dimanche 8 décembre 2024

POLITIQUE : MACRON, PARTIRA OU PARTIRA PAS ? LE SOUHAIT DES FRANÇAIS ! SONDAGE !

 


 

 REVUE DE PRESSE !

Crise de régime : après Philippe de Villiers, c’est Édouard Philippe qui le dit

© Capture écran TF1
© Capture écran TF1

Censure. Le jour d'après. 

Ou plutôt LES jours d'après, tellement l'onde de choc risque d'être puissante. 

Trois enseignements immédiats peuvent en être tirés.

D'abord, c'est Marine Le Pen qui a créé l'événement, c'est elle qui a - pour parler comme Emmanuel Macron - dégoupillé la grenade en refusant de cautionner, sous couvert d'une quête incessante de respectabilité, un budget qui accroît les prélèvements sans tailler dans les dépenses ni s'attaquer à l'immigration. 

Le vieil observateur de la vie politique française qu'est Gérard Carreyrou ne s'y est pas trompé. 

Selon lui, « elle a gagné sur tous les tableaux » : non seulement elle a gagné la censure, mais elle s'est trumpisée, dans une véritable stratégie de rupture. 

Et le trumpisme de rupture est une valeur en hausse.

Ensuite, elle a démasqué le jeu de dupes de ce gouvernement et de ce Premier ministre minoritaires, soutenus par un socle commun LR-macronistes, perdants des dernières élections.

 Philippe de Villiers parlait du match retour du front républicain de juillet dernier qui priva le RN de sa victoire. 

En mettant fin à la fiction de la solution Barnier, elle a par là même mis à nu la crise de régime dans laquelle Emmanuel Macron, par la dissolution d'abord, par les désistements avec LFI ensuite, a plongé la France et que l'élégance de Barnier, après deux mois de Jeux olympiques, était censée nous faire oublier. Philippe de Villiers estime que, si « la IVe République est morte pour ne pas avoir su affronter le problème de la décolonisation, il semblerait que la Ve République va mourir parce qu’elle n’a pas su faire face à la perte de la souveraineté »

 

. La signature sidérante de l'accord avec le Mercosur par Ursula von der Leyen ne pouvait mieux illustrer son propos.

Mais cette analyse brillante d'un Philippe de Villiers délivrée pour ses fidèles de CNews vient, ce vendredi soir, d'être relayée par Édouard Philippe pour ceux de BFM devant un Benjamin Duhamel incrédule ! 

Pour l'ancien Premier ministre de Macron, « on n'est pas très loin d'une crise de régime ».

 Son analyse à lui ne se fonde pas d'abord sur la perte de souveraineté qu'en bon mondialiste il ne déplore guère, mais sur la paralysie des institutions, le retour du régime des partis, l'instabilité gouvernementale - ce qui est patent.

 

Certes, cette sortie d'Édouard Philippe est téléguidée par son ambition pour 2027, un remake du « dépassement » de son mentor, mais elle révèle tout de même l'ampleur de la crise et accroît un peu plus la pression sur Emmanuel Macron

 À côté de la grosse caisse Mélenchon qui appelle à sa démission ouvertement, de la stratégie de durcissement de Marine Le Pen actée par le choix de la censure, la petite musique d'Édouard Philippe ne dit pas autre chose, tout en proposant la solution du référendum comme solution provisoire. 

 

Un sondage de l’institut CSA pour CNews, Europe 1 et le JDD, publié ce vendredi 6 décembre, révèle d'ailleurs que 59 % des Français souhaitent la démission d’Emmanuel Macron.

Or, cette crise de régime intervient dans un contexte d'effondrement économique et financier, de révolte paysanne, d'exaspération populaire devant une insécurité et une immigration sans entraves, d'instabilité géopolitique et de guerre sur le continent européen. 

Une impuissance publique qui vient de loin mais qui se concrétise, désormais, dans une vacance du pouvoir vertigineuse. 

Et dangereuse. C'est aussi le mot qu'a employé Édouard Philippe.

Si les esprits les plus avisés et les plus mesurés parlent de « crise de régime », alors que doivent penser les plus hardis, et le peuple ?


Frédéric Sirgant
 
Par  Frédéric Sirgant
Chroniqueur à BV, professeur d'Histoire 
 
Source et Publication :  https://www.bvoltaire.fr/ 


 

Quand punching-Bill prend les Français pour des … punching-ball.

