jeudi 20 novembre 2025

EN COURS , UN INDICATEUR FORT DE LA RÉISLAMISATION EN FRANCE ET EN EUROPE !

 

 


TRIBUNE LIBRE !

La nation, au défi d’une jeunesse francophobe

Séparatisme musulman: ce que montrent les nouveaux chiffres de l’Ifop


La nation, au défi d’une jeunesse francophobe
Le militant radical Elias d'Imzalène (ici photographié à Paris en juillet) a déclaré lors d'un rassemblement à Paris le 15 novembre : "Nous n’avons pas choisi d’être dans les ghettos ! Qu’il [le système] nous donne Paris 15ème, on leur donnera Mantes-la-Jolie et Sarcelles !" © Idir Hakim/SIPA

L’enquête publiée mardi par l’ IFOP et Écran de veille confirme les diagnostics les plus pessimistes de tous ceux qu’on qualifiait jusqu’alors d’ « islamophobes » pour les faire taire.

 38% des musulmans approuvent tout ou partie des positions islamistes intégristes, soit deux fois plus qu’en 1998 (19%).

 67% des musulmans de moins de 25 ans prient quotidiennement, contre 26% en 1989 — un indicateur fort de la réislamisation en cours. 

Enfin, 46% estiment que la loi islamique (charia) doit être appliquée dans le pays où ils vivent (15% intégralement, 31% partiellement).


Les dénégationnistes ont l’air malin. 

J’ai souvent eu à faire à eux, lors de débats tournant autour des tensions identitaires causées par l’immigration extra-européenne.

 Le déni a toujours été leur argument. 

Il y a trente ans, mes contradicteurs sermonnaient : « On ne montre pas les banlieues du doigt ! ». 

Puis ce fut : « Les Français issus de l’immigration n’ont pas à s’intégrer puisqu’ils sont Français ! ».

 Il y eu aussi, plus récemment : « A 99,99%, les Français musulmans s’intègrent parfaitement ! ». 

Je passe sur les accusations en racisme, en islamophobie, en xénophobie que j’ai pu essuyer de la part des promoteurs du « vivre ensemble ».

 

Thomas Legrand (Libération) : « Les jeunes musulmans sur la pente réac… comme les autres »

 

Or, mardi, l’Ifop a rappelé quel était l’état d’esprit des jeunes musulmans (moins de 25 ans). 

Le registre n’est plus celui d’un prétendu fantasme : 42% ont de la sympathie pour les mouvements islamistes ; 57% placent la charia (loi islamique) avant les lois de la République. 

Ils rejettent en nombre la mixité, soutiennent le port du voile, etc. 

Bref, la photographie montre qu’une part majoritaire des jeunes musulmans refuse l’exemple français pour préférer un repliement identitaire. 

Non seulement cette population n’entend pas s’intégrer, mais elle est prête à soutenir une logique séparatiste construite sur un choc de civilisation.

 Quand Jean-Luc Mélenchon promet une société « créolisée », ces sondés font comprendre qu’ils ne veulent pas du métissage. 

Ces jeunes musulmans souhaitent, pour la France, une société islamisée. 

La question est donc de savoir s’ils ont encore leur place dans cette nation indésirable. 

L’hypothèse de leur possible émigration doit être posée.

A lire aussi: Non, Ségolène Royal, les citoyens ne sont pas des petits enfants!

 

Un pays fracturé

Lutter contre les Frères musulmans et le totalitarisme islamiste revient à dénoncer préalablement ceux qui mentent sur l’infiltration djihadiste et qui contestent ses contaminations idéologiques. 

La France, telle qu’elle se montre, est bien ce pays fracturé sous l’effet d’une invasion arabo-musulmane.

 Pour partie, celle-ci a fait sécession. 

Elle cherche même querelle au pays colonisé à travers sa contre-société, elle-même liée à un narcotrafic promu notamment par la DZ Mafia algérienne. 

Seuls 7% des sondés se disent actuellement musulmans.

