lundi 24 novembre 2025

LA LEÇON DE BOUALEM SANSAL AUX TROUILLARDS ......

 TRIBUNE LIBRE !

Il assume avoir des amis au RN : la leçon de courage de Boualem aux trouillards

Boualem Sansal, interrogé par Laurent Delahousse, a dû faire face à une question piège.

 Le présentateur lui a affirmé qu’on le classait souvent à l’extrême droite, et lui a tendu la perche pour se démarquer.

Combien de trouillards, y compris qui se disent de droite, se seraient dérobés, en disant, la bouche en cul de poule, qu’ils n’ont bien sûr rien à voir avec les idées nauséabondes et racistes de l’extrême droite et que Bardella, Zemmour, Marine Le Pen ou Philippe de Villiers ne sont pas leur tasse de thé.

C’est ce qu’auraient dit tous ces artistes et ces écrivains de salon, qui pérorent sur les plateaux de télévision et signent des pétitions contre le RN ou par la venue massive de clandestins en France.

L’écrivain a refusé cette lâcheté et cette facilité et a assumé avoir des amis dans tous les partis, y compris au RN, tout en assurant qu’il ne les choisissait pas en fonction de leur appartenance.

 

Bref, Boulame Sansal, c’est l’anti Alain Souchon. 

Bien sûr, ce courage va lui être reproché, demain, par toute la gauche, qui y verra la justification de ses refus de demande de libération de l’écrivain franco-algérien, eux qui ont soutenu clairement la dictature algérienne dans sa prise d’otage.

En refusant de se démarquer d’un parti que les Insoumis comme Thomas Portes ou Raphaël Arnault qualifient cent fois par jour de raciste et de fasciste, Boualem Sansal a montré la voie aux Français qui se font encore intimider par ces anathèmes des descendants de Staline. 

Nos compatriotes doivent cesser de se plier à ce reductio ad hitlerum et ne doivent pas trembler devant ces amalgames historiques qui se veulent infamantes.

Ils doivent d’abord dire, comme l’a fait Bernard Germain dans son dernier livre, que l’islam, mais aussi le communisme, ont fait davantage de morts que le nazisme ou le fascisme dont on accuse les patriotes, ce qui ne veut pas dire que ceux-ci doivent pour autant faire l’apologie de ces deux dogmes.

Il faut donc rendre hommage à Boualem Sansal pour sa parole libre, mais aussi à tous les patriotes qui, en s’engageant, notamment aux prochaines élections municipales, sur des listes RN, Reconquête, Identité et Libertés, Union de Défense de la République, Les Patriotes, Debout la France, assumeront, la tête haute, le fait de défendre leurs idées, tout en sachant qu’ils prendront le risque d’être insultés et calomniés par de petits nazillons qui se disent de gauche.

Il faut arrêter d’avoir une attitude honteuse par rapport aux insultes de la gauche, et au contraire, ne pas hésiter à leur attribuer les qualificatifs qu’ils méritent, dont le pire, qu’ils ne supportent pas, bien sûr, est celui de « collabo », eux qui glapissent toujours que le RN aurait été fondé par des nazis, rien de moins !

Car rappelons-leur, ne leur en déplaise, qu’un collabo est quelqu’un qui aide un envahisseur à conquérir le pays dans lequel il vit. 

Et dans ce domaine, avec sa soumission à l’islam, la gauche est imbattable, alors que Boualem Sansal et tous ceux qui combattent l’islam et l’invasion migratoire font honneur à notre pays, à la liberté de penser et à l’esprit de la dissidence.

 

UN RAPPEL !


Liste de quelques grands résistants, fondateurs du Front national

Qu’il me soit permis de revenir sur la déclaration de celui qui fut le responsable du parti En Marche, Richard Ferrand, à l’époque bras droit d’Emmanuel Macron (il utilisait sa réserve parlementaire pour financer les associations palestiniennes prônant le boycott d’Israël).

 

Il affirmait alors que d’anciens « WaffenSS » avaient participé à la fondation du Front national et que le FN était donc, en partie, responsable du massacre de 741 innocents, enfants, femmes et vieillards, les 9 et 10 juin 1944 à Oradour-sur-Glane.

Fort heureusement Richard Ferrand a disparu des têtes d’affiche du nouvel ensemble macroniste.


Il m’a semblé toutefois indispensable d’afficher une liste non exhaustive de quelques fondateurs du Front national, parti français accusé depuis des décennies d’avoir collaboré avec l’occupant nazi.

