mardi 12 novembre 2024

ÉLECTIONS TRUMP ! DES NOUVELLES POLITIQUES EUROPÉENNES SONT PLUS QUE NÉCESSAIRES..........

 REVUE DE PRESSE !


Hypothèses sur la politique étrangère de Donald Trump

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Hypothèses sur la politique étrangère de Donald Trump

par Pierluigi Fagan

Source: https://electomagazine.it/il-sahara-ferma-la-desertificaz...

Nous parlons d’hypothèses, car le nouveau président américain n’a pas donné l'interview préélectorale habituelle où les candidats exposent généralement les grandes lignes de leur politique étrangère, et parce que cet homme est, notoirement, peu prévisible. 

Cependant, certaines choses peuvent être envisagées et d'autres restent des suppositions.

 

    1) Ukraine. Il est presque certain que Trump réduira (peut-être seulement en partie) le soutien financier direct, les livraisons d'armements et l'engagement logistique des États-Unis.

 Il pourrait également laisser le «fardeau» dans les mains déjà hésitantes de l’Europe, qui fait l’objet d’autres objectifs stratégiques dont nous parlerons plus tard. Il essayera de parvenir à un accord de paix comme promis, bien que cela semble peu probable, sauf s’il est prêt à discuter avec Poutine des principes généraux de sécurité dans la région (positionnement des missiles, rôle des pays de l'OTAN frontaliers). 

Or, ceci paraît très improbable, étant donné que la dernière fois, Trump avait lui-même abandonné le Traité INF, pilier du système de sécurité européen signé autrefois par Gorbatchev et Reagan (alors qu’on l’accuse souvent d'être «l’ami de Poutine»!). 

Selon Mearsheimer, Poutine ne fait plus confiance à l’Occident sous aucune forme, et il semble peu probable qu'il fasse de réels compromis avec les États-Unis. 

Les premières déclarations russes après les élections ont réaffirmé que la Russie poursuivrait tous les objectifs de son opération militaire spéciale.

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 2) Russie. Cependant, il n'est pas certain que les relations avec la Russie soient nécessairement liées à la question ukrainienne. 

Trump est soutenu par l'industrie pétrolière, ce qui s'était pleinement révélé lors de sa première présidence avec la nomination de Rex Tillerson, ancien PDG d'ExxonMobil, comme Secrétaire d'État. 

ExxonMobil avait de nombreux partenariats avec la société russe Rosneft pour des explorations, notamment dans l’Arctique. 

Trump, qui avait reçu le soutien de R. F. Kennedy Jr. — connu pour ses positions écologistes — aurait déclaré : «C'est un type extraordinaire, il veut vraiment agir et nous lui en donnerons l’opportunité, mais j'ai simplement dit: 'Bobby, laisse-moi le pétrole.'»

 La question pétrolière reste donc ouverte. 

ExxonMobil considérait jadis l’exploration arctique comme stratégique et vitale, et Trump pourrait chercher à négocier un réchauffement des relations (indépendamment de l’Ukraine), en demandant peut-être à Poutine de ralentir le développement de la Route maritime du Nord (utilisée par la Chine pour contourner les détroits). 

Il est difficile de dire si les deux trouveront un accord, mais il semble très improbable que Poutine renonce à ce projet avec la Chine.

 

    3) Venezuela et Nicaragua. Ces pays ne font certainement pas partie des enthousiastes suite aux dernières élections présidentielles américaines. 

Après les récentes élections au Venezuela, Trump avait exprimé des critiques acerbes, et Elon Musk avait d'abord tweeté : «Le peuple vénézuélien en a assez de ce clown», puis, après une réponse de Maduro, il avait ajouté : «Un âne en sait plus que Maduro», avant de s'excuser d’avoir «insulté les ânes». 

 Maduro a depuis suspendu X (ancien Twitter) dans son pays.


 

En toile de fond, il y a les intérêts commerciaux de Starlink et une alliance avec Javier Milei pour une nouvelle hégémonie en Amérique du Sud. 

Le Venezuela, cinquième réserve mondiale prouvée d'hydrocarbures (et premier en Occident), pourrait également voir ses relations régionales modifiées par l’élection de Trump, tandis qu'Obrador au Mexique pourrait également être mécontent, confronté à une pression accrue aux frontières due aux migrations d'Amérique centrale.

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 4)  Netanyahu et Israël. Parmi les enthousiastes, on compte Netanyahu. 

Hier, le Premier ministre israélien a limogé le ministre de la Défense Gallant, son rival naturel au sein du Likoud. 

Gallant, préparant sa succession, avait demandé une enquête sur le 7 octobre. 

Selon Fagan, il semble peu probable qu’Israël ignorait tout des mouvements logistiques importants précédant l’attaque, et Gallant pourrait détenir des preuves que Netanyahu a sciemment ignoré les rapports (y compris ceux des services secrets égyptiens). 

Bien que la police ait ouvert une enquête, le soutien de Trump renforcera probablement Netanyahu, qui a envisagé des projets de développement à Gaza (hôtels de luxe, casinos) une fois les habitants palestiniens déplacés et le Hamas affaibli, facilitant les accords d'Abraham. 

Cette perspective pourrait raviver les tensions avec l'Iran, avec lequel Trump a été particulièrement dur (voir le retrait du JCPOA, l’accord nucléaire), et dont les réserves de pétrole et de gaz en font une cible géopolitique pour l'administration Trump.

 

   5) L'Europe. Trump cherchera à diviser l'UE pour négocier de manière bilatérale. 

