillité et de sûreté interviennent dans une quarantaine de résidences », rapporte Ouest France. « Ces patrouilles ont été mises en place depuis plusieurs mois. Les membres du GITeS (groupement interquartiers de tranquillité et de sûreté) exercent dans une quarantaine de résidences. Ils sont employés par les bailleurs sociaux pour faire régner l’ordre et améliorer le cadre de vie des habitants. S’ils ne peuvent pas procéder à des interpellations, ils sont autorisés à intervenir physiquement et à verbaliser ».
Équipés d’armes de catégorie D (bombonnes de gaz lacrymogène, gilet pare-balles, chiens de défense et bâtons télescopiques), ils sont chargés de déranger autant que faire se peut les dealers et s’ils ne peuvent interpeller qui que ce soit, ils sont toutefois autorisés à dresser des procès-verbaux qui peuvent engendrer des poursuites du parquet et des amendes jusqu’à 1 500 euros.
Un modèle de sécurité parallèle qui a aussitôt intéressé la municipalité de Nice dont le Maire Christian Estrosi envisage de faire également appel à des agents de sécurité privés et armés pour pallier « “l’inertie du gouvernement”, dont il s’est agacé avec virulence ces dernières semaines. “Nous allons recruter 24 agents de sécurité formés, armés et assermentés d’ici la fin de l’année, dont 12 pour le 1er juillet” », déclarait-il au Figaro en avril dernier.
Et l’exemple toulousain faisant tache d’huile, près de Nice, justement, la petite commune de Blausasc a ainsi recruté deux agents de sécurité privée pour se poster devant les entrées des écoles et de la crèche du village : « On a reçu des consignes de la préfecture pour élever le niveau de vigilance devant les écoles en usant de notre police municipale, explique Michel Lottier, lui-même ancien policier. Si on demande cela à notre garde champêtre, on n’aura plus personne pour surveiller le reste de la commune. Donc, on a fait appel à ces agents ».
On ne sera guère surpris d’apprendre que tout le monde ne voit pas d’un œil favorable cette – au pire – « dérive milicienne » ou – tout de même gênant – « système à l’anglo-saxonne au coût jugé quand même élevé »…
Le comble, évidemment, serait d’avoir à supporter le ministre de l’Intérieur vanter le retour de la tranquillité dans certains quartiers, alors qu’il n’y serait à l’évidence pour rien et que les municipalités n’auraient fait que pallier les défaillances de ses services.
C’est que les incapables aussi, ça ose tout, parfois !
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