mardi 30 septembre 2025

QUAND SARAH KNAFO " RECONQUÊTE " PULVÉRISE LE SERVICE AUDIOVISUEL PUBLIC .....

MÉDIAS !

Sarah Knafo pulvérise le service audiovisuel public et accuse gravement Delphine Ernotte…

Il y a moments qui constituent des grands événements. 

Ce fut le cas notamment du discours de Donald Trump à l’ONU, qui restera longtemps dans les mémoires.

À un plus petit niveau, le passage de Sarah Knafo sur CNews, ce soir, invitée dans « Face à l’Info » par Christine Kelly, restera un grand moment pour deux raisons.

 

Dans la première partie, Sarah, toujours aussi précise sur les chiffres, énumérera un ensemble de scandales autour de la partialité du service public, des avantages ahurissants des 9.000 salariés, presque tous de gauche, payés avec nos impôts (petits fours, taxis, château…).

 Elle fera une brillante démonstration, s’appuyant sur le précédent de la vente de TF1, pour démontrer que les chaînes du service public intéresseraient forcément des investisseurs, qui en feraient des affaires rentables, comme l’a fait Bouygues avec TF1, et donc que les Français feraient des économies substantielles.

 

Elle évoqua les nombreuses insultes subies en toute impunité par les Français qui ne pensent pas bien et qui ne votent pas mieux !

 

Mais c’est surtout dans la deuxième partie, où, avec l’autorisation de Christine Kelly, elle rendit publique une lettre ouverte qu’elle allait faire parvenir à Delphine Ernotte, qu’elle fit un véritable festival. 

Chaque coup porté était juste, et une autre charge, impitoyable, était portée ensuite, toujours avec un sourire resplendissant. 

Passage fort, Delphine Ernotte fut accusée ni plus ni moins de détournement d’argent public au service de son idéologie progressiste, et le nom de son adjoint, un de nos grands amis, le nommé Stéphane Sitbon Gomez, gauchiste par ailleurs compagnon de la féministe Anne-Cécile Mailfert – celle qui insulte les femmes violées par des OQTF – fut donné. 

Elle n’oublia pas le racisme anti-blancs qui a touché les hommes de plus de 50 ans.

 

Elle n’oublia pas de parler des 400.000 euros par an, et rappela qu’elle avait fini son deuxième mandat en garde à vue.

 Elle multiplia les hypothèses pour lesquelles, avec un tel bilan, elle a pu être reconduite. 

Elle conclut en disant que les Français ne voulaient plus payer pour cela, et que la seule solution c’était la privatisation de l’audiovisuel.

Bien la peine que le service public ait invité, la veille, Éric Zemmour, avec deux journalistes aux questions souvent fielleuses, comme notamment notre grand ami Larrouturou, au passé bien chargé, qui bien sûr n’a pu que finir comme Benjamin Duhamel dans le service public, ce machin qu’il faut privatiser d’urgence et, en attendant, boycotter.

À savourer sans modération, Sarah comme Éric…

 

Source :  https://ripostelaique.com/sarah-knafo-

LE CHEVAL DE LA DIFFAMATION : PARFOIS LA JUSTICE FAIT SON BOULOT !

 TRIBUNE LIBRE !

Sept avocats pro-migrants poursuivaient Frontières et Tegnér : tous déboutés par les juges !

 

Extrême droite: Frontières, le magazine sans limites - l

Dans son Hors Série N°1 paru au début de l’année 2025, le magazine Frontières Media dénonçait la machine multi-rouages de l’immigration sauvage en France, machine composée entre autres de certains tribunaux convertis en simples chambres d’enregistrement pour clandestins, d’ONG maquereautées avec les mafias de passeurs, d’associations caritatives aux missions dévoyées et aussi d’avocats exploiteurs acharnés de la notion « d’État de droit ».

Ceci ne plut guère à une partie de la profession des hommes et femmes en robe noire, laquelle intenta donc un procès contre Frontières Media et contre son créateur et directeur, le journaliste Erik TEGNÉR.

 Les intéressés ne goûtaient que très modérément le qualificatif d’avocats militants empêchant l’exécution d’OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français) ou l’appellation de tribunaux accélérateurs de l’invasion migratoire (sic), et ils enfourchèrent donc le cheval de la diffamation pour mener ce procès dont l’audience avait lieu au Tribunal de Grande Instance de Saint-Brieuc (22) ce mardi 30 septembre 2025.