Attendez-vous à des tarifs, des hostilités envers les politiques écologiques, des doutes sur l’OTAN, et une forte pression pour augmenter les dépenses militaires (et acheter des armes américaines).

 Ce sera un chapitre complexe sur lequel il faudra revenir plus tard.

 

   6) Chine. Concernant la Chine, des tensions peuvent également être prévues.

Le phénomène Trump est un moteur de l’histoire, ce qui, pour ceux qui l’étudient, n’est pas sans intérêt.

 La première élection de Trump avait coïncidé avec la sortie de mon premier livre en janvier 2017 ; cette fois, la publication de mon second ouvrage est prévue pour Noël, bien qu’il ne porte pas spécifiquement sur la géopolitique.

Ce texte de Fagan offre des perspectives sur les orientations possibles de la politique étrangère de Donald Trump dans divers domaines.

 

ET AUSSI

Une nouvelle classe dirigeante européenne est nécessaire pour faire face à la nouvelle Amérique

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Une nouvelle classe dirigeante européenne est nécessaire pour faire face à la nouvelle Amérique

Augusto Grandi

Source: https://electomagazine.it/serve-una-nuova-classe-dirigent...

Tous les analystes - pro Trump et anti Trump - sont d'accord: de nouvelles politiques européennes sont nécessaires pour faire face au changement lié au vote américain.

 Bien sûr, les analyses divergent sur ce que peuvent et doivent être ces nouvelles politiques.

 Et surtout qui doit les conduire. 

Il est vrai que les larbins installés à Bruxelles n'ont honte de rien et, après avoir soutenu Biden et Harris sur tous les plans, ils annoncent maintenant vouloir travailler avec Trump en renforçant toujours plus la dépendance européenne à l'égard de Washington. 

Car la collaboration, dont on nous rebat les oreilles avec Ursula, n'est qu'une dépendance.

La présidence Trump promet d'être très problématique pour l'Europe, à commencer par les aspects économiques.

 Mais la classe dirigeante européenne n'est nullement en mesure de faire face aux nouveaux défis. Ni les larbins de Bruxelles, ni les larbins qui dirigent les gouvernements des différents États. 

Un changement radical est nécessaire, et le premier pourrait venir d'Allemagne, où l'inepte chancelier social-démocrate Scholz a évincé l'inepte ministre des finances, le libéral Christian Lindner. 

Cette décision ouvre la voie à d'éventuelles élections anticipées au printemps. Anticipées, en fait, de quelques mois seulement.

Cependant, les favoris en cas de vote, les chrétiens-démocrates, ne disposeraient ni d'une majorité écrasante, ni d'une classe dirigeante particulièrement excitante.

 Avec le risque, pour faire face aux populistes de l'AfD et à ceux de Sahra Wagenknecht, de devoir créer un gouvernement avec les sociaux-démocrates.

 Et deux chevaux boiteux ne font pas un champion dans la course.

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Mais si l'ancienne locomotive de l'Europe est dans la boue jusqu'au cou, ce n'est pas que les autres gouvernements soient mieux lotis. 

Macron ne sait pas comment gérer la situation intérieure après les deux défaites consécutives qu'il a subies en Afrique. 

En Espagne, le lapin Sanchez joue le politiquement correct puis s'enfuit face aux protestations populaires. En Italie, le gouvernement ne vit que dans des rêves paisibles car l'opposition n'existe plus. 

Mais à force de dormir et de rêver, les problèmes augmentent et la classe dirigeante qui devrait s'en occuper est embarrassée.

Il est évident que Trump peut et va profiter de cette débâcle de la classe dirigeante européenne.

 Le seul espoir est que le Sud global décide de sauver l'Europe pour l'utiliser à des fins économiques anti-américaines. 

 

Mais, pour paraphraser Moretti, avec une telle classe dirigeante, l'Europe est toujours destinée à perdre.

 

Source et Publications  :   http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2024/11/11




CERTAINS ONT LES SOINS GRATUITS À L' HÔPITAL ! PENDANT QUE D' AUTRES SONT HOSPITALISÉ DANS UN GARAGE !

 PÉTITION !

Hospitalisé... dans un garage ?!

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Madame, Monsieur,

Pendant qu'un Français hospitalisé est relégué dans un garage d'hôpital en Haute-Marne, faute de place, le gouvernement continue de dépenser 1,2 milliard d'euros par an pour soigner gratuitement 400 000 clandestins via l'Aide Médicale d'État. 


Cette situation est insupportable. Alors que le budget de l'État est en pleine discussion à l'Assemblée, il est temps de taper du poing sur la table !

Signez la pétition si ce n’est fait (cf. texte ci-dessous).


 
Et partagez-la sur les réseaux sociaux.
Votre action peut faire pencher la balance du bon côté : ne laissez pas passer cette chance.

Pour la France !

Samuel Lafont et l’équipe Damoclès


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L’Aide Médicale d’État (AME) est un aspirateur à immigration et ce sont les Français qui trinquent.
 
 Ça suffit ! Signez la pétition !

Madame, Monsieur,

Imaginez une vaste campagne de pub en Afrique :
« Venez vous faire soigner gratuitement en France ! Les Français vous hébergeront et vous nourriront à l’œil. »
C’est ce que vendent les passeurs et les immigrationnistes aujourd’hui aux nombreux clandestins qui rêvent d’aller en France.

L’Aide médicale d’État (AME) est l’une des principales pompes aspirantes à immigrés clandestins mise en place sous Jospin, que les Français paient très cher depuis.