  • Maître Jean-Baptiste Biaggi, avocat, ancien député de Paris, ancien conseiller régional de Corse, ancien maire de Cagnano (Corse), officier de la Légion d’honneur, Croix de Guerre 1939-1945, médaille de la Résistance.
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  • Rolande Birgy, ancienne de la JOC (1928), membre du Sillon catholique (1930), de la CFTC (1929) et du MRP (1945), résistante (Réseau Valette d’Osia), croix du Combattant volontaire de la résistance, Yad-Waschem (titre de « Juste » décerné par l’État d’Israël, en 1984), membre de SOS Tout-Petits.
    Jean-Charles Bloch, Croix de Guerre, président du comité des Français Juifs.
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  • Roger Bloch (Var), commerçant (ER), Croix du combattant 1939-1945, médaille des opérations de sécurité en Algérie, Reconnaissance de la Nation pour faits exceptionnels, ancien conseiller municipal de Toulon.
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  • Nicole de Boisguilbert, médaille de la Résistance.
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  • Claude Brabant (Cher), ancien combattant, réfractaire au STO, évadé de France (1943), agriculteur-éleveur, maire (H) d’Annoix (30 ans), père de 7 enfants, chevalier du Mérite agricole.
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  • Jean-Louis de Camaret (Vaucluse), Médaille militaire, Croix de Guerre 39-45 avec citations, Croix du Combattant volontaire de la Résistance, ancien membre des réseaux de la France combattante et des FFI, médaille d’argent de la Ville de Paris.
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  • Michel de Camaret, ambassadeur de France, député Front national au Parlement européen (1984-1987), Compagnon de la Libération.
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  • Michel Carage, Commandeur de la Légion d’honneur, Compagnon de la Libération, Croix de Guerre 39/45 (6 citations), Médaille Coloniale avec agrafes « AFL » « Fezzan-Tripolitaine » « Tunisie », Médaille des Blessés, Médaille des Services Volontaires dans la France Libre, Presidential Unit Citation (USA), Officier du Nicham Iftikar (Tunisie).
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  • Colonel Maurice Catalan (Charente-Maritime), certificat national d’appartenance aux FFI, père de 6 enfants, chevalier de la Légion d’honneur, officier de l’ordre national du Mérite, croix de guerre des T.O.E., croix du combattant et diverses décorations étrangères, candidat FN Cantonales en 2004 à La Rochelle.
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  • Roger Chaduc (Haute-Loire), retraité des finances, combattant volontaire de la Résistance, candidat FN Cantonales en 2004 à Blesle.
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  • Albert Chambon, ancien ambassadeur de France, grand Officier de la Légion d’honneur, médaille de la Résistance, ancien déporté.
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  • Commandant Challe, Commandeur de la Légion d’honneur (dix citations), pilote à Normandie-Niémen.
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  • Capitaine de Vaisseau (H) Pierre Chesnais (Var), officier de la Légion d’honneur (6 citations), croix de guerre 1939-1945 et T.O.E., croix de la valeur militaire, croix du combattant volontaire de la Résistance, médaille de la Résistance, médaille des services volontaires dans la France libre.

  • Gilbert Devèze, grande figure de la Résistance qui rejoint Londres en 1940, ancien député européen Front national en 86.
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  • Jacques Doré, Adhérent au Front national depuis 84, Membre du Comité Central, Secrétaire national aux français de l’étranger, Directeur de cabinet aux affaires étrangères, Croix de guerre, Médaille des Déportés, Médaille des Évadés, Croix du combattant de la Résistance, Croix de la France libre.
    Pierre Dufour, Ancien Conseiller régional FN de Seine-Saint-Denis, engagé volontaire à la 2ème DB.
    Ghislaine de Fiquelmont, première Française entrée à Metz le 19 novembre 1944, dans les rangs du XXe Corps d’armée américain.
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  • Edouard Fontana (Val-de-Marne), président de Chambre (H) à la Cour d’appel de Paris, Croix du combattant volontaire de la Résistance, médaille de la France libre, candidat FN législatives 2002 et sénatoriales 2004 (Val-de-Marne).
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  • Édouard Frédéric-Dupont, Croix de guerre 1939-1945, Médaille de la Résistance, Député (1986-88) sur la liste « Rassemblement national » conduite par Jean-Marie Le Pen.
  • Robert Hemmerdinger, médaillé de la Résistance, médaille de la France Libre, Croix de guerre, Président du Comité National des Français Juifs, Ancien Conseiller Régional FN d’Île-de-France (1992-1998), Commandeur de la Légion d’honneur, grand officier de l’ordre national du Mérite.

