Un génocide à Gaza ? Une vaste entreprise de désinformation
Michel Festivi
Nous
sommes en train d’assister en direct, à l’une des plus grandes
entreprises de désinformation de ces dernières années, celle qui est de
prétendre qu’il existerait un « génocide » à Gaza du fait de l’Armée
israélienne.
Cette manipulation à grande échelle s’appuie sur plusieurs
organisations.
L’ONU et ses dérivées tout d’abord, qui depuis des
lustres ont toujours privilégié les États plus ou moins totalitaires.
Une partie du gouvernement français, dont en premier lieu le Président
et son ministre des Affaires étrangères, qui ont multiplié les paroles
assassines envers ceux qui défendent à 1 contre 10.000, l’intégrité de
leur territoire, leur nation et leurs ressortissants menacés de
destruction en permanence (La Palestine du Jourdain à la mer).
Les
institutions européennes toujours promptes à emprunter le chemin de
l’islamisme, comme l’ont prouvé toutes ses campagnes publicitaires, qui
sont financées avec l’argent du contribuable.
$Les universités totalement
dominées par le gauchisme le plus exacerbé teinté d’islamisme militant
(une université belge va baptiser sa promotion du patronyme d’une
militante active pro-Hamas).
Les exemples pourraient se décliner à
l’infini.
Même les Églises prennent fait et cause pour ceux qui de par
le monde tuent des chrétiens, notamment en Orient et en Afrique (Un
évêque espagnol va se joindre à la flottille « pour Gaza »).
Le
tout, grâce aux déclarations de plusieurs « idiots utiles », tous
satisfaits de sortir de leur naphtaline dans laquelle leurs
sempiternelles déclarations islamogauchistes les avaient rejetés
provisoirement.
Chez nous, LFI et la gauche continuent ce travail de
sape de longue haleine, avec la complicité de nombreux hommes politiques
ignorants voire stupides.
(Qui a appelé à voter pour LFI pour faire un
barrage républicain ? poser la question c’est y répondre).
Car
contrairement à certains ministres de son gouvernement, Benjamin
Netanyahou a clairement déclaré qu’il n’entendait pas occuper Gaza : « Je
veux que Tsahal expulse définitivement le Hamas et prenne le contrôle
de Gaza, sans l’administrer, et qu’il la remette à un gouvernement civil
dès que possible » (Fox News le 7 août 2025).
À cet égard, si
l’autorité palestinienne n’avait pas totalement failli dans sa mission
de protéger son peuple, les Palestiniens n’en seraient pas là.
D’où les
déclarations totalement inconséquentes et irréalistes d’Emmanuel Macron
de vouloir reconnaître un « État palestinien » qui resterait terroriste,
tant que le Hamas ne serait pas chassé par les palestiniens eux-mêmes.
État palestinien toujours dominé par les tueurs du 7 octobre.
En
Espagne, le gouvernement socialo-communiste-séparatiste de Pedro Sanchez
a reconnu « un État palestinien ».
Car
souvenons-nous qu’Ariel Sharon avait dans la douleur, abandonné Gaza en
2005, pensant naïvement que l’autorité palestinienne la gérerait au
mieux, or Gaza a été livrée aux mains sanglantes des islamistes et du
Hamas, les colons juifs furent chassés de Gaza par leur propre
gouvernement, et l’on connait la suite.
Et le malheureux Liban, Suisse
du Moyen-Orient jusqu’en 1975, grâce à un équilibre précaire dû en
grande partie aux chrétiens, qui fut ravagé par l’invasion
palestinienne, alors que des dizaines de pays arabes pouvaient les
accueillir.
Depuis lors le Liban est sous la coupe du Hezbollah, même
s’il tente actuellement de s’en défaire.
On
m’objectera que les gouvernements israéliens ont commis par le passé
des erreurs d’appréciation et de stratégies.
C’est fort possible, c’est
même certain, mais cela n’entache nullement le fait qu’aujourd’hui, cet
État, ce peuple, ce gouvernement font le boulot que bon nombre de pays
occidentaux ne font pas ou n’ont pas osé faire contre le Hamas, le
Hezbollah, les Houthis, les gardiens de la révolution en Iran.
Et ne me
dites pas que cela ne regarde pas la France, car nous sommes nous aussi
visés et en première ligne, il suffit d’examiner les votes de certaines
zones de non droit, à cet égard les municipales de 2026 seront
éclairantes.
Qui est venu à Paris en 2015 nous soutenir après les
attentats du Bataclan et de l’Hyper casher ?
Aujourd’hui,
grâce à l’action combinée des USA et d’Israël, des centaines de camions
véhiculant nourritures et denrées diverses, franchissent les points de
contrôles et livrent leurs cargaisons de vivres et de médicaments dans
la bande de Gaza.
Pendant plusieurs années, les agences onusiennes
chargées de distribuer cette aide, n’ont jamais pu ou voulu empêcher
leurs pillages par le Hamas, qui en a profité militairement et
politiquement.
Tout le monde le savait, mais personne ne le dénonçait.
Comme personne ne parle de l’accord passé entre Israël et Abou Dhabi,
pour que des centaines d’enfants palestiniens souffrant de maladies très
graves, puissent être hospitalisés dans ce pays.
Car
un « génocide » nécessite un plan concerté d’élimination et
d’extermination, ce qui n’est nullement le cas de Gaza.
Invoquer un
« génocide » à Gaza c’est injurier les victimes des génocides.
Les
Vendéens qui furent méthodiquement et organiquement massacrés par les
troupes infernales des envoyés en mission de la sinistre Convention
entre 1793 et 1794 avec des ordres précis d’extermination comme l’a
démontré Reynald Secher ; les Arméniens chrétiens qui furent sciemment
anéantis par les Turcs islamisés en 1915 et cela continue aujourd’hui à
la frontière de l’Azerbaïdjan ; les Russes opposants à Lénine dont près
de 2 millions moururent de la faim organisée en 1921, et les 5 millions
d’Ukrainiens qui périrent entre 1932 et 1933 sous le couvert d’une
pénurie voulue et mise en œuvre par Staline, ce que l’on a dénommé
l’Holodomor, sans parler de la Shoah des nazis, parfaitement documentée.
Et les 40 millions de Chinois décimés idéologiquement par le pouvoir
maoïste, où les 2 à 3 millions de Cambodgiens qui sous Pol Pot furent
liquidés car ils portaient des lunettes ou n'avaient pas les mains
calleuses, tout cela au nom « des lendemains qui chantent », ce
que les communistes « français » se refusent toujours à reconnaître,
comme l’ont prouvé leurs récentes déclarations, demandant des preuves
pour les 100 millions de morts que cette idéologie a engendré.
Invoquer
un « génocide » à Gaza, c’est faire le jeu de Rima Hassan et de ses
mensonges, c’est s’allier indirectement avec LFI et ses soutiens, c’est
participer à l’une des plus vastes entreprises de contrevérité et de
manipulations de ces dernières années.
Posons-nous la seule question qui
vaille : qui soutient les Palestiniens du Hamas ?
Qui les combat ? tout
le reste n’est que vaine littérature.
Dis-moi qui te soutiens, je te
dirai qui tu es.
