TRIBUNES LIBRES ET POINT DE VUE !
Contre le gauchisme, ce cancer, ne jamais s’excuser, ne jamais se renier, faire face
[L’Agora]
Le gauchisme est une pathologie. Un cancer. Une idéologie totalitaire déguisée en humanisme.
Depuis des décennies, cette minorité bruyante, arrogante et doctrinaire a infiltré et asservi la France.
Leur terrain de jeu ? L’éducation nationale, les associations subventionnées, les syndicats parasitaires et toutes les institutions qui forgent les esprits et modèlent les consciences.
Leur méthode ? Une rééducation morale et intellectuelle de masse, financée par l’argent public, imposée par la menace et soutenue par leur contrôle des médias, des universités, et des cercles culturels.
Ils ont colonisé l’instruction de millions d’enfants, transformant l’école en camp d’entraînement idéologique.
On n’enseigne plus à penser, on programme.
Ils ont imposé leurs dogmes : l’antiracisme hystérique, la culpabilisation perpétuelle, la culture de l’excuse et la haine de la nation.
Tout cela en prétendant lutter contre les « intolérances », tout en pratiquant les purges intellectuelles contre quiconque ne se soumet pas à leur vision du monde.
Le gauchisme, ce n’est pas un courant politique. C’est une machine à écraser les consciences.
Un système d’oppression intellectuelle qui se pare de vertus pour mieux imposer ses vices. Ils parlent de liberté d’expression, mais censurent.
Ils prônent la diversité, mais n’acceptent qu’un discours unique. Ils se disent tolérants, mais traquent toute dissidence avec une violence inquisitoriale.
Regardez autour de vous.
Le cinéma gauchiste de Redon qui s’indigne qu’un film de Tommy Robinson soit diffusé à Challans tout en organisant des soirées à la gloire des migrants ou du Kurdistan.
Ces militants auto-proclamés progressistes qui prétendent être les gardiens de la vertu alors qu’ils ne sont que les geôliers de la liberté. Ils veulent rééduquer nos esprits « malades ».
Mais qui sont-ils pour nous dicter comment penser, parler, agir ?
Ils prospèrent parce que trop longtemps, la droite, les conservateurs, et même les modérés ont baissé la tête.
Ils ont eu peur. Peur de perdre leur poste, leur réputation, leur confort. Mais cette époque est révolue.
Le temps de l’affrontement est venu.
Il faut les regarder droit dans les yeux et leur répondre par un « non » franc et massif. Non à leur propagande. Non à leur chantage moral. Non à leur censure. Non à leur mainmise sur notre société.
Et si leur arrogance persiste, il faudra leur cracher à la figure.
Pas de compromis, pas de reddition.
Partout dans le monde, les peuples se réveillent.
L’Argentine avec Milei, les États-Unis avec Trump, et bientôt l’Europe tout entière.
Les gesticulations des gauchistes, leur volonté de censure, leurs agressions n’arrêteront pas ce mouvement. Ils le savent, et leur panique est palpable.
Ils tentent de réécrire l’Histoire, mais bientôt ils seront effacés d’elle. Ils cherchent à imposer la table rase, mais c’est eux qui seront balayés.
Le gauchisme n’a jamais été qu’un cancer.
Il est temps de le neutraliser, de lui couper ses vivres, d’éteindre sa lumière, et de lui montrer la porte. Dehors. A fuera.
L’Histoire retiendra qu’une petite minorité a voulu imposer sa loi à un peuple entier.
Mais elle retiendra aussi que ce peuple finira par se lever, par reprendre le contrôle, et par rejeter cette idéologie mortifère dans les oubliettes où elle aurait toujours dû rester.
Si on ne vainc pas le cancer, il nous tue.
Choisissons la vie. Choisissons la liberté. Choisissons la résistance.
Par Julien Dir
Le peuple français doit se rassembler
[L’Agora]
Nous vivons des journées historiques en ce sens qu’elles vont être déterminantes pour le devenir de notre pays.
La France a connu, au cours de sa longue histoire des jours qui ont marqué, tels des points d’inflexion, des moments où une remise en question des orientations politiques devenait nécessaire.
L’élection présidentielle, clé de la politique française
Depuis 2002, les présidents ne sont plus élus sur un projet proposé mais pour battre un autre candidat.
Ce vote « d’élimination » permet à l’élu de rester très discret sur son éventuelle proposition.
Ne s’engageant pas réellement, il peut ensuite s’abriter sous une sorte de « qui ne dit mot consent » pour conduire une politique qui ne soit pas conforme à ce qu’en attend le peuple français.
Pour être élu, il faut une majorité et c’est une évidence.
