mercredi 12 novembre 2025

ATTENTATS BATACLAN : NI OUBLI, NI PARDON !!!

 TRIBUNE LIBRE !

Bataclan : ni oubli ni pardon pour Abdeslam et ses complices muzz



Demain sera donc le jour des 10 ans de l’attentat du Bataclan.

 On assiste à une grosse propagande, autour de Salah Abdeslam et de victimes compassionnelles, pour relativiser l’agression commise contre la France, jouer le discours du pardon et de l’oubli, et le rejet des « discours de haine » à la Patrick Jardin.

https://www.bvoltaire.fr/attentats-du-bataclan-a-gauche-la-tentation-de-relativiser-le-bilan-des-victimes/

https://www.fdesouche.com/2025/11/11/vers-un-apaisement-social-entre-salah-abdeslam-et-les-victimes-du-13-novembre-son-avocate-affirme-que-le-terroriste-toujours-radicalise-selon-la-dgsi-est-ouvert-a-une-demarche-de/

Quelques rappels indispensables à ceux qui veulent noyer le poisson…

 

Antoine Leiris a lancé l’opération « Vous n’aurez pas ma haine ».

Un an après, le compagnon du policier Xavier, tué lors de l’attentat des Champs-Elysées, tenait le même type de discours, lors de la cérémonie d’hommage qui lui était rendu.

https://www.lemonde.fr/societe/article/2017/04/25/l-hommage-national-au-policier-xavier-jugele-tue-sur-les-champs-elysees-a-debute_5117108_3224.html

 

Trois ans plus tard, toute la France paraissait d’accord pour que l’islamiste Médine vienne faire un concert au Bataclan, sur le lieu où ses coreligionnaires avaient tué 130 personnes et blessé près de 500 autres ! 

Et seuls Patrick Jardin et quelques autres s’y étaient opposés !

Puis on nous faisait le coup de Georges Salines, un fonctionnaire toubib qui a perdu sa fille, et qui fait un bouquin avec le père musulman de l’assassin de son enfant !

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/comme-personne/georges-salines-et-azdyne-amimour-ensemble-contre-le-terrorisme-7595989

 

Quand Raquel Garrido prônait, dès 2021, la réconciliation entre les terroristes et les familles de victimes.

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/tentative-d-evasion-dejouee-a-fresnes-pour-une-detenue-radicalisee-20211114

 

On s’est pris depuis le procès du siècle, où Salah Abdeslam a multiplié les provocations, et où le président Périer a tout fait pour occulter la responsabilité de l’islam et des socialauds, qui n’a servi à rien.

 

Et donc, à présent, profitant de cet élan compassionnel, Salah Abdeslam, qui vient de se faire choper en taule en train de préparer d’autres attentats, continue à se foutre de la gueule des Français, avec la complicité des islamo-collabos de service, en se disant prêt à une « démarche de justice restaurative » avec quelques rescapés du Bataclan qui, à l’opposé de mon ami Patrick Jardin, sont assez niais pour tendre la main à un assassin islamiste qui n’a ni regrets, ni remords, et joue de la candeur des lobotomisés qui, trop nombreux, peuplent notre pays.

https://www.fdesouche.com/2025/11/11/vers-un-apaisement-social-entre-salah-abdeslam-et-les-victimes-du-13-novembre-son-avocate-affirme-que-le-terroriste-toujours-radicalise-selon-la-dgsi-est-ouvert-a-une-demarche-de/


Source :   https://pierrecassen.ripostelaique.com/2025/11/12/bataclan-
 
 

 

ET AUSSI

13 novembre : le timing cynique du projet d'attentat terroriste de l'ex-compagne de Salah Abdeslam

Terrorisme

 
Par , avec AFP

Publié le 

À quatre jours des commémorations des attentats du 13-Novembre 2015, l'ex-compagne de Salah Abdeslam a été mise en examen et incarcérée notamment pour un projet d'attentat djihadiste déjoué dans lequel le terroriste ne serait pas mis en cause. 

 

Ce dernier, toujours radicalisé, dit s'intéresser à la justice restaurative.

Un timing scabreux. 

 

Alors que la France se prépare à rendre hommage aux 130 victimes et centaines de blessés des attentats du 13 novembre 2015, l'ex-compagne de Salah Abdeslam vient d'être doublement mise en examen et incarcérée notamment pour un projet d'attentat djihadiste déjoué. 

 

La Directrice générale de la sécurité intérieure (DGSI), Céline Berthon, a annoncé que le terroriste « le plus surveillé de France », condamné à perpétuité pour sa participation aux attentats meurtriers qui ont ensanglanté Paris il y a dix ans, ne serait pas mis en cause dans ce projet macabre.