 Mais la part catholique des Français ne cesse de fondre (ils ne sont plus que 43%).

Si la somnolence des élites perdure, le basculement civilisationnel du pays est envisageable d’ici deux ou trois générations.

Pour avoir été de cette poignée d’observateurs qui, depuis des décennies, alertent sur l’aveuglement des dirigeants et des médias, je peux témoigner de la mauvaise foi de la classe politique et du conformisme des titulaires de la carte de presse, prêts à victimiser les nouvelles minorités. 

C’est d’ailleurs la posture choisie par le recteur de la Grande mosquée de Paris : commentant le sondage, Chems-Eddine Hafiz a estimé que cette radicalité de la jeunesse était la « réplique d’une humiliation durable ». 

La réalité est plus dramatique. 

Elle oblige l’Etat endormi à engager une guerre contre ceux qui prêchent la conquête et contre leurs bras armés. 

La déchéance de nationalité pour les binationaux qui récusent la France doit être débattue. 

La politique de l’autruche est l’alliée des nouveaux francophobes.

 

Une jeunesse musulmane orpheline de pères et assoiffée d’autorité


Une jeunesse musulmane orpheline de pères et assoiffée d’autorité
Drancy, début du ramadan, juin 2016, Seine Saint-Denis © EREZ LICHTFELD/SIPA

Dans cette analyse psychosociale, Charles Rojzman voit dans les chiffres de l’enquête IFOP / Ecran de Veille sur les musulmans et l’islamisme le révélateur d’une grave fracture anthropologique dans la jeunesse autour de la question de l’autorité.


Le révélateur Ifop


Le dernier sondage Ifop consacré en grande partie aux jeunes musulmans de France a suscité une surprise qui n’aurait pourtant pas dû en être une. 

Les chiffres, froids en apparence, disent pourtant quelque chose d’une brûlure : une défiance massive envers la nation française et les institutions de la République, un attachement croissant à des normes religieuses identitaires, la relativisation de la violence politique, et un sentiment de distance — sinon d’hostilité — vis-à-vis de la société environnante. 

Tout ce que les sociologues décrivent depuis des décennies comme un “malaise des banlieues” ou un “déficit d’intégration” apparaît, dans ce sondage, sous un jour en réalité bien plus profond : une fracture anthropologique autour de la question de l’autorité.

Ce sondage ne mesure pas seulement des opinions : il révèle une crise de l’inscription dans le monde commun, chez une partie de la jeunesse arabe et musulmane née en France. 

Il laisse affleurer une demande paradoxale — à la fois rejet et besoin d’autorité — qui traverse les réponses des jeunes interrogés. On ne se méfie autant d’un ordre que quand on en ressent la perte. 

On ne rêve autant d’une autorité absolue que lorsqu’on n’en a jamais éprouvé la forme légitime.

La question n’est donc pas seulement sociopolitique. 

Elle est symbolique, au sens le plus profond : celui du père, de la loi et de la transmission.


Source : https://www.causeur.fr/islamisme-

 

ET AUSSI

L’entrisme islamique, un fléau que les politiciens ne veulent pas voir

 
 
  
 

« Des parents refusent que leur fille soit placée dans une classe avec un enseignant masculin et le menacent de mort. » 

 Cet entrefilet a été volontairement minoré sinon occulté par la plupart des médias couchés. 

 Une brève au mieux. 

 Comme si un tel comportement était légitime en France. 

Pour ne pas stigmatiser ?

Sans évoquer la religion de ces parents (Mormons ? Bouddhistes ?) un syndicaliste FO a eu le courage de déclarer « Pour protéger l’enseignant, il faut éloigner la famille et changer l’enfant d’école.» 

 Le rectorat tergiverse sans se mouiller avec pour décision probable le transfert de l’enfant dans une classe où enseigne une femme. 

Ce serait une capitulation de plus après les mesures prises dans des hôpitaux et services publics pour écarter les mâles du contact avec les voilées.