NDLR SN : Cet
article de notre ami Michel Festivi exprime un point de vue répandu, et
sans doute compréhensible, au sein de notre famille d'idées mais qui,
toutefois, ne fait pas l'unanimité. Il convient donc, dans un souci de
"synthèse", d'amener les précisions suivantes :
•
le problème, au Proche-Orient, ne remonte pas au 7 octobre 2023, mais
aux suites du dernier conflit mondial. La création de l'État d'Israël,
en 1948, ne pouvait qu'engendrer une situation inextricable.
•
Mettre deux peuples sur une même terre, où que ce soit, ne fonctionne
jamais. Surtout, lorsque ces deux peuples revendiquent l'antériorité.
•
La situation dans le monde arabe a, depuis une trentaine d'années,
profondément changé. Aux États laïques et baasistes de la fin du siècle
dernier se sont substitués des régimes islamiques dont la doctrine et
les objectifs ne sont plus, loin s'en faut, les mêmes que ceux de leurs
prédécesseurs. Rappelons à ce sujet que l'Amérique et l'Europe portent
une large part de responsabilité dans ces bouleversements.
•
Les Palestiniens, comme les Israéliens, veulent un État souverain. On
ne peut le leur reprocher. Le problème, c'est les uns et les autres
veulent rester sur la même terre qu'ils revendiquent comme étant la
leur. D'où les guerres qui, de manière récurrente, secouent la région
depuis 1948.
•
L'installation, dans la bande de Gaza d'un régime islamiste contrôlé
par le Hamas et n'hésitant pas à recourir au terrorisme n'arrange rien.
D'autant que les autorités israéliennes ont l'habitude de répondre au
coup par coup, de manière parfois disproportionnée, aux attaques dont
leur pays est l'objet.
Nous vous le disions, la situation est loin d'être réglée...
Mais ici, nous ne sommes pas au Proche-Orient, nous sommes en France. Il y a quelques années, dans un numéro de Synthèse nationale (n°12, février 2009) nous disions "Ni Hamas, ni Tsahal, cette guerre n'est pas la nôtre" cliquez ici.
Fondamentalement, notre avis n'a pas changé. Le problème, c'est
qu'entre-temps, le nombre de musulmans sur notre sol s'est accru et que,
dès lors, le conflit israélo-palestinien s'invite sur notre sol d'une
façon de plus en plus évidente. Cela, nous ne pouvons l'ignorer.
Le vrai
problème, c'est la confrontation de cultures différentes sur une même
terre.
Alors,
dès maintenant, au lieu de nous polariser sur ce conflit, faisons en
sorte que les Français et les Européens ne soient pas obligés, dans un
avenir plus ou moins lointain, de se soumettre à une civilisation
conquérante qui n'est pas la nôtre !
Une étude a été menée par le département de la santé des USA, à l’initiative de Robert Kennedy Junior, sous l’égide de la plateforme Medical Alert qui a effectué des recherches multicritères sur les données contenues dans la base de données du VAERS (vaccin adverse event reporting system) Signalement des dégâts causés par les vaccins.
Il
en est sorti des preuves accablantes contre les vaccinateurs stipendiés
par Big Pharma, qui connaissaient la nocivité de leurs produits à ARN
messager avant l’épidémie de grippe pangoline !
Cette
étude publiée le 14 avril 2025 associe les prétendus vaccins COVID-19 à
86 pathologies neuropsychiatriques graves.
Mais l’ARCOM a vivement «
déconseillé » à nos médias rampants de l’évoquer.
Les
vaccins à ARN messager utilisés contre le COVID-19 reposent sur un
principe dont l’innocuité est très contestée, à commencer par son
inventeur le professeur Robert Malone
lorsqu’il a réalisé que les labos commercialisaient sans précautions
des mixtures expérimentales qui auraient nécessité des tests et des
études plus approfondis.
Malone a continué ses recherches et, troublé par les résultats, il a conclu qu’il fallait immédiatement stopper toute injection à des êtres humains.
Un avis motivé recoupant celui de la bio-généticienne Alexandra Henrion-Caude, titulaire du prix de la Harvard Medical school, ex-directrice de recherche à l’INSERM, poussée dehors par Macronescu.
Malone
et Henrion-Caude ont, l’un et l’autre, été insultés, ridiculisés,
vilipendés, blacklistés et sanctionnés.
Présentés par des journaleux
loufiats du pouvoir, qui n’ont pas le dixième de leurs diplômes et de
leurs compétences, comme des complotistes un peu dérangés. Big Pharma a
le bras long et sait protéger ses intérêts.
Or
il n’est pas anodin de transformer des cellules de la personne «
vaccinée » en usines de production de la protéine Spike, qui est la clé
d’entrée d’un coronavirus trafiqué dans l’organisme.
Soit directement
avec un ARN messager modifié codant la protéine Spike et résistant à son
rejet (Pfizer et Moderna), soit indirectement depuis un fragment d’ADN
transcrit par les cellules en fragment d’ARN capable d’induire la
fabrication de la protéine Spike (AstraZeneca et Janssen).
Les
médicastres, les financiers, les labos, les politichiens, tous ces
salopards savaient depuis le début, mais ils ont continué à se sucrer,
comptant sur les médias complices et des tribunaux serviles pour museler
toute expression de la vérité.
Déjà
en 2019, on soupçonnait la protéine Spike d’être une molécule
biologiquement toxique, en raison de l’incorporation d’une séquence de
type « prion
» dans son matériel génétique.
Un monstre digne du docteur
Frankenstein, capable de traverser la barrière hémato-encéphalique, dont
le rôle est de protéger votre cerveau des agressions virales.
Si cette
barrière naturelle résiste, on remet ça en multipliant les injections,
et elle finira par céder au deuxième ou troisième assaut.
Le
prion a acquis sa « célébrité » parce qu’il est lié à la maladie de la
vache folle, ou encéphalite spongiforme, qui fait des trous dans votre
cerveau jusqu’à ce qu’il ressemble à une éponge ou une boule de gruyère.
Et comme les crimes sont rarement sans mobile, on peut avancer que les
hiérarques préfèrent une population d’abrutis faciles à manipuler
plutôt que des gens utilisant leur capacités de réflexion et de libre
arbitre.
L‘étude évoquée supra recense 86 effets indésirables neurologiques ou psychiatriques, liés à la soi-disant vaccination COVID.
Parmi
les pathologies les plus fréquentes apparaissent la démence précoce, la
schizophrénie, les accidents vasculaires cérébraux, les psychoses, les
dépressions, et la plupart des troubles cognitifs affectant la logique
et la mémoire, ou créateurs d’anxiété et de paranoïa.
Sur
le long terme, on soupçonne les effets de ces mixtures expérimentales
d’aggraver d’autres pathologies existantes, ou de les déclencher si
elles existaient à l’état latent.
Parmi celles-ci, la maladie
d’Alzheimer, l’encéphalite de Creutzfeld-Jakob, la maladie de Charcot, celle de Parkinson ou la sclérose en plaques. Des pathologies lourdes, handicapantes, à l’issue souvent fatale.
Les
détails de l’étude de Medic Alert font froid dans le dos.
Quand on les a
lus, on refuse tous les vaccins et on ne fait plus confiance aux
médecins.
Sauf ceux à l’ancienne, qu’on connaît depuis des années.
L’étude
qui a mobilisé des centaines de médecins, de biologistes et de
virologues a exploité des bases de données locales et fédérales aux USA.
