mardi 9 décembre 2025

C' EST EN BRETAGNE : L' HYPOCRISIE MÉDIATIQUE SUR L' ORIGINE DES CRIMINELS PRÉSUMÉS......

 

Rennes – Villejean : fusillade, enlèvement, armes, arrestations… et hypocrisie médiatique sur l’origine des criminels présumés

Rennes, quartier de Villejean. 

Tirs d’armes à feu, enlèvement, voiture volée et armes saisies : les scènes de guerre urbaine se multiplient dans ce quartier gangréné par les trafics. 

Trois hommes ont été interpellés lundi 8 décembre 2025. Ouest-France évoque pudiquement des « Parisiens »

Le lecteur attentif saura traduire.

 Nos sources nous confirment que les personnes interpellées le 8 décembre ont des origines un peu plus « au sud » que la région parisienne, et même que la région marseillaise, carrément de l’autre côté de la mer.

Les habitants du quartier de Villejean, à Rennes, ont une fois de plus vécu un week-end sous tension.

 Vendredi 5 et samedi 6 décembre, deux épisodes de coups de feu ont été signalés dans le secteur de la rue du Nivernais, à proximité directe d’un point de vente de drogue bien connu des services de police. 

Samedi soir, pendant près de cinq minutes, des individus ont ouvert le feu à l’arme longue.

 Aucun blessé n’a été recensé, mais une balle aurait traversé la vitre d’un appartement.

 

Trois interpellés armés, dont deux « Parisiens »

Ce lundi 8 décembre, les forces de l’ordre ont procédé à de nouvelles interpellations. 

Trois hommes ont été arrêtés alors qu’ils circulaient à bord d’un véhicule volé, identifié comme étant lié aux fusillades du week-end.

 Lors de leur interpellation, une arme de poing a été retrouvée sur l’un des suspects.

Deux de ces trois individus sont décrits par la presse régionale comme étant « originaires de la région parisienne ».

 Une manière commode d’éviter de nommer la réalité sociologique qui se cache derrière les faits. 

Il ne s’agit pas de touristes du Marais venus déambuler sur la dalle Kennedy, mais bien de membres présumés de réseaux criminels issus de l’immigration extra-européenne, venus exporter leur violence à Rennes.

 Une manière également d’évacuer la question explosive de l’importation d’une criminalité endémique aux zones de non-droit franciliennes.

L’un des suspects pourrait par ailleurs être lié à un fait d’une rare violence survenu quelques jours plus tôt.

 Le 27 novembre, un homme de 28 ans avait été enlevé dans le même quartier, les yeux bandés, conduit jusqu’à Guignen, dans la campagne sud de Rennes, puis roué de coups avant d’être blessé par balle à la jambe.

 Une scène digne d’un cartel sud-américain, dans la Bretagne d’aujourd’hui.

Déjà, en avril dernier, des coups de feu avaient été tirés sur un restaurant Subway dans ce même quartier, lors d’une tentative de prise de contrôle d’un point de deal par une équipe venue… de la région parisienne. 

Là encore, les précautions de langage médiatique et judiciaire avaient évité d’évoquer frontalement les origines ethno-culturelles des protagonistes.

La répétition des scènes de violence à Villejean interroge. 

Guerres de territoire, règlements de comptes, usage d’armes de guerre… 

Les forces de l’ordre font face à une criminalité organisée, violente, déterminée, qui dépasse désormais largement les capacités des moyens locaux.

Le traitement médiatique de ces affaires violentes est révélateur d’un malaise plus large : celui d’une société qui préfère regarder ailleurs plutôt que de nommer le réel. 

En attendant, les balles sifflent à Villejean. 

Et les Rennais, eux, n’ont pas le luxe du déni.

Crédit photo : DR
 
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La Bretagne, nouvelle colonie de la criminalité importée ? Basta ! [Tribune libre]

Il faut avoir le courage de dire ce que tout le monde voit mais que personne n’ose énoncer publiquement — parce que la vérité, aujourd’hui, est parfois devenue un délit.