 

Tout a commencé il y a quarante ans avec des incidents tenus pour mineurs par des médias qui prétendent vous dire quoi penser. 

Et ça a fonctionné au-delà de leurs espérances.

Le foulard porté par quelques adolescentes rebelles, il faut bien que jeunesse passe. 

Les boucheries et restos halal ne vont pas bouleverser la gastronomie française plus que les chinois, les italiens et les tex-mex.

 L’enseignement de la supériorité de l’islam, un simple point de vue.

 La multiplication des mosquées comme des champignons après la pluie, un épiphénomène.

On aurait pu alors combattre le mal à la racine. 

Exclure du lycée les jeunes filles voilées après un avertissement. 

Et renvoyer leurs géniteurs dans leur pays d’origine. 

Multiplier les contrôles sanitaires et fiscaux sur les abattages clandestins et les kebabs.

 Refuser les permis de construire pour des mosquées et passer au bulldozer celles bâties illégalement. 

Au lieu de cela, les UMPS ont naturalisé à tours de bras. 

Pour qu’il ne reste plus que des Français de papiers. 

Faussant toutes les statistiques à commencer par celles des prisons.

 

Cette atonie renforcée par une culpabilisation préfabriquée reposant sur le racisme et le colonialisme a été un signe d’encouragement pour les Frères musulmans.

C’est un paradoxe immense : les frérots sont considérés comme des terroristes, interdits de séjour et passibles de la peine capitale dans des pays aussi islamophobes que l’Arabie saoudite, le Bahreïn, les Émirats arabes unis, l’Égypte et la Jordanie. 

Ailleurs, dans le reste de l’oumma, ils sont juste tolérés sous surveillance constante… 

Mais la France sans méfiance et l’Eurocrature corrompue les accueillent à bras ouverts !

 

Après des débuts violents dans leurs pays pour imposer le retour à l’islam médiéval, les Frères ont changé de braquet. 

Chez eux, ils se consacrent à des œuvres sociales, hôpitaux, orphelinats, écoles, soins médicaux et repas pour les plus pauvres.

 Ainsi ils s’attachent la gratitude des populations auxquelles ils infusent discrètement leur idéologie. 

Difficile de leur reprocher de pratiquer l’aumône légale (zakât) un des cinq piliers de l’islam.

 

En Occident, ils ont adapté leurs manières, leur look et leur participation à la vie publique en fonction de la situation interne de chaque pays. 

Ils renforcent l’animosité de leurs coreligionnaires des enclaves étrangères hostiles, mais adoptent la taqîya de tolérance envers les koufars. 

Même s’il leur arrive de sortir leur revolver quand ils entendent le mot « Juif ».

Cette confrérie plus ou moins visible crée des partis politiques là où c’est possible, ou infiltre ceux qui lui sont favorables, ainsi que les syndicats et les associations islamiques les plus dynamiques. 

Bien intégrés en apparence, costard-cravate, éduqués selon nos normes, ayant adopté la nationalité de leurs cibles, ils peuvent occuper des places de plus en plus importantes dans les administrations et les postes électifs. 

À cet égard, LFI leur porte tort en valorisant des voyous et des illettrés.

Leur objectif est de préparer la conquête finale en achetant les médias et en changeant les lois.

 Ils savent nos journaleux et nos politicards cupides et sans scrupules, et disposent de réserves considérables en pétrodollars. 

La discrimination positive, l’antiracisme institutionnel de façade, la naturalisation facilitée sinon automatique, l’ouverture des frontières aux mahométans, et des textes et procès condamnant quiconque s’oppose à l’expansion de leur religion, sont la partie visible de l’iceberg.

 

Et tandis que les procès se multiplient contre les réfractaires à la domination islamique, la police de la pensée et la justice politique s’intéressent moins aux États voyous comme l’Iran.

Les sbires de Téhéran mieux surveillés et dont les ressources financières sont en baisse assassinent moins souvent en France qu’au siècle dernier.

