La France peut-elle survivre aux hordes barbares qui la défigurent ?
L’histoire se répète. Mêmes causes, mêmes effets.
Du XIIe au XVe siècle, des bandes étrangères conquérantes firent régner la terreur dans une France ouverte à tous les vents mauvais.
On appelait ces bandits mi-reîtres mi-malandrins, « les grandes compagnies ».
Allemands, Andalous, Anglais, Aragonais, Basques, Bataves, Catalans, Gascons, Navarrais, les rois et les évêques les avaient appelés pour être à leur service.
Mélange de mercenaires et de police politique, vénaux et cruels, ils étouffaient dans l’œuf les jacqueries et toutes les tentations d’hérésie.
Pour se payer, ils pouvaient se servir sur des populations craintives.
Qui les en aurait empêchés ?
Paysans, mais aussi colporteurs, commerçants, artisans et bourgeois des petites villes mal défendues, le sort des gueux était d’être dépouillés, maltraités, violés, assassinés.
Sans pouvoir se plaindre ni se battre puisque le port des armes était réservé aux aristos et à leurs argousins.
Une donnée immuable dans l’histoire de France.
Cette chienlit a ravagé le pays jusqu’à ce que le connétable Bertrand du Guesclin, après les avoir étrillés en France, les emmène faire un tour en Ibérie pour s’en débarrasser.
Mourir en repoussant les Maures, la justice immanente y trouvait son compte.
Un juge patriote défenseur de la loi et l’ordre, c’est presque aussi rare qu’un tigre végétarien, mais ça existe.
« Sous l’égide du trio Cour européenne des droits de l’homme, Conseil constitutionnel et Conseil d’État, tout est fait pour désarmer l’État.
À tel point que l’État de droit est devenu le principal obstacle au rétablissement de la sécurité publique.
Le constat est sans appel : la France, en perdant sa souveraineté juridique et le contrôle de ses frontières, ne maîtrise plus sa sécurité intérieure. »
Le propos a été tenu par Bruno Thouzellier dans le JDD du 14 décembre.
L’homme est magistrat honoraire et ancien président de l’Union syndicale des magistrats (USM).
Ses anciens confrères vont-ils le jeter en prison pour avoir évoqué une réalité dont il est interdit de parler ?
On peut craindre le pire des jeunes magistrats frais émoulus de l’ENM où, dit-on, certains (dé)formateurs ont fait de la harangue de Baudot l’alpha et l’oméga de la philosophie du droit et de la pratique judiciaire.
L’histoire se répète. En 1358 le roi a fait massacrer les croquants qui ne supportaient plus que les nobles qui avaient fui lâchement devant les envahisseurs (Anglais) leur extorquent de nouvelles taxes.
En 2025 pendant que les sbires de la mafia au pouvoir sont déployés pour écraser les paysans, pas un jour sans que des « Pinot simple flic » dans leur commissariat ou en patrouille, des pompiers, des agents municipaux ou des facteurs attirés dans des guets-apens, des soignants appelés en intervention ne soient attaqués par des bandes armées de parpaings lancés des toits, de cocktails Molotov ou de mortiers d’artifice.
Pas un jour sans que des quidams qui ne font que passer ne soient agressés à l’arme blanche, parfois pour les dépouiller, mais plus souvent par simple volonté d’humilier, de blesser ou de zigouiller ceux que des allogènes de la cinquième colonne tiennent pour des ennemis de leur foi.
Protégés par des politiciens véreux et assurés d’une quasi-impunité entre le découragement de la police et l’indifférence des tribunaux.
Ceux qu’on appelle pudiquement des « jeunes des quartiers sensibles » sont entrés en rébellion ouverte contre l’État laïc français et contre tout ce qui symbolise son autorité.
La guerre intestine a déjà commencé à bas bruit. Bien qu’il s’en défende, l’État a perdu le contrôle de nombreuses zones périphériques.
Une situation qui n’a rien à voir avec les exactions de la pègre traditionnelle, mais s’inscrit dans une logique de guérilla ethno-religieuse financée par le trafic de drogue.
Les propos tenus par des voyous séditieux auxquels les médias d’État tendent complaisamment le micro confirment qu’il s’agit bien d’une guérilla anti-française destinée à remplacer l’autorité républicaine et laïque par un ordre théocratique, qui puise ses racines dans une religion qu’il est interdit d’incriminer.
