LFI invitée par le Mur des Cons du Syndicat de la Magistrature
Qui se ressemble s’assemble !
Le Congrès du Syndicat de la Magistrature se tiendra en présence du député LFI Ugo Bernalicis, celui qui vient de proposer une loi, soutenue par l’ensemble de ses collègues, pour dépénaliser l’apologie du terrorisme, ce qui veut dire pouvoir faire l’apologie des islamistes du Hamas et autres égorgeurs.
Joli palmarès que celui de ce député LFI qui se rêvait en rap de devenir le patron des flics, si Mélenchon arrivait au pouvoir, et qui soutenait les subventions du lycée islamiste Averroès de Lille.
https://www.youtube.com/watch?v=oTAgbqidAic
Quant au Syndicat de la Magistrature, qui représente 30 % de la profession, donc un juge sur trois, son affiche sur le Mur des Cons résume mieux que de longs discours l’ensemble de son œuvre.
Rien que pour cela, ce syndicat, subventionné par nos impôts, aurait dû être dissous, sachant, d’autre part, qu’un juge ne devrait pas pouvoir se syndiquer.
C’est déjà le cas en Espagne.
https://asla.fr/petition-il-faut-dissoudre-le-syndicat-de-la-magistrature/
ET AUSSI
Les Insoumis chez les juges rouges du Syndicat de la Magistrature : rien d’étonnant !
Elle est belle, l’indépendance de la justice avec des juges de gôche et même d’extrême gôche !
C’est beau, les Insoumis en visite au Mur des cons !
Ils s’assemblent pour mieux, ensemble, déconstruire la France et l’abîmer à tout jamais dans un no man’s land judiciaire.
Il est marrant, Ugo Bernalicis, tout fier d’avoir été invité par le Syndicat de la Magistrature.
C’est vrai que celui qui propose une loi visant à abroger le délit d’apologie du terrorisme est bien dans l’esprit gôchiste de ce syndicat, qui ne peut qu’aimer une telle abrogation.
Protéger les Français du terrorisme est pour Bernalicis et pour le Syndicat de la Magistrature le cadet de leurs soucis.
Bernalicis écrit sur les magistrats : « Je partage beaucoup de leurs combats et de leurs inquiétudes sur les attaques de plus en plus importantes menées contre l’État de droit par l’extrême droite et son marche-pied l’extrême centre macroniste… »
Décidément, on s’amuse bien avec cette bande de clowns sinistres qui se sont hissés on ne sait comment jusqu’à l’Assemblée nationale.
Mais on commence à rire un peu jaune.
Car enfin, ce sont les magistrats de gôche qui attaquent en ce moment l’État de droit, on peut le dire. Ils ne respectent pas la loi.
Ils nous font vivre dans l’insécurité juridique, la crainte de l’arbitraire.
Quant on voit leurs décisions abracadabrantesques, les coupables d’infractions relâchés ou condamnées à un minimum ridicule, et chouchoutés, mais les victimes méprisées, ne recevant que déni de justice et des condamnations indécentes sans savoir pourquoi, on ne peut qu’être stupéfaits et scandalisés.
Quant on voit la légitime défense transformée par les juges en délit, les récidivistes relâchés, le principe qu’entre le délinquant qui s’enfuit devant la police et cette dernière, il faut avoir un préjugé favorable pour le délinquant et que « la police tue », tout cela constitue une escalade dont on aura du mal à se relever.
L’ordre public aussi est menacé. Les Français prévoient de plus en plus, devant une justice défaillante, de se faire justice eux-mêmes.
Prenez y garde, messieurs les juges.
Vous pourriez perdre quelques plumes dans l’aventure.
Quant on voit le mur des cons, dont on n’a aucune assurance qu’il ait définitivement disparu des murs du Syndicat de la Magistrature, on ne peut que se demander où sont les cons, vraiment.
Du côté des pères de jeunes filles violées et tuées ou bien plutôt de celui de ceux qui ont fait ce mur ?…
Et donc, ce que Ugo Bernalicis appelle des attaques, ce sont plutôt des défenses.
On ne l’aurait jamais cru, mais nous sommes souvent obligés de nos jours, de nous défendre contre la justice de notre pays.
Ces juges, pas tous mais un grand nombre, un sur trois !… sont syndiqués au Syndicat de la Magistrature , dont le texte fondateur est celui-ci : « La harangue de Baudot », texte écrit en 1968 par le magistrat, Oswald Baudot, à l’attention des jeunes juges.
Texte qui proclame : « Soyez partiaux (…)
Examinez toujours où sont le fort et le faible qui ne se confondent pas nécessairement avec le délinquant et sa victime.
Ayez un préjugé favorable pour la femme contre le mari, pour l’enfant contre le père, pour le débiteur contre le créancier, pour l’ouvrier contre le patron, pour l’écrasé contre la compagnie d’assurance de l’écraseur, pour le malade contre la sécurité sociale, pour le voleur contre la police, pour le plaideur contre la justice… »
Le syndicat de la magistrature est un syndicat qui prône une justice de classe, dans laquelle le bourgeois, le propriétaire, le patron, le mâle blanc quinquagénaire ont toujours tort. Nécessairement.
N’oublions pas que dans l’affaire de Bruay-en-Artois (1972), le notaire a été mis en examen et en détention parce qu’il était l’ennemi de classe typique et était donc le coupable évident, selon le petit juge Pascal, un des premiers adhérents au Syndicat de la Magistrature, qui a commis nombre de sottises idéologiques.
Les juges ne devraient pas pouvoir se syndiquer, et le Syndicat de la Magistrature, qui déshonore depuis longtemps la magistrature, devrait être dissous.
La possibilité pour les juges de se syndiquer devrait rester strictement cantonnée aux questions techniques comme par exemple le montant de leur salaire, leur journée de travail, ou les jours de congé, point.
L’impartialité du magistrat est une condition d’un procès juste.
Le justiciable doit pouvoir avoir confiance.
Le principe d’indépendance du juge et celui d’impartialité priment.
La réserve des magistrats sur les questions politiques est une évidence.
Si un juge fait prévaloir ses propres valeurs, niant l’existence de valeurs communément admises, on y est : on est dans le gouvernement des juges.
C’est-à-dire une société dans laquelle les juges exercent le pouvoir suprême.
Ce qui risque d’entraîner la société toute entière dans le chaos.
Les juges n’ont pas à gouverner.
Ils n’ont même pas à faire valoir leurs idées politiques : on ne doit pas les connaître.
Ils doivent rester totalement neutres.
Les trois pouvoirs doivent être séparés de manière étanche.
C’est seulement à ce prix que les Français pourront faire confiance à leurs juges.
Confiance passablement écornée par le comportement des juges aujourd’hui.
Cette invitation de Bernalicis ne fait que confirmer, s’il en était besoin, la collusion de la magistrature et de la gauche la plus extrême.
Contre le peuple français, évidemment.
Par Sophie Durand https://ripostelaique.com/
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