dimanche 24 décembre 2023

MILITAIRES OU ANCIENS MILITAIRES ! LE " JOYEUX NOÊL " DE PLACE D' ARMES !

 

Noël, traditions et consommation


Dans quelques jours, nous changerons d’année et il appartiendra à Jean Pierre Fabre Bernadac de vous présenter ses vœux, ses espérances pour vous et vos familles mais aussi pour notre chère France, bien mal en point.

Pour l’heure, nous venons vous souhaiter de bonnes fêtes de Noël, avec nos touches personnelles.

 

Si le fait religieux relève du domaine privé, Noël est de ces fêtes qui transcendent les clivages habituels et font partie du patrimoine culturel collectif.

Que l’on soit croyant ou non, que l’on soit pratiquant ou non, nul ne peut, sauf à dessein malveillant, ignorer l’importance de l’influence de la chrétienté sur le développement de nos sociétés européennes.


A ceux qui voudraient faire enlever nos sapins et nos crèches, à ceux qui s’offusquent des marques encore visibles de nos racines, je propose d’aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte. 

 A l’argumentaire pervers de la laïcité faite loi, j’oppose 1500 ans de traditions et de civilisation.  

Alain Peyrefitte en citant l’allocution du Général De Gaulle du 5 mars 1959 nous renvoie à certaines notions fondamentales aujourd’hui passées sous silence : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. 

 Qu'on ne se raconte pas d'histoire ! »


En cette période de grande déculturation et de destruction des repères traditionnels, il est devenu plus que jamais nécessaire de rappeler aux enfants que nous célébrons le 25 décembre la naissance du Christ, fils de Dieu, et non pas quelque dieu païen de la consommation de produits festifs ou de l’enrichissement de fabricants de jeux vidéos asiatiques.

Noël est un appel au partage, à l’amour et à la fraternité, loin des notions mercantiles et matérialistes qui font notre bonheur immédiat et notre malheur à venir.


Nous sommes des femmes et des hommes, avec nos cultures et nos traditions, nos croyances et nos valeurs avant d’être des consommateurs serviles, interchangeables et sans identité.


A ceux qui nous ont déjà rejoint, nous adressons nos remerciements pour leur confiance et les assurons de notre amitié et de notre indéfectible volonté. 

 A ceux qui sont encore observateurs et commentateurs, nous lançons l’appel à franchir le pas à l’occasion de cette nouvelle année qui s’annonce, à rejoindre Place d'Armes et à s’engager avec nous à œuvrer pour que la France retrouve les chemins de la grandeur, de la souveraineté et de la liberté.

Joyeux Noël à toutes et à tous.


Gérard HARDY

Vice Président de Place d'Armes

 

 Une pensée pour nos militaires loin de leurs familles...

Noël 1914

 

La trêve de Noël est le nom donné au cessez-le-feu qui a lieu à Noël. 

La première trêve de Noël remonte au vingtième siècle, au début de la guerre 1914-18, alors que les troupes britanniques, belges et françaises affrontaient l’armée allemande sur le front ouest.

À l’approche de Noël 1914, les armées des deux camps déploraient déjà de nombreuses victimes.

 Les soldats des deux camps, positionnés dans des tranchées, ont été surpris tant par la résistance et le courage de l’ennemi que par la violence des combats. 

 

Par endroit, ces tranchées n’étaient séparées que de quelques dizaines de mètres. 

 

Le 24 décembre 1914, les troupes se préparaient au réveillon malgré le froid, malgré la guerre.

 

Les soldats allemands ont commencé par installer des arbres de Noël sur les tranchées. 

Ils y ont aussi disposé des bougies ainsi que des lanternes de papier visibles du camp adverse .

 

La veille de Noël, dans les deux camps, le son du canon a laissé place aux chants de Noël.

 Les soldats, pourtant ennemis se sont interpellés, et sont parfois sortis pour se retrouver au milieu du  no man’s land. 

Ils se sont parlé après des mois de batailles acharnées, certains se sont échangés des cadeaux. 

La première trêve de Noël avait lieu.

 

Le lendemain, le phénomène n’a pas cessé, il s’est même amplifié : des soldats se sont à nouveau retrouvés sur le no man’s land pour s’occuper des morts, parler ou jouer au football. 

Parmi les combattants allemands, le célèbre chanteur d’opéra Walter Kirchoff a chanté un chant de Noël.

 Les militaires français, émus, l’ont applaudi jusqu’à ce qu’il recommence à chanter.

 

Ces premières trêves de Noël ont surtout eu lieu entre les soldats allemands et britanniques. 

Elles ont été observées à de nombreux endroits sur le front ouest,  notamment à Houplines, à Bois-Grenier dans le secteur britannique et autour d’Arras pour le secteur français.

 




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