Alors que 74 % des Français trouvent qu’il y a trop d’immigrés en France, ils doivent verser des sommes colossales pour offrir des soins gratuits à ces clandestins qui arrivent principalement d’Afrique : Algérie, Côte d’Ivoire, République Démocratique du Congo…

 
Grâce à ce système immigrationniste, ils sont 400 000 à venir se faire soigner aux frais des Français :

👉  Tel patient reçoit un généreux traitement à 70 000 € le flacon…

👉  Tel autre se voit offrir 37 cures pour un coût d’environ 422 000 €…

👉  Ou encore une dialyse cadeau à 80 000 € par an…

 
Résultat en un an, 1,2 milliard d’euros ont été engloutis pour attirer toujours plus d’immigrés.

Les Français sont saignés par les immigrationnistes pour soigner des clandestins africains et du monde entier !

Un médecin de l’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration avoue même que des soins psychiatriques sont offerts pour rien :

« Il y a par exemple ces Algériens qui font état de troubles anxieux liés à la guerre civile algérienne…
… Alors qu’ils sont nés après les années 1990 ! »

 
Le pire, c’est que beaucoup de clandestins n’ayant pas de logement, les hôpitaux leur servent d’hôtel gratuit, avec repas offert.

Ils squattent ainsi une place d’hôpital, alors qu’ils n’en ont pas besoin, pendant de longs mois, voire parfois plus d’un an, et alors que les hôpitaux sont déjà en difficulté !

 
Ce scandale n’a que trop duré.

Signez la pétition en cliquant sur le bouton ci-dessous :

En signant la pétition, vous demandez la suppression immédiate de l’Aide médicale d’État.
Vous pouvez vous dire que ça ne passera jamais. Vous pouvez.

C’est exactement ce que les idéologues espèrent que vous penserez.

Une chose est sûre : si nous sommes des centaines de milliers à signer, ils ne pourront pas faire l’autruche.

Alors s’il vous plaît, signez maintenant la pétition.
Prenez position.
Demandez justice.

Partagez ensuite cette pétition à vos amis, votre famille, vos collègues.

Votre signature est cruciale aujourd’hui.
Tout repose sur vos épaules.

Un grand merci pour votre action.

L’équipe Damoclès.


 
Damoclès — Premier Média de mobilisation




L' ONU EST DEVENUE UNE ANNEXE DE LA LIGUE ISLAMIQUE !

 TRIBUNE LIBRE !

Nouvelle victoire de la science islamique, les talibans sont les bienvenus au GIEC

Coucou les revoilou ! 

Puisqu’on ne peut plus compter sur Donald, des chefs talibans remplaceront les Ricains au sommet mondial sur le climat (COP29) qui débute cette semaine en Azerbaïdjan, a annoncé dimanche Sidi Salahuddin Rabbani, le sinistre afghan des Affaires étrangères.

Il en bavotait de bonheur dans sa barbe fleurie à l’idée que son peuple quelque peu ostracisé par des mécréants en raison de ses mauvaises manières allait enfin retrouver la place qui lui est due dans le concert des Nations. 

Avec un rôle éminent pour leurs brillants scientifiques.

 

Quel dommage de s’être privés des lumières (pas à tous les étages) de ces grands savants en sciences coraniques !

Certes ils ne sont pas très tendres avec leurs femmes, mais après tout, si elles aiment être battues, il ne faut pas les en priver.

 Et cela n’obère en rien les immenses mérites et la sapience universelle de leurs seigneurs et maîtres, inspirés par le lascar Allakbar.

Ils sont les héritiers de la prestigieuse civilisation arabo-musulmane qui a créé des avions avant les frères Wright. 

Ces maudits koufars ont dépossédé de son invention Abbas ibn Firnas un Andalou qui a volé (on ne dit pas qui) en l’an 852 selon le décompte des Roumis.

 Dommage que Fripounette ait oublié d’en parler avec le roi. 

Il y aurait gagné une boîte de loukoums. Jean-Brichelle en raffole.

Huit siècles plus tard, un autre savant islamique le grand mufti Mohamed Ahmed Al-Maqqari expliquait que si son coreligionnaire s’était cassé la gueule à l’atterrissage, c’est « parce qu’il avait oublié que les oiseaux atterrissent sur la queue et avait négligé de s’en équiper d’une » (sic). Les pilotes appellent ça l’arrondi. 

Et selon un dicton d’aviateur, il faut toujours avoir le nez en l’air et la queue basse pour bien se poser. 

Avec une hôtesse de l’air bandante, c’est le crash assuré.

 

Pour les obsédés textuels, je rappelle que les rectrices étaient les plumes de la queue des oiseaux avant qu’on affuble de ce nom ridicule des hautes fonctionnaires de l’inéducation antinationale.

En toute hypothèse, Ibn Firnas aurait inventé aussi les verres correcteurs, le microscope, le télescope, le périscope, l’endoscope et aussi un ordinateur mécanique simulant les mouvements des étoiles et des planètes. 

L’usage du cristal de quartz poli à des fins optiques était connu des pharaons comme loupe. 

Et la machine d’anticythère, capable de réaliser des calculs astronomiques, miraculeusement préservée par les sédiments au fond de la mer Égée, date de 21 siècles. 

Des artefacts retrouvés. À la différence des inventions islamiques. 

 Aussi crédibles que le tapis volant d’Aladin et les voyages autour du monde de Sinbad.

Je vous épargne les stylos à plumes, à poils et à billes, la poudre à canon, les fusées et autres inventions que des propagandistes de la foi coranique prétendent que nous aurions volées à leurs ancêtres. 

