jeudi 28 novembre 2024

NANTES : UN JEUNE HANDICAPÉ VIOLÉ PAR UN CLANDESTIN ALGÉRIEN .........

 






Un jeune handicapé violé par un SDF sans-papier

 

Chère lectrice, cher lecteur, 


“Un clandestin algérien SDF mis en examen pour le viol d’un handicapé”. 

 

Voici le titre de l’article avec lequel je me suis réveillée ce matin. 

Et quelques minutes plus tard, je découvrais la vidéo… tout simplement abominable.
 

Je vous épargne les détails, mais en quelques mots voici les faits tels que décrits par un journaliste de Valeurs Actuelles

 

Il profite de la fragilité du jeune handicapé 
 

Le 22 novembre, une maman, accompagnée de son fils handicapé, fait quelques courses dans un centre commercial de la région de Nantes. 
 

Pris d’une envie pressante, le jeune homme se rend aux toilettes tandis que sa mère attend patiemment. 
 

Au bout de très longues minutes, elle s’inquiète. Son fils ne réapparaît pas. 
 

Elle décide de pousser la porte des toilettes des hommes et entend des bruits étranges venant d’un cabinet… 
 

Elle se précipite et découvre son fils en compagnie d’un autre homme, le pantalon baissé. 


Son fils handicapé est en train de se faire violer sous ses yeux. C’est l’horreur absolue.

 

Sous le choc, elle intervient immédiatement et fait fuir le violeur. Celui-ci sera interpellé par les vigiles.

Et rapidement, les enquêteurs découvrent le profil de ce criminel…

 

C’est un SDF algérien et en situation irrégulière

 

Pourquoi s’en prendre aux plus fragiles ? 

 

A la lecture de ce fait divers, je suis hors de moi. Je fulmine. Rien, absolument rien ne nous sera épargné… 

 

Pourquoi ce clandestin était en toute tranquillité sur le sol français ?

 

Comment peut-on profiter comme ça de la faiblesse d’un jeune handicapé ??

 

Notre société déraille-t-elle à ce point ???


Des jeunes adultes handicapés, j’en ai beaucoup croisé dans ma vie. 
 

Pendant un temps, mes enfants ont même participé à des week-ends à la campagne avec des jeunes trisomiques. Pour permettre aux parents de souffler un peu. 
 

Dans un monde civilisé, on est bon avec les plus vulnérables

Vous l’aurez compris, cette histoire me bouleverse… Et j’en parle beaucoup avec mon équipe.

 

Nous parlons notamment du danger d’une immigration massive et dérégulée. Les habitants de ces pays ne comprennent pas nos modes de fonctionnement…

 

Et à ce propos, François, un permanent de l’IPJ qui a vécu au Proche-Orient, m’a raconté quelques anecdotes intéressantes.

La méthode arabe pour une insécurité 0 


Avant de nous rejoindre, François a travaillé pour une association humanitaire en Égypte, au Liban et en Jordanie. 

 

Et à chaque fois, il a fait le même constat : ceux qui viennent voler et violer chez nous… se tiennent à carreau chez eux !! 

 

Mais alors pourquoi ? 

 

Il m’a présenté 2 exemples concrets.

 

Au nord du Liban, il y a un petit village chrétien, entouré de 40 000 réfugiés syriens… 

 

Pourtant, l’insécurité y est très faible : pas de vols, les enfants jouent seuls dans la rue et les maisons ne sont pas fermées à clé. 

Pour ce faire, les habitants ne sont pas fous. Ils appliquent ce qui fonctionne :

 

  • les hommes du village patrouillent la nuit avec des armes ;
  • le maire rend lui-même la justice de façon ferme et expéditive ;
  • À partir de 17h un couvre-feu est imposé aux réfugiés qui doivent quitter le village.

 

Au cours de son passage en Égypte, en 2022, François avait été marqué par le débat du moment dans les journaux. 

 

Un homme avait assassiné une jeune étudiante qui refusait ses avances. Et en réaction, la Justice égyptienne l’avait alors condamné à mort par pendaison. 

Mais, le grand débat en Egypte n’était pas : faut-il ou non pendre cet homme… mais faut-il ou non diffuser sa pendaison sur la télévision publique ?!

 

Cette anecdote montre bien l’état des mentalités dans ces pays et le niveau de fermeté nécessaire pour dissuader leurs criminels. 


Hélas, je crains que ces méthodes finissent par arriver chez nous si la situation sécuritaire ne s’améliore pas. 

 

Après avoir été un des pays les plus sûrs au monde dans les années 1950-60, notre pays s’enfonce dans une dépression criminelle.

 

L’IPJ est reçu par un ministre

 

Malgré cela, vous ne pouvez pas baisser les bras sans vous battre. Il reste quelques motifs d’espoir…

 

Récemment, l’Institut pour la Justice a été reçu par le directeur de cabinet de Nicolas Daragon, ministre de la Sécurité du quotidien. 

 

Nous avons abordé de nombreux sujets et notamment l’expulsion systématique des clandestins sous OQTF ! Sans s’engager, il a montré un réel intérêt pour celle-ci !

 

Pour le convaincre, il faut une pression populaire. Si je lui annonçais que les 

100 000 signatures étaient atteintes, le gouvernement finirait bien par débattre ! 

Si vous ne l’avez pas encore fait, j'ai besoin de votre signature sur notre pétition maintenant

 

Et si vous l’avez déjà signé, transférez-la le plus possible autour de vous, merci !!

 

Je compte sur vous, nous n’avons pas le droit d’abandonner notre pays aux bandes criminelles. 

JE SIGNE

Avec tout mon dévouement,

 

Par Axelle Theillier

Présidente de l'Institut pour la Justice





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