Elle y a recensé 5 .781 .843 (cinq million sept !) de cas individuels
de personnes « vaccinées » ayant déclaré un total de 13. 152 .048
(treize millions !) d’effets indésirables, dont plus de 16 %
(2 .151. 383) concernent des troubles du système nerveux et 12 %
(1.578.247) des troubles psychiatriques.
Avec ces nombres, la
statistique quitte le domaine des probabilités pour entrer dans celui de
la causalité.
En
étudiant les effets dits secondaires ou tardifs, même quand ils sont
létaux, de la pseudo-vaccination contre le COVID-19, les chercheurs
américains ont relevé de nombreuses affections neuropsychiatriques
handicapant la cognition , autant que des troubles générant des
tendances suicidaires ou homicides, et des psychoses causant des
destruction des liens familiaux et des ruptures de liens sociaux.
Qui ne
s’est jamais disputé avec des proches provax, ou n’a pas perdu des amis
piquousés ?
À
ces dysfonctionnements, on peut ajouter le brouillard cérébral lié à
des lésions ou un œdème, l’atrophie du cortex et du cervelet par calcification cérébrale, l’hémorragie et l’infarctus cérébral, l’ischémie cérébrale,
et de façon aléatoire, parfois combinées, des embolies, des thromboses
et des hémorragies.
Le cœur peut aussi être affecté par des dilatation
ou effondrement des ventricules.
En
plus des troubles organiques, diverses pathologies mentales peuvent se
développer, parfois plusieurs années après le « vaxin ». D’évolution
lente et progressive, elles sont rarement détectées à temps.
D’autant
que les malades mentaux s’enferrent souvent dans le déni de leur état.
Encouragés par les médicastres qui choisissent de tout nier.
On
peut citer toutes sortes de vertiges et de pertes d’états de
conscience, du somnambulisme, des graves déficiences intellectuelles
chez des personnes jusqu’alors dans la bonne moyenne, et une régression
chez les gens à fort QI, avec effondrement aux tests d’intelligence.
S’y
ajoutent une grande fatigue mentale associée à une asthénie de tout
l’organisme, des changements d’humeur et de comportement incontrôlés
affectant la personnalité, liés probablement à un désordre dans la
subtile coordination des neurotransmetteurs, des pertes d’équilibre, de grosses amnésies, et des symptômes maniaques type TOC non apparus jusqu’alors.
L’enquête
sur presque tous ces cas conduit au même coupable.
L’injection de
producteurs de protéine Spike toxique, stockée par effet cumulatif dans
le cerveau des personnes ayant subi une ou plusieurs injections ARNm
prétendument anti COVID.
Les auteurs dénoncent aussi des signaux d’aboulie
alarmants qui suscitent des inquiétudes quant aux conséquences à long
terme.
Notamment un déclin cognitif continu et la démence irréversible
de type MCLavec hallucinations, aggravant la morbidité et la mortalité neuropsychiatriques.
Il estiment qu’un moratoire mondial immédiat sur la vaccination contre le COVID-19 serait justifié. Même si c’est un peu tard, mieux vaut tard que jamais.
Même
si l’excès de télé est un signe précurseur de maladie mentale, pas de
compassion pour les mougeons volontaires pour les piquouses.
Par contre,
il ne serait pas charitable de clamer « On vous l’avait bien dit ! »
aux cobayes envoyés sous contrainte à l’abattoir pour ne pas perdre
leur emploi, sans indemnités de licenciement ni de chômage.
Espérons
qu’un jour prochain, ils puissent présenter l’addition à Macronescu et à
ses sbires.
Depuis l'invasion d'Israël par le Hamas le 7 octobre 2023,
les médias internationaux, les organisations humanitaires et les agences
affiliées à l'ONU ont propagé une des plus terribles accusations de
meurtre rituel : Israël affamerait délibérément la population de la
bande de Gaza. Gros titre sur gros titre, rapports « officiels » de
l'ONU et photos devenant virales... tout le monde a cru que Gaza était
au bord de la famine, ou que la famine s'était déjà installée. En
réalité, ces cris d'alarme se sont révélés infondés Photo : Des Gazaouis
heureux des colis alimentaires qu'ils ont reçus d'un point de
distribution de la Fondation humanitaire de Gaza, le 26 juin 2025, dans
le centre de Gaza. (Photo de Moiz Salhi/Middle East Images/AFP via Getty
Images)
Depuis l'invasion d'Israël par le Hamas le 7 octobre 2023, les médias
internationaux, les organisations humanitaires et les agences affiliées
à l'ONU n'ont cessé de propager une des plus terribles accusation de
meurtre rituel : Israël affamerait délibérément la population de la
bande de Gaza.
Gros titre sur gros titres, rapports « officiels » de
l'ONU sur photos devenant virales... tout le monde a cru que Gaza était
au bord de la famine – ou que la famine sévissait déjà.
Mais ces cris
d'alarme, répétés haut et fort, se sont constamment avérés infondés.
Derrière ce narratif, il y avait une stratégie : le Hamas – l'entité
qui contrôle Gaza et la distribution de l'aide – a instrumentalisé la
souffrance humaine, laquelle a été amplifiée par des complices aux
Nations Unies et dans les médias internationaux.
Leur objectif n'était
pas de révéler la vérité, mais de salir Israël, de susciter la
condamnation internationale et de soustraire le Hamas à ses
responsabilités.
Chronologie des fausses alertes de famine
À partir de fin 2023, plusieurs agences des Nations Unies, le Cadre
intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC) et le Réseau
de systèmes d'alerte précoce contre la famine (FEWS NET) ont lancé des
alertes de plus en plus alarmantes sur la situation alimentaire à Gaza.
En décembre 2023, l'IPC a publié une projection d'un « risque de famine » à Gaza parce que le conflit entravait l'accès à l'aide alimentaire.
Selon ce rapport, « plus de 15 pour cent des Gazaouis (378 000
personnes) étaient situés dans la phase 5, la plus catastrophique de
l'IPC », celle qui peut être qualifiée de « famine ».
La phase 5 est la plus grave du système de classification de l'IPC.
Dans une famine de phase 5, « un enfant sur trois souffre de
malnutrition aiguë et deux personnes sur 10 000 habitants meurent de
faim chaque jour ». Autrement dit, à ce stade, Gaza aurait dû déplorer
75 décès quotidiens dus à la famine.
Fin février 2024, un communiqué de presse
de l'ONU a surgi : « Famine imminente à Gaza, annoncent les
responsables humanitaires au Conseil de sécurité. » On pouvait lire dans
ce communiqué qu'« au moins 576 000 habitants de Gaza, soit un quart de
la population, sont à deux doigts de la famine. »
Puis, en mars 2024, l'IPC et FEWS NET ont à nouveau déclaré que le nord de Gaza était en état de famine « imminente ». CNN a rapporté
: « qu'un million de personnes étaient confrontées à des niveaux de
faim « catastrophiques » selon une nouvelle étude. »
Fait important, le rapport de l'IPC de mars
estimait à 677 000 le nombre de Gazaouis en situation de famine de
phase 5 au 15 février. Selon cette classification, 135 personnes
auraient dû mourir quotidiennement de faim.
