Derrière l’abattage des troupeaux, Bill Gates et sa viande artificielle ?

Les agriculteurs de nombreux pays européens font le siège de Bruxelles, bien décidés à faire entendre leur légitime colère.
Car ils ont compris que von der Leyen et sa clique de commissaires hors-sol, qui multiplient les accords de libre-échange, dont le prochain Mercosur, et les normes écologiques sont en train de leur pourrir la terre sur laquelle ils triment souvent à fonds perdu pour nourrir les populations.
Car avec la dermatose nodulaire contagieuse qui s’est invitée en France depuis juin 2025, à laquelle Macron n’a répondu que par l’abattage des troupeaux alors que la meilleure prévention eût été dès l’origine la vaccination généralisée des cheptels pour éradiquer la maladie, les éleveurs ont constaté que leur propositions alternatives contre l’abattage systématique étaient rejetées…
https://ripostelaique.com/pourquoi-macron-a-t-il-impose-labattage-du-cheptel-plutot-que-la-vaccination-contre-la-dnc.html
Car en fait, von der Leyen, soumise à l’escrologie punitive et probablement corrompue par les lobbyistes de l’oligarchie agro-financière, comme elle l’a été par Big Pharma pour la vaccination forcée anti-Covid, a décidé de sacrifier le cheptel bovin européen de l’ordre de 30 % d’ici 2030 sur l’autel des gaz à effet de serre…
Et derrière tout cela, peut-on imaginer que Bill Gates soit à la manœuvre pour imposer sa viande artificielle ?
Car Bill Gates veut que nous mangions de la viande artificielle !
Car selon l’Agence américaine de protection de l’environnement, l’industrie agricole serait responsable de 24 % des émissions de gaz à effet de serre dans le monde, dont la majeure partie proviendrait des émissions de méthane du bétail et des engrais utilisés pour les cultures.
C’est pourquoi Bill Gates « pense que tous les pays riches devraient passer au bœuf synthétique à 100 %…
On peut s’habituer à la différence de goût, et l’on prétend qu’il sera encore meilleur avec le temps » !
C’est ainsi que Bill Gates a décidé d’investir en 2017 dans la start-up Memphis Meats, qui cultive et fabrique de la viande à partir de cellules animales.
Un marché qui intéresse aussi les mastodontes de l’agroalimentaire, dont Cargill.
https://www.lefigaro.fr/societes/2017/08/29/20005-20170829ARTFIG00141-bill-gates-et-richard-branson-misent-sur-la-viande-artificielle.php
Cette start-up change de nom en 2021 pour devenir UPSIDE Foods, inaugure EPIC, son usine de production de viande cultivée la plus avancée au monde, et signe un partenariat avec la cheffe triplement étoilée au Guide Michelin, Dominique Crenn, star de la gastronomie à San Francisco !
https://www.gala.fr/stars_et_gotha/dominique_crenn
Le dernier tour de table est mené par Temasek, fonds souverain de Singapour, et l’Abu Dhabi Growth Fund, avec le soutien notamment du suisse Givaudan, qui rejoignent les investisseurs historiques dont Bill Gates, Cargill, Kimbal Musk, frère d’Elon, et autres dont Norwest Venture Partners, SoftBank Vision Fund 2, et Tyson Foods, premier exportateur de bœuf américain.
https://upsidefoods.com/company