Le projet que doit proposer le candidat doit rencontrer l’assentiment majoritaire du peuple français. Les plus nombreux sont ceux qui appartiennent aux « couches populaires ». Ainsi va la démocratie.
Or, depuis plusieurs décennies, l’avis de cette classe sociale ne compte plus dans notre pays.
Ils ont massivement rejeté le projet de traité constitutionnel en 2005 et pourtant l’élite dirigeante a passé outre. Depuis, il n’y a jamais eu de référendum portant sur l’organisation de l’Europe.
Alors que le peuple français tenait à conserver la souveraineté de la Nation, tout à été fait insidieusement pour mettre à mal cette souveraineté.
Un autre clivage s’est progressivement installé qui n’a cessé de s’amplifier entre une élite profondément euro-mondialiste et un peuple resté très attaché à la souveraineté que la Constitution lui garantit.
Or, depuis Jacques Chirac, dont l’évolution entre « l’appel de Cochin » de 1978 et le soutien du « oui » au référendum de 2005 a été particulièrement significative, tous les présidents successifs ont mené une politique « pro-européenne » qui, de fait était une politique en faveur d’une « Europe intégrée » tout en maintenant une certaine ambigüité pour, justement, ne pas froisser les couches populaires.
On leur a vendu l’euro sur une description idyllique en omettant soigneusement de parler de la perte de notre souveraineté monétaire et des risques que cela présentait à terme.
Le plus urgent était de faire accepter ce saut vers le fédéralisme que ses promoteurs avaient soigneusement rendu irréversible.
Or, l’état de l’Union Européenne ne permettait pas de garantir la pérennité de cette monnaie unique en raison des trop grandes disparités des pays entre eux.
Seul Philippe Seguin, dans un véritable discours d’anthologie, avait tenté de décrire la réalité, mais il n’a pas été écouté.
Or, le décalage entre le président et la majorité du peuple a été longtemps masqué en raison d’une non-utilisation du référendum qui aurait permis d’en constater l’ampleur.
L’autre moyen d’exprimer la volonté populaire que sont les élections législatives a été dénaturé par la réforme du quinquennat.
Elle les ont réduit à une sorte de « tour de confirmation » de l’élection présidentielle par lequel la voix du peuple n’avait plus de moyen « légal » de s’exprimer sur le fond.
Une dissolution très révélatrice
Emmanuel Macron était probablement conscient de tout cela, mais il en avait peut-être sous-estimé l’importance.
La dissolution consécutive au résultat de l’élection européenne devait logiquement conduire à une cohabitation avec le Rassemblement National dans la dynamique des européennes mais la réalité fut toute autre.
Les élections législatives de juin 2024 montrèrent d’une façon éclatante que, non seulement le Président n’avait pas, tant s’en faut, de majorité parlementaire, mais surtout que le pays était devenu ingouvernable. Il eut fallu immédiatement réagir en demandant, et c’est l’esprit même de la Constitution, au peuple de trancher.
Ecartant d’emblée tout référendum, il ne restait à Emmanuel Macron que la remise en jeu de son mandat, seule issue possible.
N’ayant pas voulu le faire, le fonctionnement en mode dégradé de notre Constitution ne pouvait que conduire au chaos actuel. Il est absolument nécessaire, pour le maintien de l’ordre social, que le peuple puisse s’exprimer sur les sujets fondamentaux qui peuvent remettre en jeu l’existence même de la nation.
Nous sommes dans une triple crise financière, politique et sociale, non pas du fait du vote d’une motion de censure, qui est un acte prévu par la Constitution, mais par une politique continue qui consistait à détourner la Constitution de son esprit en pensant que le peuple ne le verrait pas et que l’élite qui soutenait cette politique allait seule en tirer profit.
Il faut repartir de la base
Aujourd’hui, il est essentiel de savoir ce que veut le peuple français concernant le devenir de notre pays.
Pour cela, il faut que quelqu’un qui saurait susciter la confiance du peuple exprime les différents choix possibles sur les sujets « structurants » comme l’Union Européenne (Fédération ou Europe des nations) mais aussi sur l’euro ou encore sur l’immigration et la place de la France de ce monde en plein bouleversement géopolitique.
Cet exposé devra être impartial pour que le peuple puisse choisir librement.
Bien sûr, il faut s’attendre à ce que certains esprits chagrins mettent en doute cette capacité de discernement.
C’est pourtant la base même de la démocratie.
« Le jour va venir où, rejetant les jeux stériles et réformant le cadre mal bâti où s’égare la nation et se disqualifie l’Etat, la masse immense des Français se rassemblera sur la France ».
Ch. de Gaulle, Discours de Bruneval 1947.
Par Jean Goychman
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