Ils avaient mis le paquet, puisque sept plaignants s’étaient ligués pour faire rendre gorge à Frontières, dont l’Ordre des Avocats, les Syndicat des Avocats de France, la Conférence des Bâtonniers, le Conseil National des Barreaux, ainsi que des avocats ayant déposé plainte en leur nom personnel, Maître Gaëlle Le Strat et Maître Emmanuelle Béguin.

Maître Pichon, avant le début de l’audience.

En fin d’après-midi ce mardi, heure à laquelle débutait l’audience, Maître Frédéric PICHON, conseil d’Erik Tegnér et de Frontières Media, argua d’emblée la nullité de procédure pour cette action en justice des avocats et associés plaignants, notamment le barreau des avocats de Rennes, sur les deux chefs suivants :

  • L’élection de domicile affichée par les plaignants n’était pas conforme au choix géographique du tribunal pour l’audience, concrètement le TGI de Saint-Brieuc.
  •  Une grosse jurisprudence à cet égard est quasiment unanime sur cette question technique.
  • La plainte pointait du doigt les propos tenus par Frontières Media en termes de périphrases générales et imprécises entraînant des distorsions entre le contenu potentiellement incriminé et le sens des poursuites. 
  • Une tentative de lien par les plaignants entre un tableau descriptif et le corps de l’article ou des articles incriminés manquait également de précision.
  •  Sur ce point également, la jurisprudence est persistante en cassation.

 

A l’issue d’une demi-heure de délibérations au cours de laquelle s’exprimèrent successivement la présidente de la Cour, Maître Frédéric PICHON pour Erik Tegnér et Frontières Media, puis finalement l’avocat des parties civiles, les juges se retirèrent pour délibérer et déterminer si l’exception de nullité invoquée faisait sens ou bien si l’audience devait se poursuivre.

 

Quelques dix minutes plus tard, la sentence tomba : la Cour a fait droit à l’exception de nullité au  titre de :

  • Non-conformité sur l’élection de domicile par la partie plaignante.
  • Imprécision des faits reprochés.

Bien que Maître PICHON eût largement préféré une sentence, de toute façon à parier dans le même sens favorable mais cette fois sur le fond, il est à reconnaître que l’affaire fut rondement menée, ce en guère plus de 45 minutes au total.

Il fut par ailleurs à noter, au rendu du verdict, l’amertume palpable de la partie plaignante, en la personne de sept avocats présents, représentant la partie civile, qui se sont finalement retrouvés Gros-Jean comme devant pour avoir voulu imposer leur idéologie et leur hargne immigrationniste à Erik Tegnér et à Frontières Media.

Par Pierre-Yves THOMAS 

Source :  https://ripostelaique.com/

 

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@CorbeauDlicieux
 
"La justice n’est pas une vertu d’État. 
Le choix des actions ou mauvaises ou bonnes Ne fait qu’anéantir la force des couronnes ; 
 
Le droit des rois consiste à ne rien épargner : La timide équité détruit l’art de régner. 
 
Quand on craint d’être injuste, on a toujours à craindre ;
 
Et qui veut tout pouvoir doit oser tout enfreindre, Fuir comme un déshonneur la vertu qui le perd Et voler sans scrupule au crime qui lui sert." - 
 
 Pompée 
 
C'était il y a 341 ans: le 1er octobre 1684 meurt Pierre Corneille, grand auteur de théâtre classique du XVIIème siècle.
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L' INSTITUT ILIADE VISÉ PAR UNE PLAINTE PAR UN COMMUNISTE ET PAS QUE ! SURPRENANT ?

 


🔴 L’Institut Iliade visé par une plainte du communiste Ian Brossat

Courriel de ASLA : 🔴 L’Institut Iliade visé par une plainte du communiste Ian Brossat

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L’ASLA prend en charge la procédure


L’Institut Iliade visé par une plainte déposée par le communiste Ian Brossat : l’ASLA prend en charge la procédure

Le 26 août, Philippe Conrad, ancien président de l’Institut Iliade, a été convoqué à la Brigade de répression de la délinquance à la personne, assisté de Maître Triomphe, suite à une plainte pour « incitation à la haine et à la discrimination ».

 

Cette plainte émane de Ian Brossat (PCF), du préfet de police de Paris Laurent Nuñez, ainsi que plusieurs associations dites antiracistes.


 

En cause : une brochure interne présentée lors d’un dîner privé, évoquant un cercle culturel destiné à valoriser la civilisation européenne.

 

Aucun appel à la haine.

Un projet culturel assumé, comme il en existe des milliers au sein d’autres communautés.


Cette plainte idéologique, lancée après un article de Libération, cherche à criminaliser toute expression positive de la culture européenne.


