dimanche 24 novembre 2024

LFI SOUHAITE ABROGER LE DÉLIT D' APOLOGIE DU TERRORISME ! LE CYNISME A SES LIMITES !

 REVUE DE PRESSE !

Les islamo-collabos de LFI proposent de dépénaliser l’apologie du terrorisme

Le député insoumis Ugo Bernalicis a déposé mardi à l’Assemblée nationale une proposition de loi visant à abroger la loi punissant le délit d’apologie du terrorisme, jugeant que «les méthodes de l’antiterrorisme» ne font que «réprimer la liberté d’expression».

«Quelle démocratie peut encore conserver son nom, lorsque les méthodes de l’antiterrorisme sont utilisées pour réprimer des militants politiques, des militants associatifs, des journalistes ou encore des syndicalistes», peut-on lire dans l’exposé des motifs.

 LFI souhaite s’en tenir à «la loi du 29 juillet 1881 traitant des faits relevant des délits d’apologie de crime, d’apologie de crime de guerre, d’apologie de crime contre l’humanité», qui, selon eux, suffit en l’état.

«C’est difficile de faire plus ignoble» a commenté sur X le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau.

La loi du 14 novembre 2014 sur «la lutte contre le terrorisme», voulue par le gouvernement Valls, a inscrit le délit d’apologie d’un acte de terrorisme – déjà sanctionné par la loi de 1881 sur la liberté de la presse – dans le Code pénal, avec la possibilité de passer en comparution immédiate devant la justice. 

La peine encourue peut aller jusqu’à 7 ans de prison et 100.000 euros d’amende. 

Pour les élus LFI, cet outil n’est qu’une «instrumentalisation de la lutte antiterroriste» et une atteinte à «la liberté d’expression», expliquent-ils dans le texte déposé ce mardi.

Les réactions, à droite mais aussi dans les rangs macronistes, se multiplient depuis samedi. Après Bruno Retailleau, l’ex-LR et président du groupe Union des droites Éric Ciotti a fustigé «une proposition de loi de la honte», «une infamie de plus des Insoumis».

Plusieurs députés du camp présidentiel, exprimant eux aussi leur indignation, ont interpellé les élus socialistes en remettant en cause l’alliance du NFP.

 «Ils ne peuvent pas être plus clairs sur leurs affinités !», a jugé Sylvain Maillard, élu Renaissance. «Députés socialistes, comment pouvez-vous continuer à siéger aux côtés de telles personnes ?!». «Socialistes, comment pouvez-vous prétendre gouverner avec eux ?», a renchéri le député macroniste David Amiel, ainsi que plusieurs autres de son groupe. «Ils en sont là !», a taclé de son côté l’eurodéputée Horizons Nathalie Loiseau.

Face au tollé, Jean-Luc Mélenchon a déploré «une nouvelle agression contre LFI», «venue de l’extrême droite et servilement reprise par l’officialité médiaticopolitique (sic)». 

Et le patron des Insoumis d’exhorter à «lire le texte de la proposition de loi (…) plutôt que de se faire des films».

Plusieurs responsables LFI ou de gauche radicale ont été condamnés récemment dans le cadre de ce délit. Dans leur texte, les députés LFI citent plusieurs exemples pour justifier leur volonté d’abrogation, à commencer par le responsable CGT du Nord Jean-Paul Delescaut, condamné à un an de prison avec sursis en première instance – il a interjeté appel – pour des propos tenus dans un tract de soutien aux Palestiniens. 

«Les horreurs de l’occupation illégale se sont accumulées. Depuis samedi [7 octobre 2023, date de l’attaque du Hamas en Israël, NDLR)] elles reçoivent les réponses qu’elles ont provoquées», pouvait-on lire dans ce tract.

La présidente de groupe, Mathilde Panot, et l’eurodéputée LFI Rima Hassan ont également été entendues en avril par la police judiciaire parisienne dans le cadre d’enquêtes pour «apologie du terrorisme». 

La première avait notamment été entendue au sujet du communiqué publié par son groupe le 7 octobre 2023, dans lequel l’attaque du Hamas en Israël avait été décrite comme «une offensive armée de forces palestiniennes», dans u

n «contexte d’intensification de la politique d’occupation israélienne» dans les territoires palestiniens. En janvier 2024, dans une story Instagram du média Le Crayon, Rima Hassan a répondu par « vrai » à l’affirmation : « Le Hamas mène une action légitime » et par « faux » à l’affirmation « L’État d’Israël a un droit de défense ». 

En août 2024, une cinquantaine de députés du groupe Renaissance reprochent à Rima Hassan d’avoir participé à une manifestation en Jordanie qu’ils qualifient de « pro-Hamas ». 

Ils envoient alors un signalement à la justice et demandent à la présidente du Parlement européen la levée de l’immunité parlementaire d’Hassan.