Cependant, lorsque les données complémentaires sont arrivées, ces
alertes ont été démenties. Le « ministère de la Santé » du Hamas - cité
par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) -, a indiqué qu'entre le 7
octobre 2023 et le 6 juin 2024, 32 décès étaient dus à la malnutrition.
Une étude
de l'association UK Lawyers for Israel (UKLFI), publiée en février
2025, a révélé que ces décès n'étaient pas imputables à la faim, mais à
des infections intestinales.
Contrairement à ce qu'ont affirmé les médias, entre octobre 2023 et
fin juin 2025, on comptait moins de 100 décès dus à la famine et à la
malnutrition (tels qu'ils ont été signalés par le « ministère de la
Santé » du Hamas) – soit moins que le total prévu pour une seule journée
par la classification de la phase 5 de l'IPC. Si les prévisions de
l'IPC avaient été confirmées, des dizaines de milliers de personnes
mortes de faim auraient dû être recensés rien qu'en 2024.
En avril 2024, l'ONU et le Programme alimentaire mondial (PAM) ont à nouveau lancé de graves avertissements.
« Nous nous rapprochons chaque jour d'une situation de famine », a
déclaré Gian Carlo Cirri, directeur du PAM à Genève.
« Des preuves
raisonnables existent que les trois seuils de famine – insécurité
alimentaire, malnutrition et mortalité – seront franchis dans les six
prochaines semaines. »
Pourtant, en mai 2024, les données du gouvernement israélien
ont contredit frontalement les affirmations de l'IPC. Les médias n'en
ont tenu aucun compte qui ont affirmé en juin et juillet 2024, « qu'il existait un risque élevé de famine »
sans qu'aucune donnée concrète vienne à l'appui de cette affirmation.
La famine n'avait pas lieu, mais les gros titres pleuvaient.
Après des mois d'alertes sur une famine catastrophique « imminente »
ou « menaçante » accompagnée de chiffres à consonance officielle, le CIP
a publié fin juin 2024 un rapport intitulé « Comité d'examen de la famine : Bande de Gaza, juin 2024 – Troisième rapport d'examen du CIP ».
On pouvait y lire
que les prédictions de famine n'étaient pas plausibles, qu'elles
reposaient sur des hypothèses erronées et qu'elles contredisaient
l'ensemble des données disponibles.
Après des mois de diffamation médiatique mondiale, les conclusions du
« Comité d'examen de la famine » ont été à peine relayées par les
médias hors d'Israël.
En dépit de ce rapport, et parallèlement à sa publication, CNN s'est alarmé :
« Près d'un demi-million de personnes seront
prochainement confrontées à des niveaux de faim catastrophiques, le
niveau le plus grave sur l'échelle IPC... selon le rapport,
96 % de la population de Gaza – plus de 2 millions de personnes –
seront confrontées à une crise, une urgence ou à des niveaux
d'insécurité alimentaire catastrophiques au moins jusqu'à la fin du mois
de septembre. »
CNN s'est bien gardé de signaler que le rapport sur lequel il
s'appuyait, mentionnait que toutes les alertes précédentes concernant
une famine ne reposaient sur rien.
Sans se laisser décourager par les faits, l'ONU et ses différentes
agences ont maintenu le rythme des alertes sur l'imminence d'une famine.
« Les réserves alimentaires de Gaza diminuent et le risque de famine
menace, prévient l'ONU », titrait leFinancial Times du 16 août 2024.
En septembre, Víctor Aguayo, directeur de la nutrition infantile à l'UNICEF, a déclaré aux journalistes
qui couvrent l'ONU à New York : « La situation nutritionnelle à Gaza
est l'une des plus graves que nous ayons jamais connues. » Sa
déclaration a été publiée par l'ONU sous le titre : « Le risque de
famine est réel. »
Le 17 octobre 2024, le PAM/IPC a publié un autre rapport affirmant que « des centaines de milliers de personnes à Gaza risquent la famine cet hiver ».
Le mois suivant, le Guardian a expliqué que le Comité d'examen de la famine, un « comité d'experts mondiaux en sécurité alimentaire », avait pointé du doigt la « forte probabilité d'une famine imminente dans certaines zones » du nord de la bande de Gaza.
En décembre 2024, FEWS NET a démenti
certaines de ses propres prévisions sur l'importance du risque de
famine à Gaza. Les médias n'en ont pas fait état. L'impression est
demeurée que les Israéliens affamaient délibérément la population, même
si les preuves accablantes du contraire étaient sur la table.
Après l'arrivée à Gaza de phénoménales quantités de nourriture en janvier et février 2025, le site web du PAM a déclaré que « l'afflux d'aide commence à sauver les gens du bord de la famine ». Autrement dit, pas de famine, une fois de plus.
Malgré leur caractère mensonger, les alertes et les gros titres tout
au long de l'année 2024 ont ancré un slogan dans les esprits « Famine à
Gaza ». Point important, ces avertissements étaient toujours formulés
dans un langage permettant de battre en retraite : la famine était
toujours à « risque », « imminente » ou « menaçante ».
Le 29 juillet 2025, l'IPC a discrètement ajouté un nouvel astérisque à son « alerte Gaza
» dans le but d'abaisser le seuil à partir duquel une famine peut être
déclarée.
Déclarer une famine devenait soudain possible quand le taux de
malnutrition aiguë chez les enfants, mesuré par le périmètre brachial
(MUAC), atteignait 15 % s'il existe « des preuves d'une aggravation
rapide des facteurs sous-jacents », une mesure vague qui laisse ouverte
toute une série de possibilités pour justifier la déclaration d'une
situation de famine.
Ce changement s'écartait du seuil de famine
établi de longue date par l'IPC, qui est de plus ou moins 30 % de
malnutrition aiguë chez les enfants, mesurée en fonction du rapport
poids/taille (WHZ) ou de l'œdème.
La même alerte s'appuyait sur des
ensembles de données « internes » non publiques pour affirmer que plus
de 20 000 enfants avaient été admis pour malnutrition aiguë et qu'au
moins 16 enfants étaient morts de faim, des chiffres que personne ne
pouvait vérifier.
En résumé, pour perpétuer le mythe de la « famine à
Gaza », les limites ont été modifiées et les preuves cachées.
Des données qui détruisent le narratif de la famine
Les énormes quantités de nourriture qui ont pénétré à Gaza ne pouvaient pas générer de famine. Selon
le Programme alimentaire mondial, pourvoir aux besoins d'une population
de 2,1 millions d'habitants, nécessite 62 000 tonnes de nourriture par
mois environ.
Le Coordonnateur des activités gouvernementales dans les
territoires (COGAT), l'organisme israélien chargé de superviser les
affaires civiles à Gaza, a publié des comptes rendus transparents et détaillés des volumes d'aide alimentaire qui rentraient à Gaza.
De mars à décembre 2024, 788 216 tonnes d'aide alimentaire sont
entrées à Gaza, soit une moyenne de 78 821 tonnes par mois, soit plus de
25 % de plus que le seuil déclaré par le PAM.
Le 19 janvier 2025, un jour avant l'entrée en vigueur du deuxième
cessez-le-feu relatif à la libération des otages, les livraisons d'aide
humanitaire ont explosé. En janvier, 164 148 tonnes de nourriture sont
entrées à Gaza, soit plus du double de la moyenne mensuelle de 2024. Le
volume de février - 216 075 tonnes - était encore plus élevé.
