mercredi 19 novembre 2025

ON EST EN TRAIN DE NOUS PRÉPARER LA GUERRE !



TRIBUNE LIBRE !   ( FACEBOOK  )

URGENT: J’ai failli cracher mon café en lisant ÇA… et après vous allez comprendre pourquoi je tremble encore. 
 
 ATTENTION, là c’est plus du café que j’ai failli cracher, c’est ma mâchoire qui est tombée par terre. 
 
On est en train de nous préparer la guerre. 
 
Pas dans dix ans, pas « au cas où », LÀ, MAINTENANT. 
 
Et ce général Mandon, qu’est-ce qu’il foutait déjà à la réunion des maires ruraux ? 
 
Il a rien à faire là, c’est pas son rayon les conseils municipaux, c’est pas son job de venir faire peur aux élus locaux comme un mauvais film d’horreur ! 
 
Et pourtant il débarque, costume impeccable, et il lâche la bombe : « Acceptez de perdre vos enfants. 
Acceptez la douleur. 
Acceptez la misère économique. 
 
Sinon dans 3-4 ans on est tous sous botte russe. » 
 
 C’EST DU DÉLIRE OU C’EST RÉEL ?! 
 
 On parle de NOS gosses, ceux qui font encore des dessins pour papa-maman, ceux qui jouent au foot sur le terrain communal… et on nous dit cash : préparez-vous à les sacrifier.
 
 Préparez les crèches pour les casernes, les écoles pour les dépôts de munitions, les stades pour les blindés. 
 
 C’est plus un remake de Verdun en 4K, c’est la bande-annonce d’un cauchemar qu’on est en train de nous imposer en vrai, en 2025, en France ! 
 
 RÉVEILLEZ-VOUS BORDEL ! 
Ils sont en train de normaliser l’idée qu’on va envoyer nos enfants à la boucherie comme en 14, mais avec des drones et des applis de géolocalisation en plus.
 
 Et on doit applaudir ?! 
 
On doit dire merci ?! Les généraux qui ont claqué la porte (ceux de Saumur et les autres), eux au moins ils ont encore un cerveau et une conscience. 
 
Mandon, lui, mériterait qu’on l’emmène direct en HP avec camisole et vue sur mer, histoire qu’il arrête de jouer à Risk avec la vie de nos mômes. 
 
NOS ENFANTS ON LES GARDE EN VIVANTS, ON LES GARDE POUR LES VOIR GRANDIR, PAS POUR LES ENTERRER !
 
 C’est pas une blague, c’est pas exagéré : on est en train de nous voler notre avenir, là, sous nos yeux.
 
 J’ai plus de café, j’ai juste la rage. 
 
 
 

 
 
 
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