Un bon milliard d’illettrés et d’analphabètes croient à ces sornettes régulièrement débitées lors des prêches du vendredi. 

Renforçant les ressentiments d’injustice et le potentiel de haine qu’ils nourrissent à notre encontre.

 

Or les « savants » arabo-musulmans représentatifs de la brillante civilisation andalouse qui fascine tant Fripounette, n’avaient rien inventé, pas même l’eau tiède.

Dans le meilleur des cas, ils avaient déniché par hasard, colporté et essayé de comprendre les bases de la science des anciens. 

Mais ils s’avérèrent incapables de la faire évoluer.

 Auguste Comte a démontré que l’esprit positif ou cartésien qui sous-tend la pensée scientifique est incompatible avec l’obscurantisme théologique ou métaphysique.

Parmi leurs nombreux emprunts (ou larcins ?), précédant de 1500 ans et plus la mythique Andalousie, on peut citer le jeu d’échecs perse, l’alambic chinois, la vaccination indienne. 

Et bien avant notre ère, l’astronomie, le système décimal avec le zéro et l’algèbre des Sanskrits. 

Mais aussi les algorithmes à variables aléatoires des Indo-Aryens, primo occupants du Penjab, du Pakistan et du Sud-Est de l’Iran actuels.

 

Sur l’océan Pacifique, les navigateurs austronésiens d’il y a 3000 ans utilisaient la géométrie dans l’espace et des algorithmes en calcul mental pour savoir leur position au large. 

Ils reportaient en 3D les îles, les vents et les courants, grâce à des croisillons sur lesquels coulissaient des perles d’huîtres et de corail. 

Avec une précision qui stupéfia et irrita Cook et les officiers de l’Amirauté britannique.

Ces sauvages faisaient des point astro plus fins que les leurs, malgré leurs sextants, compas, éphémérides et tables de logarithmes ! 

Et faute de chronomètres de précision, mes ancêtres jonglaient avec les itérations de l’équation du temps, les 1461 jours au terme desquels les positions solaires et stellaires observées se répliquent.

De leur côté, les Arabes d’Espagne disposaient de bons bateaux, capables de descendre avec les alizés et de remonter au vent au retour.

 Ils auraient pu découvrir les Amériques avant Colomb et les Vikings. 

Si le coran ne leur avait pas dit qu’au bout de la terre plate la mer s’arrêtait brusquement, et qu’ils allaient tomber dans les gouffres de l’enfer.

 

L’ONU est devenue une annexe de la Ligue islamique

Pour la première fois depuis leur retour au pouvoir en Afghanistan en août 2021, des représentants de l’État islamique taliban assisteront à un événement international top niveau. L’Afghanistan est considéré comme un des pays les plus affectés par le prétendu réchauffement climatique.

Des crues soudaines (rapportées par un chroniqueur d’Alexandre le Grand et connues des Han empruntant le corridor de Wâkhân) ont fait cette année des centaines de morts, et le pays a connu une des pires sécheresses du XXIe siècle. C’est la logique du GIEC.

 Plus il fait froid, plus il fait chaud. Et plus il pleut, plus c’est sec. 

Dans ce pays médiéval dépendant grandement de l’agriculture, les caprices de la météo ont entraîné des famines. 

Plus d’opium ni de shit, plus de flouse.

Le porte-parole du ministère afghan des Affaires étrangères, Sidi Mohammed Abdoul Kahar Balkhi, a déclaré que les responsables de leur agence nationale de la protection de l’environnement étaient arrivés en avion en Azerbaïdjan pour assister à la COP29. 

Je croyais que l’aéroplane était haram. 

Puisque leur prophète n’en a jamais parlé. Mais bon, c’est plus confortable que de voyager à dos de chameau.

Comme le gouvernement afghan n’est pas reconnu par tous les États membres de l’ONU, les Nations désunies dansent le cul entre deux chaises. 

Elles n’ont pas encore autorisé les talibans à réoccuper le siège de leur pays lors des Assemblées générales.

 Mais on leur a rendu leurs bureaux et on les a laissés essaimer un peu partout, en particulier dans les organisation dites « spécialisées ».

 Dans la récolte de subventions.

 

Subsistent encore des restrictions à cause du traitement infligé aux femmes qui ne réclament rien, puisqu’elles n’ont pas le droit de parler.

Les organisations islamiques afghanes ont eu du mal à être invitées aux papotages sur le climat, ces dernières années. 

Le bureau onusien sur le soi-disant réchauffement climatique reporte depuis trois ans la demande d’une présence permanente de l’Afghanistan aux sommets mondiaux sur le climat.

Plusieurs pays occidentaux ont prévenu qu’ils ne viendraient pas à la COP29, ou enverraient des délégations de second niveau (sous-fifres en langage diplomatique). 

Et qu’ils ne reconnaîtraient pas les talibans tant que ces arriérés ne changeront pas de politique à l’égard des femmes, et ne rouvriront pas les écoles, lycées et universités aux filles.

Les Afghans disent ne pas comprendre ce qu’on leur reproche. La méchanceté des mécréants est sans limites ! 

Puisque ces pieux musulmans ne font qu’appliquer dans leur pays « la loi de Dieu » et respectent leur « État de droit » conformément à l’interprétation qu’en donnent leurs savants et experts islamiques.

Ceux qui ont connu Kaboul avant 1973, sous le règne de Zahir Shah, se souviennent avec nostalgie d’un monarque libéral qui avait modernisé son pays, avec des élections libres et l’égalité des droits pour les femmes.