Les Français ne peuvent que subir passivement cette violence permanente puisqu’ils ont été désarmés et que les juges punissent sévèrement ceux qui osent se rebiffer.
Bien entendu, les « zélites » responsables de cette déliquescence, tant par leurs actions que par leur inaction, noient le poisson dans des propos lénifiants.
Chevènement le fêlé du bocal édulcorait les actes de la voyoucratie en appelant « incivilités » les délits et les crimes et « sauvageons » les voleurs, les violeurs et les assassins.
Pensée magique d’énarque : changer les mots pour masquer les maux.
Ses successeurs d’ultra-gauche sont allés plus loin dans la culture de l’excuse et l’enfumage médiatique.
Les délinquants et les criminels sont des innocents qui « ne connaissent pas les codes » quand ils ne sont pas purement et simplement des malades mentaux qu’on ne peut condamner, ou des « victimes d’une société injuste et raciste.» Donc excusés d’avance.
Ces dérives sémantiques permettent de cacher la réalité derrière un rideau de fumée en faisant porter à une entité aussi indéfinissable que protéiforme la responsabilité du déchaînement de violence de ceux qu’il est interdit de nommer sous peine de poursuites pour « incitation à la haine ».
La vermine politico-médiatique UMPS au pouvoir depuis des décennies n’a cessé de pratiquer la confusion des genres entre la lâcheté d’une droite somnambule et l’activisme d’une extrême gauche pyromane.
Alors que garantir la sûreté des citoyens devrait être une tâche régalienne, les questions de sécurité et d’immigration ont été traitées par le déni au plus haut niveau de l’État.
Ces crapules interdisant sous peine de lourdes sanctions de lier les deux phénomènes, prétendant que l’ordre public serait un thème réservé à l’extrême drouâte.
Ensauvagement : la France glisse inéluctablement vers l’abîme
« Dans tout État qui se décompose, il se forme des bandes conquérantes et souveraines », écrivait en 1875 l’historien Hippolyte Taine.
Les signes de la déliquescence et de la désagrégation dans lesquelles la France sombre s’additionnent et se multiplient sans qu’aucune réaction vigoureuse ne soit déployée pour éradiquer ce fléau.
Des massacres de Charlie à ceux du Bataclan et de Nice, des enseignants décapités en pleine rue aux prêtres et fidèles égorgés dans leurs églises ou aux Juifs assassinés parce qu’ils sont juifs, l’État a pris son parti de toute cette barbarie.
Volontairement impuissant parce qu’il refuse d’expulser manu militari les délinquants étrangers sous OQTF, tolère les mafias de narcotrafiquants qui s’implantent jusques dans les mairies, accepte des faux mineurs étrangers non expulsables et octroie l’impunité aux émeutiers d’ultragauche dans des manifs qui tournent au vandalisme et au carnage.
Tous ces gens sont surprotégés par des lois scélérates, c’est vrai.
Mais sont encore plus scélérats les pantins de la fausse droite quand ils refusent de les changer ou de les abroger lorsqu’ils sont au pouvoir.
L’ immature repentance présidentielle des « crimes coloniaux » a offert aux voyous qui haïssent la France une doctrine vengeresse légitimant leurs exactions.
Évoquer une « France coloniale » qualifiée de génocidaire alors qu’elle a fait faire un bond civilisationnel de mille ans aux outre-mer, encourage la sécession de communautés hostiles, vivant selon leurs coutumes dans les enclaves fermées de leurs microcosmes.
Le tréfonds de la désinformation d’ultra-gauche a été creusé par un certain Tristan Waleckx dans « Complément d’enquête », sur la télé gouvernementale.
Il a martelé une bonne dizaine de fois pour que ça entre bien dans la petite tête des téléphages que la corrélation entre insécurité et immigration était une lubie des fachos.
Pourtant le ministère de la Justice a publié des statistiques sur la surreprésentation pénale des étrangers.
Sans compter les Français de papiers en prison.
Mais nier tout en bloc pour entretenir le doute est une technique basique des trotskistes devenus islamo-gauchistes.
Et pendant qu’ils désinforment, la police est désarmée contre les guérillas urbaines.
Car lorsque ça finit mal, la justice donne presque toujours raison aux voyous contre les flics.
Par Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/

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