 Mais selon un rapport d’étude de Gilles Platret, remis au Président de la Ripoublique qui ne l’a probablement pas lu, l’Iran s’appuierait sur des espions, des agents d’influence et des truands pour infiltrer et déstabiliser les structures de pouvoir sur le sol français.

Cette analyse de 85 pages fait penser à un roman dystopique « La mécanique du chaos » en décortiquant les rouages de cet entrisme dans notre pays. 

Des spécialistes du chiisme iranien, des experts en anti-terrorisme et en géopolitique, des historiens, un agent de la DEA (lutte anti-drogue aux USA) et un avocat international dénoncent le phagocytage d’universitaires et de journalistes antisémites en orientant leurs discours et écrits vers des modèles de rhétorique à double langage. 

Sans renoncer à l’ancienne méthode d’assassinats des opposants iraniens résidant en France quand ils en ont l’occasion.

Le but de cet entrisme est de faire pression sur la France sur la question du nucléaire iranien, de distendre un peu plus nos liens avec Israël et « de porter le chaos, sans faire la guerre » au cœur de nos démocraties dans le cadre de la stratégie dite du djihad global. 

En prenant pour exemple l’Algérie.

 Omniprésente en sourdine mais rarement dans l’offensive directe.

Lorsque des agents infiltrés ont signalé les manœuvres iraniennes, la réaction fut la même que lorsqu’ils avaient annoncé que des djihadistes se glissaient parmi les migrants et demandeurs d’asile.

 Les médias menteurs et les politicards vendus avaient affirmé que c’étaient des fantasmes d’extrême drouâte.

Faudra-t-il attendre encore dix ans pour réagir, comme avec les révélations sur les parcours des auteurs des massacres de 2015 qui éclairent d’un halo de honte ce déni collectif ? 

Mais là encore, quand on en a pris conscience, après Charlie Hebdo le 7 janvier et le Bataclan le 13 novembre, il était déjà trop tard. 

Beaucoup trop tard.

Depuis dix ans, les actes de violence semblent moins bien coordonnés, comme le camion de Nice le 14 juillet 2016, la préfecture de police de Paris le 3 octobre 2019, la décapitation de Samuel Paty le 16 octobre 2020, la multiplication des attentats à la voiture tueuse et des attaques à l’arme blanche dans les rues. 

Il y en a tellement, la liste est trop longue pour tous les citer et la plupart de nos chers compatriotes avec leur mémoire de poisson rouge oublient vite.

En toute hypothèse, si les grandes opérations planifiées ont laissé la place à des crimes opportunistes attribués à des cerveaux dérangés, c’est plus commode pour ne pas avoir à les juger, c’est moins grâce à une vigilance accrue aux frontières et à la faillite de Daesh qu’au changement de stratégie de la part des bailleurs de fonds du djihad.

 

Les grandes tueries seraient susceptibles de développer l’islamophobie et de gommer la lâcheté des peuples repus, confits dans les délices de Capoue.

Pour maintenir des relations économiques avec les infidèles et acheter leurs armes dont ils sont friands, sans perdre de vue que la conquête du monde est leur objectif ultime, les dictatures pétrolières puisent leur petit personnel dans le terreau local.

 Puisqu’ils sont français, ils passent plus facilement inaperçus, il suffit de les ré-islamiser pour les rendre opérationnels. 

Les plus motivés égorgeront quelques quidams au hasard, les moins doués distribueront des coups de couteau à   tout-va, mettront le feu à des églises et provoqueront des émeutes.

La technique a été expérimentée avec un certain succès en Inde et au Xinjiang chinois avant que ces pays réagissent de façon brutale. 

Elle consiste à créer et maintenir un climat permanent de malaise et de terreur. 

Savoir qu’on risque de se faire assassiner par des fanatiques dès qu’on sort de chez soi décourage les victimes potentielles et fragilise la société. 

Alors qu’il serait si simple de prononcer la shahada pour retrouver la paix.