Certes les campagnes accusaient 1000 ans de retard, mais dans la capitale où les décideurs parlaient couramment français, on côtoyait de jeunes Afghanes minijupées ou serrées dans des jeans moulants et des corsages suggestifs qui discutaient facilement avec les garçons, et échangeaient entre elles des plaisanteries sur la bêtise des religieux.

C’était il y a un demi-siècle. 

Ça vous donne une idée de ce que sera la France en 2074. 

Ou avant si vous baissez les bras.

Par Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/



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Il y a 1400 ans l'un des pires massacres de l'histoire ancienne s'est produit à Istakhr en Iran.
 Les Perses zoroastriens ont protesté contre les conversions forcées. 
En réponse une armée musulmane a détruit la ville et rassemblé 150.0
00 civils qui furent torturés, violés et tués.
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L' EUROPE ET LA VICTOIRE DE DONALD TRUMP ! BIDEN FAIT DE LA RÉSISTANCE ........

 

 

 

 REVUE DE PRESSE !

L’Europe à l’heure de la victoire de Donald Trump

dans Etats-Unis / Europe / International

  par  

 11 novembre 2024

L'élection de Donald Trump rebat les cartes dans l'Union Européenne
L’élection de Donald Trump rebat les cartes dans l’Union Européenne

Scholz dissout le gouvernement, Mattarella s’envole pour la Chine, Starmer et Macron forment un front commun contre l’adversité qui menace. La victoire de Trump suscite l’agitation en Europe.

Après la victoire de Trump, certains signes indiquent un changement de rythme dans le monde. 

Bien qu’elle ne soit encore qu’une perspective, « l’annonce du nouveau président selon laquelle il veut mettre fin aux guerres porte déjà ses fruits » analyse le site de géopolitique italien Piccole Note :

« En fait, bien que les cercles internationaux engagés dans des guerres sans fin n’aient pas renoncé – une détermination qui rend les mois restants jusqu’à l’investiture de Trump très dangereux – leur emprise sur le monde s’est relâchée, obligeant les forces politiques données, par intérêt ou parce que contraintes, de se repositionner.

 

La stratégie de sortie de Scholz et le repositionnement italien

Le cas le plus frappant, souligne Piccole Note est « celui de l’Allemagne, avec Scholz qui, encore trop faible pour démissionner sa belligérante ministre des Affaires étrangères Annalena Baerbock (la Nuland verte teutonique), a cependant limogé son ministre des Finances Christian Lindner, non seulement pour incapacité manifeste mais aussi parce qu’il lui avait suggéré pour la énième fois d’envoyer des missiles à longue portée Taurus en Ukraine, une livraison à laquelle le chancelier s’est toujours opposé avec acharnement ».

Cette opposition, continue l’article « est peut-être la seule bonne chose qu’il a faite au cours de son mandat, en plus d’avoir pris conscience de sa totale insuffisance en appelant le pays à de nouvelles élections, dans l’espoir que de nouvelles forces émergeront, capables de dialoguer avec la nouvelle administration américaine et d’arrêter la course vers le précipice de sa nation, dirigée vers la désindustrialisation due à la guerre en Ukraine ».

L’Italie également se repositionne avec Mattarella, le président de la République prêt à s’envoler pour la Chine, pour rétablir les relations interrompues lorsque le gouvernement a été contraint par les États-Unis de mettre fin aux accords sur la Nouvelle Route de la Soie. 

On comprend ainsi « que c’est l’Italie qui veut changer de cap, et non les forces en place, qui pourront également entretenir des relations cordiales avec la future Amérique » écrit le journal italien.

 

La Pologne en quête de dividendes

La Pologne est quant à elle enthousiaste de l’élection de Trump, « les autorités polonaises commençant à formuler des critiques plus explicites à l’égard des demandes d’aide de l’Ukraine et à parler plus clairement de la fin de la guerre » explique Piccole Note qui rappelle un élément clé de la politique internationale polonaise, qui est l’affaiblissement de son voisin ukrainien :

« le Premier ministre Donald Tusk, fervent adepte de l’américanisme le plus réactionnaire, a annoncé urbi et orbi le prochain voyage du président Andrzej Duda aux Etats-Unis dans le but de rencontrer Trump pour parler de l’Ukraine.

Des déclarations et des démarches importantes pour la géopolitique mondiale, car la Pologne a été l’un des principaux acteurs de la tragédie qui a accablé le pays voisin.

Avec la fin possible de l’hostilité ukrainienne, Varsovie veut matérialiser les opportunités que le conflit lui a ouvertes, c’est-à-dire placer l’Ukraine occidentale sous une étroite influence, une évolution qui ouvrirait un avenir géopolitique encore plus important pour la Pologne.

Cette perspective serait évidemment favorisée si le Donbass restait sous le contrôle de Moscou, ce qui est désormais une fatalité, car l’Ukraine en ressortirait plus qu’affaiblie et incapable de se suffire à elle-même, tandis que de son sort, finie son utilité actuelle par la guerre par procuration contre la Russie, n’intéresserait plus personne.

De ce point de vue, les intérêts de la Pologne coïncident avec ceux de son ennemi historique, la Russie. En effet, l’hétérogenèse des fins qui s’est produite en Europe de l’Est est étrange ».