Au total, ces 380 223 tonnes distribuées en janvier et février 2025
ont permis de couvrir cinq mois de nourriture, jusqu'à fin mai, en
respectant les niveaux des dix mois précédents.
En prenant en compte les
62 000 tonnes requises par le PAM, les volumes de nourriture fournis
entre janvier et février auraient pu couvrir les besoins jusqu'en juin.
Ces chiffres ne sont pas des estimations. Il faut le souligner, ces
chiffres sont publics, vérifiables, publiés par le COGAT et contrôlés
par des organismes internationaux.
Le 2 mars 2025, après la rupture de l'accord de cessez-le-feu et de
libération des otages, Israël a suspendu l'entrée de l'aide humanitaire à
Gaza. Alors que des quantités massives de nourriture avaient été
introduites dans l'enclave au cours des deux mois précédents, les
allégations de famine ont repris.
Dès le 19 mars, l'agence de presse
turque Anadolu titrait : « Gaza entre officiellement dans la première phase de famine sous blocus israélien. »
L'ONU n'a pas été en reste. Le 25 avril, le commissaire général de
l'UNRWA, Philippe Lazzarini, a déclaré : « Des enfants meurent de faim à
Gaza. » Et le 28 avril, le site web
officiel de l'ONU a indiqué : « Les Gazaouis sont confrontés à une
crise alimentaire alors que le blocus humanitaire dure depuis près de
deux mois. »
Puis, en mai 2025, la BBC a titré que « Selon un haut responsable de l'ONU, Gaza est soumise à une famine forcée. »
Le 20 mai 2025, Tom Fletcher, directeur du Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l'ONU, a déclaré à
BBC Radio que « 14 000 bébés mourront dans les prochaines 48 heures si
nous ne parvenons pas à les nourrir ». Bien que cette affirmation ait
été démentie par l'ONU, le mal était fait.
Hamas : la véritable obstruction
Si la nourriture arrive à Gaza – bien au-delà du minimum nécessaire
–pourquoi y aurait-il famine ? La réponse est simple : le Hamas a fait
de la question alimentaire une arme. Le groupe terroriste qui contrôle
Gaza a systématiquement bloqué, détourné, pillé, thésaurisé et revendu l'aide humanitaire à des prix exorbitants.
Des informations parfaitement authentifiées composées de vidéos, de témoignages de gazaouis et d'aveux
d'agences de l'ONU, ont montré que le Hamas et ses revendeurs ont
accaparé la grande majorité des cargaisons d'aide alimentaire.
L'ONU elle-même a admis que « près de 90 % » de l'aide envoyée à Gaza avait été « interceptée » avant d'atteindre ses destinataires.
Une mère gazaouie a déclaré à la BBC
: « Je jure n'avoir rien vu de l'aide. Elle entre à Gaza, mais on la
vole et elle disparaît. » Ce n'est pas un incident isolé.
C'est la norme
sous le régime du Hamas. Pourtant, les agences de l'ONU et les médias
persistent à accuser Israël, et non l'entité qui vole et accapare la nourriture.
Les motivations du Hamas pour voler la nourriture et en priver la
population civile sont multiples. Mais avant toute chose, l'accaparement
de cette nourriture donnée gratuitement a permis au mouvement islamiste
de la revendre à la population civile afin de financer ses opérations militaires.
Selon certaines estimations, le Hamas aurait retiré un profit de 500 millions de dollars de la revente de l'aide humanitaire volée. La thésaurisation offrait également l'avantage de limiter l'offre
et donc de maintenir des prix élevés – un objectif clé de cette
tactique.
Des prix élevés sont en effet nécessaires au succès de la
guerre de l'information que mène le Hamas : sans pénurie dans la rue, les prix chuteraient et fragiliseraient le discours sur la famine.
La Fondation humanitaire de Gaza : une distribution d'aide efficace que le Hamas n'a pas toléré
Fin mai 2025, un nouveau système de distribution de l'aide alimentaire a été mis en place à Gaza : la Fondation humanitaire pour Gaza
(GHF). Réparti sur quatre sites dans le sud et le centre de la bande de
Gaza, la GHF est un projet américain fonctionnant en étroite
collaboration avec les autorités israéliennes. Son objectif est
d'alimenter les familles gazaouies en court-circuitant les réseaux de
distribution du Hamas. La GHF opère avec une grande transparence
logistique, suivant les livraisons grâce à des codes-barres et un GPS
afin de garantir que les vivres parviennent bien à leurs destinataires.
Selon un rapport
du 1er août 2025, rédigé par Andrew Fox de la Henry Jackson Society, le
GHF était opérationnel en quelques semaines et livrait jusqu'à 2,5
millions de repas par jour directement aux civils de Gaza :
« À la mi-juillet, le nombre cumulé de repas livrés
dépassait les 52 millions en 5 à 6 semaines environ, et à la fin du mois
de juillet, ce chiffre était encore plus élevé (le GHF a certifié que
plus de 100 millions de repas avaient été livrés à la fin du mois de
juillet). »
Ce succès a non seulement permis de contourner le Hamas et de réduire
son emprise sur l'aide humanitaire, mais il a également mis en lumière
l'incapacité des agences de l'ONU à assurer une distribution sûre et
fiable. « Alors, qui a commis la tuerie ? », a demandé l'ambassadeur des États-Unis en Israël, Mike Huckabee, ajoutant :
« C'est une bonne question. Vous pensez vraiment que les
sous-traitants américains, ou l'armée israélienne tirent sur les gens ?
N'est-ce pas plutôt le Hamas... parce que c'est leur business.
S'ils
empêchent la population de se nourrir gratuitement, alors ils pourront
vendre cette nourriture auparavant distribuée gratuitement. Et de cela,
personne ne semble vouloir parler. Pourquoi pas ?
Le GHF a mis en lumière le caractère mensonger de l'accusation de famine portée contre Israël.
Le Hamas a d'abord menacé, puis a attaqué
les centres de distribution, mais il a également tout tenté pour
intimider les bénéficiaires de l'aide.
Le Hamas et certains clans locaux
qui lui sont fidèles ont pris pour cible le GHF et son allés jusqu'à
assassiner des Gazaouis qui travaillaient pour le GHF. Parallèlement,
l'ONU et ses agences ont mené une campagne internationale contre Israël
pour ramener la distribution de l'aide dans le giron exclusif des
groupes liés à l'ONU. Lors d'un récent cessez-le-feu, le Hamas a exigé le démantèlement complet du GHF.
« Depuis le 27 mai 2025, en pleine famine, plus de 1 965
civils palestiniens en quête d'aide ont été tués et des milliers
d'autres ont été blessés dans la bande de Gaza sous les tirs des Forces
de défense israéliennes (FDI), de gangs armés et d'entrepreneurs
embauchés par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF). »
Fin juin et juillet 2025, les médias internationaux, dont la BBC et PBS,
ont fait écho aux allégations d'Anthony « Tony » Aguilar, ancien
sous-traitant du GHF, qui a affirmé que les sites humanitaires de Gaza
avaient été le lieu de « crimes de guerre » et que des soldats
sous-traitants de Tsahal avaient utilisé une force aveugle contre la
population.
Le GHF a rapidement riposté,
expliquant qu'Aguilar avait été licencié le 13 juin pour fautes à
répétition, comportement erratique et conflits explosifs avec le
personnel.
