TRIBUNE LIBRE !
La religion folle des immigrationnistes
Les Français le savent, mais la plupart des politiques ne semblent pas l’admettre : rien n’est fait pour contrôler les entrées en France.
Ni les entrées illégales, évidemment.
Ni même les entrées légales.
Les immigrationnistes vous répètent que « contrôler l’immigration est impossible »…
… Parce qu’ils font tout pour la rendre incontrôlable !
Car toutes les pompes aspirantes sont là :
- Des aides sociales versées aux étrangers.
- Des soins médicaux gratuits aux clandestins (AME).
- Des logements sociaux financés par les Français.
On peut déjà concentrer le système d’aide uniquement pour les nationaux…
Et on peut aussi arrêter de distribuer la nationalité française sur notre sol : il est plus que temps de supprimer le droit du sol.
Car la nationalité n’est pas un droit à distribuer à tout va. C’est un héritage précieux, qui se transmet par le sang, et que l’État peut choisir d’octroyer avec parcimonie.
Cette remise à plat limitera naturellement les envies d’immigration.
Et donc les moyens nécessaires au contrôle.
Mais aujourd’hui, que font les immigrationnistes ?
Ils présentent un trésor de lingots d’or en cadeau de bienvenue pour les étrangers, dans les textes de loi. Sur tous les plateaux TV, ils font miroiter la France comme un Eldorado. Ils font tout pour attirer un maximum de monde !
Et en même temps, avec la plus grande hypocrisie, ils vous martèlent que « ce serait impossible de contrôler l’immigration, voyons, soyons sérieux… » ! Cette moraline est non seulement fausse, mais leur harcèlement est à vomir.
Reprenons une image simple : la bouteille d’eau… et d’huile.
Vous avez une bouteille d’eau.
Si vous y versez de l’huile, vous n’avez plus une bouteille d’eau.
Vous avez un récipient qui a encore l’étiquette « bouteille d’eau », mais qui contient en réalité un mélange d’eau et d’huile (qui, vous le savez, ne se mélangent pas).
Il serait donc plus exact de parler d’une bouteille d’eau avec de l’huile…
Et évidemment, si la quantité d’huile dépasse la quantité d’eau, ça deviendra d’abord… une bouteille d’huile !
C’est exactement ce qui se passe quand les immigrationnistes vous disent que « comme les Français ne font pas assez d’enfants, il faut faire venir des gens pour travailler, cotiser pour les retraites_».
C’est une évidente absurdité : leur politique a d’abord détruit la politique familiale. Ils ont commencé par enlever de l’eau, tout en mettant de l’huile. Et l’incertitude qui pèse sur l’avenir ne pousse évidemment pas les Français à faire des enfants.
En bout de course, des juges valident le système immigrationniste en autorisant massivement les étrangers à rester.
Soyons clairs. Même nuancée, la vérité reste simple : la majorité des Français ne veulent PAS d’immigration.
Et s’ils décident qu’une personne peut venir en France, elle le pourra…
… Mais EUX SEULS doivent décider :
- Soit indirectement, via leurs représentants (même si on peut se demander si les députés aujourd’hui représentent vraiment les électeurs… j’y reviendrai dans un autre message).
- Soit directement, par référendum.
- Mais surtout pas des juges, non élus !
Pour les Français d’aujourd’hui.
Pour les Français de demain, vos enfants, vos petits-enfants.
Sans grande ambition, on ne parvient à rien ! C’est de cette pénurie que la France crève. Regardez : l’essentiel de la classe politique croit que tout est perdu. Qu’on ne peut rien faire, ou au mieux, vaguement éponger alors que le bateau coule.
Quoi qu’on pense de Donald Trump, son slogan de campagne était efficace : « rendre l’Amérique à nouveau géniale, brillante ». Et sur son pupitre le soir de son élection, était écrit : « Trump will fix it » (Trump va régler ce qui ne va pas, il va y remédier).
Mais en France, que voit-on ? Si les politiciens essoufflés ne se soucient pas de « régler ce qui ne va pas » pour les Français, s’ils n’ont pas de vision pour la France, que diable font-ils en politique_?!
Bien sûr, une fois que la France sera transformée en paradis sur Terre, il sera possible que les étrangers les plus entreprenants, les meilleurs, désirent venir dans notre pays. Pour étudier. Pour travailler. Pour créer…
Dans ce cas, seuls les Français pourront décider s'ils veulent ou pas ces gens-là, qui devront évidemment se tenir à carreau.
Mais attention : quelques centaines, ce n'est pas quelques milliers…
Quelques milliers, ce n'est pas quelques millions !
Or les immigrationnistes vous imposent des immigrés par millions.
Et rigolent ou s’offusquent quand les Français disent « STOP immigration » !
Il n'y a rien de rationnel dans leurs propos, à part pour ceux qui veulent réellement mettre le chaos en France.
Je pense que la plupart suivent bêtement leur croyance immigrationniste, structurée au fil des décennies en une véritable religion, avec ses « prêtres » médiatiques, ses juges, et même ses dogmes :
- « L'immigration est un enrichissement culturel » (Faux !)
- « L'immigration rapporte de l'argent à la France » (Faux !)
- « Il n'y a pas de lien entre immigration et insécurité » (Faux !)
- « L'immigration n'a pas de conséquence sur les liens de confiance entre les individus » (Faux !)
- « Les immigrés font le travail que les Français ne veulent pas faire » (Faux !)
Je ne vais pas vous reparler de l'insécurité, du chômage, de tous les coûts pour les Français.