Les ventes de viande artificielle sont annoncées en forte expansion par les experts du secteur qui estiment que la technologie de l’agriculture cellulaire utilisée pour la produire représente l’avenir, car moins susceptible de contenir des bactéries, moins nocive pour l’environnement et moins cruelle envers les animaux.
https://www.zionmarketresearch.com/fr/report/artificial-meat-market
Mais le problème est que ces produits, encore relativement nouveaux, sont actuellement plus chers que les vraies viandes…
Donc, organiser des pénuries de viande de qualité en abattant les troupeaux et inonder le marché de viandes pourries d’antibiotiques et d’hormones en important via le Mercosur pourrait renchérir finalement le prix de la viande et favoriser le développement de la viande artificielle.
On imagine bien la perversité du système dont Bill Gates serait l’instigateur, comme il vous en intime l’ordre.
Vous devez manger de la viande artificielle, c’est bon pour vous et pour la planète…
https://www.youtube.com/watch?v=RWT9GMd0bQc
Vous aurez compris que c’est surtout bon pour ses profits au mépris des populations et du monde agricole.
Mais n’allez pas imaginer que Bill Gates puisse le moment venu farcir sa viande d’ingrédients à base d’ARN messager ou d’oxyde de graphène comme au temps du vaccin anti-Covid.
C’est pourquoi le gouvernement « ne tolérera plus de nouveaux blocages » comme vient de l’affirmer la porte-parole du gouvernement et enverra à nouveau les blindés contre le monde agricole désespéré.
Macron prouve une fois de plus qu’il n’est là que pour mettre la France par terre, pour les seuls profits de ses maîtres oligarques.
Par Alain Lussay https://ripostelaique.com/derriere-labattage-des-troupeaux-bill-gates-et-sa-viande-artificielle.html
ET AUSSI
Des jeunes debout pour ceux qui nourrissent la France
À rebours des habitudes militantes contemporaines, une mobilisation inattendue a vu le jour à Versailles.
Ni slogans importés, ni revendications à la mode, ni violence : seulement des jeunes rassemblés pour soutenir ceux qui nourrissent la France.
Un événement discret, mais profondément révélateur.
Une mobilisation hors des codes
Ils étaient plusieurs centaines, place Saint-Louis, sans banderoles tapageuses ni mots d’ordre calibrés.
Le message tenait en une phrase simple, presque dérangeante par sa sobriété : « Pas de pays sans paysans ».
À une époque où la jeunesse est souvent sommée de s’indigner sur commande, cette mobilisation tranche par sa simplicité et son ancrage.
Ici, pas d’association subventionnée ni de collectif labellisé.
Juste des jeunes citadins, étudiants ou jeunes actifs, décidés à ne plus détourner le regard face à la détresse agricole.
Une initiative née presque par hasard, devenue en quelques jours un rassemblement structuré, porté par le bouche-à-oreille et les réseaux sociaux.
Le choix du réel
Ce qui frappe, c’est le choix assumé du concret.
Alors que les grandes villes bruissent de combats idéologiques souvent déconnectés du quotidien, ces jeunes ont choisi de défendre une cause vitale : l’agriculture française.
Pas par nostalgie, mais par lucidité.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes.
En France, un agriculteur se suicide tous les deux jours.
Près d’un tiers d’entre eux déclarent avoir eu des pensées suicidaires.
Une réalité connue, documentée, mais rarement placée au centre des indignations médiatiques.
À Versailles, ces jeunes ont décidé de remettre cette tragédie silencieuse au cœur du débat.
Une rupture générationnelle
Auguste, Édouard, Lucille et les autres ne se reconnaissent pas dans le militantisme dominant.
Ils refusent les causes importées, les indignations sélectives et les slogans mondialisés.
Leur engagement ne vise pas à flatter une image ou à cocher des cases idéologiques, mais à rappeler une évidence : sans agriculteurs, il n’y a ni souveraineté alimentaire ni pays viable.
Ce positionnement crée un contraste saisissant.
Là où certains brandissent des drapeaux étrangers ou des revendications abstraites, eux parlent de travail, de solitude, de transmission, de dignité.
Une parole rarement portée par la jeunesse urbaine, et pourtant essentielle.
Réconcilier la ville et la campagne
Au-delà du rassemblement, c’est un fossé que ces jeunes tentent de combler : celui qui sépare la France des villes de la France des champs.
Beaucoup racontent leur découverte tardive du monde agricole, souvent à l’occasion d’études ou de stages.
Une immersion qui bouleverse les certitudes et révèle l’ampleur du décalage entre discours politiques et réalité du terrain.
Soutenir les agriculteurs, expliquent-ils, ce n’est pas défendre un folklore ou un passé idéalisé.
C’est défendre un présent fragile et un avenir menacé.
Une jeunesse qu’on n’entend pas
Cette mobilisation pose une question dérangeante : pourquoi cette jeunesse-là est-elle si peu visible ?
Pourquoi ceux qui parlent de souveraineté, de travail et de transmission occupent-ils si rarement l’espace médiatique ?
À Versailles, ces jeunes n’ont pas manifesté pour être vus.
Ils l’ont fait pour être utiles.
Et dans un paysage saturé de postures et de symboles, cette discrétion-là ressemble presque à une provocation.
Peut-être est-ce justement cela, aujourd’hui, la véritable contestation.
jmlb
Un soutien de poids !

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