  • Roger Holeindre (Seine-Saint-Denis), Membre fondateur du Front national, vice-président du Front national, résistant, écrivain, grand reporter, ancien député de Seine-Saint-Denis, conseiller régional d’Île-de-France, Médaille militaire, Croix de Guerre des T.O.E., croix de la Valeur militaire.
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  • Robert Jacob dit Luzie (Corse), officier ER, officier de la Légion d’honneur, commandeur de l’ordre national du Mérite, Médaille militaire, croix de guerre (10 citations).
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  • Serge Jeanneret, Croix de guerre 1939-1945, Croix du combattant volontaire de la résistance. Fondateur du FN en 1972, il le quitte en 1975 pour devenir directeur de cabinet de Bernard Lafay, Ministre du gouvernement Chirac. Son épouse Germaine Jeanneret est candidate aux élections législatives de mars 1973 à Paris.
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  • Augustin Jordan (Paris), ancien ambassadeur, Commandeur de la Légion d’honneur, Compagnon de la Libération, Croix de Guerre 1939-1945 (4 citations), Membre des premiers SAS, Military Cross (GB), Commandeur du Mérite allemand.
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  • Jacques Lafay, Adhérent au Front national depuis 84, Membre du bureau politique, conseiller national à la santé, Officier de la légion d’honneur, Croix de guerre 39-45 ( 5 citations), Croix du combattant volontaire de la Résistance.
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  • Robert Limondin (Seine-Saint-Denis), ancien combattant 1939-1945, prisonnier de guerre (1940-1945) en Prusse orientale.
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  • Francis Massart (Gironde), combattant volontaire de la Résistance, interné-résistant, évadé, Croix de Guerre 1939-1945, chevalier des Palmes académiques.
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  • Chef de Bataillon (H) Charles MET (Sarthe), ancien président du directoire de la Société laitière de Normandie, vice-président du Cercle national des Combattants, commandeur de la Légion d’honneur, croix de guerre 1939-1945 et des T.O.E., valeur militaire, Candidat FN législatives 1997 (2e circonscription Sarthe), Candidat FN Européennes 2004 (région Ouest).
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  • Jean Nicolet (Hauts-de-Seine), retraité de la Police nationale, conciliateur judiciaire (H) de la cour d’Appel de Paris, médaille d’honneur de la police nationale, Croix du Combattant 1939-1945, médaille commémorative 1939-1945.
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  • Général Georges Noël (Yvelines), de l’Armée de Terre, grand invalide de guerre, officier de la Légion d’honneur, Médaille militaire (1944), commandeur de l’ordre national du Mérite, croix de guerre 1939-1945, croix de la valeur militaire.
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  • Professeur Jacques Robichez, professeur à la Sorbonne, chevalier de la Légion d’honneur, officier de l’ordre national du Mérite, croix de guerre 1939-1945, ancien président du Conseil scientifique du FN.
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  • Professeur Pierre Routhier (Haute-Marne), ancien élève de l’Ecole normale supérieure, professeur émérite de géologie à l’Université Pierre et Marie Curie, chevalier de la Légion d’honneur, Croix de Guerre 1939-1945.
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  • Albert Sauvanet (Hérault), officier de cavalerie, ancien cadre supérieur des industries mécaniques et métallurgiques, officier de la Légion d’honneur (5 citations, 2 blessures), médaille des Évadés, combattant volontaire de la Résistance, chevalier du Mérite agricole.
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  • Lieutenant-Colonel Marcel Tiberghien (Nord), ancien de Jeunesse et Montagne (centre-école, maquis Renaud (Thollon) et CR6), puis Rhin et Danube, officier de l’ordre national du Mérite, Croix de Guerre 1939-1945 (2 citations).
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  • Pierre Tinseaux (Var), engagé volontaire 1939-1945, ancien de la division Leclerc, conseiller régional Provence-Alpes-Côte-d’Azur.
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  • Pierre Sailly, candidat aux municipales de Saint-Cyr-sur-Mer, ancien déporté à Buchenwald, le Struthof et Dachau.
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  • Pierre Sergent, Résistant dans le réseau Vélite-Thermopyles avant de rejoindre un maquis en Sologne, Ancien député Front national (1986-1988), ancien officier.
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  • Jean Valette d’Osia, général de Corps d’Armée. Commandant du 27e B.C.A. de 1940 à 1942, chef militaire de Haute-Savoie en 1943 jusqu’à son arrestation en septembre 1943, évadé puis passé à Londres et Alger en 1944. Grand-Croix de la Légion d’honneur, Croix de guerre 14-18, T.O.E., 39-45., fondateur du maquis des Glières, Grand-Croix de la Légion d’honneur président du Comité de soutien à la candidature de Jean-Marie Le Pen.
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  • Docteur Pierre Weber (Meurthe-et-Moselle), médecin, docteur en médecine, lauréat de l’Académie de médecine, ancien maire de Nancy, conseiller général de Nancy (de 1945 à 1970), membre honoraire du Parlement (1958 à 1978), ancien membre du Conseil de l’Europe, médaille de la Résistance, candidat FN aux régionales 2004 en Meurthe-et-Moselle.
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  • Henri Yrissou, Inspecteur Général des Finances honoraire, Commandeur de la Légion d’honneur, Médaille de la Résistance.

 

En revanche, il me semble nécessaire de rappeler que les communistes ont collaboré avec les nazis jusqu’en octobre 1941 et que de très nombreux socialistes ont participé et ont été décorés par différents gouvernements de Vichy, sous l’occupation allemande.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

Liste de quelques grands résistants, fondateurs du Front national

 

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