Le GHF l'a également accusé d'avoir fabriqué et antidaté des
documents pour étayer ses affirmations.
The Times of Israel a
repris la présentation faite par le GHF de métadonnées de fichiers qui
ont permis de discréditer le récit d'Aguilar.
Cela n'a pas empêché
certains médias traditionnels de colporter le « témoignage » d'Aguilar
sans mettre en garde contre sa crédibilité douteuse et de le présenter
comme un courageux lanceur d'alerte.
L'idée que Tsahal tire sur des civils attirés par d'un dispositif
d'aide que les Israéliens ont eux-mêmes mis en œuvre est risible.
En
facilitant la mise en contact des Gazaouis et du GHF, Israël a érigé un
mur stratégique entre les besoins quotidiens de la population et le
Hamas et les zones sous contrôle du Hamas. Pourquoi l'armée israélienne
attaquerait-elle les Gazaouis qui se rendent sur les sites de
distribution ?
Les déclarations quotidiennes de décès dus aux tirs de Tsahal sur les
sites de distribution d'aide humanitaire proviennent toujours du
personnel des hôpitaux contrôlés par le Hamas ou de témoignages non
vérifiés. Il n'existe aucune vidéo d'un tel incident, alors que chaque
mouvement à Gaza est enregistré sur un smartphone avant d'être largement
diffusé.
Si les soldats de Tsahal avaient effectivement tué un seul
civil sur un site de distribution d'aide humanitaire, des preuves
visuelles auraient immanquablement étayé cette affirmation.
L'arme de la faim
Le colonel John Spencer, titulaire de la chaire d'études sur le combat urbain à West Point a parfaitement analysé
la tactique alimentaire du Hamas.
« Lorsqu'une milice organise la
famine au sein de sa propre population », a-t-il récemment écrit à
propos du Hamas, « il instrumentalise cette privation en vue d'obtenir
un poids politique et moral. »
Fin juillet 2025, les médias ont largement fait état du millier de camions
d'aide alimentaire, qui attendaient d'être récupérés aux portes de Gaza
par les prestataires de l'ONU.
La quantité de nourriture ainsi stockée
au soleil aurait suffi à nourrir Gaza pendant des semaines. Lorsque les
agences de l'ONU ont invoqué des problèmes de logistique et de sécurité
pour acheminer l'aide, le GHF a proposé de contribuer gratuitement à son acheminement. L'ONU a refusé.
Que le Hamas affame la population civile de Gaza ne devrait
surprendre personne.
Les lance-roquettes dans les écoles, les armes dans
les hôpitaux, la dissimulation de stocks de nourriture, les entraves à
la distribution de l'aide humanitaire sont des opérations qui ont les
mêmes finalités politiques.
Elles ne sont pas menées en dépit des
souffrances qu'elles causent, mais parce qu'elles causent des
souffrances.
Les articles qui sont publiés ensuite sur les enfants
souffrant de famine et sur les prix exorbitants des denrées alimentaires
à Gaza visent à susciter l'indignation internationale – non pas contre
le Hamas, mais contre Israël.
Exploiter les enfants malades à des fins de propagande
Concernant la famine, les manipulations émotionnelles les plus
violentes ont concerné l'instrumentalisation d'enfants malades dans les
campagnes médiatiques.
Trois affaires très médiatisés révèlent à quel
point ces mises en scène ont été trompeuses.
Prenons le cas de Wateen Abu Amouna. La BBC a diffusé des photos
montrant le nourrisson enveloppé dans un sac poubelle parce qu'il était
privé de couches et de lait maternisé.
Mais d'autres vidéos ont montré
le même bébé nourri au biberon et portant des couches, dans les bras
d'une mère en bonne santé. Ces contradictions n'ont jamais été
épinglées.
Il y a aussi Oussama al-Raqab. Le journal italien Il Fatto Quotidianoa publié
en première page une photo de ce qui ressemble à un enfant souffrant de
malnutrition sévère, sous le titre « Si c'est un enfant ? ». L'article
accompagnait une interview de Francesca Albanese, rapporteuse spéciale
des Nations Unies pour les territoires palestiniens occupés.
Mme
Albanese a accusé le gouvernement italien de complicité avec la «
politique de famine » d'Israël.
Il s'est avéré
ensuite que l'enfant souffrait de mucoviscidose et avait été transféré
en Italie en juin pour suivre un traitement médical. La photo, prise en
avril, a fait la Une fin juillet.
Le cas le plus célèbre est celui de Mohammed al-Ma'touq apparu en Une du New York Times. Ce cas de « famine » souffrait en réalité d'une grave maladie génétique.
Cette photo cadrée de très près d'un garçon émacié tendrement serré
dans les bras de sa mère — une composition classique qui faisait écho à
l'iconographie chrétienne de la « Pietà » — est devenue virale et a créé
l'image emblématique de la famine à Gaza, alors même que l'état de
santé du garçon n'avait rien à voir avec une pénurie alimentaire.
Plus
tard, la photo complète, non recadrée, a fuité, et chacun a pu voir le
frère de Mohammed, bien nourri et en parfaite santé, debout à ses côtés.
La photo recadrée trompeuse a été publiée en Une du New York Times et a été vue des dizaines de millions de fois, alors que le « démenti » n'a été publié que sur le compte @NYTimesPR X, qui compte moins de 100 000 abonnés.
Le Dr John Borowski, médecin humanitaire disposant d'une longue
expérience acquise dans les centres de réalimentation des camps de
réfugiés et dans des hôpitaux ruraux au Kenya, en Ouganda, au Zimbabwe
et en Inde– en temps de guerre comme en temps de paix –, a récemment souligné
que les vraies famines sont radicalement différentes de celles qu'on
pointe du doigt à Gaza.
Son expérience de terrain lui a appris que les
famines amaigrissent des centaines d'enfants et non des cas isolés.
Les
images en provenance de Gaza montrent en réalité des enfants malades
atteints d'une maladie chronique, comme une paralysie cérébrale ou un
cancer. Borowski ajoute :
« Les photos habituelles montrent peut-être des masses
d'enfants misérables et sales, mais certainement pas mal nourris. (On
peut regarder leur ruban MUAC (Mid-Upper Arm Circumference) qui mesure
la circonférence du bras d'un enfant pour constater que tout va bien.)
De nombreux adultes semblent même en surpoids : quand la nourriture se
fait rare, tout le monde maigrit.
Des photos d'un enfant présentant un
ruban MUAC anormal ont également été utilisées pour « prouver » la
malnutrition, mais 3 % des enfants normalement nourris ont un MUAC
anormal... la désinformation apparait donc délibérée...
Le dernier bilan des décès dus à la malnutrition fourni par le Hamas a
fait état d'un nombre d'adultes victimes de malnutrition deux fois plus
important que le nombre d'enfants. C'est totalement absurde.
Dans une
famine, les deux tiers des décès devraient concerner des enfants,
surtout dans une population aussi jeune, dont 50 % ont moins de 18 ans.
Ces distorsions permettent de conclure que les « informations »
concernant la famine sont construites en grande partie sur de fausses
images et des données erronées, délibérément constituées pour attiser l'indignation contre Israël.