 

L’axe Londres – Paris, « un aboiement bavard »

Piccole Note termine avec quelques considérations sur la France et la Grande-Bretagne, guère à l’avantage des deux pays :

« Quant à la pauvre France d’Emmanuel Macron et à la Grande-Bretagne du déficient Keir Starmer, ils sont terrifiés à l’idée que le succès des républicains à l’étranger puisse porter chance à leurs rivaux internes respectifs, les conservateurs -Tory anglais) et la droite de Le Pen.

Les craintes de Londres sont aggravées par la perspective d’un cessez-le-feu en Ukraine, qui mettrait fin au conflit qu’il a alimenté en collaboration avec les néo-cons américains pour détruire ses rivaux d’Europe continentale, tant politiquement qu’économiquement.

« (…) Les deux ont l’intention de relancer les relations bilatérales entre leurs pays sous l’Arc de Triomphe parisien.

À travers ces dioscures improbables, les cercles ci-dessus espèrent répéter les gloires de la première présidence Trump, lorsque l’Europe dirigée par Merkel se coordonnait avec les ennemis internes du président américain pour le contrer.

« Mais l’opposition européenne au magnat politique était plus large et plus unie que celle que les deux dirigeants politiques aspirent à diriger ; et le Vieux Continent était encore une puissance économique et avait encore une certaine importance politique, désormais résiduelle. Si bien que plutôt qu’un rugissement, celui lancé sous l’Arc de Triomphe apparaît plutôt comme un aboiement bavard.

« Quant aux soi-disant Poutinistes d’Europe, Orbán et Fico surtout, leur position est désormais moins hésitante. Peut-être que cela suffira à éviter de nouvelles attaques de la part de leurs féroces antagonistes de l’UE et de l’OTAN, ou peut-être pas.

Mais s’ils survivent à l’adversité, ils pourraient, à terme, s’avérer d’une valeur inestimable pour restaurer les relations rompues avec la Russie, que les nouvelles relations entre Washington et Moscou devraient également rouvrir au Vieux Continent. »

Par Francesca de Villasmundo

 

ET AUSSI

 

Biden et son ultime aide pour l’Ukraine

dans Diplomatie et Défense / Etats-Unis / Europe / International / Russie / Ukraine  
 
 par
  11 novembre 2024
Joe Biden et l'aide à l'Ukraine
Joe Biden et l’aide à l’Ukraine

Avant de définitivement quitter la Maison Blanche, Biden compte bien intensifier ses efforts pour aider l’Ukraine, et ce malgré le prochain mandat présidentiel et une opinion américaine qui y sont hostiles.

 

Trump, en tant que 47e Président des États-Unis, est bien décidé à faire évoluer la politique américaine sur le théâtre de guerre russo-ukrainien.

L’élection présidentielle qui eut lieu le 5 novembre dernier a réouvert les portes de la Maison Blanche à Donald Trump, nous laissant entrevoir un certain nombre de changements à venir dans la politique internationale américaine.

En effet, le Républicain a laissé entendre sa volonté ferme de mettre un terme au conflit russo-ukrainien et a été entendu du président russe Vladimir Poutine qui juge son plan de paix digne d’intérêt.

 Mais d’ici à la prise de pouvoir effective du président américain nouvellement élu, le 20 janvier 2025, l’administration Biden demeure aux manettes et entend bien partir en beauté !

 

La porte-parole de la Maison Blanche a indiqué que les États-Unis souhaitaient « intensifier (leurs) efforts et acheminer cette aide vers l’Ukraine. »

Interrogée à ce sujet jeudi 7 novembre, la porte-parole de la Maison Blanche Karine Jean-Pierre, a souligné que les États-Unis allaient « intensifier (leurs) efforts et acheminer cette aide vers l’Ukraine ».

 Le message est clair : Biden ne partira pas sans avoir confirmé sa politique étrangère en Ukraine et consolidé ses appuis en Europe.

Quoiqu’en disent l’opinion américaine (pour changer !) et le futur président des États-Unis, il entend en effet accélérer la livraison d’aide à l’Ukraine et pousser les Européens à prendre le relais après son départ. 

Par ailleurs, selon le quotidien anglais The Gardian, l’administration Biden chercherait actuellement à débloquer une nouvelle aide de 9 milliards de dollars. 

De quoi s’inquiéter quant à une intensification du conflit en cette fin d’année…

Par Suzi Feufollet

 

Source et Publication :     https://www.medias-presse.info






 

UNE MACRONADE DE TROP ! LA FRANCE VA LE PAYER TRÈS CHER ! ( HILAIRE DE CRÉMIERS )

 TRIBUNES LIBRES !

Une macronade de trop


Par Hilaire de Crémiers.

La France va le payer cher, très cher. 

Cet effondrement auquel nous assistons, de toutes nos institutions est le triste prélude d’une crise politique plus générale, financière entre autres, d’une infinie gravité qui s’annonce à l’horizon. 

Cette mise en garde, nos lecteurs le savent, est répétée dans ces colonnes depuis quelques années déjà, plus instamment depuis quelques mois.

Nous voici bientôt au fait et au prendre. 

Nul n’y échappera, sauf probablement les gros bonnets de la politique et de l’économie. 

Les pauvres gens ramasseront la vague en pleine gueule, comme très concrètement ce fut le cas en Espagne avec le phénomène météorologique dit de la goutte froide en cette fin octobre.

 L’imprévision des responsables politiques est criminelle ; leur bavardage et leur je-m’en-foutisme exaspérants.

 Près de 90 % des Espagnols méprisent et rejettent leur classe politique. 

Seul le roi a montré du courage face à leur colère. À quand les Français ? Ça commence.

 75 %, paraît-il.   Pas assez et pas assez fort !

