vendredi 6 décembre 2024

LA CENSURE ENFIN VOTÉE ! DES RÉACTIONS .......;

 TRIBUNES LIBRES !

Censure votée : Que tous les élus qui doivent leur siège à LFI se taisent !


Par Jacques Guillemain.

Sec comme un coup de fouet ce papier de Jacques Guillemain.

 

Comme d’habitude. (Riposte laïque, 5.12) Pourquoi ne pas le faire connaître aux lecteurs de JSF ? 

Nous sommes sur des lignes voisines, chacun avec nos différences, nos styles propres, nos priorités particulières mais d’accord sur les principes et les engagements essentiels.      

La censure est passée malgré les prophètes de l’Apocalypse.   

Et n’en déplaise à la clique au pouvoir, la censure est aussi légitime que le 49-3 !

 

Marine n’a donc pas à rougir de voter cette censure avec LFI, alors que tous les donneurs de leçons actuels ont été élus grâce à Mélenchon et à l’inique front républicain.

Quant à dire que Marine sème le chaos, c’est tout simplement grotesque, venant d’une classe politique qui a détruit le pays en quarante ans de gabegie et d’irresponsabilité criminelle.

 Droite et gauche, qui règnent sans partage depuis toujours, sont responsables et coupable du chaos actuel. 

C’est ce chaos qui a provoqué la censure et non l’inverse.

https://www.jesuisfrancais.blog/2024/12/04/arnaud-benedetti-au-figaro-la-censure-ne-provoque-pas-le-chaos-politique-elle-est-une-consequence-du-chaos-preexistant/

 

De Gaulle leur avait légué un palais clés en mains, ils en ont fait un champ de ruines.

Pendant quarante ans ils ont tous mené la même politique dévastatrice, détruisant méthodiquement le quotidien des Français.

 Et aujourd’hui que la France est littéralement en train de s’effondrer, ils osent mettre leur bilan calamiteux sur le dos de Marine !

 

Le bilan Macron c’est :

Une perte de souveraineté qui fait retourner le Général dans sa tombe.

 Souveraineté monétaire, budgétaire, économique, politique, diplomatique, judiciaire, militaire, sanitaire, tout nous échappe tant notre soumission à Bruxelles et à Washington est totale. 

 

La France de Macron c’est :

– le pire endettement jamais vu : 3 300 milliards, record d’Europe

– le pire déficit : 6,2 %

– la pire balance commerciale : 100 milliards par an

– la plus écrasante fiscalité de l’OCDE 

– la plus faible croissance de l’UE

– le chômage à 7 %

– l’explosion des faillites et la chute des investissements

– une école en perdition avec un illettrisme qui explose

– l’insécurité la pire d’Europe avec une justice laxiste, bonheur des malfrats

– un système de santé à l’agonie, mais qui soigne toute la planète 

– une armée exsangue de 200 000 soldats sous équipés

– une désindustrialisation historique

– une lente mais inexorable destruction de notre agriculture

– un doublement de l’immigration avec plus de 500 000 arrivées par an

– une islamisation du pays devenue hors de contrôle

– un délabrement des Institutions

– avec une Assemblée de pieds nickelés, où se mêlent des repris de justice, des drogués, des antisémites, des prédateurs sexuels et j’en passe. 

 

Sur 577 députés, combien de parasites indignes d’y siéger ? 

Là aussi, c’est l’anarchie sans aucune sanction.

Franchement, est-ce que Marine a la moindre responsabilité dans ce bilan catastrophique ? 

Par conséquent, que les donneurs de leçons qui se prélassent dans les palais de la République sans aucune obligation de résultat et sans rendre de comptes, se taisent.

A part cracher sur les électeurs du RN depuis quarante ans, ils sont restés les bras ballants, laissant la France couler comme le Titanic et glisser vers le tiers monde. 

Dehors !

Attendons maintenant de connaitre le nom du futur locataire de Matignon.   