 De Nantes à Brest, de Rennes à Saint-Brieuc, les tirs résonnent, les fusillades se répètent, le deal prospère comme jamais, et les médias nous parlent encore de « jeunes », de « Parisiens », de « tensions entre quartiers ».

 La liturgie anesthésiante du déni.


Mais nous n’avons plus le temps.

 La Bretagne étouffe.

 La Bretagne saigne.

 La jeunesse bretonne va mourir.

Les balles sifflent désormais dans nos rues, et l’on nous intime encore de sourire, d’applaudir, de célébrer le « vivre-ensemble ». 

Vivre-ensemble ? Non.

 Survivre sous contrôle narco-ethnique, voilà le programme qu’on nous impose.

Car il faut cesser de tourner autour du pot : les réseaux qui inondent nos villes ne viennent pas de la lande ni des monts d’Arrée.

 Ils ne sont pas celtes.

 Ils ne sont pas bretons. 

 Ils sont le produit direct de la politique migratoire massive, incontrôlée, délirante menée depuis vingt ans avec la bénédiction des élus régionaux, de l’État, des technocrates du ministère, et des éditorialistes qui vivent en centre-ville sécurisé.

Afriques francophones, Maghreb, Europe sud-balkanique qui arrivent en Bretagne via les métropoles françaises, via les politiques de la ville… on sait. 

Tout le monde sait.

 Mais personne, dans les grands journaux subventionnés, n’a les tripes de le dire (à moins que ce ne soit volontaire ?).

On parle de « jeunes d’origine parisienne ».

 Ou de « jeunes locaux » pour rappeler aux lecteurs que, parce que vivants en Bretagne, ils seraient des Bretons comme « vous et moi ».

Traduction pour ceux qui ne sont pas idiots : bandes afro-maghrébines et réseaux importés des banlieues françaises. 

Toutes les sources le démontrent. Il n y a pas de gangs de Suèdois, ni de gangs d’Argentins, en Bretagne.

 Pas non plus de vrais gangs dirigés par des autochtones même si certains d’entre eux servent de petites mains dans des réseaux qui essaiment aussi en ruralité.

 On qualifie de « conflits de territoire » des règlements de compte à l’arme de guerre.

On nomme « incivilité » un kidnapping en rase campagne. 

On maquille le réel comme un cadavre qu’on pompe pour lui donner bonne mine.

 

Ce n’est pas un fait divers. 

C’est une conquête territoriale.

À Rennes, Villejean devient un far-west métissé où l’on tire pour un point de coke. 

À Nantes, on voit tomber des corps dans la Loire.

 À Brest, des quartiers entiers vivent sous économie parallèle.

 À Vannes, Lorient, Quimper, les réseaux avancent, infiltrent, recrutent.


Les caïds dictent leur loi et les élus posent des fresques « contre la discrimination ».

Les politiques regardent ailleurs, pleurent sur « les quartiers oubliés », financent des associations-passerelles qui servent de couverture et libèrent des subventions pour acheter la paix sociale — une paix achetée comme on paye un racket.

Ils ne protègent pas les Bretons. Ils négocient avec ceux qui les menacent.

Et ils veulent que nous trouvions ça normal.

Soit nous continuons à nous coucher, en acceptant la transformation accélérée de la Bretagne en zone métastable, mosaïque ethnique sous contrôle de trafiquants.

 Soit le peuple breton — ce qu’il en reste encore de debout, d’insoumis, de lucide — ouvrira enfin les yeux et dira : STOP.

Déjà, la lassitude monte. 

Déjà, le murmure devient grondement. 

Les Bretons, peuple long à s’échauffer mais impossible à soumettre, savent ce qu’est la reconquête. 

Nos ancêtres ont repris leur terre à la pointe de l’épée ; aujourd’hui, on nous demande d’abandonner nos rues, nos villes, notre identité pour ne pas heurter quelques élus trouillards, et la presse subventionnée.

Eh bien non. 

Pas ici. Pas chez nous.

Nous ne voulons plus mourir dans le silence. 

Nous ne voulons plus être spectateurs. 

Nous ne voulons plus être complices par résignation.

Dehors les trafics, et les narco trafiquants, dehors ceux qui les organisent, dehors ceux qui les couvrent. 