Par Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/



ET AUSSI

La pédophilie est inscrite dans le Coran et la sunna

 

La pédophilie est inscrite dans le Coran et la sunna. Et affirmer le contraire, c’est aller à l’encontre des oukases d’Allah et de son prophète, c’est prêcher la mécréance, car aucun texte coranique et encore moins un hadith ne prescrit le contraire. 

Le musulman qui prétend que le mariage pédophile n’existe pas en islam est un menteur. 

Par conséquent, il n’est qu’un hypocrite et un manipulateur.

 Mais peut-être qu’il utilise la taqîya pour berner (rouler dans la farine) les mécréants et notamment les Occidentaux, ces humanistes, dépositaires de la réclame du vivre-ensemble en attendant le vivre-côte à côte, puis face à face et la fin des fins, le vivre du chacun pour soi en entendant la guerre civile du séparatisme.  

Le nikah (le mariage islamique halal) signifie se marier et copuler dans la phraséologie islamique.

Selon le fiqh, il n’y a aucune interdiction pour qu’un homme, même dépassant la cinquantaine, puisse épouser une fillette de six ans et la « consommer » à l’âge de neuf ans.

Il est écrit dans la sourate 65, verset 4 : « Si vous avez des doutes à propos (de la période d’attente) de vos femmes qui n’espèrent plus avoir de règles, leur délai est de trois mois. 

De même pour celles qui n’ont pas encore de règles. 

Et quant à celles qui sont enceintes, leur période d’attente se terminera à leur accouchement.

 Quiconque craint Allah cependant, Il lui facilite les choses ».

Le délai d’attente (viduité ou iddah en arabe) d’une femme divorcée avant qu’elle ne puisse se remarier est de trois mois (attendre trois menstruations.)

Le verset 228 de la sourate 2 et le verset 49 de la sourate 33 imposent  trois mois d’attente.

Par contre, les versets 234 et 240 de la sourate 2  indiquent que ce délai est de quatre mois et 10 jours.

 

Cette incohérence montre une fois de plus que le Coran est bourré  d’imprécisions et d’incohérences.

Selon Ibn Abbas, un homme a interrogé Mahomet : « Ô Envoyé d’Allah : qu’en est-il de la période d’attente de celles qui n’ont pas eu leurs menstruations, car celles qui n’ont pas eu leurs menstruations sont trop jeunes ?

 Le Prophète répondit : « Rentrant dans la catégorie des femmes qui n’ont pas eu leurs menstruations, à cause de leur jeune âge, leur période d’attente est de trois mois. »

Ce verset et ce hadith ci-dessus ne légalisent-ils pas le mariage pédophile qui fait partie du logiciel de base de l’islam abbasside, à compter du VIIIe siècle ?

Ce mariage de l’assassinat de l’innocence de l’enfance se pratique à grande échelle dans de nombreux pays arabo-islamiques mais certains d’entre eux l’ont déjà interdit.
 
 Cet âge est fixé entre 16 et 18 dans la plupart de ces pays.

 

De nos jours, ce mariage de la barbarie est légal en Iran, en Irak et en Afghanistan mais il continue à faire des ravages en catimini parmi les fillettes dans de nombreuses contrées islamiques, surtout auprès des populations vulnérables où la pauvreté et l’ignorance règnent en maître absolu et où la charia est appliquée scrupuleusement du berceau au tombeau.

Toutes les sociétés musulmanes ont subi et continuent de pratiquer ce nikah de la perversité en suivant les recommandations de Mohamed ibn Abdallah, l’Envoyé spécial d’Allah sur Terre, le beau modèle de Médine.

Le mariage d’une fillette (disons sa vente pour être plus précis) de 9 ou 10 ans avec un homme qui peut être son père ou son grand-père n’a rien de choquant en terre d’islam où on ne peut pas dérogé à la règle établie par le meilleur des hommes sur terre : le prophète Mahomet.