Ce qui était prévisible arrive. Inéluctablement.

 Et sans aucune excuse, de climat ou autre, si facile, sans aucun phénomène inattendu, par la faute directe de ceux qui ont dirigé le pays au cours des cinquante dernières années. 

Ils ont tout fait, vraiment tout fait, pour démolir ce qui constitue les fondements, les défenses, les protections d’une société historique et par nature familiale – et non tribale – comme la France. 

Et, aujourd’hui, la France en paye le prix. « On aura les conséquences », répétait le prophète d’Israël ; et, après lui, Jacques Bainville, s’agissant des enchaînements de cause à effet en politique.

La famille – et, précisons-le, la famille française traditionnelle, catholique au moins sociologiquement, ce qui était le cas à 95 % il y a encore cinquante ans, fondée ainsi sur un mariage stable, au moins dans son principe essentiel – est donc aujourd’hui à peu près complètement détruite par la volonté expresse de l’État et du législateur « républicains » ; en effet, il faut bien préciser « républicains », même si, malheureusement, les monarchies et les monarques n’échappent pas non plus à la submersion des principes dits « républicains », si contraires, pourtant, à leur statut, mais il est vrai qu’ils ne savent plus se défendre. 

Les rois de France, qui ont mal agi à cet égard ne l’ont pas fait en revendiquant un droit personnel « républicain » ; ils se savaient en faute ou, du moins, en dehors des règles.

La famille, cadre fondamental et premier de tout ordre social

C’est bien la République, oui la République, qui, en tant que telle, dans sa conception première, contractuelle et même constitutive et constitutionnelle, dans sa philosophie profonde à la Rousseau et selon les épigones de cet individualiste totalitaire, jusqu’à aujourd’hui dans le misérable « wokisme », veut délibérément la disparition de la famille constituée sur les normes chrétiennes et les traditions sociales, en particulier de l’Europe civilisée. 

Et même s’il y a eu mille abus et moult incartades dans l’histoire, qui en raison de la perversité des hommes, comme dit Notre Seigneur Jésus-Christ lui-même dans l’Évangile, relativisent les bienfaits de l’institution primordiale, ces principes n’en demeurent pas moins le cadre fondamental et premier de tout ordre social.

Soutenir le contraire, comme le fait à tort et à travers tout « le wokisme » en arme, et d’abord « le wokisme » d’avant le wokisme, « le wokisme » principiel, c’est-à-dire celui de l’État et du législateur républicains, est un véritable crime contre l’humanité.

Enfants sans père jetés en pâture à toutes les sollicitations de la turpitude, femmes abandonnées, livrées par l’État à des conditions pitoyables, à l’avortement destructeur de la vie et de la féminité, condamnées à des vies impossibles, misère morale doublée de misère physique. 

Et ceux qui dirigent s’en moquent éperdument ; car, eux, ça les arrange, de faire ce qu’ils veulent, comme ils veulent, autant qu’ils veulent ; ils en ont les moyens et toutes les conditions de facilité. Quelle responsabilité ! 

Quelle liste de noms – qu’on ne donnera pas – de bons petits bourgeois et petites bourgeoises qui se sont arrangés pour bénéficier en plus des prébendes de l’État !

 Eux savent et ils sont sans excuses.

 Ni devant Dieu, ni devant les hommes.

 

Les narcotrafics dirigés depuis les cellules des maisons d’arrêt

Les démocrates-chrétiens, au nom du ralliement à la République, ont tenté, pour certains d’entre eux, d’entraver pareille dérive, en essayant de sauver le cadre familial. 

Ils ne sont arrivés à rien et, pratiquement, ils ont tout cédé. La partie est perdue. 

La démagogie mortifère – oui, qui porte la mort – a tout emporté, du début à la fin de la vie.

 Effroyable bande de zozos incompétents, de médiocres, qui pensent s’émanciper pour eux-mêmes des règles traditionnelles afin de mieux jouir, sans jamais s’arrêter sur les dégâts que cause leur menterie institutionnalisée qu’ils ont érigée en règle commune. Quels tartuffes ! 

Seuls subsistent en exceptions, heureusement en renforcement dans les jeunes générations, les familles où ont prévalu les principes premiers et capitaux de toute vie sociale.

Le résultat se voit dans la rue, à l’école, partout, dans les villes et maintenant dans les villages. 

Les jeunes s’entretuent tous les jours, de plus en plus jeunes, à coup de couteaux, de haches, de fusils, de mitraillettes…

 Le narcotrafic utilise à dessein toute cette jeunesse que lui livre généreusement la République, cette République qui les soigne et les choie dans les prisons, qui leur laisse tous les moyens de diriger leurs affaires depuis les cellules mêmes de leur maison d’arrêt.

 Et qui n’a d’aucune façon, une vraie politique pénale pour arrêter ces crimes à répétition.

 Les magistrats lucides l’ont dit, à l’encontre de leur garde des Sceaux : la partie est déjà perdue.

 Les rapports parlementaires sénatoriaux se succèdent ; rien n’y fait.

 Faut-il s’étonner ?

Les commissions parlementaires qui étaient censées épingler les innombrables responsabilités des dirigeants politiques et économiques dans les dossiers les plus sensibles des affaires d’État, qui relevaient autant de la trahison que de la prévarication, n’ont jamais abouti à aucune sanction. 

Et pourtant ! EDF, Alstom, le nucléaire, Atos, les agences d’État, McKinsey, etc. 

Il en est de même en tout domaine, sauf sur les sujets à la mode et que les médias pilotent à leur façon : là, la République s’oblige à faire semblant d’être terrible !