Une nouvelle fois, se pose le problème de la dissolution de LFI et ses satellites, dont le sinistre groupuscule Action antifasciste Paris banlieue qui a récemment menacé de mort les féministes Marguerite Stern et Dora Moutot qui dénoncent le délire transgenriste dans leur livre Transmania

 La balle est dans le camp du ministre Retailleau, qui devra bien un jour joindre les actes conséquents à ses bonnes paroles qui flattent l’électorat de droite. 

Un Retailleau qui par ailleurs prône la tolérance zéro avec les agriculteurs en colère et leur envoie les blindés de la gendarmerie.

Source :   https://ripostelaique.com/les-islamo-collabos-de-lfi-


ET AUSSI


Les députés LFI souhaitent abroger le délit d'apologie du terrorisme

La France insoumise (LFI) a déposé une proposition de loi visant à abroger le délit d’apologie du terrorisme, qu’elle considère comme une atteinte à la liberté d’expression et une "instrumentalisation de la lutte antiterroriste".
 
 Cette initiative, déposée mardi 19 novembre, a provoqué de vives réactions dans le paysage politique, notamment à droite et dans le camp présidentiel.
Les députés LFI souhaitent abroger le délit d'apologie du terrorisme
La députée LFI Mathilde Panot à l'Assemblée nationale le 28 février 2023. (Victor Velter / Shutterstock)
 
Par Actu17
Le samedi 23 novembre 2024 à 18:46

Les députés de La France insoumise (LFI) ont déposé ce mardi 19 novembre une proposition de loi visant à abroger le délit d’apologie du terrorisme, instauré par la loi du 14 novembre 2014. 

Selon les auteurs du texte, menés par Ugo Bernalicis, député du Nord, ce délit constitue une "instrumentalisation de la lutte antiterroriste" au détriment de "la liberté d’expression"

Cette initiative a immédiatement suscité une vague de réactions indignées, tant à droite que dans le camp présidentiel.


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Dans l’exposé des motifs accompagnant la proposition, les députés insoumis estiment que "les moyens de la lutte antiterroriste en France ont régulièrement été détournés de leur objet par les Gouvernements en place pour réprimer la liberté d'expression"

Ils citent plusieurs exemples récents de condamnations qu’ils jugent abusives. Parmi elles, celle de Jean-Paul Delescaut, responsable CGT du Nord, condamné en première instance à un an de prison avec sursis pour des propos tenus dans un tract de soutien aux Palestiniens. 

Dans ce document, publié après l’attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, il était écrit : "Les horreurs de l’occupation illégale se sont accumulées. Depuis samedi, elles reçoivent les réponses qu’elles ont provoquées".

La présidente du groupe LFI, Mathilde Panot, et l’eurodéputée Rima Hassan ont également été entendues par la police judiciaire dans le cadre d’enquêtes pour apologie du terrorisme. 

Leur groupe avait qualifié l’attaque du Hamas de "force armée palestinienne" dans un "contexte d’intensification de la politique d’occupation israélienne".

LFI souhaite que les faits liés à ce délit relèvent uniquement de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, qui sanctionne déjà l’apologie de crimes ou de crimes contre l’humanité. 

L’exposé des motifs reprend également des avis critiques comme celui de Fionnuala Ní Aoláin, rapporteuse spéciale à l’ONU, ou de l’ancien juge antiterroriste Marc Trévidic, qui évoquait un "usage totalement dévoyé de la loi".


Des réactions tranchées dans le paysage politique

La proposition de loi a provoqué un tollé immédiat. "C’est difficile de faire plus ignoble", a écrit sur X le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau. 

Éric Ciotti, président du groupe Union des droites, a dénoncé "une proposition de loi de la honte".

 Le député macroniste David Amiel, reprenant l’argument des commémorations des attentats du 13 novembre 2015, a interpellé les socialistes : "Socialistes, comment pouvez-vous prétendre gouverner avec eux ?

 Le cynisme a ses limites".

D’autres figures politiques, comme Nathalie Loiseau, eurodéputée Horizons, ou Xavier Bertrand, président des Hauts-de-France, ont également fustigé la démarche de LFI, accusée de soutenir des organisations terroristes.

 Jordan Bardella, leader du Rassemblement national, a estimé que "Jean-Luc Mélenchon et ses amis veulent légaliser le soutien au Hamas, à ses agissements terroristes et à l’idéologie islamiste".

 

Une «nouvelle agression politique» selon Jean-Luc Mélenchon

Face à cette avalanche de critiques, Jean-Luc Mélenchon a dénoncé "une nouvelle agression contre LFI venue de l'extrême droite et servilement reprise par l'officialité médiaticopolitique".

 Il a invité les détracteurs du texte à "lire le texte de la proposition de loi, plutôt que de se faire des films".

 

Source et Publication :  https://actu17.fr/societe/les-deputes-lfi-
 
 
 
 
 jmlb
 
MERCI  A  L F I    Après nous , viendra votre tour   !!!
 
 



 

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