vendredi 4 avril 2025

LES UNIVERSITÉS MENACÉES PAR DES GAUCHISTES , COMME À LYON 2 ? SILENCE ÉTOURDISSANT ???

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@CordierAlice2
 
Un professeur de Lyon 2 a été littéralement MENACÉ par des sortes de milices islamistes car il s’est opposé à la rupture du jeûne à l’université. 
 Il a été obligé de sortir de son propre cours. 
 
Rappelons le : c’est comme ça qu’a commencé le martyr de Samuel Paty.
 
JEAN-MARIE LEBRAUD

 

ET AUSSI

 

Education,

A l’université de Lyon 2, Fabrice Balanche, un professeur menacé par des gauchistes en plein cours, en toute impunité

  •  
  • La scène s’est déroulée le mardi 1er avril, mais n’avait rien d’un poisson d’avril. 

    À l’université Lyon 2, des militants d’extrême gauche se réclamant du soutien à la cause palestinienne ont envahi un amphithéâtre pour perturber un cours de Fabrice Balanche, maître de conférences en géographie et spécialiste du Proche-Orient.

    Le motif ? Ses prises de position publiques contre la tenue d’une soirée de rupture du jeûne organisée dans l’enceinte universitaire, considérée comme une entorse à la laïcité. 

    Résultat : une tentative d’intimidation menée en pleine salle de cours, sans qu’aucune sanction pénale, ni même universitaire ne soit envisagée à ce jour.

     

    Milice universitaire, impunité garantie

    Ils étaient une quinzaine, cagoulés, masqués, vêtus de noir, à surgir dans la salle pour encercler la chaire du professeur. « Sionistes, racistes, c’est vous les terroristes », ont-ils hurlé, pancarte pro-palestinienne à l’appui.

     Fabrice Balanche, resté calme, a quitté la salle sous les huées, les menaces (restez ici !) et les cris, sous l’œil complaisant d’une administration qui s’est contentée de dénoncer des faits « inacceptables » sans pour autant porter plainte ni engager la moindre procédure disciplinaire contre les agitateurs.

    Pis encore : l’université préfère protéger les locaux… plutôt que les enseignants

    À l’avenir, c’est un gardien qui pourrait être posté à l’entrée de l’amphithéâtre pour sécuriser les cours de Fabrice Balanche, comme s’il s’agissait d’un problème purement logistique et non d’une atteinte grave à la liberté académique et à la sécurité des enseignants. 

    Sachant que s’il arrive la même chose à ce gardien qu’au Jarl à Rennes, c’est à dire qu’il se défend face à une attaque, il sera lui aussi perdant face à la meute enragée des gauchistes.

    On n’ose par ailleurs imaginer le scandale si le professeur, en état de légitime défense pourtant, avait distribué quelques coups de poing bien placés pour se sortir de la situation…

     

    L’extrême gauche comme forces d’intimidation

    Ce nouvel épisode s’inscrit dans un climat d’intimidation organisé dans de nombreuses universités françaises où des groupuscules — souvent liés aux antifas, à l’extrême gauche ou à des mouvements islamo-gauchistes — imposent leurs vues par la menace et l’agression.

    À Lyon 2, ces méthodes sont bien rodées : blocage du campus, pressions téléphoniques sur l’administration, campagnes de harcèlement sur les réseaux sociaux… 

    Le tout dans une impunité quasi totale. 

    Malgré la diffusion publique des vidéos, aucune interpellation, aucune enquête disciplinaire sérieuse, aucun renvoi n’a été signalé. 

    On parle pourtant ici d’intrusion, d’atteinte à la liberté d’enseignement, de menaces, voire d’entrave au service public.

    Le professeur ne portera pas plainte, considérant que c’est à l’université de le faire. 

    Mais celle-ci se défile. 

    Pas un mot sur de potentielles sanctions contre les agresseurs. 

    Pas d’enquête interne.  Rien.

     

    Quand la peur change de camp… académique

    En réalité, ce que révèle ce nouvel incident, c’est l’inversion des rapports de force dans les universités françaises : les enseignants sont priés de se taire ou de s’autocensurer sous peine de représailles — médiatiques, judiciaires, voire physiques —, tandis que les activistes violents, eux, jouissent d’une impunité quasi institutionnelle, tolérés voire parfois encouragés au nom d’un pseudo “engagement militant”.

    Dans ce contexte, le silence complice de certaines directions universitaires est assourdissant.

     Et pendant que l’on traque le moindre mot de travers d’un professeur accusé de “dérapage”, les petits nervis de la haine progressent masqués et sans crainte.

    L’impunité totale dont bénéficient les antifas depuis des années se voit de plus en plus (et fait que certains sont en roue libre).

     Et la moindre réponse, physique, d’auto-défense face à ces agressions, à ces blocages, à ces destructions est lourdement sanctionnée.

     Un professeur de l’Université de Montpellier en a fait les frais en étant révoqué l’an passé.

      Et si la dissolution des Universités françaises qui laissent le gauchisme perdurer devenait à l’ordre du jour ?

    VIDÉO   :

    @le_jarl
     
    La fin de la vidéo parle d’elle même. j’en parle d’ailleurs dans l’émission Bistrot Liberté sur YouTube. 
     
    Les étudiants d’extrême gauche mettent une pression hallucinante et inadmissible aux autres étudiants qui veulent juste étudier.
     
    Un professeur humilié à l'université Lyon 2

    Crédit photo :  DR
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