 

Selon la sirâa (rapportée par Ibn Hicham et Tabari), après  la mort de Khadidja, la première épouse de Mahomet et sa protectrice, celui-ci s’était remarié avec Sawada Bint Zamâ, une femme âgée d’une trentaine d’années pour s’occuper de ses filles.

Après son remariage avec Sawada Bint Zamâ, Mahomet s’est fiancée avec Aïcha, la fille de son compagnon Abou Bakr, à peine âgée de six ans.  

Ces fiançailles s’étaient déroulées à la Mecque, juste avant le départ (Hégire) de Mahomet et sa suite à Médine.

La majorité des musulmans ignorent que leur prophète avait consommé ce mariage lorsque Aïcha, la petite rousse (El-houmaayra) avait atteint l’âge de neuf ans.

 Quant à Mahomet, il avait déjà cinquante-quatre ans, selon le récit islamique.

 

Cette vérité islamique choque la plupart des musulmans, et beaucoup d’entre eux ne croient pas à l’histoire de ce mariage qu’ils considèrent comme un mensonge fabriqué de toutes pièces par les ennemis de l’islam, notamment les juifs et les chrétiens. 

D’autres essayent de dribbler en mentant sur l’âge d’Aïcha.

 Ils avancent des contre-vérités  qui les mettent en contradiction avec la sunna.

 

La principale intéressée, Aïcha a dit, selon sahih Bukhari et sahih Muslim :

« Le Prophète (Bénédiction et salut soient sur lui) m’a épousée quand j’avais six ans. 

Quand nous arrivâmes à Médine et nous nous installâmes chez les Bani al-Harith ibn Khazradj, j’avais eu de la fièvre suivie de la chute de mes cheveux.

 Une fois la fièvre passée, ma mère, Umm Rumân vint me chercher alors que j’étais sur une balançoire en compagnie de mes copines. 

Elle cria fortement pour m’inviter à la suivre.

 Je ne savais pas ce qu’elle voulait faire de moi. 

Elle me saisit de la main et me conduisit jusque près de la porte de la maison. 

À ce moment, j’étais essoufflée et attendais de retrouver mon souffle normal.

 Ma mère puisa de l’eau du puits pour me nettoyer le visage et la tête avant de m’introduire dans la maison. 

À ma grande surprise, j’y trouvai des femmes ansari. 

Elles me dirent que j’étais chanceuse et bénie par Allah ! 

Ma mère me livra à elles qui prirent soin de moi. J

e fus surprise de voir le Messager d’Allah (Bénédiction et salut soient sur lui) arriver en milieu de la matinée. 

Ma mère me livra à lui alors que j’étais âgée de neuf ans. » (Rapporté par Bukhari n° 3894 et par Muslim n°1422).

Il y a vingt-et-un hadiths qui confirment ce mariage pédophile.

Ce mariage pré-pubère est rapporté dans les livres les plus authentiques après le  Coran, à savoir  le sahih  Boukhari et le sahih Mouslim dont la majorité des sunnites s’inspirent pour expliquer l’islam. 

Ces derniers représentent plus de quatre-vingt-cinq pour cent (85 %) des musulmans sur Terre.

Dans Sahih Muslim n°114, Aïcha a dit : « Ma mère, Umm Rûmân, vint me trouver tandis que j’étais sur une balançoire. 

Les femmes se mirent à me parer. 

J’avais à peine fini que l’Envoyé d’Allah entra, lorsqu’il était encore le matin.

 Alors, les femmes ne remirent entre ses mains ».

 

Dans Sahih Bukhari, hadith n° 151, Aïcha a rapporté : « J’avais l’habitude de jouer avec les poupées en présence du Prophète, et mes amies filles jouaient aussi avec moi.

 Quand l’Apôtre d’Allah entrait dans la pièce où je vivais, elles avaient l’habitude de se cacher, mais le Prophète les appelait de rester jouer avec moi ».

Aïcha, la femme-enfant n’était pas formée quand elle avait eu ses premières relations conjugales d’épouse. 

Sûrement que pour elle ce fut un choc psychologique mais aucun texte digne de foi ne l’avait rapporté. 

