Nouveaux programmes EVARS : nous alertons les ministres !

Chère amie, Cher ami,

« L’EVARS - les idéologies n’ont pas seulement détruit l'instruction, elles ont aussi détruit la prévention. »

C’est le titre d’une lettre coup de poing que nous venons d’adresser au Premier ministre et aux ministres chargés de la mise en œuvre de l'éducation à la sexualité à l'École, pour les alerter sur les dangers des nouveaux programmes officiels d’« éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle » !

Ces programmes font courir des risques importants aux enfants, c’est pourquoi nous avons écrit :

Au Premier ministre ;
À la ministre de l’Éducation nationale ;
À la ministre de la Santé et de l’Accès aux soins ;
Au ministre délégué chargé de la Réussite scolaire et de l’Enseignement professionnel ;
À la secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes.

Dans ce courrier, nous tirons la sonnette d’alarme, et nous n’hésitons pas à poser des questions de manière très directe aux membres du gouvernement.

Et notamment des questions fondamentales sur la science et sur la biologie, mais aussi sur leurs responsabilités en cas de dérives lors des séances d’EVARS !

Ainsi, dès l’introduction, nous leur demandons de cesser les tergiversations, et de prendre des positions fermes…

Monsieur le Premier Ministre,

Mesdames et Messieurs les Ministres chargés de la mise en œuvre de l'éducation à la sexualité à l'École,

Pensez-vous, comme les scientifiques :

qu’il n’existe que deux sexes ?

que les enfants prépubères sont sexués, mais pas sexualisés ?

que parler de la sexualité des adultes à des enfants est une erreur grave, qui peut provoquer un traumatisme psychique ?

Cette mise au point préalable est importante, parce que l’EVARS fonde ses enseignements sur l’exact inverse de ces faits scientifiques.

Nous leur demandons de faire primer l’intérêt supérieur des enfants, et pour ce faire, de tenir compte en priorité de leur développement psychoaffectif pour prendre les bonnes décisions !

Je vous invite à retrouver sans plus attendre notre lettre au Premier ministre et aux ministres chargés de la mise en œuvre de l'éducation à la sexualité à l'École, en cliquant ici ou sur l’image d’aperçu.

Et si vous souhaitez aller plus loin, retrouvez également ci-dessous mon intervention sur CNews, ainsi que notre entretien avec Maurice Berger pour le Figaro !

Je lis la lettre aux ministres

J’ai pu expliquer les risques des programmes EVARS pour les enfants sur CNews, au micro de Sonia Mabrouk.

Dans mon intervention, je reviens sur :

Les annonces de la ministre Anne Genetet sur le déploiement de l’EVARS dès la rentrée 2025 ;

La notion de consentement chez les jeunes enfants, souvent dévoyée ;

Notre inquiétude sur ces enseignements confiés à des associations militantes, en lieu et place des professeurs de l’Éducation nationale ;

La répartition des rôles entre l’École, qui doit instruire, et les familles, qui doivent éduquer les enfants.

Découvrez-la dès maintenant en cliquant ici ou sur l’aperçu ci-dessous :

J’accède à la vidéo CNews

Enfin, Maurice Berger et moi-même avons pu exprimer nos préoccupations concernant l'éducation sexuelle à l'École, dans un entretien pour le Figaro.

Nous expliquons notamment :

Pourquoi l’EVARS est une intrusion de l’École dans la sphère familiale ;

Le non-respect de l'intimité des enfants, en abolissant les frontières générationnelles ;

Le biais des travaux d'Alfred Kinsey, qui ont influencé les recommandations de l’OMS et les programmes d’EVARS ;

Les risques de l’EVARS pour le développement affectif et identitaire de l'enfant.

Pour découvrir notre entretien, cliquez simplement ici ou sur l’aperçu ci-dessous :

Je découvre l’article du Figaro

Après avoir lu la lettre au Premier ministre et aux ministres chargés de la mise en œuvre de l'éducation à la sexualité à l'École, n’hésitez pas à me faire part de vos commentaires, en répondant simplement à ce message.

Et bien sûr, je suis aussi intéressée par vos retours sur mon intervention dans l’émission Midi News, et sur notre entretien avec Maurice Berger pour le Figaro.

Priorité à l’Éducation !