■  JACQUES GUILLEMAIN


Quand censure rime avec dynastie : une longue histoire en héritage.


Par Michel Franceschetti.

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Quel est le point commun entre les deux motions de censure adoptées sous la Ve République ?

Réponse : la famille Le Pen.

 

Jean-Marie était député en 1962 et il a voté la motion de censure avec les communistes, tout comme les autres députés pro-Algérie Française comme le Corse Pascal Arrighi et le Marseillais Jean Fraissinet.  ■ 

Par  MICHEL FRANCESCHETTI

 

Source et Publication : https://www.jesuisfrancais.blog/2024/12/06/ 

 

ET AUSSI

Allocution de Macron : trente mois, trente siècles…

Capture d'écran Présidence de la République
Capture d'écran Présidence de la République

 

La France attendait, ce jeudi, l’œil aux aguets, le souffle court, après le suspense de la censure, finalement votée avec une majorité très large. 

Le Président Macron allait parler. 

Il allait annoncer un Premier ministre nouveau, plein d’ardeur, riche de l’expérience vécue la veille : celle du retentissant soufflet du vote conjoint de l’extrême gauche et de la droite patriote qui a fait tomber le gouvernement de Michel Barnier. 

Il était revenu d'Arabie saoudite, il avait vu le désert, il avait pensé, réfléchi. 

On se prenait à rêver. Peut-être Emmanuel Macron allait-il faire amende honorable ?

 Analyser les raisons pour lesquelles il est, aujourd’hui, le président de la Ve République le plus impopulaire ? Prendre en compte la nouvelle donne politique ? 

Reconnaître ses erreurs, ses échecs ? Pourquoi pas…

Les gens sont méchants

Le rêve naïf se brise dès la première minute.

 Le président de la République élu au suffrage universel et garant des institutions a encore trois ans devant lui, à l’Élysée, mais il n’a plus rien à dire aux Français. 

On songe immédiatement au regretté Raymond Devos qui lançait : « Et si vous-mêmes, Mesdames et Messieurs, vous n’avez rien à dire, eh bien, on en parle ! »

Ce n’est pas la première fois, c’est vrai, mais ce jeudi soir, cela se voit comme un déficit abyssal sur le bilan d’un petit prince de la finance.

 Le Président, qui avait pris deux mois pour la nomination de Barnier, n’a pu cette fois boucler l'affaire en 24 heures, comme il le souhaitait. 

Pourquoi deux mois ? Pourquoi 24 heures ? Mystère. 

On n’aura donc pas le nom du successeur de Michel Barnier. Mais Macron s’exprime tout de même. Sur fond de drapeau français - et européen, bien sûr -, le chef de l’État tente de justifier sa dissolution tout en constatant qu’elle « n’a pas été comprise ». 

  Certes. Donc ?

 Donc, rien. Il n’a donc pas de majorité, c’est inédit mais c’est ainsi !   On se pince.

 

Il a tout de même cherché des solutions, le Président. 

Ce fut Barnier, un Barnier censuré « parce que l’extrême droite et l’extrême gauche se sont unies ». 

 C'est fou, ce que les gens sont méchants. 

Avec cette union, le Président reprend le plus mauvais argument du débat, l’argument le plus faible, le plus inopérant, car pas un Français ne pense que Marine Le Pen a soudain adopté le programme du NFP. 

Qui croira que le vote de la censure crée un « front antirépublicain », comme le dit le Président ?

 Le NFP ne remet pas en cause la République, le RN moins encore.

 Les mots sonnent terriblement creux. 

La machine Macron ne fonctionne plus.

 Elle part en crabe. « Certains ont tenté de me rendre responsable de cette situation », mais rassurez-vous, brave gens, l’homme qui détient le pouvoir suprême depuis sept ans n’est responsable de rien.

 « Je n’assumerai jamais les responsabilités des autres », balaye Macron, notamment les responsabilités de ces parlementaires qui ont sonné la fin de la récréation Barnier. 