À la mort du Prophète, Aïcha avait dix-huit ans, et apparemment, elle s’était livrée à des pratiques que la morale islamique réprouve, selon les chiites, ses ennemis éternels qui l’accusent de tous les maux de la Terre.

L’islam sunnite s’appuie sur quatre critères pour expliquer la charia qui sont le Coran, la sunna (paroles, faits et gestes du Prophète), le consensus des oulémas (ijmaa) et le kiyas (l’analogie).

 Ainsi, le mariage pédophile est validé par la charia (les lois d’Allah contenues dans le Coran et la sunna).

D’une manière générale, même dans les sociétés primitives, le mariage ne se fait qu’après la puberté.

 Et l’islam a inscrit  le nikah pré-pubère avec une consommation immédiate, dans ses textes fondateurs.

Alors comment peut-on expliquer qu’en 2025 (nous sommes en fin d’année), 38 % des Français musulmans approuvent l’islam rigoriste et 59 % des jeunes Français musulmans sont pour l’application stricte de la charia, c’est-à-dire du mariage pré-pubère ?

On peut aussi évoquer la polygamie et les mariages religieux qui se déroulent en France grâce aux accommodements accordés par la caste.

Les mariages islamiques sont au nombre de quatre : le nikah avec témoins, le misyar (le temps d’un voyage limité), le Orfi (sans témoins et qui n’est pas enregistré), la moutâa (temporaire qui dure le temps de l’acte sexuel – c’est de la prostitution légalisée par des religieux notamment chez les chiites).

Ce sondage fait froid dans le dos mais il n’y a que deux mots pour l’expliquer : la lâcheté et la compromission des « élites éveillées et sachantes ».

Pour ces musulmans, les valeurs de la République, ils ne les connaissent pas. Seule compte pour eux la charia qui est au-dessus des lois de la République. 

Le RSA, l’APL et les diverses aides sociales leur font rappeler qu’ils sont en France, le temps qu’ils en jouissent.

 

 Le système social de l’assistanat et l’État de droit leur ont permis de créer une société islamique qui vit en marge de la République, avec comme code de conduite la charia.

L’oligarchie est leur complice, et d’ailleurs, ils se considèrent déjà comme des cavaliers d’Allah, lancés à l’assaut de la France pour la soumettre, de Marseille à Dunkerque, à l’islam.

La réalité est que l’islam avance et que la République recule, et avec elle, le délitement de la France s’approfondit, de jour en jour.

Le clientélisme, l’insécurité et le nombre « des invités » voulu par la gauche et les mondialistes ont accéléré l’islamisation de la France dont les deux symboles visibles sont le voile et le halal.

L’autre pratique de la pédophilie qu’il ne faut pas passer sous silence est le bacha bazi qui consiste à ce que des adultes puissants et de surcroît musulmans jusqu’à la moelle épinière, constitués généralement des chefs de guerre ou de tribus, sodomisent des garçons imberbes qu’ils considèrent comme des épouses, en les maintenant dans des harems contre leur gré.

Cette pratique du bacha bazi est courante en Afghanistan. 

Elle est tolérée  par les oulémas qui s’appuient sur des versets coraniques (voir sourate 52, verset 24, sourate 56, versets 17 à 21 et sourate 76, verset 19) pour l’expliquer et la valider contre quelques billets sonnants et trébuchants.

Les versets ci-dessus décrivent les éphèbes (ghilman pluriel de ghulâm) qui sont au service des bienheureux du paradis pour les « servir » et les « amuser ».

Est-ce que l’islam est réellement une religion de pudeur et de morale comme fanfaronnent ces mêmes oulémas pour tromper leurs ouailles ?

Pourquoi l’oligarchie occidentale  est-elle muette comme une carpe face à la pédophilie islamique ?

Mais où sont-elles passées, les néo-féministes ?

Par Hamdane Ammar

 Source :    https://ripostelaique.com/la-pedophilie





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