 

 

Le Parquet national antiterroriste (Pnat) a indiqué avoir ouvert deux informations judiciaires distinctes contre Maëva B., l'ex-compagne de Salah Abdeslam, doublement mise en examen lundi et incarcérée pour un projet d'attentat djihadiste déjoué et pour avoir remis une clé USB « chargée de propagande djihadiste » à Salah Abdeslam au parloir il y a quelques mois.

 

 

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Cette femme, placée en garde à vue depuis le 4 novembre, présenterait une « radicalisation certaine et une fascination pour le djihad », précise le Pnat. 

 

Elle « était séparée » de Salah Abdeslam et « n'entretenait plus de relations depuis avril 2025 » avec lui. 

 

Le parquet a souligné que Maëva B. avait « reconnu avoir acquis une clé USB, l'avoir chargée de propagande djihadiste et fait remettre à Salah Abdeslam au cours d'un parloir ». 

 

Le 17 janvier dernier, l'administration pénitentiaire avait signalé au Pnat la découverte « de traces de connexions de quatre clés USB entre décembre 2024 et janvier 2025 sur l'ordinateur légalement détenu par Salah Abdeslam » en détention.

 

 

PROJET D'ATTENTAT DÉJOUÉ

Maëva B. a également été mise en examen avec deux autres personnes pour un projet d'attentat déjoué. 

 

Le teint pâle, yeux clairs, tenue noire ample et longs cheveux bruns, la mise en examen est apparue brièvement avant que le huis clos soit requis pour son audience devant une juge des libertés et de la détention (JLD) qui a prononcé son placement en détention provisoire. 

 

Plus tôt ce lundi 10 novembre, le Pnat a déclaré avoir découvert « plusieurs discussions ou recherches relatives à l'élaboration d'un projet distinct d'action violente, sans lien avec Salah Abdeslam », sur « les supports numériques saisis au cours de la perquisition réalisée au domicile de Maëva B. », dans le cadre d'une enquête ouverte en janvier dernier sur cette clé USB illicite.

 

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La jeune femme n’aurait pas agi seule, mais avec « une mineure de 17 ans » et son « nouvel époux religieux », un homme de 20 ans. 

 

Ils ont été arrêtés respectivement dans l'Hérault et en Isère et placés à leur tour en garde à vue vendredi dernier.

 

 Le jeune homme, cheveux ras, barbe mi-longue et veste de survêtement bleue, est apparu le regard fermé lundi devant la juge qui a prononcé son incarcération.

 

 « Notre client conteste intégralement les faits reprochés », ont indiqué ses avocates Me Noémie Gorin et Helin Köse.

 

 

LE PROJET DE « JUSTICE RESTAURATIVE » DE SALAH ABDESLAM

Salah Abdeslam a lui été placé deux fois en garde à vue puis relâché et réintégré en détention.

 Le Pnat a requis sa « mise en examen ultérieure ». 

 

Lundi, Céline Berthon a affirmé que Salah Abdeslam restait « radicalisé », mais « n'était pas mis en cause dans un projet d'attentat ».

 

 Il « n'est en aucune manière soupçonné par la justice d'être impliqué de près ou de loin dans un quelconque projet criminel », ont aussi abondé ses avocats.

 

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Alors que son nom continue de hanter les commémorations des attentats du 13-Novembre, Salah Abdeslam envisagerait d'entrer dans une démarche de justice restaurative avec les parties civiles, selon les dires de son avocate Me Olivia Ronen : « On a une personne qui essaie d'accéder à l'éducation, une personne qui par ailleurs a présenté des excuses aux parties civiles lors de son procès, (...) qui aimerait pouvoir expliquer la situation et peut-être discuter, ouvrir une porte aux parties civiles, si toutefois celles-ci le souhaitent, pour pouvoir évoquer la détention et évoquer ce procès-là », déclarait-elle au micro de franceinfo ce mardi. 

 

Le but ? « Viser un apaisement social », selon Olivia Ronen, qui reconnaît « qu'on en est encore loin ».

 

Elle assure que cette initiative est également une demande de certaines parties civiles de « pouvoir entrer en contact avec lui [Salah Abdeslam] ». 

 

Une information confirmée par Arthur Dénouveaux, rescapé du Bataclan et président de l'association Life for Paris, qui a répondu à l'avocate sur X que « plusieurs victimes des attentats » s'intéressaient en effet à la justice restaurative, ce qui « pourrait aboutir comme en Espagne ou en Italie à des rencontres en prison avec votre client ».

 

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