Un canular délibéré
Depuis près de deux ans, le monde est bombardé d'allégations de famine imminente, puis de famine généralisée à Gaza. Mais les faits – chiffres de mortalité, volumes d'aide,
témoignages – racontent une tout autre histoire. Il n'y a pas de famine
d'origine israélienne à Gaza, et il n'y en a jamais eu.
Ce canular est – avec l' annonce
de la reconnaissance d'un État palestinien par le président français
Emmanuel Macron – l'un des éléments qui a redonné au Hamas l'espoir de
pouvoir gagner la guerre. C'est pourquoi le Hamas a récemment abandonné
un accord de cessez-le-feu et de libération d'otages qui semblait
finalisé.
L'engagement de Macron à reconnaître un État palestinien – rapidement
rejoint par le Royaume-Uni, le Canada et l'Australie – et la récente
augmentation de l'aide dans les zones contrôlées par le Hamas par le
biais de parachutages et de l'augmentation du nombre de camions entrant
dans Gaza, ainsi que la diabolisation agressive d'Israël dans les médias
et sur la scène diplomatique, ont conduit le Hamas à croire que le
temps joue en sa faveur.
Le Hamas sait qu'il n'a aucune chance de vaincre Israël
militairement, mais sa propagande a été un succès retentissant.
Si la
victoire s'obtient en maintenant les civils de Gaza dans la faim et le
désespoir, le Hamas est plus que ravi d'en payer le prix.
Pesach Wolicki est co-animateur du podcast « Shoulder to Shoulder ».
« Ce qui se joue en France a déjà essaimé en Europe. En Suède, aux Pays-Bas, en Italie, les droites gouvernent ensemble. » (Repris d’un articcle précédent, du même auteur.
Par Jules Torres.
Cet article est paru dans le JDD le 31 août.
Jules Torres
est, nous semble-t-il, un excellent journaliste. Nous n’avons toutefois
qu’une confiance et qu’un intérêt limités pour la part d’observations
politiciennes qui s’y trouve exposée.
Aléatoire, propice aux illusions,
souvent démentie par la suite des événements, c’est le lot du sujet.
Plus intéressante depuis toujours est la capacité d’analyse d’Éric
Zemmour sur les questions de fond qui assaillent la France et menacent
son identité et son existence.
Même si, au fil des derniers mois, son
souci et son engagement marqué dans la question proche-orientale nous
paraît rejaillir avec excès sur ses jugements en matière de politique
française.
Sur cette dernière, il demeure un analyste et un critique des
plus profonds et des plus avisés.
JSF
Un
an après la débâcle des européennes, Reconquête se resserre autour du
duo Zemmour-Knafo.
Tandis que lui prépare un nouvel essai
programmatique, elle impose sa voix sur les dépenses publiques.
Objectif
assumé : tenir jusqu’en 2027 et peser dans la présidentielle.
Reconquête aurait pu sombrer après la débâcle des européennes de
2024.
Une liste plafonnant à 5 %, quatre eurodéputés élus mais aussitôt
exclus – dont Marion Maréchal –,
la perte de cadres comme Nicolas Bay ou Guillaume Peltier : beaucoup
annonçaient déjà le naufrage.
Un an plus tard, le parti d’Éric Zemmour n’a
pourtant pas disparu.
Il revendique plus de 70 000 adhérents et tient
ce dimanche à Orange ses universités d’été, où près de 3 000
sympathisants sont attendus.
Mieux : le mouvement s’est resserré autour
de son tandem fondateur, avec une répartition des rôles désormais nette
.
Éric Zemmour trace la ligne et fixe la stratégie de long terme, tandis
que Sarah Knafo occupe l’avant-scène et distille, au fil de l’actualité,
les prises de position qui entretiennent la présence du mouvement dans
le débat public.
Éric Zemmour, que d’aucuns décrivent en retrait, n’a en réalité rien
abandonné de ses ambitions.
Il prépare pour octobre prochain un nouvel
ouvrage, annoncé chez Fayard comme un « manifeste pour un sursaut judéo-chrétien ».
Fidèle à sa méthode, il entend mêler analyse historique et diagnostic
contemporain, replacer les secousses du moment dans une fresque plus
large.
À ses yeux, les thèmes qui l’avaient propulsé en 2022 – identité,
immigration, déclassement – n’ont rien perdu de leur force : ils
continuent de miner la société française.
Éric Zemmour en est
convaincu : inutile de s’épuiser dans la bataille médiatique de chaque
jour, mieux vaut revenir avec une pensée ordonnée, quand le climat
national sera prêt à l’entendre.
Sarah Knafo, elle, porte la voix de Reconquête au quotidien.
Députée
européenne, elle a imposé sa marque en quelques mois en s’attaquant aux
dépenses réputées intouchables : agences d’État, aide au développement,
coût migratoire.
Ses propositions souvent disruptives et sa capacité à
faire parler d’elle ont surpris jusqu’au gouvernement.
« Elle travaille, et ça se voit. Malgré l’isolement de Reconquête, elle parvient à peser dans le débat, confie un ministre de premier plan.
Il faudra compter sur elle dans les prochaines années. »
Au point de susciter l’intérêt d’élus LR qui la sollicitent pour échanger avec elle, voire se nourrir de ses analyses.
Reconquête aurait pu sombrer après la débâcle des européennes de
2024.
Une liste plafonnant à 5 %, quatre eurodéputés élus mais aussitôt
exclus – dont Marion Maréchal –,
la perte de cadres comme Nicolas Bay ou Guillaume Peltier : beaucoup
annonçaient déjà le naufrage.
Un an plus tard, le parti d’Éric Zemmour n’a
pourtant pas disparu.
Il revendique plus de 70 000 adhérents et tient
ce dimanche à Orange ses universités d’été, où près de 3 000
sympathisants sont attendus.
Mieux : le mouvement s’est resserré autour
de son tandem fondateur, avec une répartition des rôles désormais nette.
Éric Zemmour trace la ligne et fixe la stratégie de long terme, tandis
que Sarah Knafo occupe l’avant-scène et distille, au fil de l’actualité,
les prises de position qui entretiennent la présence du mouvement dans
le débat public.
Éric Zemmour, que d’aucuns décrivent en retrait, n’a en réalité rien
abandonné de ses ambitions.
Il prépare pour octobre prochain un nouvel
ouvrage, annoncé chez Fayard comme un « manifeste pour un sursaut judéo-chrétien ».
Fidèle à sa méthode, il entend mêler analyse historique et diagnostic
contemporain, replacer les secousses du moment dans une fresque plus
large.
À ses yeux, les thèmes qui l’avaient propulsé en 2022 – identité,
immigration, déclassement – n’ont rien perdu de leur force : ils
continuent de miner la société française.
Éric Zemmour en est
convaincu : inutile de s’épuiser dans la bataille médiatique de chaque
jour, mieux vaut revenir avec une pensée ordonnée, quand le climat
national sera prêt à l’entendre.
Sarah Knafo, elle, porte la voix de Reconquête au quotidien.
Députée
européenne, elle a imposé sa marque en quelques mois en s’attaquant aux
dépenses réputées intouchables : agences d’État, aide au développement,
coût migratoire.
Ses propositions souvent disruptives et sa capacité à
faire parler d’elle ont surpris jusqu’au gouvernement.
« Elle travaille, et ça se voit.
Malgré l’isolement de Reconquête, elle parvient à peser dans le débat, confie un ministre de premier plan.