« Ces députés ne pensent pas à vous, à vos vies et à vos difficultés », ils veulent « le désordre ». 

On pensait qu’ils aimaient tellement l’ordre qu’ils étaient, pour certains d'entre eux, dangereusement fascistes ? On peine à suivre. 

Macron assure qu’ils ne pensent qu’à l’élection présidentielle. 

Ce qui ne lui est sans doute jamais arrivé…

Trente mois

Bref, la blanche colombe qui niche à l’Élysée nous prévient : il exercera son mandat de cinq ans « pleinement, jusqu’à son terme ».

 C’est sans doute la non-information la plus saisissante de ce discours inutile. Le pourra-t-il ? Macron ne pose pas la question. 

Il lui reste trente mois et cela va être long. 

Il faut redresser les enthousiasmes brisés. 

Au cric. « C’est une époque nouvelle qui doit commencer », assure Macron, la voix terne, avec « des compromis nouveaux parce que la planète avance et que les défis sont nombreux ». 

Bon. À l'évidence, le cœur n'y est pas. Il nommera un Premier ministre qui composera son équipe « avec toutes les forces politiques qui s’engagent à ne pas le censurer ». 

 Donc, si le RN s’engage à ne pas le censurer, il aura des ministres ? Chiche ! 

A-t-il eu seulement le courage de relire son texte ? Pas sûr.

Il reste donc « trente mois », a calculé le Président. 

Trente mois pour faire de la France « un pays plus fort et plus juste », « une France plus forte dans une Europe plus forte et plus indépendante » (sic). 

Le canard sans tête ne court plus mais il parle.

 Trente mois, répète Macron, qui tente d’enrôler la cathédrale de Paris et les Jeux olympiques. 

Trente mois, donc. Trente siècles. 

On a beau chercher, on ne voit pas comment ce Président de plus en plus déconnecté tiendra. 

Macron aurait peut-être dû ne rien dire.

 Mais voilà, Raymond Devos, encore : « Moi, quand je n'ai rien à dire, je veux qu'on le sache ! »


Marc Baudriller
Par Marc Baudriller
Directeur adjoint de la rédaction de BV, éditorialiste 
 



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Allocution d'Emmanuel #Macron : pas un mot, pas un seul, sur les catastrophes en cours en France : la submersion migratoire extra-européenne, l'islamisation, l'insécurité et la barbarie, l'effondrement du niveau scolaire, et évidemment la dette qui explose.
 Incroyable...
 
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Le Parti de la France

 RÉACTIONS

 

Sur Facebook

Emmanuel Macron nous a habitué à parler pour ne rien dire mais ce soir il s'est surpassé.
Pour résumer :
- Le RN et LFI sont irresponsables d'avoir censuré Michel Barnier et son budget qui voulait détrousser les Français de 40 milliards d'euros supplémentaires pour continuer sa politique de dépenses publiques pharamineuses.
- Il nommera bientôt un Premier Ministre qui formera un gouvernement d'intérêt général ; quel gouvernement ne prétend pas l'être ?
- Il ne démissionnera pas ; le simple fait de le préciser démontre sa fébrilité et son manque d'assurance.
- Les prédictions apocalyptiques de ses amis macronistes étaient de purs bobards, l'absence de budget n'empêchera pas le pays de fonctionner.
- La reconstruction de Notre-Dame est sa propre réussite et la preuve de son génie.
 
Qui a bien pu être convaincu par la prestation presque gênante de cet illusionniste ringard dont on connait tous les tours ?
 
Il est plus que temps que cette mascarade se termine.
 
Par Thomas Joly -
 Président du Parti de la France




Thomas Joly, Président du Parti de la France : « Emmanuel Macron est le principal artisan du chaos institutionnel. 
 
Sous son règne, la France a plongé dans la ruine et la discorde. 
 
Rejeté par la majorité des Français, il doit s'en aller sans délai. »
 
 
 
 

 
Apnee Steph
Il devrait rembourser la dette avant d aller s amuser ailleurs !

 
 

 

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