ET SI NOUS ÉTIONS DÉJÀ EN GUERRE ?
Depuis l’annonce tragique de Macron en 2020, évoquant le COVID, (« nous sommes en guerre »), d’autres catastrophes concrètes, indiscutables et dramatiques, ont continué de s’abattre lentement et insidieusement sur la France
Par Marc Le Stahler
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ET SI NOUS ÉTIONS DÉJÀ EN GUERRE ?
« Les hommes font l’histoire, mais ils ne voient pas l’histoire qu’ils font ».
(Raymond Aron)
Depuis l’annonce tragique de Macron en 2020, évoquant le COVID, (« nous sommes en guerre »),
d’autres catastrophes concrètes, indiscutables et dramatiques, ont
continué de s’abattre lentement et insidieusement sur la France (et
accessoirement sur une bonne partie de l’Europe Occidentale)…
En
observant attentivement ces fléaux, on ne peut que constater des
agressions permanentes, dangereuses – et à terme fatales – contre notre
pays.
En priorité, il faut noter la détestable gestion de l’État, dirigé de plus en plus par des incapables ou des malfaisants, engendrant une dégradation peut-être irrémédiable de l’économie et de nos institutions.
L’argent étant le « nerf de la guerre », commençons par là…
Le projet de budget 2025 va être présenté avec un déficit de 5 % (1 % inférieur au réel prévu en 2024 – quel effort !), ce qui est énorme, et ne saurait être toléré dans aucune entreprise.
Oui, je sais « l’État n’est pas une entreprise », je connais la rengaine.
Mais un budget est un budget, avec des recettes et des charges. L’ennui, pour l’État, c’est que les recettes sont principalement les taxes et impôts payés par les contribuables, c’est-à-dire ceux qui travaillent et qui produisent les richesses.
Et tout déficit finira par être payé par eux, augmenté des frais financiers qui auront couru pendant toute la période où les comptes resteront déficitaires.
La dette française est aujourd’hui d’environ 3 400 milliards d’euros * et le « service de la dette » (c’est ainsi qu’on nomme les frais financiers, ça fait plus chic) est de 50 milliards d’euros (ce qui représente environ la moitié de l’impôt sur le revenu).
Et il se trouve, pour ceux qui l’auraient oublié, qu’aucun budget n’a été exécuté en équilibre depuis 1974, il y a 50 ans. Sous Giscard d’Estaing !
Ce laxisme financier n’est pas tout.
On ne peut que constater avec colère une atteinte générale, permanente et systématique contre les intérêts de la France.
Dans tous les domaines, l’État a failli ou laissé faire, par incompétence sans doute, mais peut-être aussi par volonté de nuire, disent certains.
On observe, dans le mille-feuilles administratif, pléthore de fonctionnaires, souvent mal ou sous-employés, quand d’autres services manquent d’effectifs et que fleurissent des règlements contraignants et inutiles voire nuisibles, générant des freins sérieux pour l’efficacité de ceux qui produisent.
Le système scolaire et universitaire est parti à vau-l’eau sous les coups de boutoir de l’extrême gauche ; le wokisme s’est imposé au détriment des objectifs sans doute considérés comme ringards ; apprendre aux jeunes à écrire, compter et réfléchir ; le système de santé est en voie d’effondrement ; la Justice, plus formaliste qu’équitable, n’est plus qu’un minable spectacle ; l’agriculture et l’élevage, jadis mamelles de la France (**), sont sacrifiés sur l’autel d’un prétendu libéralisme européiste délirant qui ne bénéficie (notamment) qu’à l’industrie allemande…
Et puis, il y a bien sûr l’immigration massive, et l’insécurité qui l’accompagne (nous avons mis 10 ans à reconnaître le lien pourtant évident entre ces deux fléaux).
Chaque jour et partout, chaque nuit, dans les villes, les villages, les banlieues, les campagnes, des agressions et des violences, trop souvent commises par des étrangers sous OQTF, sont commentés par les médias sur fond de trafic national de stupéfiants.