Il faudra compter sur elle dans les prochaines années. »
Au point de susciter l’intérêt d’élus LR qui la sollicitent pour échanger avec elle, voire se nourrir de ses analyses.
Reconquête avance sans compromis, sur une ligne assumée
Une première en politique française : un couple qui assume un entretien
croisé pour confronter ses analyses et ses priorités.
L’occasion de
dresser un diagnostic sévère sur l’état du pays, d’avancer leurs
solutions face aux crises et de réaffirmer leur conviction : seule
l’union de la droite peut leur permettre de peser jusqu’à la prochaine
présidentielle.
La route est étroite, mais le pari est clair : tenir
jusqu’en 2027, éviter la marginalisation et, le moment venu, s’imposer
comme une alternative cohérente.
Reste une inconnue, qui demeure ouverte
: qui, de Zemmour ou de Knafo, portera la candidature à l’Élysée ?
Une première en politique française : un couple qui assume un entretien
croisé pour confronter ses analyses et ses priorités.
L’occasion de
dresser un diagnostic sévère sur l’état du pays, d’avancer leurs
solutions face aux crises et de réaffirmer leur conviction : seule
l’union de la droite peut leur permettre de peser jusqu’à la prochaine
présidentielle.
La route est étroite, mais le pari est clair : tenir
jusqu’en 2027, éviter la marginalisation et, le moment venu, s’imposer
comme une alternative cohérente.
Reste une inconnue, qui demeure ouverte
: qui, de Zemmour ou de Knafo, portera la candidature à l’Élysée ?
Alors une fois encore je vais vous
montrer que les français sont des lâches et les gendarmes de vrais
nullards !
Ça vous étonne, je suis sûr, eh bien pourtant…
Ça se passe au
sujet d’une « rave partie », moi j’appelle ca une came-partie mais bon,
cette fois c’est dans l’Aude à Fontjoncouse, un coin où les pèquenots
sont majoritaires.
Les dealers de came avaient organisé une « rave
partie » donc sur les terres où un incendie énorme avait fait rage il y a
quelques semaines, et comme on dit « malgré l’interdiction ».
Ah oui
faut pas oublier, 150 euros l’entrée !
Je sais pas si une dose de came
était incluse.
Alors cette interdiction c’est bien mais dans les faits…
D’abord on apprend
que « La rave interdite dans l’Aude se poursuit malgré un fort
dispositif policier qui tente de bloquer l’accès au terrain ».
Lisez
bien « dispositif policier QUI TENTE de bloquer l’accès »…
Alors les
gendarmes ont TENTÉ de bloquer l’accès.
Moi je sais pas mais s’ils
veulent bloquer un accès c’est pas compliqué.
Surtout que d’après le
torchon ils étaient 150 gendarmes ! On voit le niveau…
P’têtre que le 10
ils TENTERONT de bloquer l’accès à l’Elysee de la même manière ?
On
apprend que des gendarmes mobiles et des CRS ont été dépêchés sur les
lieux du rassemblement. « Faute de pouvoir les déloger », les forces de
l’ordre ont empêché « un certain nombre de participants d’accéder au
site ».
Ben oui, au lieu de 2600 ils sont 2500…
Moi je pige pas le
« faute de pouvoir les déloger »…
Ils servent à quoi ces crétins alors ?
Ils ont pas de lacrymos ? Pas de grenades aveuglantes ?
Pas de grenades
quadrillées et de fusils d’assaut pour aller plus vite ?
Eh beh ils
feront quoi alors quand on s’installera dans l’Élysée ?
Ah là, je pense
ils sauront quoi faire !
Donc malgré 150 Cruchots, eh bien la
came-partie a eu lieu, avec 2500 cames qui ont fumé, sniffé et se sont
piquouzés… 150 * 2500 ça fait 375000 euros, pas mal non ?
Tout ça malgré
(je cite) « l’indignation » de la population.
Alors les pèquenots
locaux ils sont « indignés », ils disent que c’est « complètement
immoral », « inhumain », « ils se moquent de tout », et y’a même un
« chef étoilé » un certain Gilles Goujon » qui se dit complètement
effaré » par cette fête, qu’il juge « offensante ».
Bref, tout ça
rappelle un peu, à une petite échelle, la situation en France : tout le
monde dit en avoir marre de Macron, personne ne comprend, personne n’a
voté pour lui bien sûûûûûûûr (à ce sujet une parenthèse, comme promis je
vire les commentaires des ploucs prétendant que toutes les élections
ont été truquées.
Même celle du concierge de leur immeuble
d’ailleurs.)..
Et donc que ce soit dans ce trou perdu de l’Aude ou
dans l’ensemble de la France, personne ne comprend.
Tous des
trisomiques débiles, on dirait…
Alors la situation en France on en
reparlera, mais à Fontjoncouse ça serait pourtant facile de règler le
problème.
Puisque les gendarmes sont incapables de bloquer les accès,
les pèquenots en tracteurs pourraient passer et arroser les junkies de
lisier, voire tirailler quelques coups de 12 dans la masse.
Mais non,
ils préfèrent couiner… en omettant de dire qu’aux législatives ils ont
élu Philippe Poutou, le malade mental écolo.
À la présidentielle ben ils
ont voté pour Marine quand même, une courte avance contre Macron.
Ben
donc les electeurs du RN seraient aussi des fiottes ?
Quelle surprise !
Le
maire, un pèquenot du coin probablement apolitique, se lamente à
chaudes larmes « Ils sont sur des propriétés privées, sans autorisation,
ils détruisent tout et la préfecture me dit qu’on ne peut rien faire
pour les faire partir.
On marche sur la tête.
Les gens sont en colère.
Il y a eu des dégradations de véhicules des teufeurs, garées le long des
routes, ça risque de dégénérer », poursuit le maire.
« Et ça pourrait
durer jusqu’à mardi.
Tant qu’ils ont à boire, à manger, à fumer, ils ne
s’en vont pas.
Je ne sais plus quoi faire », confie, dépité, ce
viticulteur actuellement occupé par les vendanges.
Tu parles d’un
maire !
Un vrai chef de village, il ameuterait la population, leur
dirait de s’équiper en fourches et matériel plus sérieux bien camouflé,
et tout le monde partirait à l’assaut !
Tout ça c’est la France !
Remplacez les junkies raveurs par les immigrés bronzés, et la situation
est la même !
Les braves gens se lamentent pendant que les envahisseurs
s’amusent.
Les junkies ils s’amusent en se défonçant, et les immigrés
bronzés ils s’amusent en défonçant les autres !
Et policiers gendarmes
et élus se lamentent et protègent les envahisseurs : A Fontjoncouse ils
prévoient des ambulances pour les overdoses, en France ils pourchassent
sans répit les rares patriotes qui sonnent le tocsin.
J’vais vous
dire les gars, on n’est pas dans la merde !
Enfin VOUS n’etes pas dans
la merde, parceque nous au Village, que ce soit des junkies bien blancs
ou des immigrés bronzés, ils passent pas, et pas besoin de 150 crétins
en uniformes.
Et si certains passent en force ou paar ruse, ils ne
ressortent pas.
On se lamente pas, on fait ce qu’on a à faire !
Et maintenant là tout d’suite j’vais faire s’que j’ai à faire : à la soupe a appellé ma douce et tendre Germaine !