dimanche 16 novembre 2025

BRETAGNE /DÉLINQUANCES : VIVRE À RENNES ( 35 ) DE PLUS EN PLUS DIFFICILE .......

 REVUE DE PRESSE !

« Vivre ensemble » à Rennes : agression à la batte de baseball, une nouvelle faillite de l’État face à la violence importée

Un homme toujours entre la vie et la mort après une attaque d’une brutalité inouïe en plein centre-ville

Ce sont des images et des témoignages qui glacent.

 Dans la nuit du vendredi 14 au samedi 15 novembre, vers 1 h 30, un homme d’une trentaine d’années a été laissé agonisant en plein cœur de Rennes, après avoir été frappé à coups de batte de baseball.

 Les faits se déroulent entre la place de la Trinité et la rue de la Monnaie, un secteur animé, fréquenté, pourtant présenté comme « sécurisé » par les autorités municipales.

 

Selon l’enquête, le principal suspect est un jeune homme de 20 ans, réfugié irakien, installé en France depuis une dizaine d’années. 

Deux autres individus ont été interpellés : un mineur syrien de 16 ans, et un jeune homme français de 20 ans

Les trois gardes à vue étaient toujours en cours dimanche.

 La qualification retenue pour l’auteur principal est celle de tentative d’assassinat.

 

Les témoignages, recueillis par plusieurs médias, décrivent une attaque d’une sauvagerie rare. 

 Un serveur de 20 ans, rentrant de son service, raconte avoir vu un jeune d’une vingtaine d’années frapper la victime par-derrière, puis à la tête , avec une batte en métal  qui faisait un bruit terrible.

La victime, le crâne ensanglanté, a été maintenue tant bien que mal en position de sécurité par des passants en attendant l’arrivée des secours. 

Son pronostic vital reste engagé.

Selon les premiers éléments de l’enquête, l’affaire débute par une altercation liée à l’alcool, place des Lices. 

Le suspect principal quitte les lieux… puis revient armé d’une batte de baseball récupérée dans sa voiture. 

C’est à ce moment que l’agression bascule dans un déchaînement total.

La batte a été retrouvée lors de la perquisition du domicile du jeune réfugié.

 

Rennes, laboratoire du déni ?

Pour qui suit l’évolution de la délinquance à Rennes depuis dix ans, ce nouvel épisode n’a rien d’isolé. Les rixes, agressions, coups de couteau et attaques gratuites se multiplient dans une ville où certains quartiers sont déjà perdus pour la puissance publique.

 Cette fois, cela s’est produit en plein centre-ville, dans un secteur festif et fréquenté.

Les profils des suspects interrogent.

Il est ici question d’un réfugié irakien. 

À ses côtés : un mineur syrien et un troisième individu. 

Une nouvelle affaire révélant que la violence massive qui frappe les villes bretonnes n’est plus un phénomène “local” mais bien importé.

 

Laxisme judiciaire et impuissance publique : un système qui tourne à vide

Dans ce dossier, tout renvoie au même constat :

– un mineur étranger impliqué dans des faits d’une gravité extrême,
– un réfugié devenu agresseur,
– un climat général où les armes blanches et les battes de baseball circulent librement,
– une absence totale de dissuasion.

 

Chaque affaire rennaise récente raconte la même histoire : La police intervient vite. Les interpellations se font rapidement. Mais la chaîne judiciaire ne suit pas et la machine à expulsion immédiate ne se met pas en route.

L’idéologie dominante – celle qui voit dans chaque délinquant un « jeune en rupture », un « parcours cabossé », une victime de la société – a produit une justice incapable de protéger la population. Une justice qui refuse la fermeté, qui refuse la sanction, qui refuse de nommer les causes.

Cette agression, comme tant d’autres, n’est pas un fait divers isolé. Elle est l’illustration concrète :

– d’une politique migratoire incontrôlée,
– d’une justice paralysée par le dogme rééducatif,
– d’une incapacité chronique de l’État à rétablir l’ordre,
– d’une spirale de violences que rien ne vient enrayer.

Pendant ce temps, la population, elle, vit dans la peur.  Choc, sidération, incompréhension. 

Et demain ? Rien n’indique que ce type d’agression ralentira. Au contraire.

Quand les rues d’une capitale régionale deviennent le théâtre de scènes de tabassage à la batte de baseball, en plein week-end, en plein centre-ville, c’est le signe d’un basculement profond – celui d’une violence qui n’a plus rien à voir avec la Bretagne que connaissent ses habitants.

L’affaire, pour l’heure, suit son cours.

 La victime se bat pour survivre.

 Et Rennes découvre une fois de plus l’addition d’un système incapable de protéger les siens.

 

YV

Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.

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