Le tout manipulé par une extrême gauche complice, n’hésitant pas à dénoncer partout un fascisme imaginaire, mais prompte à défendre bec et ongles l’islam importé et ses crimes, afin de conforter son nouvel électorat.
Notre pays est en ébullition, dans une situation peut-être pire que toutes celles qu’il a connues dans son histoire.
Les Français sont exploités, non par les entreprises et les « capitalistes », mais par l’État !
Un État qui ne sait même plus (ou ne veut plus) assumer sa première fonction régalienne : la sécurité et le protection des citoyens.
Pour revenir à l’introduction de cet article, n’attendons pas de voir surgir les prémices des guerres de jadis : déclarations de guerre, alliances, batailles, prisonniers, invasions, occupations, déportations, etc…
Tout est aujourd’hui beaucoup plus subtil.
Nos ennemis, nous les connaissons tous.
Ils ont pris le pouvoir insidieusement, comme l’enseignent les trotskystes.
Par ce qu’ils nomment « entrisme ».
En infiltrant les universités, les médias, l’administration, les syndicats, les entreprises, le monde du sport et du spectacle, les villes et les villages…
La France disparait et se dilue dans une nouvelle prétendue culture woke qui peu à peu se montre au grand jour en effaçant notre pays.
Nous sommes tous plus ou moins responsables de ce laxisme, par cet aveuglement qui nous a empêché et nous empêche encore de réagir contre cette guerre d’une nouvelle forme.
On laisse dépérir les églises, mais des subventions du Qatar viennent financer des projets de constructions de mosquées…
On est tolérant avec le voile musulman, et il devient un problème civilisationnel national quelques années plus tard…
On manifeste sans vergogne ici et là pour le Hamas et la Palestine.
Jusqu’à la Martinique, infiltrée elle aussi, qui adopte un drapeau ressemblant étrangement à celui de la Palestine.
Et on finit par mépriser le drapeau tricolore.
On interdit l’entrée de certains à des réunions réservées à l’extrême gauche (interdites aux « fascistes » !).
Que dirait on dans une situation inverse ?
Certaines grandes écoles sont désormais tombées entre les mains des islamistes, notamment celles qui forment les futurs journalistes et les dirigeants de demain…
Nos ennemis ont ainsi réussi sous nos yeux leur infiltration dans les principales sphères de la société.
Mélenchon est un bon exemple de cette dérive.
Jadis socialiste bon teint, il met maintenant en ordre la doctrine du trotskysme…
J’allais oublier… En complément de ce constat hexagonal détestable, les médias nous décrivent un environnement international plus qu’inquiétant avec, dans le rôle principal, une Russie prête, nous dit-on, à vitrifier l’Europe de l’Ouest.
Rien que ça. Pour ceux qui resteraient dubitatifs, on apprend que la Corée du Nord vient de rejoindre les Russes dans le conflit Russie-Ukraine, mettant 10 000 hommes sur le théâtre des combats.
Et pour faire bonne mesure, la Cour Pénale Internationale vient de lancer un mandat d’arrêt international contre Netanyahou pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité !
Décision qui oblige les pays
signataires du Traité de Rome à arrêter le Premier Ministre israélien
s’il franchit les frontières de leur pays !
« La peur est le nouveau moteur de l’histoire », écrivait Jean Goychman en 2021 https://www.minurne.org/billets/27455.
Il faut reconnaitre que c’était bien vu…
N’attendez plus une déclaration de guerre, en bonne et due forme.
La guerre est là ! Partout !
Par Marc Le Stahler
* elle aura augmenté de 1 000 milliards sous la présidence Macron (pour l’instant)
** « labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France » Sully
Contre Mélenchon et sa clique négationniste… N’oublions jamais le 7 octobre 2023, massacre perpétré en Israël par les terroristes du HAMAS. | VIVE LA RÉPUBLIQUE, VIVE L’UNION des PATRIOTES, VIVE LA FRANCE ! |
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Ce texte est une Tribune Libre qui n’engage que son auteur donc en aucun cas Observatoire du MENSONGE
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