dimanche 14 décembre 2025

LA GAUCHE ET L' IMMIGRATION /INVASION ! PENDANT CE TEMPS L' HÉMICYCLE S' OMNOLE !

 REVUE DE PRESSE !

Immigration : pendant que l’Hémicycle somnole, la gauche fait sauter les derniers verrous

DR

Ce jeudi, à l’Assemblée nationale, l’immigration a une nouvelle fois servi de terrain d’expérimentation idéologique. Dans un Hémicycle largement déserté, notamment sur les bancs de la droite et du centre, deux propositions de loi portées par le Parti socialiste ont été adoptées. Peu de bruit, peu de caméras, peu d’opposition visible. Pourtant, les conséquences sont loin d’être anecdotiques. Il s’agit ni plus ni moins d’un nouveau pas vers l’effacement progressif de tout contrôle réel de l’immigration en France.

Cette mesure alourdit considérablement les procédures, tout en rendant quasi impossible toute vérification rapide. Elle repose sur un principe simple : le doute doit systématiquement profiter au demandeur, même lorsque les indices objectifs suggèrent l’inverse. Une logique qui transforme l’État en spectateur impuissant.


La solution proposée n’est donc pas de maîtriser les flux, mais de supprimer les contrôles. L’étranger n’aura plus à démontrer qu’il remplit toujours les conditions ayant justifié l’octroi initial de son titre de séjour. Ce sera désormais à l’État de prouver le contraire. Une inversion complète de la charge de la preuve, en contradiction directe avec l’esprit même du Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile.

Certains députés l’ont rappelé sans détour : le cœur du sujet n’est pas administratif mais démographique. Le nombre de demandes explose parce que l’immigration explose. Refuser de l’admettre, c’est condamner toute politique publique à l’inefficacité.

À terme, cette logique conduit à un effacement progressif de la notion même de citoyenneté. Si le séjour devient automatique, si le contrôle devient exceptionnel, alors la frontière cesse d’être une frontière.

Le message est clair. L’automaticité du séjour prépare l’automaticité des droits politiques. Non pas au nom d’une intégration réussie, mais pour des calculs électoraux à peine dissimulés.

À force de simplifier, la France renonce. À force d’automatiser, elle abdique. Et pendant que l’Hémicycle se vide, les décisions, elles, restent.

 

Islamisme, puissances, frontières : ce que révèle vraiment le rapport danois

DR

Le dernier rapport du renseignement danois n’a rien d’un document anodin. 

En quelques dizaines de pages, il pulvérise les discours rassurants, démonte les postures idéologiques et met en lumière une réalité que les élites européennes s’obstinent à contourner depuis des années : le continent est exposé, fragmenté et dangereusement naïf.

Nommer les menaces, enfin

Première rupture : le rapport ose nommer les dangers. Sans circonvolutions, sans langage euphémisé. L’islamisme y est désigné comme une menace centrale, persistante, structurelle. 

Non pas un phénomène résiduel, ni une dérive marginale, mais un risque durable, alimenté par les conflits du Moyen-Orient, l’idéologie jihadiste et la circulation des individus.


Le lien établi entre terrorisme islamiste et immigration irrégulière n’est pas nouveau. 

Ce qui l’est, en revanche, c’est qu’un service de renseignement européen l’assume publiquement. 

À rebours du discours dominant, le rapport souligne l’existence de réseaux, de complicités, d’endoctrinement et de zones grises où l’aveuglement politique a laissé prospérer le danger.

Une Europe encerclée

Le Danemark décrit une Europe prise en étau. 

À l’Est, une Russie engagée dans une logique de confrontation durable avec l’Occident, fondée sur la militarisation et la préparation de long terme.

À l’autre bout du spectre, la Chine apparaît comme une puissance patiente, méthodique, obsédée par l’influence, l’espionnage et la captation technologique. 

Rien de spectaculaire, tout est feutré, mais l’objectif est clair : affaiblir les démocraties occidentales de l’intérieur.

Le choc américain

Là où le rapport provoque un véritable électrochoc, c’est lorsqu’il évoque les États-Unis.

 Pour la première fois, Washington est évoqué comme une menace potentielle. 

Non pas militaire au sens classique, mais stratégique. Intérêts divergents, pressions économiques, imprévisibilité diplomatique : l’allié historique n’est plus perçu comme un garant automatique de la sécurité européenne.

Cette analyse ne relève pas de l’anti-américanisme. 

Elle traduit un constat froid : l’Europe ne peut plus se reposer sur une protection extérieure tout en refusant de se penser comme puissance. 

Or, depuis des décennies, l’Union européenne confond commerce, morale et stratégie.

L’échec du déni idéologique

Ce rapport met en accusation un logiciel politique. 