Au tribunal tous ceux qui ont permis la destruction d’une société qui vivait parfaitement ensemble sans ces individus. 

 Les Bretons méritent autre chose que la soumission polie et la peur nocturne. 

Nos villes ne doivent pas devenir les laboratoires d’un modèle multiculturel déjà effondré ailleurs.

Guide Bretagne

La Bretagne n’est pas à vendre. 

Et encore moins à piller Basta. Stop. Harz !

Par Julien Dir

Les Corses ont su, et savent, se lever contre les dealers.

 
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[cc] Breizh-info.com, 2022-5, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

 

 ET AUSSI


Un réseau de trafiquants de drogue démantelé entre Landivisiau et le pays de Morlaix

Cinq interpellations, des saisies de stupéfiants et une détention provisoire : une vaste opération de gendarmerie a permis de mettre un coup d’arrêt à un trafic actif dans le nord du Finistère.

La lutte contre les stupéfiants se poursuit dans le nord du Finistère. 

 Début décembre, une opération d’envergure a permis aux forces de l’ordre de démanteler un réseau de trafiquants opérant dans le secteur du Haut-Léon, avec des ramifications jusqu’à Brest.

 À l’origine de cette affaire : un jeune homme de 19 ans, originaire de la cité du Ponant, soupçonné d’avoir coordonné l’approvisionnement de plusieurs communes du secteur, notamment Landivisiau, Morlaix, Carantec ou encore Saint-Pol-de-Léon.

 

Une enquête de longue haleine

Les investigations ont démarré en juillet dernier, après des signalements faisant état d’un trafic structuré dans la région. 

Grâce au travail des gendarmes de la communauté de brigades de Saint-Pol-de-Léon, appuyés par le Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (Psig) de Plourin-lès-Morlaix et le Groupe d’investigations cynophile de Châteaulin, les enquêteurs ont pu identifier plusieurs acteurs impliqués dans la revente de cocaïne et de cannabis.

 

Le 1er décembre, cinq personnes ont été interpellées simultanément lors d’une série de perquisitions menées dans plusieurs communes : Brest, Morlaix, Carantec, Lannion, Saint-Pol-de-Léon ou encore Landivisiau.

 Parmi les personnes arrêtées : le jeune brestois soupçonné d’être le chef du réseau, un homme d’une cinquantaine d’années et une femme de 40 ans, tous deux domiciliés dans le Haut-Léon, ainsi que deux autres individus.

Au terme de leur garde à vue – qui a duré 96 heures pour les principaux mis en cause – trois des cinq interpellés ont été déférés au parquet de Brest en vue d’une comparution immédiate.

 Faute de place à l’audience, leur procès a été renvoyé au 20 janvier 2026. 

D’ici là, le jeune homme de 19 ans a été incarcéré, tandis que ses deux complices placés sous contrôle judiciaire devront répondre de leurs actes devant la justice.

Les deux autres interpellés, quant à eux, ont été remis en liberté après 48 heures de garde à vue. Ils sont convoqués prochainement dans le cadre d’une procédure simplifiée (COPJ – convocation par officier de police judiciaire).

Le bilan des saisies : 104 grammes de cocaïne, 191 grammes de résine de cannabis, deux véhicules, 700 euros en liquide – dont une partie en faux billets – ont été récupérés par les gendarmes. 

L’usage de chiens renifleurs s’est avéré décisif pour détecter les cachettes lors des perquisitions.

Par ailleurs, neuf consommateurs identifiés durant l’enquête ont été entendus.

 Trois d’entre eux ont été sanctionnés par composition pénale et six ont écopé d’une ordonnance pénale.

Cette opération démontre à nouveau la persistance du trafic de drogue jusque dans les zones périurbaines et rurales de Bretagne. 

Elle met également en lumière l’engagement des forces de l’ordre à démanteler les réseaux, quels que soient leur taille ou leur degré d’organisation.

 Reste désormais à la Justice à suivre…ou aux autorités à donner d’autres moyens plus radicaux pour lutter contre les dealers.

 

Guide Bretagne
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