 

La corruption envahit toutes les strates de la société

Car la corruption est partout. Certains hauts fonctionnaires le savent parfaitement. Et le disent en catimini et, maintenant, plus ou moins clairement. 

Ce sont les communautés et les corps intermédiaires qui sont aujourd’hui atteints. L’immigration – soit à l’heure actuelle 600 à 800 000 personnes chaque année, sans compter les réguliers –, rend tous les problèmes de rétablissement de l’ordre impossibles. 

On sait comment l’administration a tenté de fourguer les trop-pleins parisiens sur la province. Les maires protestent, celui d’Orléans en particulier. 

Mais c’était l’ordre de Macron, c’est le coup de génie de ses équipes de prétendus conseillers qui, eux, mangent à l’Elysée et dorment à l’abri, en se faisant de l’argent tout en décidant pour les autres.

 Ah ! La République !

Mais il y a pire. La corruption envahit toutes les strates de la société. 

Stupéfiants et islamisme ont tout gangréné. 

Et comme les vrais pouvoirs ont été retirés à ceux qui auraient pu assumer la responsabilité d’une saine réaction et comme la corruption républicaine sous toutes ses formes, y compris électorale – ce fut éclatant lors des dernières législatives – s’étend sur tous les plans du millefeuille administratif et sur les organisations correspondantes, plus rien de sain, sauf exceptions essentiellement rurales, ne subsiste dans l’échelle des autorités

. Les bons fonctionnaires – il y en a encore de bons – en gémissent ; ils sont condamnés à se taire, à tous les niveaux. 

 Le « pas de vagues » devient la loi. Aucune administration n’y échappe.

 Le chantage à la place, le chantage partisan, le chantage aux ennuis sont des instruments privilégiés de commandement. Ainsi va la République !

Ne parlons pas de l’État lui-même. La chose est désormais entendue. 

Ce qui se murmurait se dit de plus en plus ouvertement. Les organes majeurs, exécutif, législatif, judiciaire, révèlent de jour en jour des failles qui ne peuvent qu’effarer les citoyens.

 Les ministères n’ont aucune vision d’ensemble et on se demande pour la plupart à quoi ils servent, ainsi que leurs milliers de fausses agences qui sont autant de doublons et autant de prébendes indues et de gabegies financières. 

Ah, s’il était possible de faire vraiment des économies dans le budget de l’État, plus d’un spécialiste saurait parfaitement où aller couper les subsides : c’est dit, mais rien n’y fait ; la machine folle à subventions, à allocations continue à fonctionner.

 Le bien n’est pas soutenu, le mal perdure à tous les niveaux. 

Pauvres villes ! Rennes, Poitiers, Grenoble, Paris, Bordeaux, Marseille, dirigées par des bandes de fous… 

Tout le monde le pense, rien ne change.

 La République, vous dis-je ! Ils sont la République. Qu’y pouvez-vous ?

 

Macron faisant son malin avec les voyous

Croyez-vous que Barnier puisse y arriver… ? Et d’ailleurs à quoi ? A faire passer les budgets de l’État et de la Sécurité sociale ?

 Deux monstres où personne ne maîtrise plus rien. 

Des fous là aussi, littéralement des fous, tous les jours hurlent pour que l’État augmente les impôts, les taxes et que sais-je encore ? 

Et si on commençait par leur retirer leurs émoluments, surtout quand ils se gardent bien de venir siéger, tant le travail les rebute. 

Malheureuse France qui subit une telle République ! Alors, une fois de plus, le 49-3 après d’inutiles discours et échanges parlementaires ?

 Et Retailleau arrivera-t-il à faire passer sa loi ?    La réponse est déjà là !

Les prédictions de Laurent Obertone se réalisent ; les analyses de Christophe Guilluy se vérifient ; Jérôme Fourquet, dans ses livres de plus en plus précis, y compris le dernier Métamorphoses françaises (Le Seuil), explique, chiffres à l’appui, la triste situation de la France qui a perdu, en quelque sorte, son âme ; Philippe de Villiers, dans Mémoricide (Fayard) montre une fois de plus de manière lumineuse le plan de destruction systématique de la substance et de la mémoire françaises qui depuis la Révolution sert de trame à la politique de ceux qui prétendent la diriger, le « wokisme » en étant la dernière version.

 

Et voilà que l’échéance présidentielle se pointe à l’horizon 2027. 

Tout le petit monde ne fait qu’y penser. 

Combien de candidats, d’Attal à Philippe, de Darmanin à Wauquiez, de Mélenchon à Le Pen, et combien d’autres qui y songent tous les matins et tous les soirs ? 

Tous se prennent pour des petits Bonaparte ou des petits De Gaulle.

 Faire de la France et de la domination de son État l’instrument de son destin personnel ! Devenir prétendument l’homme du peuple. Quel peuple ? Quelle prétention ! Et quelle sottise ! 

Voyez Macron ! Le ridicule Macron, mal pris dans ses emberlificotages, faisant son malin, même à l’étranger, avec les voyous de sa compagnie dont il est à l’évidence le roi.

 Encore deux ans et demi à tirer sur les cinq ans d’une règle institutionnelle qu’il a lui-même pulvérisée comme toutes les autres.

 Et si le destin la réduisait à la plus simple des olympiades : quatre ans ça suffit !

 Trois même ! Cinq ans, c’est une macronade de trop !   ■ 

 Par HILAIRE DE CRÉMIERS

Article précédemment paru dans Politique magazine.