Celui d’une Europe persuadée que les frontières sont obsolètes, que les menaces se dissolvent dans le droit, que la sécurité est un sujet secondaire face aux injonctions sociétales.

 Le Danemark, qui a déjà rompu avec l’angélisme migratoire, en tire aujourd’hui les conséquences sécuritaires.

Pendant que certains pays nomment, anticipent et protègent, d’autres persistent à moraliser, relativiser et expliquer. 

Le résultat est visible : vulnérabilité accrue, dépendance stratégique, incapacité à faire face aux crises.

Une leçon pour la France

La France ferait bien de lire ce rapport sans œillères. Elle qui subit depuis des années les coups de l’islamisme, les tensions migratoires, l’effacement stratégique, continue pourtant à nier les liens, à fragmenter les responsabilités et à s’en remettre à des slogans.

Le renseignement danois ne propose pas de solution miracle. 

Il pose un diagnostic. 

Lucide, sévère, sans complaisance. 

Tout ce que l’Europe refuse encore de faire collectivement.

À force de refuser de voir le réel, celui-ci finit toujours par s’imposer. 

Brutalement

Source : https://lalettrepatriote.com/islamisme-puissances-frontieres-


ET AUSSI

L’immigration, la science et les gardiens du temple médiatique

Retour sur le fameux Complément d'enquête, 

"Des infos ou désinfo ? 

La méthode CNews"


L’immigration, la science et les gardiens du temple médiatique
Le député RN Philippe Ballard (à gauche) a répondu aux questions de Tristan Waleckx sur France 2, qui prétend que la chaîne CNews fait de la "désinformation". Capture France TV.

Dans le « Complément d’enquête » qui a fait couler tant d’encre, France TV a prétendu dénoncer la « méthode CNews » en s’appuyant sur la science. Enfin, sur ce qu’elle appelle, elle, la science…

 Selon la télévision publique, l’absence de lien entre délinquance et immigration ferait l’unanimité parmi les scientifiques. En réalité, la synthèse du CEPII s’appuie sur seulement quatre études étrangères.


Aucun doute, la guerre est déclarée entre l’audiovisuel public, payé par tous les Français, et CNews, chaîne privée appartenant au groupe Bolloré. 

Le succès de cette dernière agace au plus haut point la présidente, les directeurs et les journalistes vedettes de France TV, tous très généreusement rémunérés avec l’argent de contribuables qui préféreraient que leurs impôts servent à autre chose qu’à maintenir un service public qui leur dit ce qu’ils doivent penser.

Label rouge

Selon les critères d’Emmanuel Macron et de Reporters sans frontières, le dernier Complément d’enquête sur CNews diffusé sur France 2 cochait toutes les cases d’une information fiable, issue d’un travail journalistique rigoureux, présentée par un journaliste d’une totale honnêteté intellectuelle.

 Selon les critères du commun des téléspectateurs clairvoyants, il a été l’illustration parfaite de ce que l’oligarchie politico-médiatique attend des médias qui rêvent d’être « labellisés » par cette dernière, à savoir un journalisme à la botte du pouvoir socialo-macroniste, prêt à tout pour museler les voix dissidentes.    

Au cours de ce reportage grossièrement à charge, un mot magique, censé clore le débat sur le lien entre délinquance et immigration, sujet trop souvent abordé sur CNews selon France TV, jaillit à plusieurs reprises de la bouche des gardiens du temple médiatique. À la trentième minute de cette invraisemblable enquête sur CNews, une voix off affirme que « le lien de causalité entre étrangers et insécurité n’existe pas. 

Et c’est la science qui le dit. 

Le CEPII a recensé tous les travaux sur le sujet. D’après lui, les études concluent unanimement à l’absence d’impact de l’immigration sur la délinquance. »

 Une demi-heure plus tard, face au député RN Philippe Ballard, Tristan Waleckx assène la même assertion : « Il y a des études scientifiques, c’est le CEPII, ce sont des économistes qui ont fait une compilation de toutes les études qui existent sur le sujet et qui concluent unanimement à l’absence d’impact de l’immigration sur la délinquance. » 

Condescendant, Tristan Waleckx déclare alors à Philippe Ballard qu’il y a « une différence entre le ressenti, le “doigt mouillé” et la science. » 

A lire aussi, Ivan Rioufol: La parole libérée, victorieuse de la gauche cloueuse de bec?  

Avant de disséquer le travail « scientifique » auquel Tristan Waleckx fait référence, rappelons que ce journaliste est diplômé de l’École supérieure

 Source :  https://www.causeur.fr/limmigration-la-science-et-les-gardiens-du-temple-mediatique

 

jmlb

Les pays immigrationnistes paye le prix fort !  Comme en Australie !

ISLAMISTES:   C' est pour bientôt , La valise ou le Cercueil   !

A vous de choisir ! 



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