L’ASLA soutient pleinement l’Institut Iliade et prend officiellement en charge la procédure et les frais d’avocats.


Nous refusons cette tentative d’intimidation politique.

 

Nous refusons que défendre notre mémoire, notre culture, notre héritage soit assimilé à un délit.


Soutenez l’Institut Iliade en faisant un don ici

-  Notre dernière victoire  -


STARMER / MACRON , MÊME COMBAT ! ILS SONT AUX ABOIS ........

 

Starmer déclare la guerre à Farage : « Nous avons devant nous le combat de notre vie »

En difficulté face à Farage, la gauche britannique panique et part en guerre contre «l'extrême droite» anti-immigration
 
Licence Creative Commons
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À Liverpool, lors du congrès du Labour, Keir Starmer a franchi un cap en promettant un affrontement sans merci contre Reform UK, le parti de Nigel Farage qu’il assimile à l’extrême droite. 

Dans une interview accordée à la BBC, le Premier ministre britannique a lâché : « Nous avons devant nous le combat de notre vie, nous devons affronter Reform, nous devons les battre. »

Prononcés le 22 septembre 2025, ces propos illustrent la panique du Labour face à la percée fulgurante de Reform UK, qui capitalise sur le ras-le-bol des Britanniques vis-à-vis de l’immigration incontrôlée et des échecs économiques du gouvernement. 

Starmer, aux abois avec une cote de popularité en chute libre, tente de ressouder son camp en diabolisant l’opposition populiste, mais cette stratégie pourrait bien se retourner contre lui, comme le montrent les sondages récents. 

Selon un sondage Ipsos, le parti de Farage atteint des sommets et devance le Labour de 12 points, avec 34 % des intentions de vote, contre 22 % pour les travaillistes, un score historiquement bas pour un parti au pouvoir. 

Farage au sommet

La montée de Reform UK n’est pas un accident mais le symptôme d’un mal profond qui ronge la Grande-Bretagne post-Brexit. 

Avec 34 % des intentions de vote, le parti de Nigel Farage talonne ses records et attire massivement les déçus des Tories : 39 % des électeurs conservateurs de 2024 se tournent vers lui, tandis que Reform UK retient 89 % de sa base de l’an dernier.

 Ce basculement s’explique par la capacité de Farage à cristalliser les frustrations sur l’immigration, thème tabou pour le Labour qui peine à concrétiser ses promesses de contrôle des frontières. 

Chez les classes moyennes inférieures, Reform UK culmine à 51 %, et chez les plus de 50 ans à 44 %, démontrant un ancrage populaire que Starmer, élitiste, ne peut contrer. 

 

Les Britanniques, lassés des mirages multiculturalistes imposés par Londres, voient en Farage un rempart contre l’effacement national, un écho à la droite européenne qui refuse la submersion migratoire.

De plus, le sondage souligne la vitalité de Reform UK face à un Labour en déliquescence. 

Alors que les Conservateurs végètent à 14 % - leur score le plus bas depuis 1976 - et que les Libéraux démocrates et les Verts stagnent à 12 %, Reform UK émerge comme la force anti-système par excellence. 

Nigel Farage, perçu comme le meilleur Premier ministre potentiel par 25 % des sondés, contre 19 % pour Starmer, incarne cette aspiration à un leadership fort et patriote.

Les accusations de racisme : une dérive stérile du Labour

Starmer a qualifié le plan migratoire de Farage de « raciste » et « immoral », en référence à la proposition de Reform UK d’abolir le titre de séjour permanent pour les migrants non européens, remplacé par des visas temporaires assortis de seuils salariaux élevés, d’interdiction d’accès aux soins et aux aides sociales, et de tests d’anglais stricts. 

 

 « Eh bien, je pense que c’est une politique raciste. Je pense que c’est immoral.

 Il faut la dénoncer pour ce qu’elle est », a-t-il tonné, au cœur du congrès travailliste de Liverpool. 

Pourtant, Starmer nuance en soutenant l’expulsion des migrants illégaux, tout en défendant les légaux comme « nos voisins » et « une partie de qui nous sommes », arguant que de telles mesures « déchireraient le pays ».

En accusant Reform UK de semer la division, Starmer esquive le vrai scandale : son propre gouvernement, impuissant face aux traversées de la Manche en hausse, laisse les tensions sociales s’envenimer sans proposer de solutions concrètes. 

Le plan - radical - de Farage semble bien plus pragmatique que raciste : il vise à protéger l’économie et l’identité britannique en priorisant les citoyens face à une mondialisation qu’ils estiment débridée.

 

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Julien Tellier
Journaliste