 

Par Bernard Bruyneel     

Un Mac en Toc alors qu’il nous faut un Mec en Vrai ! 

L’Élysée et les palais soumis sont les vedettes télévisuelles d’un feuilleton qui dure depuis plus de cinquante ans et qui commence à ‘ emmerder’ le gentil petit peuple de moins en moins soumis et enfin alerté. 

Notre Neuneu national pour se rendre inutile mais surtout se rappeler à la mémoire de la plèbe et pour son improbable rédemption, a décidé unanimement seul et sans raison, comme solution, d’imposer la dissolution, que nenni sa démission. 

Pendant ce temps, la Hyène manœuvre à volonté pour mettre nos paysans sur la paille, à cause de la déconno-écologie et d’un nauséabond tas de fumiers ! 

Mais pas que … le paquebot France, c’est la volonté des Mondialistes de faire des petits français des bâtards à la colorisation dénuée de toute blancheur d’où l’expression :

Allez à la soupe’ deviendra ‘Allez soumission à ALLAH ‘!

`Notre majesté narcissique premier essaiera toujours de nous endormir ! Il jouit de sa perversité pas uniquement prostatique !

< Ce n’est pas moi, ce sont les autres qui n’arrivent pas à s’accrocher à mes divines destinées >.

Pendant que des nantis politicards dorment sur un matelas tellement épais qu’un voleur de coffre-fort en devient jaloux ! 

Ils nous demandent sans honte mais avec aplomb de faire encore et toujours des sacrifices pendant que leur monnaie courante est une gabegie sans fond ! 

Marre de se faire dépecer par des charognards qui ne reconnaissent pas leurs fautes, magouilles, délirants milliards jetés par la fenêtre pour guerre en paix.

Serait-il temps de changer d’auteur, scénario et casting !

Drôle d’atmosphère dans une certaine hémisphère quand des types vulgaires, sans foi ni loi, reniant notre culture et religion sauf la cathodique, montés sur ressort, se trémoussent de gauche à droite, de haut en bas, sans moralité. 

Qu’ils ne veulent même pas faire un effort d’exemplarité en abandonnant quelques privilèges surévalués !

Des types dont la culture et leur intellect sont aussi éloignés qu’une ligne d’horizon indécelable.

 Dont la traitrise les rend intouchable par la grâce d’une justice qui n’a de prénom que celui de ‘Clémence’ totale pour la voyoucratie ! 

Certains aux discours haineux propulsent une véritable haleine de chacal ayant pour dieu Anubis. 

Non, non, j’ai bien écrit Anubis et non pas Anusbis, ah, les coquins dépravés du genre LGBT ! 

 

Mon père aurait dit :  

< Il y a tout de même beaucoup de trouducul en gestation >.

Pourquoi ne pas rendre simplement la parole aux citoyens, qui, sont encore capables de discerner, pour la plupart, la différence entre le Bien et le Mal ! 

 

Allez après les ‘10 commandements’, pourquoi pas le référendum à dix questions, 

–      Pour sauver notre honneur, fierté, souveraineté.

–      Pour sauver la patrie, notre contrée lumineuse qui s’éteint par la mise à feu …répétés, d’églises en cathédrale ?

–      Pour sauver notre patrimoine et préserver l’espoir d’une vie sereine pour nos descendants.

–      Pour donner l’exemple à l’Occident en sonnant la charge du réveil !

 

Que l’armée protège notre civilisation, ce à quoi, elle est destinée. 

 Nous mettre à l’abri des barbares et autres envahisseurs qui profitent de notre délirante hospitalité, de notre AME et autres subsides.

Nous les repentants, sauveurs de l’humanité alors que notre Jupitain ‘le ’bienheureux anéantisseur’ de service va jusqu’à proposer aux citoyens, la mort sur ordonnance ou pas !

Enfin, avec mes mots pour tous nos maux, je suis prêt à me défendre et à me battre poings serrés.

 Ce n’est pas du cinéma, pour ce qui est plus cher pour moi, ma famille et mes enfants, petits-enfants pour leur lendemain !

PAPA, je te devais bien cela !

Par Bernard Bruyneel

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Bernard Bruyneel

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