Je ne vais pas vous parler de l'acculturation inversée sur notre sol.
Vous avez déjà tout ça en tête.
Qui ouvre les yeux voit !
Par contre, je vous rappelle ce dernier élément, qui me semble évident mais qu’on n’entend pas.
Je vous ai parlé plus haut du fait d'arrêter la distribution de la nationalité, car cela participe de la pompe aspirante d'immigration.
Vous savez aussi qu'à force de donner la nationalité à tout le monde, elle ne représentera bientôt plus rien.
Et qu'elle a déjà perdu de la valeur... au détriment des Français.
Même si quelqu'un est accepté sur le sol français, cela ne signifie pas qu'il doit pouvoir y rester indéfiniment.
De surcroît, rien n'oblige à lui donner la nationalité française.
Croyez-vous que, parce que vous parvenez à rester vingt ans au Japon, c'est-à-dire que le Japon vous autorise à rester vingt ans sur son sol, vous allez devenir Japonais ?
Si vous connaissez un peu le Japon, vous rirez sans doute de cette idée saugrenue.
Alors pourquoi s'imagine-t-on que la nationalité française devrait être donnée à n'importe qui, simplement parce que ce n'importe qui aurait eu la chance de rester sur notre sol pendant longtemps_?
Pour la France !
Par Samuel Lafont
PS. Si vous rejoignez mon analyse, vous pouvez vous l’approprier en la partageant autour de vous.
Immigration et expulsions : un rapport accablant sur l’impuissance française face aux clandestins
Un récent rapport parlementaire rédigé par Brigitte Klinkert, députée Renaissance et ancienne ministre, lève le voile sur l’échec systémique de la France à exécuter les obligations de quitter le territoire français (OQTF).
Ce document, axé sur la mission « immigration, asile et intégration » dans le cadre du projet de loi de finances 2025, révèle des chiffres alarmants et des failles structurelles qui interpellent sur l’efficacité et la volonté réelle des autorités françaises.
Un tiers des OQTF concerne des Maghrébins
En 2023, sur les 137 730 étrangers de toutes nationalités visés par une OQTF, plus de 47 500 étaient originaires du Maghreb, représentant 34 % du total français.
Ce chiffre contraste avec la moyenne européenne où seulement 22 % des OQTF concernent des Maghrébins.
Ce différentiel révèle une pression migratoire spécifique en France et met en lumière l’incapacité du pays à gérer ces flux.
L’écart est encore plus frappant lorsqu’il s’agit d’expulsions effectives : en France, seuls 7,6 % des clandestins sous OQTF quittent réellement le territoire, contre 19 % en moyenne dans l’Union européenne.
Cette situation fait de la France l’un des pays les moins performants d’Europe en matière d’éloignement.
Les blocages consulaires : un obstacle majeur
La principale cause identifiée par le rapport est le refus massif de délivrance de laissez-passer consulaires, nécessaires pour renvoyer les clandestins dans leur pays d’origine.
En 2023, 96 % des annulations d’éloignement étaient dues à ces refus, principalement de la part des autorités maghrébines, l’Algérie en tête.
Ce pays, déjà réfractaire à coopérer, a pratiquement rompu les échanges avec la France depuis les positions françaises sur le Sahara occidental.
Brigitte Klinkert souligne également d’autres facteurs aggravants : les contraintes du trafic aérien, les automutilations des clandestins pour éviter leur expulsion, et les refus d’embarquer, souvent encouragés par des associations subventionnées par l’État.
Les centres de rétention : une efficacité en question
Les centres de rétention administrative (CRA), pourtant destinés à accueillir les profils les plus dangereux, illustrent l’impuissance de l’État.
La durée moyenne de rétention a certes augmenté à 30 jours en 2023, contre 23 en 2019, mais les libérations explosent : plus de 500 clandestins sont relâchés chaque mois, faute de perspectives d’éloignement.
Cette situation démotive les forces de l’ordre et expose la population à des risques accrus, comme l’a tragiquement illustré le meurtre de la jeune Philippine en septembre dernier.
La France a tenté de durcir sa politique migratoire, notamment en limitant les visas pour certains pays réfractaires.
Mais cette stratégie a souvent conduit à des ruptures diplomatiques, aggravant les blocages consulaires.
Même une augmentation de la durée légale de rétention ne semble pas être une solution viable, selon la députée Klinkert, les pays concernés jouant simplement la montre.
Derrière ces échecs se cache un problème plus profond : un système gangrené par l’idéologie et une bureaucratie excessive.
Les associations militant pour les droits des migrants notamment, souvent politisées, bénéficient de subventions publiques tout en freinant les efforts d’éloignement grâce à des réseaux médiatiques et politiques particulièrement développés y compris au sein de la PQR, la Presse Quotidienne Régionale.
Une impasse budgétaire et politique
Malgré des discours résolus, le gouvernement réduit paradoxalement les budgets alloués à la lutte contre l’immigration irrégulière : une baisse de 42 % des autorisations d’engagement est prévue pour 2025.
Cette contradiction affaiblit encore une politique déjà inefficace.
La promesse de construire 1 000 nouvelles places en CRA d’ici 2027 semble également utopique, au regard des lourdeurs administratives.
Le rapport Klinkert illustre une crise migratoire mal gérée, mais il doit aussi servir de point de départ pour un sursaut politique.
Le temps des demi-mesures est révolu.
La France, si elle veut rester souveraine, doit reprendre le contrôle de ses frontières et de son avenir.
Crédit photo : DR
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